Calmann-Lévy 1946 in-4. 1946. Plein chagrin à bandes Dos à faux-nerfs et pièce de titre. Photographies de René Jacques / La Cité - Le Pont-Neuf - La Place Dauphine - Le Palais - Le coeur de la Cité - Notre Dame et son cloitre - L'île Saint Louis
Etat correct. Reliure frottée. Intérieur propre
Paris Calmann-Lévy 1948 1 vol. broché in-4, broché, non paginé. Edition originale ilustrée de nombreuses gravures anciennes et de photographies en noir par René Jacques. En belle condition.
PARIS à travers les siècles - Le Grand chatelet - Le quai de la Mégisserie - Saint-Germain-l'auxerrois - Le louvre - Le Carroussel - Les tuileries - Le Jardin des tuileries - La Place de la Concorde
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PARIS, Calmann-Lévy, 1949 - In-4 - couverture rempliée & illustrée - illustrations en texte - Non paginé, environ 80 pages - bon exemplaire - Envoi rapide et soigné
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, Paris, Editions Albin Michel, 1954., Broche, couverture d' editeur illustre en couleur, 13,5x20,5cm, 253pp, illustre n/b.
Suivi d' un chapitre sur le vitrail.
1947 Paris, Ed. Jacques Vautrain, 1947. 2 vol. in 12 : de 207 p. et 219 p. Brochés. ornée de 104 figures. superbe documentation, parfait etat comme neuf
Ray C5*
Paris, Calmann-Lévy, 1948. 23 x 28, sans pagination, 98 illustrations en N/B, broché, couverture rempliée, bon état (dos défraîchi).
photographies de René Jacques.
Calmann-Lévy 1955 In-4 Broché couverture à rabats. Non paginé. Illustrations en noir et blanc in-texte et hors-texte Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Paris, Calmann-Lévy, 1949. 23 x 28, sans pagination, 102 illustrations en N/B, broché, couverture rempliée, bon état (dos défraîchi).
photographies de René Jacques.
Paris, Calmann-Lévy, 1951. 23 x 28, sans pagination, 87 illustrations en N/B, 3 plans, broché couverture rempliée, bon état (dos défraîchi).
photographies de René Jacques.
Calmann-Lévy Broché 1956 In-4 (22,7 x 28,2 cm), broché, non paginé, photographies en noir et blanc ; quelques légères traces au quatrième plat, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Calmann-Lévy Broché 1955 In-4 (22,7 x 28,2 cm), broché, non paginé, photographies en noir et blanc ; quelques légères traces au quatrième plat, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Editions Albert Morancé, s.d. (ca 1925). "23 x 28, 17 pp., 32 planches, sous chemise carton d'édition fermée par un lacet, bon état (couverture sans le médaillon; lacet arrière cassé; rousseurs peu foncées, pricipalement en début et en fin d'ouvrage, texte et planches peu touchés)."
"Ouvrage bien complet de ses 32 planches; chemise carton d'origine."
Paris - Arles Musée du Quai Branly - Actes Sud 2012 in 4 (28,5x22,5) 1 volume reliure cartonnée illustrée de l'éditeur, 271 pages, avec de nombreuses photographies en noir et blanc, et en couleurs. Ouvrage édité à l'occasion de l'exposition présentée au musée du Quai Branly du 18 septembre 2012 au 14 juillet 2013. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Reliure
Hachette, 1945, in-12, 188 pp, broché, couv. illustrée, bon état
La Libération de Paris racontée par Georges Le Fèvre (1892-1968), l’historiographe officiel de l’expédition Citroën Centre-Asie (la « Croisière Jaune ») et l'un des fondateurs du prix littéraire Théophraste Renaudot.
Paris « Lefebre [sic] Libraire R. Hautefeuille n°. 16 » s. d. (vers 1807 - 1809) In-f° (308 x 225 mm) de [6] pp. manuscrites à l'encre brune composées d'un feuillet simple et d'un double liés par une épingle, filigrane à la croix au sein d'un ornement fleuri avec au dessous « BELLANDO », contre-marque « GB »
UN INTÉRESSANT ET RARE CATALOGUE D'UN JEUNE LIBRAIRE DES PREMIÈRES ANNÉES DU XIXe SIÈCLE. Ce catalogue consiste en une liste de 99 numéros. Pour chaque numéro apparaît le nom et/ou le titre de l'ouvrage, le nombre de volumes, son format puis de la même main mais d'une encre plus foncée son prix, s'il est vendu et à quelques reprises d'amusants commentaires désabusés (« on le vendra ce qu'on pourra »). On y trouve bien sûr les inamovibles classiques français mais aussi, curieusement, un bon nombre d'ouvrages en italien. Le droit, abondamment représenté, était vraisemblablement destiné aux étudiants. Sans oublier quelques ouvrages anciens tels ces « 6 volumes de Cicéron dont 1 en francais, l'autre en Italien. Cinq sont des Aldes » au prix de 15 fr., du papier blanc, etc. Jean-Jacques Lefèvre (1779-1858), Libraire-éditeur originaire de Domrémy-la-Pucelle (Vosges) fut apprenti, dès l'âge de 8 ans, sous la direction de son père, lui-même ouvrier typographe chez l'imprimeur parisien Henri Didot. Commis chez le libraire Jean-François-Pierre Déterville en 1803, il est établi à son compte dès janvier 1805 au n° 29 de la rue Hautefeuille puis en 1807 et 1809 au n° 16, et enfin en 1810 au n°13. Il est breveté libraire le 1er octobre 1812 (brevet renouvelé le 30 mars 1820). En activité jusqu'en 1850, il serait mort dans la misère en 1858. Quelques rousseurs en 1ère p., plis centraux.
1854-1870. En deux feuilles jointes formant un plan de 1,21 x 0,90 m, replié.
Beau plan de très grand format de la commune d'Antony en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. En 1870, la commune d'Antony, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine, faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Antony et les communes limitrophes de Sceaux, Bourg-la-Reine, Châtenay (réunie à Malabry en 1920), Fresnes, Massy, Verrières et Le Plessis-Piquet, renommée Le Plessis-Robinson en 1909. Une importante légende accompagne la commune d'Antony : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, fontaines, lavoirs, abreuvoir, cimetière, église, etc) et des établissements publics (station d'Antony, lavoir de Verrières, etc) ; routes nationales ; cours d'eau (Bièvre, ruisseau de Châtenay, etc) ; chemin vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Six teintes ont été utilisées : en rose, les routes nationales ; en bleu, les cours d'eau ; en vert, les chemins vicinaux de grande communication ; en violet, les chemins vicinaux ordinaires ; en bistre pâle, les chemins ruraux ; et en orange, les voies urbaines. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue des Platrières, devenue la rue de Châtenay au début du XXe siècle, ou la rue de la Mairie, renommée rue Auguste-Mounié en 1941. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l’époque.
1854-1870. 1,22 x 0,89 m, replié.
Beau plan de très grand format de la commune de Clamart en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. En 1870, la commune de Clamart, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine, faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Clamart et les communes limitrophes de Meudon, Vélizy, Issy-les-Moulineaux, et Le Plessis-Piquet, renommé Le Plessis-Robinson en 1909. On remarque que Meudon appartenait à cette époque au département de Seine-et-Oise. Cet ancien département fut dissous en 1968 pour constituer les départements de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines. Au sud de la commune d'Issy-les-Moulineaux, on peut voir le fort d'Issy, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui abrite aujourd'hui des logements ainsi que la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Sur la Seine, on peut voir les îles Seguin, Chabanne et de Billancourt, ainsi que le pont de Billancourt, construit en 1862 pour relier les communes d'Issy-les-Moulineaux et de Boulogne. Les îles Chabanne et de Billancourt forment aujourd'hui l'île Saint-Germain. Une importante légende accompagne la commune de Clamart : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, cimetières, lavoir, église, fontaines, etc) et des établissements publics (station du chemin de fer, gendarmerie) ; route nationale de Versailles à Choisy-le-Roi ; routes départementales ; chemin vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Six teintes ont été utilisées : en rose, la route nationale de Versailles ; en jaune, la route départementale n°54 de Chevreuse ; en vert, les chemins vicinaux de grande communication ; en violet, les chemins vicinaux ordinaires ; en bistre pâle, les chemins ruraux ; et en orange, les voies urbaines. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de Chevreuse, devenue l'avenue Jean-Baptiste Clément, l'avenue de Fleury renommée avenue Adolphe-Schneider en 1885, la rue de la Forêt renommée rue du Président-Roosevelt, les rues Nouvelle et de Paris devenues l'avenue Jean-Jaurès, la rue de Saint-Cloud, renommée après la Seconde guerre mondiale rue d'Estienne-d'Orves, la rue de Sèvres renommée rue Paul-Vaillant-Couturier dans les années 1930, ou encore la ruelle des Truies, aujourd'hui disparue. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l'époque, replié. Petite déchirure à une pliure restaurée.
1854-1870. 610 x 900 mm.
Très grand et beau plan de la commune d'Issy-les-Moulineaux en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. En 1870, la commune d'Issy, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine, faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Issy fut officiellement renommée Issy-les-Moulineaux en 1893, lorsque le petit hameau des Moulineaux, qui appartenait à la commune de Meudon, fut rattaché à la commune d'Issy. Ce très grand plan montre les deux rives de la Seine, avec, sur la rive gauche, Issy et Vanves, avec une partie de l'enceinte de Thiers marquant les limites de Paris, et une partie du 15ème arrondissement de Paris, et sur la rive droite, Boulogne-Billancourt jusqu'au cimetière et la Route de la Reine. Sur la Seine, on peut voir les deux îles de Billancourt et Saint-Germain, aujourd'hui île Saint-Germain, et le pont de Billancourt, construit en 1862 pour relier les communes d'Issy-les-Moulineaux et de Boulogne. Au sud d'Issy, on peut voir le fort d'Issy, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui abrite aujourd'hui des logements ainsi que la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Une importante légende accompagne la commune d'Issy : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, fontaines, cimetières etc) et des établissements publics (hospices, usine à gaz, gendarmerie, etc) ; route nationale de Paris à Versailles ; routes stratégiques, destinées en premier lieu à faciliter les opérations et les approvisionnements des armées, notamment en cas d'insurrection, et départementales ; chemins vicinaux de grande communication, ordinaires et ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Sept teintes ont été utilisées : en rose, la route nationale ; en vermillon, la route stratégique (couleur non utilisée) ; en jaune, la route départementale d'Issy à Montrouge ; en vert, les chemins de grande communication ; en violet, les chemins vicinaux ordinaires ; en bistre pâle, les chemins ruraux ; et en orange, les voies urbaines. Les usines sont également indiquées : fabrique de cartouches, briqueterie, ou encore la fabrique de couleurs. Pour le 15ème arrondissement de Paris, l'auteur a indiqué la fabrique d'allumettes chimiques et la fabrique de produits chimiques ; pour Boulogne-Billancourt, la fabrique d'épingles. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des bâtiments qui n'existent plus aujourd'hui, comme le château d'Issy, château du XVIIe siècle détruit en 1871 lors de la Commune de Paris, ainsi que des rues qui ont disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de l'Abreuvoir, aujourd'hui renommée rue Rouget-de-Lisle, ou la rue du Vivier, aujourd'hui renommée rue Guynemer. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 1,21 x 0,89 m, replié.
Beau plan de très grand format de la commune d'Ivry-sur-Seine en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune d'Ivry-sur-Seine, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. La commune prit son nom actuel d'Ivry-sur-Seine en 1897. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Ivry-sur-Seine et les communes limitrophes de Vitry-sur-Seine, Villejuif, Charenton-le-Pont, appelée Conflans les Carrières, Le Kremlin-Bicêtre, ainsi que le quartier de Bercy dans le 12ème arrondissement de Paris. On peut voir également une partie du 13ème arrondissement, sur laquelle figure la partie de la commune d'Ivry annexée à la ville de Paris. En 1860, le nord de la commune d'Ivry fut annexé à Paris pour constituer une partie du 13ème arrondissement. Les limites de Paris sont marquées par l'enceinte de Thiers. Sur la Seine figurent le pont de Bercy, ouvert en 1864, le pont National, construit entre 1852 et 1853 pour relier les gares de Lyon (chemin de fer de Lyon) et d'Austerlitz (chemin de fer d'Orléans), et le pont d'Ivry, ici nommé pont d'Ivry ou de la Bosse de Marne. Au sud d'Ivry, on peut voir le fort d'Ivry, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui appartient aujourd’hui au ministère de la Défense. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Dans la ville d'Ivry sont représentées les fabriques de produits chimiques, de wagons, d'essieux, d'huiles et de bougies. Dans Paris sont représentés les entrepôts de Bercy, le magasin à fourrages, l'usine à gaz de la Compagnie Parisienne, et la manufacture de tabacs. À Charenton-le-Pont, on peut voir la gare aux charbons et aux longs bois, et les magasins généraux des vins. Une importante légende accompagne la commune d'Ivry : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, église, cimetière, etc) et des établissements publics (Hospice des Incurables, fort d'Ivry, gendarmerie, etc) ; route nationale de Paris à Bâle ; routes militaires (du fort de Bicêtre à celui d'Ivry, et du fort d'Ivry à celui de Charenton) ; routes départementales ; chemins vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues publiques et particulières ; signes conventionnels. Les huit teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de l'Est, renommée rue Jean Jacques Rousseau en 1894, la rue des Fauconniers renommée rue Jules Vanzuppe, la rue de la Gorne, renommée rue Bernard Palissy en 1894, la rue Nationale, devenue le boulevard Paul Vaillant-Couturier en 1937, la rue Jean Picourt renommée rue Gaston Cornavin, la rue du Moulin de la Tour devenue la rue Baudin en 1888, la rue des Œillets renommée rue Kléber en 1894, la rue de l'Orme au Chat, renommée rue Maurice Gusnsbourg en 1945, la rue des Plantes renommée rue de Châteaudun en 1894, la place Saint-Frambourg devenue place Parmentier vers 1900, la rue de la Voyette, renommée rue Ledru Rollin en 1894, ou encore la rue Moïse renommée rue Edmé Guilloux en 1945. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 22 septembre 1855, 1855, p. 688, 222.
1854-1870. 619 x 904 mm.
Très grand et beau plan de la commune du Plessis-Robinson en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. Nommée le Plessis-Liberté sous la Révolution, la commune reprend son nom d'origine de Plessis-Piquet en 1801, puis est baptisée Le Plessis-Robinson en 1909, du nom de la guinguette Au Grand Robinson, construite en 1845 par le restaurateur parisien Joseph Gueusquin. Avec ses cabanes dans les arbres comme dans Le Robinson suisse de Johann David Wyss, inspiré du Robinson Crusoé de Daniel Defoe, cette guinguette connut un tel succès que d'autres guinguettes firent leur apparition, et que le quartier finit par prendre le nom de Robinson. En 1870, la commune du Plessis-Robinson faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Issy fut officiellement renommée Issy-les-Moulineaux en 1893, lorsque le petit hameau des Moulineaux, qui appartenait à la commune de Meudon, fut rattaché à la commune d'Issy. Ce très grand plan figure Le Plessis-Robinson et les communes limitrophes de Fontenay-aux-Roses, Sceaux, Châtenay et Malabry (réunies en 1920). Une importante légende accompagne la commune du Plessis : liste des établissements communaux (mairie, écoles, cimetières, etc) ; route nationale de Versailles à Choisy-le-Roi ; cours d'eau (ru de la Fontaine du Moulin) ; route départementale de Choisy à Versailles ; chemins vicinaux ordinaires et ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Six teintes ont été utilisées : en rose, la route impériale de Versailles à Choisy-le-Roi ; en bleu, le ru de la Fontaine du Moulin (couleur non utilisée) ; en jaune, la route départementale de Versailles ; en violet, les chemins vicinaux ordinaires ; en bistre pâle, les chemins ruraux ; et en orange, les voies urbaines qui sont les rues de la Ferme et de l'Église. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de l'Église renommée rue de la Mairie, ou les rues de l'Étang rouge et de Versailles, aujourd'hui disparues. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
1854-1870. 614 x 891 mm.
Très grand et beau plan de la commune de Montrouge en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. En 1870, la commune de Montrouge, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine, faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce très grand plan figure Montrouge et les communes limitrophes de Vanves, Malakoff, Gentilly, Arcueil, Bagneux et Châtillon, ainsi qu'une partie du quartier de Montsouris dans le 14ème arrondissement de Paris. Au sud de Montrouge, on peut voir le fort du même nom, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui abrite aujourd'hui des services du ministère de la Défense, notamment un groupement de gendarmerie. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Une importante légende accompagne la commune de Montrouge : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, cimetière, église etc) et des établissements publics (Collège Saint-Joseph et Asile des Vieillards) ; route nationale de Paris à Toulouse ; routes départementales ; chemin vicinal de grande communication, chemin vicinal ordinaire et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Six teintes ont été utilisées : en rose, la route nationale de Toulouse à Paris ; en jaune, la route départementale de Châtillon à Paris ; en vert, la route de Bagneux, chemin vicinal de grande communication ; en violet, le chemin vicinal ordinaire de Montrouge à Châtillon ; en bistre pâle, le chemin rural de Fontenay à Paris et Montrouge ; et en orange, les voies urbaines. Dans le 14ème arrondissement de Paris, on peut voir les réservoirs de la Vanne Montsouris, le quartier de cavalerie et école de dressage, ou encore la Clinique des Aliénés, actuel hôpital Sainte-Anne. La commune de Malakoff est nommée Village de Malakoff ou de la Nouvelle Californie. C'est ainsi que fut nommée Malakoff à ses débuts, lorsque l'entrepreneur Alexandre Chauvelot acheta les premières parcelles de la future commune en 1845. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de Bagneux, renommée Avenue Henri-Ginoux en 1996, la rue de Courcelles, actuelle rue Sadi-Carnot, la rue Hortense, renommée rue Louis-Lejeune, l'avenue Orange, aujourd'hui disparue, la rue de la Princesse, renommée rue Armand Barbès, ou encore l'avenue des Trembles, renommée avenue Verdier. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 0,90 x 1,19 m, replié.
Beau plan de très grand format de la commune d'Orly en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune d'Orly, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce plan de très grand format, de près d'1,20 m de longueur, figure Orly et les communes limitrophes de Thiais, Choisy-le-Roi, Villeneuve Saint-Georges et Villeneuve-le-Roi. On remarque que ces deux dernières appartenaient à cette époque au département de Seine-et-Oise. Cet ancien département fut dissous en 1968 pour constituer les départements de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines. Une importante légende accompagne la commune d'Orly : liste des établissements communaux (mairie, écoles, abreuvoir, fontaines, église, cimetières, etc) ; route nationale de Paris à Antibes ; cours d'eau du ru d'Orly ; route départementale de Choisy à Orly ; chemin vicinal de grande communication, chemins vicinaux ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Les sept teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu, comme les ruelles Andry ou aux Chiens, et les rues Greneta et des Caves, ou qui ont été renommées, comme la rue Paruseau devenue la rue Louis Bonin, ou encore la place de la Mairie, renommée place François Mitterrand. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 22 septembre 1855, 1855, p. 688, 222.
1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 1,21 x 0,89 m, replié.
Beau plan de très grand format de la commune de Vitry-sur-Seine en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune de Vitry-sur-Seine, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. La commune prit son nom actuel de Vitry-sur-Seine en 1897. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Vitry-sur-Seine et les communes limitrophes d'Ivry-sur-Seine, Alfortville, Choisy-le-Roi, Thiais et Villejuif. Au sud d'Ivry-sur-Seine, on peut voir le fort d'Ivry, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui appartient aujourd’hui au ministère de la Défense. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). La commune d'Alfortville porte ici encore le nom de Maisons-Alfort. Ce n'est qu'en 1885 que sera créée la commune d'Alfortville sur un territoire démembré de la commune de Maisons-Alfort, et incorporée au canton de Charenton-le-Pont. Dans la ville de Vitry, on peut voir les anciens quartiers du Petit Vitry, actuel quartier du 8-Mai-1945, et du faubourg Bacchus, aujourd'hui renommé rue Jules-Lagaisse. Dans Choisy-le-Roi figurent les manufactures de maroquins, de chapeaux, de pierres artificielles, et de porcelaine opaque. Sur la Seine, on peut voir le pont de Choisy, reliant les deux rives de Choisy, détruit pendant la guerre de 1870 puis reconstruit, et le barrage du Port-à-l'Anglais, entre les communes de Vitry et d'Alfortville. Une importante légende accompagne la commune de Vitry : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, corps de garde, crèche, lavoir, fontaines, église, etc) et des établissements publics (station du chemin de fer d'Orléans, pompe de la ville de Paris et gendarmerie) ; route nationale de Paris à Antibes ; routes départementales ; chemins vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Les sept teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des bâtiments qui n'existent plus aujourd'hui, comme le château de Vitry, détruit en 1910, ainsi que des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue d'Arnetal devenue l'avenue Roger Derry, la rue Saint-Aubin devenue l'avenue Maximilien Robespierre, la rue de la Barre devenue l'avenue Youri Gagarine, la rue de la Chapelle aux Granges, renommée rue du 10 Juillet 1940, la voie du Chevaleret devenue la rue Gabriel Péri, la rue des Étroits renommée rue Antoine Marie Colin, la rue Eugène Dubois devenue la rue Charles Infroit, la place du Petit Vitry devenue la place des Martyrs de la Déportation, la rue aux Prêtres, aujourd'hui disparue, ou encore la rue de Seine devenue la rue Jean Jaurès. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Petite déchirure restaurée à une pliure. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 30 juin 1855, 1855, p. 463, 101.
Paris, Lithographie Lemercier 1870 Carte. In-8 23 x 15,5 cm repliée, 94 x 126 cm dépliée, entoilé par Corion, Paris. Bon exemplaire.
Contenu : Colombes, Asnières, Gennevilliers, Courbevoie, Bezons, Argenteuil. Bon état d’occasion