‎Les contes de Perrault mis en vers et en musique par Saint-Gilles‎

‎Les éditions musicales Saint-Gilles Feuilles sous chemise In-4 (33x25.5 cm), livrets sous couverture illustrée, non paginé, contes mis en vers et en musique par Saint-Gilles, illustrations de Maurice Saint-Gilles ; coiffes et dos frottés, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

‎Jan dismas Zelenka,‎

‎Bleu Nuit, Horizons, 2007, 175 pp., broché, bon état.‎

‎Musique vécue, musique apprise. ‎

‎Cousset, Editions DelVal, 1993. In-8 broché, couverture couleurs. ‎

‎"Que sait-on de la pratique musicale et de son apprentissage ? Quels sont les savoirs et attitudes que mobilise l'expression musicale ? Les contributions réunies dans cet ouvrage abordent ces questions mais avec des regards particuliers. L'un se centre sur la motivation à apprendre, l'autre recourt à l'apport des sciences du langage pour analyser la production musicale, d'autres encore examinent les liens qui unissent la musique et la poésie, où font des rapprochements entre la lecture et l'interprétation musicale, entre le chant et le jeu instrumental. Quelles conséquences en tirer pour la formation des enfants mais aussi des adultes ? En amont des débats classiques sur les valeurs relatives des différentes méthodes d'enseignement, le souci des auteurs est de s'interroger sur la nature même de l'acte musical. Ils font apparaître la richesse et la complexité étonnante d'un acte unifiant qui engage toute la personne. Les auteurs, musiciens et pédagogues, engagés dans une réflexion sur les fondements et les visées de la formation musicale, confrontent leurs propres expériences et leurs observations quotidiennes aux apports des sciences humaines (philosophie, psychologie, linguistique, pédagogie). Ils invitent ainsi le lecteur à poursuivre cette exploration qui renouvelle la compréhension de la pédagogie musicale." ‎

‎Le Café du Pont : Parfums d'enfance‎

‎Robert Laffont 2005 In-8 broché 24,2 cm sur 14,6. 316 pages. Très bon état d’occasion.‎

‎Pour la première fois, Pierre Perret raconte, avec sa plume inimitable, ses plus beaux souvenirs d’enfance et d’adolescence. Très bon état d’occasion ‎

‎Lily. ‎

‎ Nathan, 1989. Grand in-8, cartonnage couleurs. ‎

‎Les paroles de la très belle chanson de Pierre Perret habillées des images de Nathalie C. ‎

‎La Voix - 50 Jeux Pour L'expression Vocale et Corporelle - 4/10 ans‎

‎RETZ. 1992. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos plié, Quelques rousseurs. 125 pages - nombreux dessins en noir/blanc, dans le texte - quelques rares phrases surlignées au feutre, sans conséquence sur la lecture. . . . Classification Dewey : 780-Musique‎

‎ Classification Dewey : 780-Musique‎

‎Arletty‎

‎Perrin & Perrin ,1997, in-12 de 124 pages ,illustrations in-texte ,broché ,Très bon état , .(2 photos du livre sur mon site https://www.vieuxlivre.fr) .Les frais de port pour la France sont offerts à partir de 20 euros d'achat (Mondial relay )et 30 d'achat (colissimo suivi ). Pour l'étranger : tarif livre et brochure, colissimo international, DHL express‎

‎Tambours et Musiques militaires.‎

‎ P., Imprimerie Nouvelle, 1882, in 8° broché, 64 pages ; des rousseurs ; manque angulaire en tête du plat supérieur. ‎

‎PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................‎

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

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‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

‎Le saxophone, son histoire, sa technique, son utilisation dans l'orchestre.‎

‎ 1977 Plan de la Tour, Editions d'Aujourd'hui (Collection "Les Introuvables"), 1977, petit in 8° broché, 167 pages ; couvetrure imprimée. ‎

‎Réédition en offset de l'ouvrage paru en 1955. ...................... Photos sur demande ..........................‎

‎FRANK MARTIN ou l’insatiable quête.‎

‎ Drize - Genève, Editions Papillon 2002, 210x145mm, 151pages, broché. Bel exemplaire.‎

‎ photos n/b, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal‎

‎Engl. Komponist u. Violinist.‎

‎O.J. (um 1835). Stahlstich von John Romney (1786-1863) nach J.A. Sluce (um 1835 in London tätig). Bildgrösse: 12 x 10 cm. Blattgrösse: 28 x 20 cm.‎

‎Angestaubt und stockfleckig.‎

‎La vie passionnée de Wolfgang Amadeus Mozart.‎

‎Paris, L'intercontinentale du livre, 1956, in-8 cartonnage éditeur sous jaquette, 379 pp. Petit manques à la jaquette, sinon bon état.‎

‎UN AFFRESCO FRANCESCANO. GENESI DI UN OPERA. TEXTE EN ITALIEN.‎

‎SANTUARIO DI S ANTONIO DA PADOVA.. 1987. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 47 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte et hors texte. Couverture rempliée.. . . . Classification Dewey : 780-Musique‎

‎ Classification Dewey : 780-Musique‎

‎DEPOUILLES.‎

‎EDITIONS DE L'ATTENTE. 2011. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 142 pages - 1er plat illustré en noir et blanc .. . . . Classification Dewey : 780-Musique‎

‎Texte polyphonique - Ouvrage publié avec le concours du centre national du livre. Classification Dewey : 780-Musique‎

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Emile Pessard, compositeur.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Né à Montmartre en 1843. Photo Reutlinger. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎

‎Photographie de la collection Félix Potin (4 x 7,5 cm) représentant : Emile Pessard, compositeur.‎

‎- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.‎

‎Photo. Né à Montmartre en 1843. Photo Reutlinger. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.‎

‎Claude François (Les Lumières du Music-Hall)‎

‎Vade Retro 2002 In-8 broché 23 cm sur 22. Bon état d’occasion.‎

‎ Bon état d’occasion ‎

‎Les Folies Bergères‎

‎Fixot 1990 In-4 reliure éditeur sous jaquette, 214 pp Illustrations noir & couleurs‎

‎De Léon Sari à Hélène Martini, en passant par les frères Isola et Paul Derval, voici l’une des pages les plus glorieuses du music-hall, racontée comme si vous y étiez. Très bon état d’occasion ‎

‎Cabaret 70‎

‎Vade Retro 2001 In-4 broché 30,4 cm sur 24,8. 175 pages. Très bon état d’occasion.‎

‎Grâce à eux, les tranformistes furent propulsés sur le devant de la scène. Très bon état d’occasion ‎

‎Chronique de la chanson française‎

‎Chronique. 2003. In-4. Relié. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 240 pages. Nombreuses photos et illustrations en couleurs et noir et blanc, dans le texte. Texte sur plusieurs colonnes. Légers accrocs aux coiffes.. . . . Classification Dewey : 780-Musique‎

‎ Classification Dewey : 780-Musique‎

‎Les années hippies‎

‎Editions Chronique 2005 In-4 cartonné 30 cm sur 23. 136 pages. Très bon état d’occasion.‎

‎Une période charnière qui a marqué les esprits et les moeurs de son temps pour changer à jamais le cours de notre histoire. Très bon état d’occasion ‎

‎Le Moulin-Rouge‎

‎Hermé 1990 In-4 relié 23,2 cm sur 16,7. 213 pages. Très bon état d’occasion.‎

‎ Très bon état d’occasion ‎

‎Les années Mistinguett‎

‎Vade Retro 2001 In-4 relié 30 cm sur 25. 190 pages. Ex-dono manuscrit. Bon état d’occasion.‎

‎ Bon état d’occasion ‎

‎Les années Disco‎

‎Chronique (Editions) 2006 In-4 relié 29,2 cm sur 23,2. 136 pages. Très bon état d’occasion.‎

‎Cinéma, mode, design... Plus qu’un simple phénomène musical, le disco était alors incontournable. Une période incroyable que cet ouvrage unique en son genre vous propose de revivre année après année, mois après mois. Très bon état d’occasion ‎