Versailles, Cerf et Fils, 1872. 16 vol. in-4, demi-toile verte, pièces et de titre et de tomaison en chagrin brun (reliure ancienne).
Collection complète rare de cette enquête monumentale sur les événements qui se sont déroulés en France depuis la chute du Second Empire, la guerre Franco-Allemande, le rôle de l'Association Internationale des Travailleurs tant à Paris qu'en province. Cette série, publiée en livraison constitue l'ensemble de documents le plus complet sur le gouvernement de la Défense nationale. Dépositions des Témoins ; Rapports ; Dépêches télégraphiques officielles. Bel exemplaire. Le Quillec, 870.
Versailles, Cerf, 1872. In-4 de (8)-633-(3) pp., demi-maroquin rouge, dos à nerfs, pièces de titre en maroquin noir (reliure de l'époque).
Tome I seul : Rapports. Document officiel de la plus grande importance dont la mise en vente va provoquer de nombreuses mises au point de survivants, dont la manifestation la plus éloquente est l'Histoire de la Commune de Lissagaray. Deux autres tomes complètent la série : Dépositions des Témoins (II) Pièces Justificatives (III). Del Bo, p. 59 ; Le Quillec, 1649. Bel exemplaire.
Paris, Librairie du Moniteur universel,, 1872. Grand in-4 broché de 163 pp. sur 3 colonnes, couverture imprimée.
Édition partielle parue à la Librairie du Moniteur Universel. 86 dépositions de Messieurs Thiers, Cresson, Trochu, Favre, Jules Ferry, Le Flô, Mac-Mahon, Ansart, Marseille, Macé, Tolain, Fribourg, Héligon etc. Manque de papier à la couverture. Le Quillec, 1649.
Imprimerie Antoine Koroméla | Constantinople [Istanbul] 1870 | 16.3 x 25 cm | Relié
Édition originale. Reliure demi-chagrin bleu, dos à quatre fins nerfs orné de caissons à froid décorés de fleurons dorés, encadrements de filets à froid sur les plats de percaline indigo, plats larginalement salis en pieds, gardes et contreplats de papier marron, ex-libris moderne encollé sur un contreplat, reliure de l'époque, Quelques petites rousseurs, une tache d'encre noire sur la tranche sans affecter aucunement le texte. * L'auteur, le médecin grec Alexandros Paspatis (1814-1891), était un des représentants les plus éminents de la communauté grecque de Constantinople où il résida de 1839 à 1882. Il a écrit un grand nombre d'ouvrages de médecine, d'archéologie et d'histoire de Constantinople, en grec, en anglais et en français. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Reference : 20142
Paris, Karl, collection "Illustration de la France par Arrondissement. - France-Album", s.d. (1897). broché, couverture illustrée, titre ornemental. in-8 oblong, 2 pages de texte sur 2 colonnes, par Jean Volane, 43 dessins inédits de A. Karl, d'aptrés des photos d'Artige, Baussan, Benoit d'Entrevaux, lieutenant Faugier, Labrély, Mazet, Ribeyre, etc... + 1 carte in-fine.
Phone number : 06 80 15 77 01
Reference : 123625aaf
Fribourg, 1888, in-8vo, 197 p., autographiée (procédée lithographique, reproduit l’écriture), ms. sur couverture ‘Monsieur le Baron Georges de Montenach’, brochure originale en parfait état.
Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Reference : 48950aaf
Brugg, Verkehrsverein, 1923, in-8°, 47 S., ill. mit Zeichnungen und 1 Plan + 17 S. Werbung, illustrierte Original-Broschüre.
Phone number : 41 (0)26 3223808
, , 1870 ca. Tableau vernissé en couleurs sur ais de bois (52 x 66 cm).
Etat nominatif des conscrits du 155e Bataillon de la 7e compagnie - composé de 8 escouades de 14 à 19 gardes chacune, sous le commandement des capitaines Denis Millan et Louis Gerbeau.
Paris, Imp. A. Vallée, 1871. In-8 broché de 8 pp.
Seule livraisosn publiée. Signé le citoyen Frédéric Hubert, P.:. Véritable ami du Peuple et de l'Humanité.
Reference : 57434aaf
Chur, 1953, gr. in-4°, Frontwappentafel in Farbe + 65 S. + 17 farbige Wappentafeln, ill. Original-Leinenband.
Mit Beiträgen von E. Tenchio, J. Desax, E. Poeschel, R. Jenny und A. Nigg zu: Raetia Mediatrix / Der Weg zum bündnerischen Wappenbuch / Über den Sinngehalt der Wappenbilder / Beschreibung und Begründung der Kreis- und Gemeindewappen mit Angabe der Territorialfarben.
Phone number : 41 (0)26 3223808
, , 1870. Lettre manuscrite (13,5 x 10,5 cm) de 2 pp. plus suscription.
Émouvant billet écrit par le capitaine Octave Lasaulce adressé à son frère, lui donnant les dernières nouvelles du front. Nous étions 6000 contre 60 mille. Tout le monde tombait autour de moi qui était (sic) en 1ère ligne en tirailleurs, j'ai la vie sauve, je n'y comprendrais. Je suis à Soultz, commandant ce que j'ai rallié du 40e. Nous allons nous replier sur Haguenau, notre général est tué, la Division est perdue on va la reformer à Strasbourg. Ton frère Octave. Cachet Soultz-sous-Forêts. Au matin du 4 août 1870, la 2e division du général Douay est en position sur les hauteurs de Wissembourg à quelques centaines de mètres de la frontière ennemie. De l'autre côté, plusieurs corps prussiens et bavarois avancent sans avoir été repérés par les reconnaissances de cavalerie française. Une bataille inégale dans et autour de la ville s'engage au cours de laquelle le général Douay est tué. La bataille de Wissembourg s'achève par une défense héroïque dans le château de Geisberg. Malgré la bravoure des lignards et des turcos, les Français sont contraints à la retraite en direction du col du Pigeonnier, abandonnant sur le champ de bataille la moitié de leur effectif. Wissembourg est la première bataille de la guerre de 1870. Octave Lasaulce fut nommé Chevalier de la Légion d'honneur le 8 août 1870.
, , 1873. Cahier petit in-4 manuscrit (20,5 x 17 cm) de (1)-144-(1) pp., titre manuscrit en long « Campagne 1870-1871 (Mémoires) ».
Remarquable récit embarqué d'un commandant du génie dans la Guerre franco-prussienne, parti de Montpellier le 23 juillet 1870, prisonnier à Berlin le 14 septembre suivant.Samedi 23 juillet - La 6ème compagnie de sapeurs du 2ème Régiment du Génie, que je commandais forte de 4 officiers, 89 sapeurs à pied, 8 sapeurs conducteurs avec 2 voitures de section et 12 chevaux, devait partir à 11 heures du matin par le chemin de fer pour se rendre de Montpellier à Phalsbourg. Ce journal inédit recomposé en 1873 en forme de mémoires montre les opérations, les marches des sapeurs chargés d'ouvrir les voies d'accès pour les fantassins, détruire les pièges, fabriquer et poser des pièges, des obstacles à la marche des fantassins ennemis. «Les outils portatifs sont loin d'être commodes. Il faut trop de temps pour les sortir de l'étui, les emmancher etc. Dès la première rampe, je fis charger des outils ordinaires sur les chevaux de bât, et le travail marcha bien plus rapidement. » (p. 65). Après les premiers combats dans les environs de Sarreguemines, la 6e compagnie doit rallier le camp de Châlons le 20 août où la seconde partie de l’armée française commandée par le maréchal de Mac-Mahon, devait se rassembler pour tenter de renforcer l’armée de Bazaine. Passé par Rethel, la compagnie se trouve le 27 août à Buzancy où les deux armées ont un violent engagement de cavalerie. Le corps français du général de Failly avait envoyé une reconnaissance vers Buzancy pour y faire quelques prisonniers et obtenir des nouvelles. Le 30 août, l'armée campe à Beaumont. « Au moment où la Compagnie forme ses rangs, les obus commencent à pleuvoir sur le village et il n'y avait pas 1/4 d'heure que le général Goze me disait de faire faire la soupe. Déjà cette surprise nous coûtait cher. Les 11e et 46e avaient perdu un nombre considérable d'officiers et de soldats dans les tentes même qu'il sont obligés d'abandonner ainsi que les sacs. Les balles, les obus sont tombés à l'improviste, par milliers sur le camp (…) Les généraux de Failly et Goze ont encouru ce jour-là une terrible responsabilité et à mon avis ils doivent rendre un compte sévère de leur conduite dans la journée du 30 août 1870 ! ». La bataille de Beaumont également appelé surprise de Beaumont ou encore bataille de Beaumont-Mouzon se déroula le 30 août à Beaumont-en-Argonne, dans les Ardennes françaises. Elle opposa le 5e corps d'armée de l'armée de Châlons du général de Failly, à l'armée de la Meuse du Prince royal de saxe. Les Français, surpris dans leur campement, sont repoussés jusqu'à Mouzon. Le corps d'armée de Failly est écrasé et découvre l'armée de Châlons de Mac-Mahon, en marche sur Sedan. « Je continue à grimper la côte avec mes trois hommes, nous nous arrêtons à hauteur de deux batteries qui venaient d'ouvrir leur feu, dans un champ où des zouaves faisaient tranquillement cuire leur soupe, en disant qu'ils en avaient bien vu d'autres ! Je regard alors un peu ce qui se passe. De l'autre côté de la Meuse, à 2 kilomètres environ de Mouson, je vois une longue ligne de batteries faisant feu sur le village ; j'estime à 100 le nombre des pièces prussiennes qui tiraient en ce moment et 12 de nos pièces seulement leur répondaient (…) quelqu'un dit que l'ordre est de se diriger sur Sedan (…) En sortant de dîner je trouve le colonel de Brevans qui me donne le commandement de 256 hommes de la réserve (31 août) ». Sedan, Jeudi 1er septembre. « Je m'aperçois que c'est une véritable déroute qui commence. Les obus nous arrivent de trois côtés à la fois. Deux sapeurs sont blessés un à la tête l'autre à la main, bientôt les balles se mêlent à la mitraille ; pendant que je cause avec le fourrier Houber appuyé sur son fusil une balle vient s'incruster dans la crosse de son arme (…) 2 septembre Nous sommes prisonniers (lecture des articles la capitulation) On vient nous dire qu'il faut aller rejoindre notre division au camp d'Yges » Le 3 septembre, environ 80 000 hommes sont conduits sur la presqu'île d'Iges et parqués pratiquement sans abris et sans vivres. Les prisonniers partent pour l'Allemagne destination Berlin, en passant par Nancy où ils sont acclamés. L'explicit est emprunté à Casimir Delavigne (Messéniennes, I. La Bataille de Waterloo) : SOIS MAUDIT Ô NAPOLÉON.Annexes : Composition de la 6e compagnie à la date du 23 juillet 1870 ; État des absents à l'appel du 2 septembre et du 5 septembre ; Le détachement de la 13e versé à la 6e par ordre du Colonel Charton le 31 août 1870 ; Solde approximative minimum de la Compagnie du 21 juillet au 3 septembre 1870 ; Recettes Dépenses.Manuscrit d'une belle écriture très lisible, sans rature.Témoignage exceptionnel de la débâcle de l'été 1870 et son cortège de défaites de Châlons à Sedan et la capitulation de Napoléon III.
, , 1870-1871. 2 liasses de (81) ff. et (150) ff.
Il s'agit des mémoires manuscrits et inédits d'un agent de la Trésorerie de l'Armée, qui a été engagé en juillet 1870. Son récit couvre une période dramatique de l'histoire française, marquée par la débâcle de Sedan, le siège de Paris, et la répression de la Commune de Paris. Bien que l'auteur ne signe pas son manuscrit, il semble avoir eu l'intention de le publier. Le texte est rédigé de manière détaillée et constitue un témoignage précieux de "l'Année terrible", un terme utilisé pour décrire cette période difficile de la guerre franco-prussienne.L'auteur semble être un certain Piquentin, qui se présente comme étant originaire de Falaise, en Normandie. Dans ses mémoires, il relate son engagement comme agent de la Trésorerie de l'Armée du Rhin, une fonction qui l'a amené à gérer les finances militaires, à distribuer les soldes aux soldats, à conduire les fourgons de trésorerie, et à trier la correspondance militaire. Son témoignage commence le 5 août 1870, lorsqu'il est nommé agent de la Trésorerie de l'Armée et se rend au Ministère des Finances pour recevoir ses instructions. Il raconte les difficultés rencontrées pour se procurer l'équipement nécessaire à sa mission, incluant un cheval, des uniformes et autres fournitures.L'un des moments marquants du récit est la défaite de Sedan, le 1er septembre 1870, à laquelle l'auteur assiste en tant qu'agent de la Trésorerie. Il décrit en détail l'horreur de la situation, notamment la mort de leur payeur, tué par un éclat d'obus. Les soldats sont entassés dans les rues, sous une pluie battante, et l'auteur évoque la panique générale. Les tensions entre les troupes françaises et les Prussiens sont palpables, et la situation se détériore rapidement. L'auteur fait état de la reddition des fonds aux autorités prussiennes à la Banque de France, en précisant que les agents du Trésor français sont contraints de rendre leur caisse aux Prussiens sous la pression de la situation.Après la défaite de Sedan, l'auteur rejoint 73 autres agents du Trésor et reprend ses fonctions, mais cette fois à Neuilly, près du quartier général du Trésor, après le déplacement des bureaux à la Porte Maillot. Il décrit la ville dévastée par les bombardements et notamment l'incendie du château de Saint-Cloud, causé par des obus lancés du Mont-Valérien. L'auteur témoigne des difficultés rencontrées par les agents du Trésor dans un contexte de guerre, d'occupation et de réorganisation administrative.La dernière partie des mémoires est consacrée à la Commune de Paris. L'auteur exprime son indignation face aux violences et à la brutalité de la rébellion, notamment lors de l'exécution du général Lecomte, qu'il connaît personnellement. L'auteur condamne la Commune en des termes sévères, qualifiant ses partisans de "misérables", "lâches" et "sans convictions". Cependant, il reconnaît que la répression versaillaise, menée par l'armée de Versailles, est également cruelle. Il témoigne de la répression des Communards, de la progression des Versaillais dans Paris, et de la répression sanglante qui s'ensuit.Les mémoires offrent une vision complète et détaillée de la guerre franco-prussienne, de la défaite de Sedan, du siège de Paris, et de la répression de la Commune, à travers les yeux d'un agent de la Trésorerie. Le texte est écrit avec une grande précision et donne un aperçu intime des horreurs de la guerre, des difficultés administratives, et des souffrances humaines vécues durant cette période dramatique de l'histoire de France.
Paris Librairie Firmin Didot Frères et Fils 1871. In-12 VI 2 feuillets non chiffrés dont table 368pp. Demi chagrin rouge, dos à nerfs orné de petites pastilles finement dorées, reliure de l'époque. Quelques pâles et rares rousseurs par endroits. Bel exemplaire bien complet, dans une reliure de qualité, en très bon étate et décorative.
Le Quillec 2291.
Reference : 238453
Paris, Dentu, Bruxelles, Vanderauwera, 1871 in-12, 360 pp., carte dépl. en coul., demi-chagrin brun, dos à nerfs (rel. de l'époque).
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Reference : 95366
Paris, Au Bureau de l'Eclipse, 1871 in-16, 127 pp., plan in-t., broché.
Le Quillec, 2283. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Reference : 64677aaf
Ed. Passé-Présent, 1991, gr. in-8vo, 191 p. ill. + XVII tab. couleurs, cartonnage original ill. couleur.
Livre retraçant l'histoire, de la préhistoire à nos jours, du village de Troinex dans le canton de Genève. Textes de: David Hiler, Catherine Santschi, Françoise Nydegger.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Paris Edhis 1968 Reprint - broché - petit In12 - 226 pages
Bon
146. Edition imprimerie nationale 1920, fascicule grand in-4. Il y a 5 portraits. Relure Demi-chagrin vert à coins, dos lisse, décor de palmes doré et mosaïqué en long, pièce de titre rouge, tête or. (Reliure de l'époque). 5 portraits hors-texte (Poincaré, Foch, Oudin, Autrand, Clemenceau), soigneusement tirés en héliogravure. Quelques photographies in-texte. Cérémonie tenue dans la salle des séances du Conseil Municipal. Exemplaire relié. Charnieres et coins légèrement frottés. Photos possibles
Pas de frais de port pour la France métropolitaine Prévoir une participation de 10 € pour envoi vers l’international
Paris Albert Savine 1889. 2 volumes in-12 378pp 2 feuillets non chiffré catalogue, 488pp. demi chagrin rouge, dos à nerfs, reliure de l'époque. Bel exemplaire frais, sans aucune rousseur, bien complet des 2 volumes et de leur texte, dans une reliure sobre de bonne qualité et en très bon état.
Le Quillec ne signale pas cet ouvrage. Regards d'un observateur "consterné de l'inertie des gouvernements (...) témoins impuissants (de) l'inévitable effondrement".
Reference : 054119
Paris Garnier Frères, Libraires-Editeurs 1872 in 12 (19x12,5) 2 volumes reliures demi basane verte, dos à nerfs, couvertures conservées, XXIII et 409 pages, 647 pages. Edition originale (First edition). Bel exemplaire, exempt de rousseurs ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide Ed. originale
Paris, Garnier Frères, 1872. 2 vol. petit in-8 de (4)-XXIII-469 pp. et (4)-647 pp., couverture jaune imprimée, non coupé.
Édition originale. Tome I : 19 mars - 19 avril ; tome II : 20 avril - 24 mai. Le Quillec, 1328
Paris, Garnier Frères, 1872. 2 vol. in-12 de (4)-XXIII-469 pp. et (4)-647 pp., demi-basane verte, dos lisse orné (reliure de l'époque).
Édition originale. Tome I : 19 mars - 19 avril ; tome II : 20 avril - 24 mai. Le Quillec, 2485.
Reference : 19878
Paris, en vente aux bureaux de l'administration du Gaulois, mars 1871. In-4, 476 pp. 2 pl., demi-basane verte, dos long orné de filets dorés, tranches mouchetées de rouge (épidermures, 1ère planche et les 2 premiers ff. débrochés, taches, plan de Paris réparé à l'adhésif, rousseurs, petits manques).
Recueil reprenant les numéros du Journal du Siège de Paris parus entre le 15 septembre 1870 et le 29 janvier 1871 à propos de la Guerre franco-prussienne. Il a été relié en tête de volume un plan de Paris en couleurs et in fine, les numéros 7 et 8 (un seul numéro en réalité) de La Chronique illustrée du 12-25 février 1871 et comportant, un portrait de Garibaldi par Dulong d'après Busato, 2 scènes militaires par Robida ainsi qu'une grande composition en noir représentant le Siège de Paris. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, Bureaux de l'Administration du Gaulois, 1871. In-4 de (4)-476- pp., demi-toile prune, dos lisse orné de filet à froid (reliure de l'époque).
136 journée du 15 septembre 1870 au 28 janvier 1871. « Notre Journal du siège sera un mémento véritable, jour par jour, heure par heure, des graves événements attendus, un historique fidèle des actes présenté sans passion. Bonne ou mauvaise, nous dirons la vérité. C'est maintenant qu'il faut s'écrier : Dieu protége la France! ».