Gravure originale sur papier vergé, dimensions de la feuille 270 x 185 mm traces de colle et de scotch au dos, bon état pour le reste. Venez consulter l'ensemble de mes objets sur mon site antharedeschuyter.fr ! Envoi par lettre recommandée R2, 8.
Alfred-Louis Brunet-Debaines (1845-1939) est un peintre, dessinateur et graveur français qui fit carrière en Angleterre. Louis Alfred Henri est né le 5 novembre 1845 au Havre de Charles Fortuné Louis Brunet-Debaines (1801-1862), architecte originaire de Vannes, et Catherine Eugénie Marvie (1808-1877).Formé dans le cabinet de son père, il devient, très jeune, un graveur accompli dans la technique de l'eau-forte et affectionne les paysages urbains. Il entre à l'École des beaux-arts de Paris en 1863 et fréquente l'atelier d'Isidore Pils. Il devient ensuite membre de la Société des aquafortistes dès 1865 et perfectionne ses connaissances auprès de Léon Gaucherel, Maxime Lalanne et Jules Jacquemart, ce dernier exerçant une certaine influence sur lui. Il expose ses premières créations au Salon de 1866, puis, régulièrement jusqu'en 1885. En 1873, il obtient une médaille de 1re classe au Salon, année où il est placé en hors-concours puis une médaille d'honneur en 1932. Les éditions d'Alfred Cadart publieront de lui une dizaine d'estampes, entre autres dans L'Illustration nouvelle et L'Eau forte en (1868-1876), parmi lesquelles on trouve de nombreuses vues de Rouen. Son atelier parisien se trouve un temps 58 rue Notre-Dame-des-Champs puis 13 rue Montmartre (1885). Dès 1872, il connaît une certaine renommée en Angleterre, où il est invité à exposer par le critique d'art Philip Gilbert Hamerton : il participe à ses deux revues d'art illustrées que sont The Portfolio et Etching and Etchers, pour lesquelles il livre de nombreuses gravures de reproduction des maîtres du XVIIIe et XIXe anglais ; il produit surtout une suite saisissante des anciennes abbayes du nord du pays, conjointement avec son collègue Henri Toussaint, The Ruined Abbeys of Yorkshire (1883). Entre 1872 et 1883, il expose ses gravures à la Royal Academy et en 1882, il est élu à la Royal Society of Painter-Etchers and Engravers de Londres et collabore régulièrement à The Art Journal jusque dans les années 1900. Sur Paris, il est le principal graveur pour le galeriste Paul Durand-Ruel du Recueil d'estampes gravées à l'eau-forte (1873-1875). Revenu de Londres, il quitte Paris et s'installe à Rouen où il produit plusieurs recueils périodiques d'estampes publiés dans le Rouen illustré chez E. Augé (1880-1886) en compagnie de Jules Adeline, Maxime Lalanne et Henri Toussaint. En avril 1894, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur sous le parrainage de Léon Bonnat. En 1889 et en 1900, il obtient une médaille d'or aux Expositions universelles organisées à Paris. Bon état Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Gravure sur papier, signée, et titrée dans la planche, signature au crayon et envoi dans la marge. Dimensions de la feuille 350 xx 230 mm, dimensions de l'image 215 x 122 mm. Venez consulter l'ensemble de mes objets sur mon site antharedeschuyter.fr ! Envoi recommandé R2, 9 .
Alfred-Louis Brunet-Debaines (1845-1939) est un peintre, dessinateur et graveur français qui fit carrière en Angleterre. Louis Alfred Henri est né le 5 novembre 1845 au Havre de Charles Fortuné Louis Brunet-Debaines (1801-1862), architecte originaire de Vannes, et Catherine Eugénie Marvie (1808-1877).Formé dans le cabinet de son père, il devient, très jeune, un graveur accompli dans la technique de l'eau-forte et affectionne les paysages urbains. Il entre à l'École des beaux-arts de Paris en 1863 et fréquente l'atelier d'Isidore Pils. Il devient ensuite membre de la Société des aquafortistes dès 1865 et perfectionne ses connaissances auprès de Léon Gaucherel, Maxime Lalanne et Jules Jacquemart, ce dernier exerçant une certaine influence sur lui. Il expose ses premières créations au Salon de 1866, puis, régulièrement jusqu'en 1885. En 1873, il obtient une médaille de 1re classe au Salon, année où il est placé en hors-concours puis une médaille d'honneur en 1932. Les éditions d'Alfred Cadart publieront de lui une dizaine d'estampes, entre autres dans L'Illustration nouvelle et L'Eau forte en (1868-1876), parmi lesquelles on trouve de nombreuses vues de Rouen. Son atelier parisien se trouve un temps 58 rue Notre-Dame-des-Champs puis 13 rue Montmartre (1885). Dès 1872, il connaît une certaine renommée en Angleterre, où il est invité à exposer par le critique d'art Philip Gilbert Hamerton : il participe à ses deux revues d'art illustrées que sont The Portfolio et Etching and Etchers, pour lesquelles il livre de nombreuses gravures de reproduction des maîtres du XVIIIe et XIXe anglais ; il produit surtout une suite saisissante des anciennes abbayes du nord du pays, conjointement avec son collègue Henri Toussaint, The Ruined Abbeys of Yorkshire (1883). Entre 1872 et 1883, il expose ses gravures à la Royal Academy et en 1882, il est élu à la Royal Society of Painter-Etchers and Engravers de Londres et collabore régulièrement à The Art Journal jusque dans les années 1900. Sur Paris, il est le principal graveur pour le galeriste Paul Durand-Ruel du Recueil d'estampes gravées à l'eau-forte (1873-1875). Revenu de Londres, il quitte Paris et s'installe à Rouen où il produit plusieurs recueils périodiques d'estampes publiés dans le Rouen illustré chez E. Augé (1880-1886) en compagnie de Jules Adeline, Maxime Lalanne et Henri Toussaint. En avril 1894, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur sous le parrainage de Léon Bonnat. En 1889 et en 1900, il obtient une médaille d'or aux Expositions universelles organisées à Paris. Bon état avec des traces de scotch au dos Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Eau-forte originale, tirage avant la lettre sur papier Japon. Signature dans la plaque en bas à gauche et signature manuscrite au crayon dans la marge sous l'image. Dimensions de la feuille 400 x 270 mm, dimensions de l'image 250 x 145 mm Bon état. Venez consulter l'ensemble de mes objets sur mon site antharedeschuyter.fr ! Envoi par lettre recommandée R2, 9 .
Alfred-Louis Brunet-Debaines (1845-1939) est un peintre, dessinateur et graveur français qui fit carrière en Angleterre. Louis Alfred Henri est né le 5 novembre 1845 au Havre de Charles Fortuné Louis Brunet-Debaines (1801-1862), architecte originaire de Vannes, et Catherine Eugénie Marvie (1808-1877).Formé dans le cabinet de son père, il devient, très jeune, un graveur accompli dans la technique de l'eau-forte et affectionne les paysages urbains. Il entre à l'École des beaux-arts de Paris en 1863 et fréquente l'atelier d'Isidore Pils. Il devient ensuite membre de la Société des aquafortistes dès 1865 et perfectionne ses connaissances auprès de Léon Gaucherel, Maxime Lalanne et Jules Jacquemart, ce dernier exerçant une certaine influence sur lui. Il expose ses premières créations au Salon de 1866, puis, régulièrement jusqu'en 1885. En 1873, il obtient une médaille de 1re classe au Salon, année où il est placé en hors-concours puis une médaille d'honneur en 1932. Les éditions d'Alfred Cadart publieront de lui une dizaine d'estampes, entre autres dans L'Illustration nouvelle et L'Eau forte en (1868-1876), parmi lesquelles on trouve de nombreuses vues de Rouen. Son atelier parisien se trouve un temps 58 rue Notre-Dame-des-Champs puis 13 rue Montmartre (1885). Dès 1872, il connaît une certaine renommée en Angleterre, où il est invité à exposer par le critique d'art Philip Gilbert Hamerton : il participe à ses deux revues d'art illustrées que sont The Portfolio et Etching and Etchers, pour lesquelles il livre de nombreuses gravures de reproduction des maîtres du XVIIIe et XIXe anglais ; il produit surtout une suite saisissante des anciennes abbayes du nord du pays, conjointement avec son collègue Henri Toussaint, The Ruined Abbeys of Yorkshire (1883). Entre 1872 et 1883, il expose ses gravures à la Royal Academy et en 1882, il est élu à la Royal Society of Painter-Etchers and Engravers de Londres et collabore régulièrement à The Art Journal jusque dans les années 1900. Sur Paris, il est le principal graveur pour le galeriste Paul Durand-Ruel du Recueil d'estampes gravées à l'eau-forte (1873-1875). Revenu de Londres, il quitte Paris et s'installe à Rouen où il produit plusieurs recueils périodiques d'estampes publiés dans le Rouen illustré chez E. Augé (1880-1886) en compagnie de Jules Adeline, Maxime Lalanne et Henri Toussaint. En avril 1894, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur sous le parrainage de Léon Bonnat. En 1889 et en 1900, il obtient une médaille d'or aux Expositions universelles organisées à Paris. Bon état Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Ville de Livry-Gargan, 1969, in-8°, 286 pp, gravures et photos dans le texte, 2 plans dépliants hors texte, broché, couverture illustrée lég. salie, bon état
Six chapitres (sur les 13 que compte ce livre) sont consacrés à la période révolutionnaire : Les doléances de Livry ; La vente des biens nationaux ; La commune et le canton de Livry sous la Révolution ; La vie économique ; La vie religieuse et la mystique révolutionnaire ; La vie sociale à Livry pendant la Révolution..
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006173
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. C.A., sd, 4 lignes. « J'ai été très souffrant depuis huit jours. Ce qui vous expliquera le retard que j'ai mis à vous apporter votre croix ». A Aurélien Scholl. [198]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006174
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. C.A., sd, 4 lignes. « Cher Aurélien Scholl, je vous apporte comme hier l'expression de mes plus vives sympathies ». [198]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006175
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. C.A., sd, 6 lignes. « à Aurélien Scholl. Cher maître et bienveillant ami, j'ai beaucoup regretté d'avoir manqué votre visite. J'irai vous remercier après-demain mercredi. C'est notre jour de congé. ». [198]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006176
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. C.A., sd, 6 lignes. « à mon cher maître et bienveillant ami Aurélien Scholl avec tous mes remerciements pour votre indulgente appréciation de la .. du jeu de l'épée. ». [198]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006177
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. C.A., sd, 4 lignes. « A mon brave, bon et spirituel ami Aurélien Scholl avec ses meilleurs souhaits ». [198]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006178
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. C.A., sd, 6 lignes. « mon cher Aurélien Scholl, je vous remercie et je vous embrasse de tout cour. Votre bienveillante affection me rend très fier et un peu confus ». [198]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 014186
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., Paris, 12 juillet 1876, 1p in-8. Peut-être à l'éditeur Michel Levy (1809-1872). Il donne son accord pour un rendez-vous le vendredi suivant chez le compositeur Léon Gatayes (1805-1877) « dont les jambes sont faibles ». [230-2]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006125
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 18 novembre 1864, 3p in-8. Belle et longue lettre à Aurélien Scholl. Il vient de lire le premier numéro de Club, journal des gens du monde. Il trouve le nom de Club très bien choisi mais est moins emballé par « les gens du monde ». Il demande à être sur la liste des abonnés et le félicite. Il critique aussi un livre, Les Bivouacs de Vera-Cruz à Mexico, que ses idées « démocratiques mais non socialistes » réprouvent. [196]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006126
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 19 mai 1865, 1p in-8 oblong. Il réclame à Aurélien Scholl l'adresse de Théodore de Langeac, se sentant insulté par un de ses articles, probablement dans Le Club. Il voulait probablement le provoquer en duel. [196]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006127
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 26 novembre 1866, 1p in-8. Il annoncera le volume de Scholl et espère pouvoir en rendre compte rapidement. Il a vu Les chaînes de fleurs avec le commandant Bernard et félicite Scholl : « Elles sont charmantes. Nous avons applaudi de bon cour ». [196]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006128
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 20 mars 1866, 2p in-8. Belle et longue lettre à Scholl : « Je viens de lire votre premier Courrier de Paris à la Presse. C'est un modèle du genre dans lequel vous avez su faire entrer de l'esprit, de la finesse et je ne sais quoi d'original qui ajoute un charme extrême à ce que vous écrivez ». Le reste de la lettre est à l'avenant, avec quelques considérations générales sur la médiocrité des autres journaux. [196]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006130
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 1er janvier 1868, 1p in-8. Lettre amicale à Aurélien Scholl pour le nouvel an. Il s'unit à ses regrets (pour un décès ?). [196]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006131
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S.+enveloppe, 5 mai 1873, 1p in-8. A Aurélien Scholl : « J'enrage de n'être pas libre jeudi pour dîner avec la Belle Princesse et notre charmant commandant Massa ». Il lui propose de dîner avec lui le lendemain chez Tortoni. [196]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006132
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 9 mars 1875, 1p in-8. Lettre confidentielle à Aurélien Scholl. Il lui demande de reproduire des lignes dans le Courrier des théâtres. Le bas de la page est découpé et les lignes en question ont donc du être publiées. [196]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006133
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 27 avril 1875, 1p in-8. Lettre confidentielle à Aurélien Scholl. Il est déçu de ne pas être d'accord avec Scholl, pour la première fois de leur vie. Scholl s'est séparé de lui et le remplace par Gaston Jollivet, choix que La Forge approuve. [196]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006135
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 16 novembre 1876, 1p in-8. Belle lettre amicale pour remercier Scholl pour sa lettre bienveillante. [196]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006136
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 17 janvier 1877, 1p in-8. Il remercie Scholl pour son aimable souvenir et lui demande de publier une note dans l'Evènement sur les résultats d'un concours de l'instruction publique. [196]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006137
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 9 février 1877, 1p in-8. Il envoie à Scholl le livre de son ami de collège Emile Deschanel, sur Aristophane. Il espère que Scholl en parlera dans une chronique. [196]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006138
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 16 février 1877, 1p in-12. Il remercie Scholl pour sa réponse, suite à l'envoi du livre d'Emile Deschanel sur Aristophane. Deschanel ira remercier lui-même Scholl. [196]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006140
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 15 août 1877, 3p in-12. Il félicite Aurélien Scholl pour le numéro du Courrier de Paris sur Gambetta. « Vous êtes un des plus vigoureux défenseurs de la liberté ! ». Il mentionne les provocations réactionnaires et Mac Mahon. Belle lettre politique. [197]
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre.
Reference : 006141
Anatole de La Forge (1820-1892), journaliste, homme politique, député de la Seine, vice-président de la chambre. L.A.S., 3 octobre 1877, 1p in-8. A Aurélien Scholl : « Je viens de lire les larmes aux yeux votre bienveillante et chaleureuse défense de l'inconnu du Figaro.. ». [197]