Flammarion France 1996 In-4 carré ( 280 X 240 mm ) de 191 pages, cartonnage sous jaquette illustrée. Illustrations dans et hors-texte. Très bel exemplaire.
Sa vie . Sans lieu . Sans éditeur. 1902. Grand in-8 (25x17). 59 pages. Broché, couverture bleue imprimée.
Sans nom d'auteur, écrit à Grâne, octobre 1902. Edition non mise dans le commerce et tirée à petit nombre sur papier de Hollande. 2 portraits hors-texte en héliogravure. Très bon état.
Marseille typographie et Lithographie Barlatier 1913. In-8 broché 269pp. Orné de 26 planches hors texte regroupant 29 illustrations. Couverture poussiéreuse avec pliures angulaires sur les plats. Intérieur frais, complet du texte et des planches, non coupé.
Le rôle et les transformations de la Chambre de Commerce de Marseille depuis sa création. Avec la mise en relief de l'aide qu'elle a apporté à la défense, au progrès de la navigation, du commerce et de l'industrie.
1913 br. in-8, 270pp., ill., Marseille, Barlatier, 1913,
Phone number : 33 (0)6 77 77 12 33
Paris Ch Taranne 1870. In-12 broché 3 feuillets non chiffrés XVI 199pp. Trace ancienne de papier collant en bordure du 1er plat de la couverture avec coupure sans manque. Intérieur frais et complet.
Marseille Tacussel 1991. Grand in-8 5 feuillets non chiffrés 418pp imprimées sur 2 colonnes 3 feuillets non chiffrés. Cartonnage éditeur de papier glacé bradel illustré en couleurs sur les deux plats. Abondante et belle illustration en noir et en couleurs, certaine d'après Roger Chapelet, peintre de marine.
Marseille, Jean Mossy, 1780. In-8 (13 x 22 cm cartonnage revêtu de papier uni beige, pièce de titre noire au dos. 178 + 1 feuillet. (Relié vers 1880).
Carte dépliante de la Provence minéralogique. L'auteur fut directeur adjoint de l'Observatoire royal de la Marine de Marseille, de l'Académie des sciences de la même ville et de la société d'agriculture d'Aix. Intéressant ouvrage consacré aux engrais, tant animal, végétal ou minéral. Très bon exemplaire de cet ouvrage rare.
Marseille Feissat 1841 plaq. in-8 br. couv. bleue imprimée. 31pp. rousseurs
Redoutable poète précurseur de Déroulède...
Phone number : 33 (0)6 77 77 12 33
Un ouvrage de 127 pages, format 115 x 190 mm, broché, publié en 2015, Nouvelle Cité, bon état (avec un envoi de l'auteur)
Phone number : 04 74 33 45 19
Editions du parc 2004
Très bon état Ouvrage cartonné sous jaquette( état du neuf) Largement illustré de gravures, photos, cartes postale , documents .... Histoire Marine Marseille Biographie Famille Lecat - largeur/hauteur :22x31 cm - poid : 1230 g - nombre de pages : 196 p. - langue : Français
Chez L'Auteur Marseille 1887 In-4 ( 290x230 mm ) demi chagrin noir.Dos absent, mors fendus. Coins et coupes émoussés.408 pages.Marine - Commerce - Industrie 1875 - 1884.Nombreux tableaux.
BERNARD Pons-Joseph (1748-1816). Savant et naturaliste provençal Directeur adjoint de l'Observatoire royal de la Marine de Marseille.
Reference : 22995
(1787)
Chez Didot fils, Jombert jeune, Paris 1787. In-4 relié plein veau, dos à nerfs orné de motifs dorés et d'une pièce de titre rouge, tranches marbrées, 62-331 pages, orné de deux planches dépliantes, manque de cuir sur la partie inférieure du premier plat et du nerf, sinon exemplaire bien solide dans sa reliure d'époque, intérieur bien frais. RARE. Tous nos ouvrages sont collationnés et complets, sauf mention particulière.
Joseph-Pons Bernard est un bon exemple de savant observateur du siècle des Lumières. Disciple de Guettard en Provence, il eut très tôt (1774) lidée des grandes divisions géologiques de cette province. Auteur de multiples mémoires (en agriculture, botanique, hydraulique des rivières), il fit une description minéralogique de la Provence. Bernard se réclamait d'une grande expérience, typiquement provençale, des rivières en crue. Il dit avoir examiné toutes les embouchures de celles-ci en Provence. Il avait eu l'occasion d'étudier en détail le comportement des embouchures du Rhône où il déploya toutes ses qualités d'observateur. Dans cet ouvrage, il fait souvent référence au lit de la Durance et aux rivières de Provence.
Une publication de 130 pages, format 125 x 205 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, publiée en 2022, Lafont Presse, bon état
Vie de Bernard Tapie
Phone number : 04 74 33 45 19
S.N. S.L. 1933 Importante eau-forte originale animée: "LE QUAI DU CANAL", ( 490 X 320 mm à la feuille ) datée et signée au crayon par Valère BERNARD. Gravure en 1er état, justifiée au crayon gris, tirée à 20 exemplaire ( Celle-ci exemplaire N°14 ). Belle gravure, légèrement "ombrée", bien contrastée aux noirs profonds représentant un site aujourd'hui disparu.
1897 Marseille,La Pauriho. l'aieul : La Misère. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image; d'une vigeur de morsure incomparable . - Toutes marges = 27,7 x 22 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. De Facho. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince,signée en toutes lettres au crayon sous l'image; dans le haut titre de la planche. Dans le bas dédicace de 7 lignes à l'encre : mon cher Jean Marie,vite à mon secours je suis sans metal ! : Toutes marges = 28 x 22 cm - non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. DEDICACE : La Misère. 1897. Eau-forte originale inédite, Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image . Long envoi autographe de 9 lignes à l'encre,signé à nouveau à J.M.Chambon - Toutes marges = 44 x 27,7 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. l'aieul : La Misère. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, signée en toutes lettres au crayon sous l'image . Long envoi autographe au crayon de 10 lignes ,signé à nouveau à J.M.Chambon. PS de 2 lignes à gauche - Toutes marges = 44 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La Gitane. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 35x 26,5 cm - non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La mort à la barque. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon fort, signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 22 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La pieuvre . 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon fort , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Long envoi autographe a l'encre de 13 lignes ,signé à nouveau à J.M.Chambon. à gauche,dédicace à l'encre en bas à droite Toutes marges = 43,8 x 33,8 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.La roulotte . 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon fort , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 22 x 34 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho.Le Gitan. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon mince, non signée mais titrée è l'encre sur 2 lignes dans le haut: Toutes marges = 28 x 22 cm - non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
1897 Marseille,La Pauriho. Lou Barrulaire. 1897. Eau-forte inédite,Eau-forte et vernis mou. Très belle épreuve sur japon , signée en toutes lettres au crayon sous l'image; Toutes marges = 27,7 x 22 cm- non repris dans La Pauriho, poèmes et eau-forte. Préface de Frédéric Mistral, avec traduction française 1899
Ces planches exceptionnelles proviennent de la collection de son ami Chambon.- La Pauriho est un ouvrage paru en 1899, né de la volonté de trois ouvriers typographes du journal marseillais « Le Bavard » désireux de rassembler les poèmes que Valère Bernard avait publiés dans cette revue. Les traductions françaises, faites par Valère Bernard lui-même, ont été rajoutées à ce recueil et la préface est signée par Frédéric Mistral. Ce dernier souligne la noirceur générale des poèmes de cet ouvrage, où sont décrits les bas-fonds de Marseille. Le terme « Pauriho / paurilha » désigne d'ailleurs en occitan les pauvres gens.Le recueil est divisé en trois grandes parties (Pauriho, Paurugno, Pauraio) qui correspondent à une tentative de classification de l'humanité en souffrance : de la misère honorable à la déchéance humaine.Le talent de Valère Bernard s'exprime particulièrement dans les gravures, caractéristiques de son art, qui accompagnent les poésies. Leurs thèmes évoquent la misère, la mort et l'errance.En 1896, sa rencontre avec Félicien Rops influence à la fois sa gravure et ses thèmes. Il se lie d'amitié avec Alfons Mucha, qui lui fait découvrir l'affiche lithographique . De retour à Marseille, lors de ses premières expositions, la critique salue son talent tant dans ses eaux-fortes que dans sa peinture. Il livre entre autres une suite gravée intitulée Guerro (1893-1895), variations autour du thème de la mort, d'une grande intensité graphique, inspirée de Francisco de Goya. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Marsiho. Ruat. 1913. In-12 (120 x 186mm) broché, couverture imprimée, 239 pages. Petits défauts à la couverture, rousseurs, sinon assez bon exemplaire, non rogné. Envoi de l'auteur au poète A. Verdier. Edition originale, rare.
Avec un envoi.