1769 à SULLY, le 8 8bre - Lettre manuscrite signée du Duc de 2 ff. dont 3 pages manuscrites. - TEXTE : "Je renvois ci-joint mon cher Dupoirier, les ordonnances signées ainsi que les papiers concernant la procédure contre le Sieur Durand des Grandsbois jointe au mémoire d'observation de Mr Seguier qui regarde cette affaire comme ne pouvant faire de difficultié. j'écrirai très incessamment ainsi que vou me le conseiller à Monsieur le Cardinal de Gêvres, il n'est pas encore bien sûr que mon fils aille en Gascogne. Mr de Poyanne attendant sur cela la réponse de Me sa mère , vous pouvez toujours lui addresser vos lettres à Saumur jusqu'à ce que je sois plus au fait de la marche dont je vous ferai part alors, je compte incessamment vous voir ici et que vous vous arrangerez pour profiter du retour de la voiture qui emmenera mon fils, nous avons ici depuis plusieurs un tems d'hiver qui m'ennuye beaucoup. J'oubliois de vous dire que c'est Mr Le Mis de FITZ-JAMES qui achette les fiefs en question relevant de Breteuil. Mr son père m'en a écrit pour me prier de lui en faire une remise favorable. Ce que je ne peux me dispenser de faire ainsi si son intendant va vous trouver, vous lui ferez celle que je suis accoutumé de faire à ceux que je veux traitter avec égard, il me mande que l'acquisition est de vingt mille francs ; j'aurois mieux aimé avoir à faire à quelqu'un pour lequel je n'en dû pas avoir. Mr Saillant et Mr Seguin ont été d'avis que je fisse l'acquisition de la charge d'huissier du sieur Clément moyennant neuf cent livres qi'ls prétendent en devoir rapporter plus de deux cent. Adieu mon cher Dupirier, vous connaissez mes sentimens pour vous, mes amitiés à votre mère et votre femme. Signé le DUC DE BETHUNE."
DUC DE BETHUNE CHAROST Armand Joseph, né le 1er juillet 1738 à Versailles, mort le 27 octobre 1800 à Paris, lieutenant-général, créateur de plusieurs institutions charitables. Il s'est fait un nom par sa philanthropie et par son zèle pour les progrès de l'agriculture et de l'industrie. Louis XV le montre un jour à ses courtisans en disant : « Regardez cet homme; il n'a pas beaucoup d'apparence, mais il vivifie trois de mes provinces. »1. Favorable à l'abolition des privilèges, il est maire de l'ancien 10e arrondissement de Paris, et il échappe à la Terreur grâce au soutien des habitants du pays de Meillant, mais son unique héritier est guillotiné en avril 1794. En 1800, il meurt en fonctions de maire, victime de son dévouement, en soignant des malades sourds-muets de Paris atteints de la petite vérole, à l'âge de 62 ans. (Il avait été marié à Louise-Suzanne-Edmée de Martel qui mourut le 6 octobre 1779. Il se remaria avec Henriette-Adélaïde-Joséphine du Bouchet de Sourches de Tourzel, le 17 février 1783. Son action philanthropique l'avait fait aimer en Berry. Les pétitions des habitants du pays lui ont permis d'échapper à la guillotine pendant la Terreur alors que son seul fils survivant fut guillotiné le 26 avril 1794. Il est mort à Paris le 28 octobre 1800. Par testament du 3 juin 1798, il avait fait de sa seconde femme son héritière. Elle s'occupa peu du château.)
Paris ce 21 avril 1746, - 2 ff. in-quarto dont 3 pages autographes manuscrites, PROBABLEMENT à son homme d'affaire concernant des bien d'église et son souhait de DONNER PLUTOT QUE RETENIR. - TEXTE : "Je vous envoye Monsieur un mémoire que j'ay fait en abrégé sur ceux que le Sr Toubeau Ancien Curé de Mareuil m'a envoyé sur plusieurs chefs qui concernent l'Hotel Dieu de Mareuil et la Cure du Dit Lieu : comme je ne veux profiter rien qu'à bon titre et justement et quoique il y a lieu de croire que feu mon beau père et mon beau-frère n'estoient point des usurpateurs du bien d'autruy et intérêts de celuy de l'église, je vous seray bien obligé si vous voulez bien avoir la bonté de vous adresser aux Srs Laure Procureur fiscal de la Cure à Mr Gaillard Curé ... Concierges et autres que vous jugerez à propos pour qu'ils vous donnent les éclaircissements nécessaires pour pouvoir décider sur tous les faits avancés par le Sr Toubeau. Je me conformeray à ce qu'il vous réglerez, et à ce que vous jugerez équitables dans les cas ... j'ayme mieux donner que retenir, je vous prie d'être persuadé de la sincérité des sentimens avec lesquels je vous honore et suis très parfaitement Monsieur vostre très humble et très obéissant serviteur. Signé Le Duc de Bethune.
Armand-Joseph de Béthune, duc de Chârost, né le 1er juillet 1738 à Versailles, mort le 27 octobre 1800 à Paris, lieutenant-général, créateur de plusieurs institutions charitables. Il s'est fait un nom par sa philanthropie et par son zèle pour les progrès de l'agriculture et de l'industrie. Louis XV à ses courtisans en dit : « Regardez cet homme; il n'a pas beaucoup d'apparence, mais il vivifie trois de mes provinces. »1. Favorable à l'abolition des privilèges, il est maire de l'ancien 10e arrondissement de Paris, et il échappe à la Terreur grâce au soutien des habitants du pays de Meillant, mais son unique héritier est guillotiné en avril 1794. En 1800, il meurt en fonctions de maire, victime de son dévouement, en soignant des malades sourds-muets de Paris atteints de la petite vérole, à l'âge de 62 ans. (Il avait été marié à Louise-Suzanne-Edmée de Martel qui mourut le 6 octobre 1779. Il se remaria avec Henriette-Adélaïde-Joséphine du Bouchet de Sourches de Tourzel, le 17 février 1783. Son action philanthropique l'avait fait aimer en Berry. Les pétitions des habitants du pays lui ont permis d'échapper à la guillotine pendant la Terreur alors que son seul fils survivant fut guillotiné le 26 avril 1794. Il est mort à Paris le 28 octobre 1800. Par testament du 3 juin 1798, il avait fait de sa seconde femme son héritière. Elle s'occupa peu du château.)
SULLY, 1768, - Lettre manuscrite signée de Béthune, 1 f. et 2 pages manuscrites. - TEXTE : J'ay l'honneur de vous prévenir Monsieur que je sollicite M. le Controlleur Général de terminer promptement les conditions portées dans le contract d'Echange de ma Principauté, les changemens arrivés depuis peu dans le Ministère ont fait languir cette affaire qu'il m'est essentiel de consommer, principalement à l'aune de la substitution qui doit être transférée sur les objets échangés. Je ne doute point Monsieur que M. le Controlleur général ne vous consulte sur le nouveau mémoire qui lui sera présenté de ma part, je désirerais bien être à portée de vous convaincre moi meme de la convenance et de la justice de mes demandes, auxquelles j'ose me flatter que vous voudrez bien être favorable, n'ayant jusqu'à présent eû que des sujets de me louer de votre honneteté en toutes occasions,ainsi que des marques de votre bonne volonté pour moi, je suis certain de n'éprouver en celle-ci rien qui n'ajoute à ma reconnaissance et aux sentimens inviolables avec lesquels j'ay l'honneur d'être Monsieur votre très humble et très obéissant serviteur. Sigén Le Duc de Bethune.
- Armand-Joseph de Béthune, duc de Charost, né le 1er juillet 1738 à Versailles, mort le 27 octobre 1800 à Paris, lieutenant-général, créateur de plusieurs institutions charitables. Il s'est fait un nom par sa philanthropie et par son zèle pour les progrès de l'agriculture et de l'industrie. Louis XV le montre un jour à ses courtisans en disant : « Regardez cet homme; il n'a pas beaucoup d'apparence, mais il vivifie trois de mes provinces. »1. Favorable à l'abolition des privilèges, il est maire de l'ancien 10e arrondissement de Paris, et il échappe à la Terreur grâce au soutien des habitants du pays de Meillant, mais son unique héritier est guillotiné en avril 1794. En 1800, il meurt en fonctions de maire, victime de son dévouement, en soignant des malades sourds-muets de Paris atteints de la petite vérole, à l'âge de 62 ans. (Il avait été marié à Louise-Suzanne-Edmée de Martel qui mourut le 6 octobre 1779. Il se remaria avec Henriette-Adélaïde-Joséphine du Bouchet de Sourches de Tourzel, le 17 février 1783. Son action philanthropique l'avait fait aimer en Berry. Les pétitions des habitants du pays lui ont permis d'échapper à la guillotine pendant la Terreur alors que son seul fils survivant fut guillotiné le 26 avril 1794. Il est mort à Paris le 28 octobre 1800. Par testament du 3 juin 1798, il avait fait de sa seconde femme son héritière. Elle s'occupa peu du château.) Il fonda un hôpital à Meillant, des caisses de secours en cas d'inondation et de grêle à Mareuil et à Charenton-sur-Marmande, des prix pour les cultures nouvelles dans le Berry (lin, garance, rhubarbe, tabac, plantes fourragères). Il y répandit l'usage des meules à courant d'air et de la charrue proprement dite, qu'il fit substituer à l'araire. On peut le considérer comme le créateur des fermes modèles, car le baron Sylvestre, son biographe, écrit en 1800 : « La Société d'agriculture de Meillant est encore la seule qui ait à sa disposition le moyen d'établir d'une manière efficace la solidité des principes de la théorie agricole. »
- PARIS, le 24 juillet 1774. 2 ff. en forme de billet posté de Paris avec Cachet armorié de Deuil, de 2 pages manuscrites in-quarto en partie autographe (ps) et signée par le Duc de Béthune Charost. - TEXTE "M. Dupoirier ne m'a pas laissé ignorer Monsieur tous les soins que vous vous êtes donné pour éclairer mes juges dans une affaie qui quoiqu'elle dût m'être étrangère étoit devenue fort importante puisqu'on avait jugé à mon propos de m'y comprendre. l'équité des magistrats qui l'ont décidée et vos lumière et votre activité a faire valoir tous mes moyens ont procurés à cette affaire tout le succès que j'avois lieu de désirer, recevez en tous mes remerciements et soyez assuré Monsieur que vous me trouverez dans toutes les occasions empressé de vous en marquer ma reconnaissance ainsi que les sentimens de l'estime très particulière que j'ay pour vous Monsieur. Signé Le Duc de Béthune. En post scriptum Je crois qu'il est très essentiel que vous veillez conjointement avec celui qui étoit chargé des affaires de Me la Vve de Laubespine à ce que la copie de l'arrêt soit rédigée avec la plus grand exactitude, au cas que Me Degmont voulut revenir au Conseil en Cassation.
- Armand-Joseph de Béthune, duc de Chârost, né le 1er juillet 1738 à Versailles, mort le 27 octobre 1800 à Paris, lieutenant-général, créateur de plusieurs institutions charitables. Il s'est fait un nom par sa philanthropie et par son zèle pour les progrès de l'agriculture et de l'industrie. Louis XV le montre un jour à ses courtisans en disant : « Regardez cet homme; il n'a pas beaucoup d'apparence, mais il vivifie trois de mes provinces. »1. Favorable à l'abolition des privilèges, il est maire de l'ancien 10e arrondissement de Paris, et il échappe à la Terreur grâce au soutien des habitants du pays de Meillant, mais son unique héritier est guillotiné en avril 1794. En 1800, il meurt en fonctions de maire, victime de son dévouement, en soignant des malades sourds-muets de Paris atteints de la petite vérole, à l'âge de 62 ans. (Il avait été marié à Louise-Suzanne-Edmée de Martel qui mourut le 6 octobre 1779. Il se remaria avec Henriette-Adélaïde-Joséphine du Bouchet de Sourches de Tourzel, le 17 février 1783. Son action philanthropique l'avait fait aimer en Berry. Les pétitions des habitants du pays lui ont permis d'échapper à la guillotine pendant la Terreur alors que son seul fils survivant fut guillotiné le 26 avril 1794. Il est mort à Paris le 28 octobre 1800. Par testament du 3 juin 1798, il avait fait de sa seconde femme son héritière. Elle s'occupa peu du château.)
- 29 juin 1761. - Lettre manuscrite signée du Duc de la Vauguyon, 4 pp. in-folio. - Le Duc joint.... "icy plusieurs Mémoires , le premier concerne la cassette de Monseigneur le Duc de Berry ... le Second est une supplique des officiers de la Chambre de Monseigneur le Duc de Bourgogne au sujet du luminaire de la Chambre ardente sur lequel il y a des prétentions de la part des Chapelains du Roy, je vous supplie de décider cette contestation le plus tôt qu'il sera possible. Le Troisième Mémoire contient différents objets qui me sont personnels et que je vous supplie aussi de décider. Permettez moy de vous rappeler en même tems le souvenir de la Gratification que l'on a coutume d'accorder à la Chambre des Enfans de France lors de leurs Baptêmes. Les officiers de Monseigneur le Duc de Bourgogne n'en ont point eus lorsqu'on la Baptisé ; elle ne pourroit leur être refusé justement ; cette Cérémonie ne s'étant point faite in-extremis. Ils sont tous dans un très grand besoin n'ayant pas touché un Sol depuis plus de trois ans, il en est parmi eux qui sont sans pain et accablés de dettes. Il est aussi d'usage d'accorder à cette occasion une gratification particulière au Premier Valet de Chambre. Mr Tourole l'a assurément mérité plus qu'on ne peut l'imaginer. Cette gratification est ordinairement de trois milles livres. Monseigneur le Dauphin désire lui donner d'ailleurs une marque particulière de son extrême satisfaction de la manière si distinguée avec laquelle il a servi feu Mgr le Duc e Bourgogne, il souhaite que sa Majesté veuille bien rendre (1500..) gratification annuelle et il m'ordonne d'avoir l'honneur de vous en prévenir de sa part et de vous dire que si vous jugés à propos que cela soit necessaire il en parlera à sa Majesté. Il est bon de vous observer que le Sr Tourole depuis vingt quatre ans qu'il est au Service du Roy n'a jamais obtenu ni pension ni gratiffication de sa Majesté. Recevez..."
- TOUROLE, On peut se référer au sujet du Premier Valet de Chambre TOUROLE du Duc de Bourgogne à son comportement relaté dans le JOURNAL ENCYCLOPEDIQUE ( Ed. Rousseau) 1761 Tome VII. puis 1788 T. III. - LA VAUGUYON (Duc de la) (Antoine Paul Jacques de Quélen de Stuer de Caussade) 1er duc de la Vauguyon (1758) prince de Carency Pair de France. (1706 - 1772) Menin de Monseigneur le Dauphin, lieutenant général des armées du roi, GOUVERNEUR DES ENFANTS DE FRANCE et de LOUIS XVI en particulier, premier gentilhomme de la chambre et grand maître de la garde-robe du duc de Bourgogne du Dauphin (Louis XVI).
ENVOI MANUSCRIT DE L'AUTEUR A BERNARD REY 1850, Paris Hachette, Bourges chez Just Bernard In-12 plein chagrin, dos lisse orné de filets ors et à froid. Garde, 1 f. p. de fx titre avec au dos l’Envoi et l’Hommage de l’Auteur à Bernard REY et Note que la majeure partie du volume était imprimée avant les évènement de 1848 , page de Titre, 433 pages de fables divisées en 7 livres, 3 ff. pour la Table des Fables.
Claude-Théophile Duchapt (né en 1802 et décédé à Bourges en avril 1858) magistrat, Juriste et conteur de fables. Il est auteur de travaux de jurisprudence, sur les peines à appliquer aux duels (1837),de débilité et à d'autres délits, d'une Lettre anonyme à Lammenais, signée « Un Homme-potence », et d'un recueil de fables (Bourges, 1850).
1850 Paris, Hachette; Bourges, Just-Bernard et Vermeil libraire 1850. In 8° broché de 440 pp. partiellement débroché, dos fendu avec manques de papier, petites déchirures et manques de papier à la couverture, qjuelques rousseurs, grandes marges. Un avertissement au verso du faux-titre indique " La majeure partie de ce volume était imprimée avant les évènements de 1848".
Claude-Théophile Duchapt (1802-1858) est un magistrat français de Bourges; il a publié des ouvrages de jurisprudence, en particulier sur les duels, une lettre anonyme à Lamennais, signée "un homme-potence" et le présent recueil de fables.
Manuscrit à l'encre, de 8 feuillets volants , soit 11 pages manuscrites, par Joseph Massé, les 2 premiers feuillets sont illustrés par Massé de 9 dessins à l'encre sur calque contrecollés dans le texte et on a joint , à part, 43 dessins à l'encre sur calque d'environ 6 x 6 cm chacun à joindre au texte. Ensemble placé dans une chemise souple de papier crème.
Notes copiées, vers 1900, du livre de Duchenne de Boulogne , par le peintre céramiste Joseph Massé . Massé, né à Bordeaux en 1878, fit ses études aux beaux-arts de Lyon où il fut l'élève de Paul Borel , d'abord peintre il abandonna la peinture pour ne plus s'intéresser qu'à la céramique et à la poterie et s'installa à Soye-en-Septaine dans le Cher, vers 1910, après la guerre il fut maire et député .( CH1)
1820 br. plaq. 8pp. Privas Guiremand 1820
In fine, chansonn "C'est un Bourbon!".
Duchesse de Berry / CHATEAUBRIAND (François René, vicomte de...)(1758-1848).
Reference : 62122
(1833)
1833 PARIS, Le Normant, Éditeur - Décembre 1832 / 1833 - Br.22x14 - Couverture beige titrée en noir, dos muet; (2), 121 et (7); papier vergé.
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