Annales islamologiques - Institut Français d’Archéologie Orientale du Caire
Reference : 9292
(1986)
Paris DAUMONT 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 44,5 x 30 cm., 1790 Paris chez DAUMONT Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
album constitué de 24 photograhies,24 épreuve, montées sur carton fort avec légende et filets en encadrement,bleus.240x175 mm et 190x120mm,l’ensemble monté sur onglets dans une reliure demi-chagrin rouge à nerfs,titre et caissons dorés,plats percaline rouge avec titre dans cartouche, dorés sur le premier. Double filet doré sur les plats, tranches dorées, charnières intérieures toilées. 1) vue générale prise de la tour Saint Michel. 2) Le quai de Bourgogne et le port 3) Perspective du quai de la douane et de Bourgogne 4) La place de la Bourse 5) Le Hall du Palais de la Bourse 6) vue générale prise de la Bastide 7) Porte du Palais 8) porte de la grosse cloche 9) La colonne Rostrale et le Quinconce 10 ) le grand Théâtre 11) fontaine de Allée de Tourny 12) escalier d’honneur du grand Théâtre 13) allée de Tourny 14) perspective du cour de l’intendance 15) pont rustique du jardin public 16) église sainte croix 17 portail méridional de l’église Saint –André 18) intérieur de la cathédrale 19) La tour Pey-Berlon et l’église Saint-André 20) La tour Saint Michel 11) église Saint Sernin 22) l’hôtel de ville 23) le pont reliant le chemin de fer d’Orléans et du Midi 21) Saint André de Cubzac pont sur la Dordogne l’ensemble en très bon état
Photographie non identifiée.Epreuve albuminée négatif sur verre Format"mammouth"408x585mm;sous passe partout 535x390mm.Dans son cadre Napoléon III,d’époque.Format 805x675mm Peu courant.
inconnu inconnu vers 1750 1 dimensions 53x34 cm; couleurs vives.
Bords légèrement défraîchis.Montée sur carton fort ; incription de l'époque au dos. Peu fréquent. Voir la photo.
Vue d’optique format 405x250mm hors marges, 493x342mm avec marges. Gravure en couleurs, du XVIIIème siècle. A Paris chez Basset rue St Jacques n°64 90€ Photos 2017-06-12 16 17 18.Vue destinée à être observée à travers un jeu de plusieurs miroirs, ou par le moyen du Zygrascope, constitué d’un miroir et d’une lentille.
. Vue d’optique format 410x252mm hors marges, 490x352mm avec marges. Gravure en couleurs, du XVIIIème siècle. A Paris chez Basset rue St Jacques n°64 Vue destinée à être observée à travers un jeu de plusieurs miroirs, ou par le moyen du Zygrascope, constitué d’un miroir et d’une lentille.
Vue d’optique format 398x250mm hors marges, 475x340mm avec marges. Gravure en couleurs, du XVIIIème siècle. A Paris chez Basset rue St Jacques n°64 Vue destinée à être observée à travers un jeu de plusieurs miroirs, ou par le moyen du Zygrascope, constitué d’un miroir et d’une lentille.
Vues de Cannes, suite de photographies dates de 1904. 1) Cannes vue prise de l’observatoire 300x235mm. 2) le mont Chevalier (pell 21a) 3) le poret (pell 19a) 4) Le port île Ste Marguerite (pell 18a) 4) Grasse( tirage 45’’ papier pell 20a) 5) le port( pell 15a 6) le port (pell 17a) 7) vue des fenêtres de l’hôtel (pell 16a) 8) vue du mont Chevalier (pell 26a) photos de format 115x85mm. Contrecollées sur carte.
A Paris / A Rouen, chez Mondhard / chez Lucas, s.d. [circa 1780]. Dimensions (à vue) : 452 x 233 mm.
Belle vue d'optique gravée sur cuivre. Elle est animée de nombreux personnages et embarcations, en coloris du temps. Plissures éparses. Manque affectant les marges, sans atteinte à la gravure. Du reste, belle condition.
Louis Favre (1830 - 19 ?), genevois, dessinateur, aquarelliste. "Elève de l'Ecole de dessin de Genève, il s'adonna, à l'âge mûr, au dessin de paysages, et laissa des vues de la Riviera française"( BENEZIT, Dictionnaire des peintres, V, p. 337). BRUN. Schweizerisches Künstler-Lexikon, I, S.445 : " ... à l'âge de 55 ans, un séjour à la Côte d'Azur l'impressionna assez fortement pour qu'il se sentit poussé à dessiner les sites admirables qu'il avait sous les yeux. ... il a formé une collection considérable de vues de Cannes, Antibes, St.-Raphaël, Fréjus, St. Tropez, etc".
Mer agitée dans la baie d'Agay. Louis Favre (1830 - 19 ?), genevois, dessinateur, aquarelliste. "Elève de l'Ecole de dessin de Genève, il s'adonna, à l'âge mûr, au dessin de paysages, et laissa des vues de la Riviera française"( BENEZIT, Dictionnaire des peintres, V, p. 337). BRUN. Schweizerisches Künstler-Lexikon, I, S.445 : " ... à l'âge de 55 ans, un séjour à la Côte d'Azur l'impressionna assez fortement pour qu'il se sentit poussé à dessiner les sites admirables qu'il avait sous les yeux. ... il a formé une collection considérable de vues de Cannes, Antibes, St.-Raphaël, Fréjus, St. Tropez, etc". Minimes rousseurs, au verso deux petites marques d'une ancienne fixation, sinon bon état.
P., BAsset (fin XVIIIème). (Petits trous de ver).
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1889 Octave Doin, Editeur, Paris, Bibliothèque de l'Amateur Photographe - 1889 - 1 vol in-12, pleine percaline grise décorée - 254 pages - Avec figures dans le texte
Bon état général pour cet ouvrage rare - percaline un peu passée avec un pli de lecture au dos et une petite tache en haut du premier plat - Erreur de tomaison sur la page de faux titre ( tome II indiqué au lieu du tome I )
paris F. Sinnett 1860 Une lithographie Originale en couleurs, Format total de la gravure : 45 cm de large par 31,5 cm de haut, format de la gravure seule : 28 cm de large par 19 cm de haut, sur papier crèmez, imprimé en haut au centre : LA FRANCE DE NOS JOURS, imprimé en bas à droite : lith. Becquet Frères , rue des Noyers, 37 r, imprimé en bas à gauche : Asselineau Del. et Lith. et imprimé en bas au centre : N°304 - LE HAVRE - VUE DU THEATRE ET DE LA PLACE LOUIS XVI, sans date (1860)Paris F. Sinnett, Editeur, Galerie Colbert ,
LITHOGRAPHIE SUPERBE ........... TRÉS RARE ....... en trés bon état (very good condition). trés bon état
London 1753 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT : 33,4 x 43,7 cm. (1753) à Londres Editeur inconnu,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33,4 x 43,7 cm. (1790) à Paris chez CHEREAU Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ........... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, tache brune en bas à gauche, sans date (1770) à Paris chez CHEREAU rue St Jacques Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
1677 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, Collection Faille. Cartes, plans et gravures. In plano II - siège de Cambrai 1677. Vue de la ville de Cambrai prise par le roi en 1677,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, sans date (1770) à Paris chez CHEREAU rue St Jacques Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chezChereau, 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 51 cm. , légérs plis sur la gravure, (1760) à Paris : Chez Chereau, , Rue St. Jacques Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ....... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT : 33,4 x 43,7 cm. (1790) à Paris chez CHEREAU Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ....... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chezChereau, 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 51 cm. , légérs plis sur la gravure, (1760) à Paris : Chez Chereau, , Rue St. Jacques Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public .... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1765 une vue d'optique en couleurs,GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, sans date (1765) à Paris chez CHEREAU rue St Jacques Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, sans date (1770) à Paris chez CHEREAU rue St Jacques Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état