École ABC de Paris reliure Rigide Décorative 1973 en format 24 - 30 cm - nombreuses photographies en couleurs et en noir - reliure rigide en percaline brune avec motif et titres en dorure
Très Bon État
Dreyfus 1910 in8. 1910. Relié.
Mauvais Etat pages qui se détachent au début et à la fin du livre jauni rousseurs quelques inscriptions écorchures sur la couverture
Genève. Albert Skira. 1946. IN-n-8 (140 x 206mm) broché, couverture verte illustrée par Matisse, XXIV, (1) pages, 91 planches, 1 dessin hors texte de Picasso, 119, (1) pages, importants index. Très bon état.
Reproductions de Beaudin, Bonnard, Braque, Chagall, Chirico, Dali, Denis, Derain, Dufy, Ernst, Gauguin, Gris, La Fresnaye, Laprade, Laurencin, Laurens, Léger, Maillol, Manet, Marcoussis, Masson, Matisse, Miro, Pascin, Picasso, Redon, Rodin, Rouault, Roux, Roy, Segonzac, Toulouse-Lautrec, Vlaminck, Vuillard.
Paris, Musées Nationaux, 1959, 62 pp. 15,3 X 22 cm, br. Ouv. rich. ill. h.t. phot. coul. & n.b Couv. ill. coul. Préface de Jean Cassou.
T. Bel ex. de ce catalogue superb. ill.
Hanoï, Imprimerie d'Extrême-Orient 1917 In-4 28 x 19,5 cm. Brochés, couvertures grises, dos muets, titre en noir sur les les premiers plats, II-977 pp. en pagination continue. Exemplaires de bibliothèque. Dos brunis, couvertures d’usage.
Bon état d’occasion
Paris, Vincent, Fréal & Cie 1964 In-4 31 x 21 cm. Chemise demi-toile verte, dos muet, titre en vert sur le premier plat de couverture, agrafé 31 pp., 67 planches. Manquent pl. 63, 64.
Projets représentatifs des Trente Glorieuses s’inspirent du mouvement moderne qui valorise les décors simples, les lignes géométriques tout en utilisant des techniques et des matériaux nouveaux. Bon état d’occasion
ÉCOLE POLYTECHNIQUE FÉDÉRALE de ZURICH, ouvrage collectif.
Reference : AUB-3220
(1889)
Zurich, imprimerie Zurcher & Furrer 1889. Bon exemplaire relié, cartonnage d'éd., in-4, 95 pages avec table et annexes + planches. Traces d'usage, intérieur frais.
Programme présenté par l'Association Amicale des Anciens Élèves. Bal avec orchestre dirigé par G. BARTHELEMY et revue en 1 acte de Paul GINSBURGER er A. MAX-BLOT, musique arrangée par G. BARTHELEMY et M. BRACKE, danses réglées par Marcel CALLEBAUT. Le 3 Mars 1923. In-12 (112 x 160mm) couverture souple, imprimée en rouge et ornée des armes de Paris, contient les 4 pages du programme imprimées en rouge sur papier jaune. Exemplaire un peu piqué mais en bon état. Peu courant.
Dessin original au crayon, cachet d'atelier. (Le cachet comportant la date de son décès il s'agit probablement d'un cachet posthume réalisé pour la vente du contenu de son atelier)Dimensions 308 x 242 mm. Visitez mon site antharedeschuyter.fr mis en place par LRB !Envoi par recommandé R2 ; pour plusieurs dessins ou envoi vers l'étranger merci de me contacter pour devis. Règlement par chèque bancaire sur la France avec expédition de l'objet à l'adresse du titulaire du compte, mandat poste ou virement bancaire. Pas d'espèces dans une enveloppe même UPS, DHL etc...
Élève de Jean-Louis Forain dont il s'éloigne par ses idées, Édouard Couturier commence à se faire connaître du public en publiant des caricatures assez féroces dans Le Sifflet journal dreyfusard fondé par Ibels en mars 1898 au moment où l'affaire Dreyfus prend un nouveau tournant : ses dessins, qu'il signe « Couturier », « E. Couturier » ou plus rarement « Ed. Couturier », mettent en scène les différents rebondissements qui conduisirent à la révision du procès. Depuis son atelier, il fabrique de nombreuses cartes postales illustrées relatives à cette affaire, sans doute en lien avec le critique Émile Straus (1865-?) qui avait fondé en 1899 La Carte postale illustrée, le bulletin de l'International Poste-Carte Club.Auparavant, en 1896, il réalise un petit recueil de dessins sur le monde des prostituées, "Des Femmes en chemises !".Par ailleurs, il collabore à d'autres journaux, plutôt de tendance radicale-socialiste, comme Le Chambard socialiste de Gérault-Richard, La Feuille de Zo d'Axa, Le Petit Bleu, Le Fouet, Le Cri de Paris, ou anarchiste, comme Les Temps nouveaux. Il donne aussi quelques dessins à L'Assiette au beurre, coordonnant le n° 89 du 13 décembre 1902 sur « les filles-mères » ainsi qu'au Rire et à L'Omnibus de Corinthe. Traces de poussière sur les bordures et petits trous de punaise dans le haut. Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Dessin original au crayon, cachet d'atelier. (Le cachet comportant la date de son décès il s'agit probablement d'un cachet posthume réalisé pour la vente du contenu de son atelier)Dimensions 308 x 242 mm. Venez visiter mon site antharedeschuyter.fr mis en place par livre rare book !Envoi par recommandé R2 ; pour plusieurs dessins ou envoi vers l'étranger merci de me contacter pour devis. Règlement par chèque bancaire sur la France avec expédition de l'objet à l'adresse du titulaire du compte, mandat poste ou virement bancaire. Pas d'espèces dans une enveloppe même UPS, DHL etc...
Élève de Jean-Louis Forain dont il s'éloigne par ses idées, Édouard Couturier commence à se faire connaître du public en publiant des caricatures assez féroces dans Le Sifflet journal dreyfusard fondé par Ibels en mars 1898 au moment où l'affaire Dreyfus prend un nouveau tournant : ses dessins, qu'il signe « Couturier », « E. Couturier » ou plus rarement « Ed. Couturier », mettent en scène les différents rebondissements qui conduisirent à la révision du procès. Depuis son atelier, il fabrique de nombreuses cartes postales illustrées relatives à cette affaire, sans doute en lien avec le critique Émile Straus (1865-?) qui avait fondé en 1899 La Carte postale illustrée, le bulletin de l'International Poste-Carte Club.Auparavant, en 1896, il réalise un petit recueil de dessins sur le monde des prostituées, "Des Femmes en chemises !".Par ailleurs, il collabore à d'autres journaux, plutôt de tendance radicale-socialiste, comme Le Chambard socialiste de Gérault-Richard, La Feuille de Zo d'Axa, Le Petit Bleu, Le Fouet, Le Cri de Paris, ou anarchiste, comme Les Temps nouveaux. Il donne aussi quelques dessins à L'Assiette au beurre, coordonnant le n° 89 du 13 décembre 1902 sur « les filles-mères » ainsi qu'au Rire et à L'Omnibus de Corinthe. Bon état Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Dessin original au crayon, cachet d'atelier. (Le cachet comportant la date de son décès il s'agit probablement d'un cachet posthume réalisé pour la vente du contenu de son atelier)Dimensions 308 x 242 mm. Venez visiter mon site antharedeschuyter.fr mis en place par livre rare book !Envoi par recommandé R2 ; pour plusieurs dessins ou envoi vers l'étranger merci de me contacter pour devis. Règlement par chèque bancaire sur la France avec expédition de l'objet à l'adresse du titulaire du compte, mandat poste ou virement bancaire. Pas d'espèces dans une enveloppe même UPS, DHL etc...
Élève de Jean-Louis Forain dont il s'éloigne par ses idées, Édouard Couturier commence à se faire connaître du public en publiant des caricatures assez féroces dans Le Sifflet journal dreyfusard fondé par Ibels en mars 1898 au moment où l'affaire Dreyfus prend un nouveau tournant : ses dessins, qu'il signe « Couturier », « E. Couturier » ou plus rarement « Ed. Couturier », mettent en scène les différents rebondissements qui conduisirent à la révision du procès. Depuis son atelier, il fabrique de nombreuses cartes postales illustrées relatives à cette affaire, sans doute en lien avec le critique Émile Straus (1865-?) qui avait fondé en 1899 La Carte postale illustrée, le bulletin de l'International Poste-Carte Club.Auparavant, en 1896, il réalise un petit recueil de dessins sur le monde des prostituées, "Des Femmes en chemises !".Par ailleurs, il collabore à d'autres journaux, plutôt de tendance radicale-socialiste, comme Le Chambard socialiste de Gérault-Richard, La Feuille de Zo d'Axa, Le Petit Bleu, Le Fouet, Le Cri de Paris, ou anarchiste, comme Les Temps nouveaux. Il donne aussi quelques dessins à L'Assiette au beurre, coordonnant le n° 89 du 13 décembre 1902 sur « les filles-mères » ainsi qu'au Rire et à L'Omnibus de Corinthe. trace de poussière mais bon état général Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Dessin original au crayon, signature au crayon et cachet d'atelier. (Le cachet comportant la date de son décès il s'agit probablement d'un cachet posthume réalisé pour la vente du contenu de son atelier)Dimensions 308 x 242 mm. Venez visiter mon site antharedeschuyter.fr mis en place par LRB !Envoi par recommandé R2 ; pour plusieurs dessins ou envoi vers l'étranger merci de me contacter pour devis. Règlement par chèque bancaire sur la France avec expédition de l'objet à l'adresse du titulaire du compte, mandat poste ou virement bancaire. Pas d'espèces dans une enveloppe même UPS, DHL etc...
Élève de Jean-Louis Forain dont il s'éloigne par ses idées, Édouard Couturier commence à se faire connaître du public en publiant des caricatures assez féroces dans Le Sifflet journal dreyfusard fondé par Ibels en mars 1898 au moment où l'affaire Dreyfus prend un nouveau tournant : ses dessins, qu'il signe « Couturier », « E. Couturier » ou plus rarement « Ed. Couturier », mettent en scène les différents rebondissements qui conduisirent à la révision du procès. Depuis son atelier, il fabrique de nombreuses cartes postales illustrées relatives à cette affaire, sans doute en lien avec le critique Émile Straus (1865-?) qui avait fondé en 1899 La Carte postale illustrée, le bulletin de l'International Poste-Carte Club.Auparavant, en 1896, il réalise un petit recueil de dessins sur le monde des prostituées, "Des Femmes en chemises !".Par ailleurs, il collabore à d'autres journaux, plutôt de tendance radicale-socialiste, comme Le Chambard socialiste de Gérault-Richard, La Feuille de Zo d'Axa, Le Petit Bleu, Le Fouet, Le Cri de Paris, ou anarchiste, comme Les Temps nouveaux. Il donne aussi quelques dessins à L'Assiette au beurre, coordonnant le n° 89 du 13 décembre 1902 sur « les filles-mères » ainsi qu'au Rire et à L'Omnibus de Corinthe. Bon état Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Dessin original au crayon, cachet d'atelier. (Le cachet comportant la date de son décès il s'agit probablement d'un cachet posthume réalisé pour la vente du contenu de son atelier)Dimensions 308 x 242 mm. Venez visiter mon site antharedeschuyter.fr mis en place par LRB !Envoi par recommandé R2 ; pour plusieurs dessins ou envoi vers l'étranger merci de me contacter pour devis. Règlement par chèque bancaire sur la France avec expédition de l'objet à l'adresse du titulaire du compte, mandat poste ou virement bancaire. Pas d'espèces dans une enveloppe même UPS, DHL etc...
Élève de Jean-Louis Forain dont il s'éloigne par ses idées, Édouard Couturier commence à se faire connaître du public en publiant des caricatures assez féroces dans Le Sifflet journal dreyfusard fondé par Ibels en mars 1898 au moment où l'affaire Dreyfus prend un nouveau tournant : ses dessins, qu'il signe « Couturier », « E. Couturier » ou plus rarement « Ed. Couturier », mettent en scène les différents rebondissements qui conduisirent à la révision du procès. Depuis son atelier, il fabrique de nombreuses cartes postales illustrées relatives à cette affaire, sans doute en lien avec le critique Émile Straus (1865-?) qui avait fondé en 1899 La Carte postale illustrée, le bulletin de l'International Poste-Carte Club.Auparavant, en 1896, il réalise un petit recueil de dessins sur le monde des prostituées, "Des Femmes en chemises !".Par ailleurs, il collabore à d'autres journaux, plutôt de tendance radicale-socialiste, comme Le Chambard socialiste de Gérault-Richard, La Feuille de Zo d'Axa, Le Petit Bleu, Le Fouet, Le Cri de Paris, ou anarchiste, comme Les Temps nouveaux. Il donne aussi quelques dessins à L'Assiette au beurre, coordonnant le n° 89 du 13 décembre 1902 sur « les filles-mères » ainsi qu'au Rire et à L'Omnibus de Corinthe. Bon état Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Dessin original au crayon, cachet d'atelier. (Le cachet comportant la date de son décès il s'agit probablement d'un cachet posthume réalisé pour la vente du contenu de son atelier)Dimensions 308 x 242 mm. Venez visiter mon site antharedeschuyter.fr mis en place par livre rare book !Envoi par recommandé R2 ; pour plusieurs dessins ou envoi vers l'étranger merci de me contacter pour devis. Règlement par chèque bancaire sur la France avec expédition de l'objet à l'adresse du titulaire du compte, mandat poste ou virement bancaire. Pas d'espèces dans une enveloppe même UPS, DHL etc...
Élève de Jean-Louis Forain dont il s'éloigne par ses idées, Édouard Couturier commence à se faire connaître du public en publiant des caricatures assez féroces dans Le Sifflet journal dreyfusard fondé par Ibels en mars 1898 au moment où l'affaire Dreyfus prend un nouveau tournant : ses dessins, qu'il signe « Couturier », « E. Couturier » ou plus rarement « Ed. Couturier », mettent en scène les différents rebondissements qui conduisirent à la révision du procès. Depuis son atelier, il fabrique de nombreuses cartes postales illustrées relatives à cette affaire, sans doute en lien avec le critique Émile Straus (1865-?) qui avait fondé en 1899 La Carte postale illustrée, le bulletin de l'International Poste-Carte Club.Auparavant, en 1896, il réalise un petit recueil de dessins sur le monde des prostituées, "Des Femmes en chemises !".Par ailleurs, il collabore à d'autres journaux, plutôt de tendance radicale-socialiste, comme Le Chambard socialiste de Gérault-Richard, La Feuille de Zo d'Axa, Le Petit Bleu, Le Fouet, Le Cri de Paris, ou anarchiste, comme Les Temps nouveaux. Il donne aussi quelques dessins à L'Assiette au beurre, coordonnant le n° 89 du 13 décembre 1902 sur « les filles-mères » ainsi qu'au Rire et à L'Omnibus de Corinthe. Bon état Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Dessin original au crayon, cachet d'atelier. (Le cachet comportant la date de son décès il s'agit probablement d'un cachet posthume réalisé pour la vente du contenu de son atelier)Dimensions 308 x 242 mm. Venez visiter mon site antharedeschuyter.fr mis en place par livre rare book !Envoi par recommandé R2 ; pour plusieurs dessins ou envoi vers l'étranger merci de me contacter pour devis. Règlement par chèque bancaire sur la France avec expédition de l'objet à l'adresse du titulaire du compte, mandat poste ou virement bancaire. Pas d'espèces dans une enveloppe même UPS, DHL etc...
Élève de Jean-Louis Forain dont il s'éloigne par ses idées, Édouard Couturier commence à se faire connaître du public en publiant des caricatures assez féroces dans Le Sifflet journal dreyfusard fondé par Ibels en mars 1898 au moment où l'affaire Dreyfus prend un nouveau tournant : ses dessins, qu'il signe « Couturier », « E. Couturier » ou plus rarement « Ed. Couturier », mettent en scène les différents rebondissements qui conduisirent à la révision du procès. Depuis son atelier, il fabrique de nombreuses cartes postales illustrées relatives à cette affaire, sans doute en lien avec le critique Émile Straus (1865-?) qui avait fondé en 1899 La Carte postale illustrée, le bulletin de l'International Poste-Carte Club.Auparavant, en 1896, il réalise un petit recueil de dessins sur le monde des prostituées, "Des Femmes en chemises !".Par ailleurs, il collabore à d'autres journaux, plutôt de tendance radicale-socialiste, comme Le Chambard socialiste de Gérault-Richard, La Feuille de Zo d'Axa, Le Petit Bleu, Le Fouet, Le Cri de Paris, ou anarchiste, comme Les Temps nouveaux. Il donne aussi quelques dessins à L'Assiette au beurre, coordonnant le n° 89 du 13 décembre 1902 sur « les filles-mères » ainsi qu'au Rire et à L'Omnibus de Corinthe. Petit manque au coin supérieur gauche et salissures en bordure Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Dessin original au crayon, cachet d'atelier. (Le cachet comportant la date de son décès il s'agit probablement d'un cachet posthume réalisé pour la vente du contenu de son atelier)Dimensions 308 x 242 mm. Venez visiter mon site antharedeschuyter.fr mis en place par livre rare book !Envoi par recommandé R2 ; pour plusieurs dessins ou envoi vers l'étranger merci de me contacter pour devis. Règlement par chèque bancaire sur la France avec expédition de l'objet à l'adresse du titulaire du compte, mandat poste ou virement bancaire. Pas d'espèces dans une enveloppe même UPS, DHL etc...
Élève de Jean-Louis Forain dont il s'éloigne par ses idées, Édouard Couturier commence à se faire connaître du public en publiant des caricatures assez féroces dans Le Sifflet journal dreyfusard fondé par Ibels en mars 1898 au moment où l'affaire Dreyfus prend un nouveau tournant : ses dessins, qu'il signe « Couturier », « E. Couturier » ou plus rarement « Ed. Couturier », mettent en scène les différents rebondissements qui conduisirent à la révision du procès. Depuis son atelier, il fabrique de nombreuses cartes postales illustrées relatives à cette affaire, sans doute en lien avec le critique Émile Straus (1865-?) qui avait fondé en 1899 La Carte postale illustrée, le bulletin de l'International Poste-Carte Club.Auparavant, en 1896, il réalise un petit recueil de dessins sur le monde des prostituées, "Des Femmes en chemises !".Par ailleurs, il collabore à d'autres journaux, plutôt de tendance radicale-socialiste, comme Le Chambard socialiste de Gérault-Richard, La Feuille de Zo d'Axa, Le Petit Bleu, Le Fouet, Le Cri de Paris, ou anarchiste, comme Les Temps nouveaux. Il donne aussi quelques dessins à L'Assiette au beurre, coordonnant le n° 89 du 13 décembre 1902 sur « les filles-mères » ainsi qu'au Rire et à L'Omnibus de Corinthe. Bon état Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Dessin original au crayon, cachet d'atelier. (Le cachet comportant la date de son décès il s'agit probablement d'un cachet posthume réalisé pour la vente du contenu de son atelier)Dimensions 308 x 242 mm. Venez visiter mon site antharedeschuyter.fr mis en place par livre rare book !Envoi par recommandé R2 ; pour plusieurs dessins ou envoi vers l'étranger merci de me contacter pour devis. Règlement par chèque bancaire sur la France avec expédition de l'objet à l'adresse du titulaire du compte, mandat poste ou virement bancaire. Pas d'espèces dans une enveloppe même UPS, DHL etc...
Élève de Jean-Louis Forain dont il s'éloigne par ses idées, Édouard Couturier commence à se faire connaître du public en publiant des caricatures assez féroces dans Le Sifflet journal dreyfusard fondé par Ibels en mars 1898 au moment où l'affaire Dreyfus prend un nouveau tournant : ses dessins, qu'il signe « Couturier », « E. Couturier » ou plus rarement « Ed. Couturier », mettent en scène les différents rebondissements qui conduisirent à la révision du procès. Depuis son atelier, il fabrique de nombreuses cartes postales illustrées relatives à cette affaire, sans doute en lien avec le critique Émile Straus (1865-?) qui avait fondé en 1899 La Carte postale illustrée, le bulletin de l'International Poste-Carte Club.Auparavant, en 1896, il réalise un petit recueil de dessins sur le monde des prostituées, "Des Femmes en chemises !".Par ailleurs, il collabore à d'autres journaux, plutôt de tendance radicale-socialiste, comme Le Chambard socialiste de Gérault-Richard, La Feuille de Zo d'Axa, Le Petit Bleu, Le Fouet, Le Cri de Paris, ou anarchiste, comme Les Temps nouveaux. Il donne aussi quelques dessins à L'Assiette au beurre, coordonnant le n° 89 du 13 décembre 1902 sur « les filles-mères » ainsi qu'au Rire et à L'Omnibus de Corinthe. Salissures dans la bordure du haut et deux petites déchirures n'affectant pas le dessin Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
E. Dentu | Paris 1893 | 11.50 x 17 cm | broché
Nouvelle édition, un des rares ex imprimés sur Hollande dont il n'est fait nulle mention. Ouvrage illustré d'un frontispice dessiné par L.E. Fournier. Garde légèrement et partiellement ombrée, sinon agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Deuxième édition, revue et augmentée, avec une préface de Théophile Gautier Dés le début des grands travaux d’Haussmann, un historien tout juste arrivé commence à s’intéresser au Paris qu’on transforme alors. Edouard Fournier, en effet, venait pas si loin que ça : Orléans et le Loiret. Né en 1819, cet historien commence à publier des feuilletons littéraires en 1842. Démarre alors une grande production, qui l’occupera jusqu’à sa mort en 1880. En 1851, Edouard Fournier entre dans Paris. Très vite, il s’intéresse à son histoire. Il commence la préface de son livre ainsi : « Depuis un an que ce livre a paru, les ruines se sont tous les jours accumulées davantage dans l’ancien Paris, et tous les jours, la ville nouvelle a continué d’en sortir plus à l’aise et plus superbe. » Ainsi, il publie Paris démoli en 1853, puis une histoire de l’éclairage de la ville, les énigmes des rues de Paris, le pont neuf… vol relié 180x120, jolie reliure, leg. frottements, bel état intérieur malgré quelques rousseurs 379pp. Paris, Auguste Aubry, 1855 ref/299
Le Paris disparu d’Edouard Fournier : histoire d’anecdotes mêlant mélancolie et admiration du nouveau Paris.
Paris, Imprimerie Nationale, (1794) in-8, 16 pp., en feuilles. Auréoles sur l'ensemble de la brochure.
Chaque district devait envoyer six jeunes citoyens, sous le nom d'élèves de Mars, de 16 à 17 ans et demi, "pour y recevoir une éducation révolutionnaire et toutes les connaissances et les moeurs d'un soldat républicain". Le choix devait être fait par moitié, parmi les enfants des sans-culottes des campagnes, et l'autre moitié parmi ceux des villes. Les enfants des volontaires blessés y étaient admis de préférence. Cette école était située dans la plaine des Sablons. Elle fut dissoute peu après le 9 thermidor.Tourneux, III, 14388 a. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris impr. de Mme Ve Delaguette s. d. [1829] In-16° (170 x 108 mm), 217 pp. - [1] f., toile chagrinée taupe, dos lisse orné de filets à froids, encadrement à froid sur les plats, tranches mouchetées (reliure de l'époque).
« FAITES QUE VOTRE ESPRIT QUI EMBRÂSAIT LE COEUR DE SAINT AUGUSTIN À LA DÉCOUVERTE DES VOS BIENHEUREUX MARTYRS GERVAIS ET PROTAIS ». Offices pour l'Église de Saint-Gervais-Saint-Protais, située dans le 4e arrondissement de Paris. On y trouve notamment les offices pour la fête des Saints Gervais et Protais (19 juin) et l'office pour l'invention et la translation des reliques de Saint Gervais et Protais (célébrée le dernier des dimanches après la Pentecôte). Il existe une édition à la même date portant le titre « Offices propres à l'église paroissiale de Saint-Gervais, tirés des anciens propres approuvés par Messeigneurs Charles de Vintimille et Christophe de Beaumont, archevêques de Paris ». La collation en est la même. La construction de l'Église Saint-Gervais-Saint-Protais débute en 1494 pour ne se terminer qu'en 1621, lorsque l'architecte Salomon de Brosse en achève la célèbre façade classique. On joint : un fascicule (février 1884) du Propagateur de la dévotion à Saint-Joseph, ephemera de [1] f. plié en deux (155 x 117 mm) contenant deux prières à Saint Joseph. Quatre bibliothèques françaises : BnF (Tolbiac), Port-Royal, BM Lyon, Sainte-Geneviève. Une seule à l'étranger : Harvard (USA)
église catholique. Diocèse (Paris) ; Beaumont DU REPAIRE, Christophe de
Reference : 130878
(1757)
à Paris, chez C. F. Simon, imprimeur de la Reine & de l'Archevêché, rue des Mathurins, M. DCC. LVII. 1757 In-8 24,5 x 19 cm. Broché, bandeau aux armes de Christophe de Beaumont gr. sur bois, 15 pp. Très bon état.
Mandement relatif à l’exécution de Robert-François Damiens (1715-1757) le mars 28 mars 1757, condamné par la justice pour avoir tenté d'assassiner le roi Louis XV, crime suprême : celui de “parricide commis sur la personne du roi Louis XV” et donc de lèse-majesté. Bon état d’occasion
Paris, Musée Galliera, 1946, 112+ 94 pp. 13,5 X 17,8 cm. br. Ouv. ill. 94 pp. de planches n.b. h.t.
Bel ex de ce catalogue richement illustré
S.l., avril 1789 in-8, 31 pp., dérelié.
Tourneux, I, 799. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1929 Paris, Nouvelle Revue Française, 1929, 17 x 22 cm, broché, couverture imprimée, 133 pp., 1 f. n. ch. Édition originale. Un des 109 exemplaires reimposes dans le format IN-QUARTO tellière sur papier vergé Lafuma- navarre au filigramme NRF
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