‎VUE D'OPTIQUE : "VUE PERSPECTIVE DE LA CARRIÈRE DE NANCY AU SEPTENTRION"- 1750 -‎

‎PARIS Chéreau 1750 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 27 cm., 1750 PARIS Chereau Editeur, ‎

‎Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état ‎

‎VUE D'OPTIQUE : "VUE PERSPECTIVE DE L'ÉGLISE DE St GEORGE DANS LE CARRÉ DE HANOVER PRÉS DU CÔTÉ RUE CONDUIT A LONDRES" - 1762 -‎

‎PARIS CHEREAU 1762 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 43 x 52 cm., 1762 Paris CHEREAU Editeur, ‎

‎Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état ‎

‎VUE D'OPTIQUE : "VUE PERSPECTIVE DU CHATEAU ROYAL DE St GERMAIN EN LAYE"- 1760 -‎

‎PARIS Chéreau 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 27 cm., 1760 PARIS Chereau Editeur, ‎

‎Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état ‎

‎VUE D'OPTIQUE : "VÜE PERSPECTIVE DU JARDIN DE LA MAISON DE PLAISANCE DE Mlle LA COMTESSE DE BESTOUCHEFF, GOUVERNANTE DU PALAIS DE SA MAJESTÉ RUSSIENNE : CETTE MAISON AUSSI SUPERBE QU'AGRÉABLE, EST SITUÉE SUR LA RIVIÈRE NEW, PRÈS DE St PETERSBOURG". - 1790 -‎

‎PARIS Chereau 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33 x 51 cm., 1790 PARIS Chereau Editeur, ‎

‎Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état ‎

‎Arte de Conservar la Vista. Tratado de Higiene Ocular Util a Todos. ‎

‎Madrid. Libreria de D. Leon P. Villaverde. 1879. In-12. Rel. Demi-Chagrin Vert. Monochrome doré sur la couv. 96 figures. 183 p. Ouvrage en Espagnol. Excellent état malgré le dos fortement insolé.‎

‎HYGIENE DE LA VUE.‎

‎ Ouvrage utile aux gens du monde, aux gens de lettres, aux mères de famille, et à toutes les classes de la société contenant les précautions à prendre pour conserver la vue, l'usage et le choix raisonné des lunettes, les moyens de les vérifier, des considérations sur l'application des moyens optiques aux diverses maladies des yeux, etc., etc. Paris, L. Hachette, Libraires-éditeurs, 1862, broché, 12x18,5 cm, 344 pages. Deuxième édition enrichie de 77 dessins et de 3 planches coloriées. En frontispice le tombeau de Salvino Armato, inventeur des lunettes.‎

‎Exemplaire défraichi, couverture tachée et détachée, traces de mouillure sur couverture, sur garde et premières pages, premier cahier débroché. Quelques rousseurs. (à relier) ‎

‎Hygiène de la vue‎

‎ 1862 Editions L. Hachette et Cie, Paris - 1862 - deuxième édition - In-8, broché - 344 pages - Ouvrage enrichi de 77 dessins en N&B et de 3 planches en couleurs ‎

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‎Assez bon état - Plis de lecture au dos - Menus frottements sur la couverture avec infimes déchirures aux extrémités - Dos insolé ‎

‎Hygiène de la vue ouvrage utile aux gens du monde aux gens de lettres,aux mères de famille et à toutes les classes de la société.Deuxième édition enrichie de 77 dessins et de planches coloriées. ‎

‎In 8 reliure amateur à la bradel, plats de couverture contrecollés sur les plats cartonnés. Faux-titre, frontispice,tombeau de Salvino Armato inventeur des lunettes, bienfaiteur de l’Humanité titre,IV,344 pages, non rogné Hachette & Cie 1862 petit manque coin inférieur au deux dernières pages. ‎

‎Manuel de l'étudiant oculiste. Traité pratique du choix des lunettes et de l'examen de l'oeil à l'aide de l'ophtalmoscope, etc.‎

‎ 1868 Editions Adrien Delahaye, A Paris - 1868 - In-8, broché - 242 pages - Ouvrage orné de 90 figures intercalées‎

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‎Bon état - Menus frottements et traces d'humidité sur la couverture (sans incidence sur l'intérieur de l'ouvrage) - Coins émoussés et frottés ‎

‎Le Conservateur de la Vue. Troisième Edition. Considérablement augmentée. suivi du manuel de l'ingénieur-opticien par Chevallier Ingénieur-Opticien de S.A.S. Mgr. le Prince de Condé ; Membre de la Société Royale Académique des Sciences de Paris et Chevalier de l'Ordre Royal-Hospitalier-Militaire du Saint-Sépulcre de Jérusalem.‎

‎ A Paris, Chez l'Auteur, tour l' l'Horloge du Palais, N°1, vis-vis du Marché aux Fleurs, 1815, 1 volume de 210x125 mm environ, cartonnage beige, titres dorés sur dos lisse. Contient 15 planches, certaines dépliantes. Mouillures dans la marge supérieure, quelques rousseurs, cartonnage frotté avec manque sur le haut du dos, mors externes en partie fendus mais structure solide, sinon bon état.‎

10 Images

‎3eme édition, considérablement augmentée, contenant : 1°. l'Exposition de l'art de Fabrication les Verres de Lunettes et de Microscopes, les Miroirs de Télescopes et plusieurs autres Instrumens d'optique, de physique et d'astronomie ; la description des phénomènes de la Fantasmagorie et des moyens de les produire ; une Instruction de l'usage du Cadran solaire horizontal et universel. 2°. Une dissertation sur le Baromètre, le Thermomètre, les divers Instrumens d'Aréométrie, leur construction et leur usage. 3°. Une Notice sur le monument public, connu sous le nom de Tour de l'Horloge du Palais ; Un Dictionnaire analytique des termes de sciences employés dans l'Ouvrage ; le Catalogue général des Instrumens qui se fabriquent et se vendent chez l'auteur, avec leurs prix, ainsi qu'une Table des matières. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

‎Vue de Moutier-Travers et de ses environs dans le Comté de Neuchatel, avec le Tableau de la fermeté du Philosophe de Genève (J.J. Rousseau).‎

‎ 1777, 25x36 cm, gravure sur cuivre originale, (planche tirée de Zurlauben n° 38), feuille 32x49.5 cm.‎

‎ Image disp.‎

‎VUE D'OPTIQUE : "VUE ET PERSPECTIVE D'UNE MAISON DE PLAISANCE DU PRINCE PHILIPPE AUX ENVIRONS DE PARME"- 1763 -‎

‎PARIS Chéreau 1763 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 30,5 cm., 1763 PARIS Chéreau Editeur, ‎

‎Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état ‎

‎VUE D'OPTIQUE : "VUE PERSPECTIVE DE LA PLACE DAUPHINE DE PARIS, DU CÔTÉ DE LA RUE DE HARLAY"- 1790 -‎

‎PARIS Chéreau 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 49 x 34,5 cm., 1790 PARIS Chéreau Editeur, ‎

‎Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état ‎

‎VUE D'OPTIQUE : "VUE PERSPECTIVE DU MONT DE LA Ste VIERGE DIT FRAUEN BERG A FRANCFORT SUR LE MEIN OU L'ON VOIT L'ÉGLISE MÉTROPOLITAINE DEDIÉE EN SON HONNEUR"- 1790 -‎

‎PARIS Chéreau 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 51 x 34,5 cm.,tache brune en bas à gauche, 1790 PARIS Chéreau Editeur, ‎

‎Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état ‎

‎VUE D'OPTIQUE : "VUE PERSPECTIVE DU PALAIS DU ROY DE SUÈDE A STOKOLM"- 1790 -‎

‎PARIS Chéreau 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 30,5 cm., 1790 PARIS Chéreau Editeur, ‎

‎Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état ‎

‎VUE D'OPTIQUE : "VUE PERSPECTIVE DU RÉFECTOIRE DE L'HÔTEL ROYAL DES INVALIDES A PARIS"- 1750 -‎

‎PARIS Chéreau 1750 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 51 x 34,5 cm., 1750 PARIS Chéreau Editeur, ‎

‎Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état ‎

‎Vue de Jérusalem‎

‎Vue d'optique originale , en colories d’époque , dimension de feuille 450x274mm , de l’impression 410x242mm, titre à l’envers ,verso blanc .‎

‎Représentation de Jérusalem , texte de la légende au bas de la gravure: "Jérusalem, ville capitale de la Palestine sous David et Salomon, et si célébrée par son temple et les magnifiques ouvrages que ses deux princes firent bâtir, et par les miracles qui s'y firent opérés. Elle est aujourd'hui sous la domination des Turcs, il y a un couvent de cordeliers qui paye tribut au grand seigneur" Jacques Chéreau (29 octobre 1688 à Blois, France - 1er décembre 1776 à Paris) était un graveur et éditeur de portrait et d'estampes optiques dans le quartier de graveurs de la rue Saint-Jacques diversement donné sur les estampes comme "au Grand St. Rémy," "au Coq," ou "au dessus de la Fontaine St. Severin", à Paris, France.‎

‎VUE D'OPTIQUE : "VUE DE LA BARRIÈRE St MARTIN ET DU BASSIN DU CANAL DE L'OURCQ " - 1800 -‎

‎Paris Chéreau, Jacques-Simon fils (veuve) marchand d'estampes 1800 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 34,5 x 51 cm., 1800 Paris chez Chéreau, Jacques-Simon fils (veuve) Editeur, ‎

‎Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état ‎

‎Vue du Coeur de la Superbe église de L'Abbaye de Port Royal des Champs à 5 lieues de Paris, détruite le 29 novembre 1709.‎

‎paris Chereau J. vers 1750 1 Une vue d'optique de dimensions 48x32 cm; très grandes marges; coloriée à la main.‎

‎Les marges sont effrangée mais c'estsans importance compte tenu de leurs dimensions. Rare témoignage d'une controverse religieuse qui fait encore parler d'elle. Voir la photo. ‎

‎a) Les Pyrénées dessinées d’après nature et lithographiées. Texte explicatif. Première partie : Luchon et ses environs ; Luchon, Lafont. (Toulouse Typ. J. Pradel et Blanc)b) Deuxième partie : Hautes et basses Pyrénées. Luchon, Lafont,‎

‎soit 2 tomes, reliés en un volume in folio oblong, cartonnage de percaline marron à fers dorés spéciaux et à froid sous le titre “Souvenir des Pyrénées” par Eug. Ciceri. Lafont-libraire-Editeur 40 allées d’Etigny-Luchon, dos chagrin marron foncé, nerfs, caissons de filets dorés, titre doré, tranches dorées ; s.d. [1870 ou 1873, BNF] ; a) [1] f. de Titre, 8 pp. sur 2 colonnes, 1 plan et une carte dépliante lithographiés par Salette à Toulouse, 28 lithographies dont 8 dépliantes (2 ou 4 panneaux), tirées par Becquet à Paris pour l’éditeur Goupil. b) [1] f. de titre, 12 pp. de texte sur 2 colonnes, 32 lithographies dont 9 dépliantes (2 panneaux), idem. Soit en tout 60 lithographies dessinées et mises sur pierre par Eugène Ciceri, dont 17 dépliantes, non compris le plan et la carte également lithographiés.‎

‎Très beau recueil de vues, souvent animées, des plus intéressants sites des Pyrénées, par Eugène Cicéri qui fut l’élève de son oncle Eugène Isabey et qui fut un des membres de l’école de Barbizon, il fut un des premiers à s’installer à Mariotte. Il a participé à la grande aventure éditoriale des “Voyages pittoreques et romantiques dans l’ancienne France” du baron Taylor et Charles Nodier; il a aussi publié de nombreuses lithographies des Alpes et du Massif du Mont Blanc et aussi quelques paysages d’Afrique du Nord. Les serpentes, très acides, qui ont été enlevées, ont laissé de nombreuses rousseurs sinon bel ensemble bien solide et manipulable. ‎

‎Vue du Port de Civita-Vecchia, Ville dans l’Etat de l’Eglise, en Italie.‎

‎P., Maillet, (fin du XVIIIème).‎

‎****‎

‎Schaffhausen in alten Ansichten. ‎

‎Zaltbommel, Europäische Bibliothek, 1984, kl. in-8vo, 2 S. + 76 Tafeln, Original-Pappband.‎

‎Bade et ses environs‎

‎ Paris, librairie de L. Hachette et Cie, 1858. In-plano, [28] pl., [33] ff., en feuilles, portefeuille de percaline chagrinée noire, un filet à froid et un double filet doré en encadrement sur le plat, titre, armes ducales de Baden, auteur et artiste dorés sur plat (portefeuilles défraîchi, petites taches et rousseurs). ‎

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‎Première édition de ce recueil de lithographies de la région de Bade. Elles ont été gravées par L. Sabatier d'après les dessins de Jules Coignet et les notices sont d'Amédée Achard. L'ouvrage comprend une page de titre, une page de titre gravée, les lithographies en noir à pleine page et des doubles feuillets de texte correspondants. Un des plus célèbres recueils de gravures du peintre de l'École de Barbizon, Jules Coignet. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve. ‎

‎Photographie aérienne‎

‎(23 x 17 cm) en noir et blanc prise du sud-ouest vers le nord-est avec en arrière-plan le Pays de Gex et le Genevois ; on y voit très nettement le fameux fort de l'Ecluse et sa poistion stratégique de verrou. Photographie prise un peu avant 1930.‎

‎Bel état. ‎

‎BULLETIN DE LA SOCIETE D'ETUDES ET DE RECHERCHES HISTORIQUES DU PAYS DE RETZ N° 15 (1995)‎

‎ 1995 une revue, brochée in-quarto éditeur (paperback in-quarto), dos muet (spine - without title), dos et couverture violet imprimés et illustrés en couleur (purple spine and cover printed and illustrated in colours), titre en jaune et parme, abondamment illustré de photos, reproductions de gravures, documents , plans, cartes in et hors-texte en noir (in text and full page engraving), 88 pages, 1995 Paimboeuf Editions du Pays de Retz pour La Bernerie Société d'études et de recherches historiques du Pays de Retz Editeur.‎

‎Au Sommaire : La Sainte-Anne des Paydrets par Doiminique Pierrelée, Sainte-Anne de Vue, "Entre Irlande et Provence" par Emile Boutin, Eugène Orieux par Yves Lostanlen, Les Chaloupes de la Baie de Bourgneuf par Gilles Fortineau, Pierre-Charles Auguste Moisan, le Pharmacien-Botaniste par Robert Joubier, La Poche en Pays de retz, la vie des "Lignards" autour de Pornic par Doiminique Pierrelée, Les Trois Envasement du Bassin de Carénage de Paimboeuf par Philippe Caillaud, Bourgneuf au XIXème siècle par Roger Mathorel, Terre-Neuve en Chauvé, Histoire d'un Chateau Méconnu par Jean-Pierre Vallée.........en parfait état (as new condition). ‎