Reference : 5072
Grenoble, Académie Delphinale, 1958, 1 br. in-8 de (2)-18-(2) pp.
Le procés de Charles de Créquy contre sa seconde femme, Françoise de Bonne, en 1628.
Phone number : 06 80 15 77 01
Reference : 5080
Grenoble, Académie Delphinale, 1958, 1 br. in-8 de (2)-16-(2) pp., paginées 41 à 56 ;
La vie et l'oeuvre littéraire du chanoine Joseph-Clément Biard.
Phone number : 06 80 15 77 01
Reference : 5108
Grenoble, Académie Delphinale, 1958, 1 br. in-8 de (2)-14-(2) pp. ;
Réponse au discours de M. Le professeur Yves Le Hir, par M. Le doyen Paul Perrochat.
Phone number : 06 80 15 77 01
Reference : 5122
Grenoble, Académie Delphinale, 1958, 1 br., déchirure sur la 4me de couverture, sans manque ; in-8 de (2)-22-(4) pp. ;
Etude linguistique du nom de l'Isère.
Phone number : 06 80 15 77 01
Reference : 7588
Grenoble, Académie Delphinale, 1961, 1 br. in-8 de 34 pp., paginées 107 à 140 ;
Discours de réception de M. Raymond Vallentin du Cheylard. Eloge de son prédécesseur au 52e fauteuil: Maurice Gariel créateur émérité de l'expansion économique et sociale du patrimoine dauphinois. - Etat descriptif des archives du chateau de Suze-la-Rousse.
Phone number : 06 80 15 77 01
Valence, Imprimerie & lithographie Berger & Dupont, 1872. In-8 broché, XXXIV-399 pp.
Dos jauni et lacunaire, couv. insolée, intérieur frais, exemplaire très correct. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Reference : 11294
Valence, Marc Aurel, 1852, 1 1 cahier. in-folio de 4 pages, texte sur 4 colonnes, marque fiscale ;
Société d'assurance mutuelle contre la perte des cocons. - Avis aux éducateurs de vers à soie. Etc...
Phone number : 06 80 15 77 01
Reference : 9721
Valence, Marc Aurel, 1852, 1 1 cahier. in-folio de 4 pages, texte sur 4 colonnes, marque fiscale ;
Marché de la soie.
Phone number : 06 80 15 77 01
Sl., 1807. In-4 rel. demi-bas., 52 pp. Ex-libris Eug. Chaper.
Ouvrage tiré à petit nombre, très rare. Mors sup. fendu, dos frotté et cassé, intérieur frais, ensemble convenable. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Grenoble, , 1602-1614. Arrest de la Cour de Parlement de Dauphiné, portant réglement pour le parachèvement de ce qui reste à faire, touchant la vérification et réduction des debtes des communautez villageoises de Dauphiné et attermoyement du payement d'icelles. S.l.n.d. (1614). 3 pp. Extraict des Registres du Conseil d'Estat. S.l.n.d. (1613). 3 pp. « Ordonne sa dite Majesté qu'il sera procédé par lesdits commissaires à la vérification et jugements des dettes contractées pour acquittement des assignations du parti de la Ligue ».Stil et Règlement dressé par la cour de parlement... pour estre suivy et observé par les commissaires qu'elle a députez à la vériffication des debtes des communautez villageoises et par les parties procédans pardevant lesdicts commissaires. S.l.n.d. (1611). 8 pp. XLIV articles. Arrest donné par le Roy en son Conseil le dernier jour de septembre 1610. S.l.n.d. (c.1610) 8 pp.Extrait des registres du Conseil d'État. Sur les requêtes respectivement présentées au Roi : la première par les habitants des communautés de l'Escarton, d'Ours, Sozanne, Bardonanche et autres communautés circonvoisinnes du Bailliage du Briançonnois (…) S.l.n.d. (c. 1608). 11 pp.Extrait des registres du Conseil d'État sur la Remontrance faite au Roy en son conseil par les créanciers des Communautés du pays de Dauphiné, à ce qu'il plut à Sa Majesté déclarer, expliquer et modifier aucuns articles contenus en l'Instruction cy-devant exposée aux Commissaires députés pour la vérification des dettes dudit pays. S.l.n.d. (c.1607). 4 pp. Notes manuscrites marginales à l'encre du temps.Arrest donné par le Roi en son Conseil d'État, au profit desdites communautés villageoises de ladite province, sur la vérification et paiement de leurs dettes, défenses de contraindre au corps pour lesdites dettes, tant générales que particulières. S.l.n.d. (c.1606). 4 pp. Instructions que le Roy entend être suivies et gardées par les commissaires qui seront députés par Sa Majesté pour la vérification et réduction des dettes des communautés villageoises de Dauphiné. S.l.n.d. (c.1606). 10 pp. Notes marginales à l'encre du temps.Les Estats Généraux assemblés en la ville de Valence en Dauphiné, le trentième novembre 1604. Avec l'arrest de Parlement dudit pays, sur iceux, du deuxième mai 1605. S.l.n.d. (c. 1605). 54 pp.Patentes de Sa Majesté du 5 décembre 1609. 2 pp. manuscrites à l'encre du temps. Calcul des Monnoyes sur le Règlement. S.l.n.d. (c.1602). 1 p.Règlement sur les dettes des Communautés du Dauphiné. S.l.n.d. (c.1602). 8 pp. Notes marginales manuscrites à l'encre du temps.Édit du Roi donné à Rouen touchant la révocation et surséance des arrerages de tailles, taillon et contributions faites depuis l'an 1589 jusqu'en 1594. 4 pp.Arrest du Roi donné à Lyon portant sursoyance des obligations passées par les communautés en payant les intérêts au denier quinze depuis l'an 1588. 2 pp.14 pièces reliées en 1 vol. in-4, vélin souple (reliure de l'époque).
Recueil d'arrêts et extraits des registres touchant la vérification et réduction des dettes des communautés villageoises de Dauphiné au début du XVIIe siècle.« A partir des années 1570, les représentants des villes et des villages (du Dauphiné) commencent à fortement contester les augmentations fiscales. Lors d'assemblées des villages et des régions, ils préparent des cahiers de doléances où ils soutiennent ne rien devoir au roi parce qu'au moment de l'acquisition du Dauphiné par la Couronne de France, en 1349, cette dernière a accepté le «Statut delphinal», un texte confirmant les «libertés» de la province et stipulant, notamment, que des taxes directes et régulières ne devraient jamais être imposées aux roturiers qui y vivent. En même temps, les membres du Tiers réalisent qu'il s'avère impossible d'éliminer totalement un système de taxes implanté depuis le XIVe siècle. Comme élément de compromis, ils proposent en 1579, dans un cahier rédigé par Jean de Bourg, l'adoption du système de la taille réelle pour l'ensemble de la province. Les représentants du Tiers arguent que ce changement de système de tailles aurait au moins l'avantage de stabiliser la base fiscale de la province et d'éliminer les injustices les plus flagrantes causées par les acquisitions de parcelles roturières par des membres du groupe des exemptés. Ils font alors référence aux agissements des nobles, faux nobles et capitaines de guerre qui réclament des exemptions fiscales à la suite de l'achat massif des meilleures parcelles rurales des paysans endettés par les crises économiques liées aux guerres civiles et religieuses. (…) L'augmentation des ponctions fiscales et leur répercussion sur les taillables sont donc responsables de la montée des tensions au sein des institutions dauphinoises qui opposent Tiers État et ordres privilégiés, villages et villes, ruraux et commis du pays et États. Ces tensions dominent tous les débats et, à partir des années 1590, elles paralysent les réunions annuelles des États et empêchent même le vote sur les levées de tailles forçant la Couronne à intervenir régulièrement pour rétablir l'ordre. L'hostilité du Tiers aux des États est telle qu'en 1628, au moment où le roi «suspend» les États et crée des élections financières en Dauphiné, Claude Brosse, syndic des communautés rurales, applaudit au changement et le considère comme une «grande victoire » pour le Tiers État ».Hickey Daniel. Taille, clientèle et absolutisme : le Dauphiné aux XVIe et XVIIe siècles. In: Revue d’histoire moderne et contemporaine, tome 39 N°2, Avril-juin 1992. pp. 263-281.
, , 1789-1825. Manuscrit in-folio de (1)-158 pp. à environ 45 lignes par page à l'encre brune, becquets, traces de cire rouge, vélin, triple filet d'encadrement sur les plats, numéro et additions manuscrites sur le plat supérieur (reliure de l'époque).
Intéressante pièce d'archives manuscrite commencée avec la Révolution - le rédacteur prend en compte l'arrivée du calendrier révolutionnaire en 1792 - poursuivie par les héritiers et arrêtée sous la Restauration, en 1820. Registre comptable de la maison d'Etienne Guillambaud tenu par ses soins qui fait état des dépenses ordinaires d'un bourgeois sous la Révolution et l'Empire, consignées en trois colonnes (noms, articles et montants) : gages des domestiques (Noté ici pour mémoire que Victoire Villard est entrée à mon service le sept juillet mil sept cent quatre-vingt huit a 72 l. de gage par an), travaux d'entretien, obligations (J'ai payé à Forest receveur des Impositions), frais de bouche et de toilette (Perruquier) etc. Propriétaire terrien, il relève le coût des cultures pratiquées sur son pré : (p. 45-47) Etat des semences de Bergerandiere et Vinay en terre dans l'automne 1795 (froment, seigle, orge) ; Production de noix en 1795, etc. Maître Etienne Guillambaud possédait une étude notariale à Vinay dans le Dauphiné à quelques lieues de Grenoble, en compagnie de son frère Alexandre Guillambaud (ce dernier fut maire de la ville) : J'ai partagé avec mon frère le petit mobilier de mon oncle le chirurgien ; j'ai gardé la part qui lui revenait dans la batterie en cuivre, étain, marmite, chandeliers etc. Une rue porte aujourd'hui à Vinay le nom Guillambaud. Précieux témoin des frais domestiques d'une maison bourgeoise en Dauphiné devenu Isère en 1790, enrichi de nombreux becquets et papiers volants, refermé par les héritiers : J'ai arrêté compte avec Lacroix il me reste devoir 56 francs de l'année 1825 tout compte fini pour les intérêts de cent francs aux impôts payés ce 11 décembre 1825 Jean Baptiste Lacroix Guillambaud née Duport.
Reference : 425
1 Broché, format à l'italienne, couverture illustrée d'édition, cordelette. 15 x 20 cm, 24 illustrations photographiques sous serpentes imprimées. S.l., Publications Artistiques de la Compagnie des Chemins de fer P.L.M., s.d. [c. 1920]. Edition originale
Album n°1 de cette collection, que la Bibliothèque Nationale de France date autour de 1920. Prises de vues de Briançon, Grenoble, Annecy et son lac, Evian, Chamonix, du sommet du Mont Blanc, de la mer de glace... Bon etat
, , (1870 ca). Manuscrit in-8 (24 x 16 cm) de (4) ff. 458-(9) pp. à 23 lignes par page, demi-veau fauve, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Mémoires inédits d’un chapelier né en 1773 à St Nazaire-les-Eymes dans le Dauphiné, conscrit en 1794 dans l’Armée d’Italie, garçon chapelier en apprentissage à 27 ans, marié et établi en 1805 à Paris.« Sur la route de Grenoble à Chambéry et sur la rive droite de l’Isère, est situé un hameau appelé les Aimes et dépend de la commune de Saint Nazaire qui est à deux lieues de Grenoble sur cette route, on appelait autrefois ce pays la vallée du Graisivaudant. Dans ce hameau habitait un bon cultivateur nommé Dominique B… qui indépendamment de ses biens en propre faisait encore valoir la ferme de la Chatellière appartenant à Monsieur Debellemont seigneur de l’endroit en 1768, il fit l’acquisition du domaine de Débalme à Lumbin, village situé à une lieue de son habitation et y plaça son fils aîné. (…) ledit domaine [de Lumbin] fut adjugé à mon aïeul pour treize mille francs on verra quelle progression ont fait les prix des terres dans l’espace de 36 ans que mon père a vécu en étant possesseur. (…) François l’aîné des quatre avait pour sa part le domaine de Lumbin (…) Pierre le puîné le domaine des Aimes (…) très longtemps maire de sa commune (7) … François l’aîné mon père ». Le domaine appartient sous l'Empire aux Dupré de Mayen, puis par alliance aux Beaufort de Lamarre, dont le père Auguste Frédéric et le fils Henri seront maires de Saint-Nazaire, respectivement de 1827 À 1830 et de 1866 À 1870. Ainsi les Histoires de Monsieur D.que F.ois B..r..t écrites par lui-même peuvent être attribuées à Dominique François Beaufort, patronyme associé à St Nazaire-les-Eymes ; nous citerons encore dans le texte le nom de Montbonnot (« François B… c’est le petit de la fille de Madame M… de Montbonnot » page 59) seigneurie du hameau principal de Saint-Nazaire-les-Eymes.« Lorsque le détachement et le conducteur arrivèrent à Lumbin plusieurs de nous le virent et comme il avait encore un lieu pour arriver au Touvet, nous lui dîmes que nous le joindrions avant de partir de là. Alors nous allons tous ensemble couché à Montmélian et le sixième jour après nous étions à la grande croix sur le Mont Cenis où était le premier bataillon franc de la République (…) C’était le 23 Prairial an 2 de La République (11 juin 1794 vieux style) que nous arrivâmes sur le Mont Cenis (…) pour attaquer les piémontais. » Réquisitionné dans l’Armée d’Italie à la conquête du Piémont au printemps 1794, il revint partiellement sourd de ses campagnes dans les Alpes. « Je dis adieu à l’amour et à mes travaux champêtres et me rendis à la ville pour chercher un établissement qui put me convenir (…) je fus chez mon chapelier avec lequel j’étais assez ami, je lui fis part de mes intentions et lui demandais des conseils, il me fit voir de suite qu’aucun état ne pouvait me convenir mieux que le sien il m’en démontra toutes les parties et de plus qu’avec cet été lorsque l’on voulait voyager et travailler dans les grandes villes c’était le plus agréable et que ces voyages étaient indispensables pour faire un bon ouvrier à même de bien connaître son état pour le commerce si on voulait s’établir. (…) je lui demandais s’il voulait me prendre en apprentissage chez lui et combien il me faudrait de temps pour me mettre en état de faire mon tour de France, il me dit qu’il me prendrait et qu’il me fallait dix-huit mois pour me rendre ouvrier capable de travailler en France et même à Malines et Bruxelles (…) Me voilà donc une aiguille à la main pour faire avec quelques morceaux de toiles bleues pour faire des coiffes de chapeaux pour les paysans ».Son tour de France l’amène à Paris où d’abord ouvrier, il se marie puis se met à son compte. « J’ai continué d’exercer mon état jusqu’au janvier 1823 où je vendis mon fond et tout ce qui y avait rapport ». Précieux souvenirs inédits destinés à ses enfants d'un chapelier isérois né sous l'Ancien Régime, illustré d'un plan topographique manuscrit de la Vallée du Grésivaudan en Dauphiné en 1829. [Saint-Nazaire-les-Eymes]. Elsa Donadieu, Christine Penon et Emmanuelle Vin, État des lieux patrimonial, commune de Saint-Nazaire-les-Eymes, 2013-2014 [Parc naturel régional de Chartreuse / Service du Patrimoine culturel de l’Isère / Conservation Départementale de Savoie] ; Groupe Patrimoine de Saint-Nazaire-les-Eymes, Flâneries dans Saint-Nazaire-les-Eymes, Les Drogeaux, 2010 ; Groupe Patrimoine de Saint- Nazaire-les-Eymes, La vie locale de l’ancien régime à nos jours.
Reference : 118401
S.l.n.n., 1787 in-8, [6]-159 pp., demi-basane blonde, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre, tranches mouchetées Bon exemplaire. Ex-libris A. de St-Ferriol. (reliure postérieure).
Différentes considérations sur la formation des assemblées provinciales, confrontées à l'hostilité des parlements, sous la forme d'un dialogue. Necker avait proposé au roi en 1778, un "Mémoire au roi sur la création des assemblées provinciales". Sa réforme commença à être appliquée avec la création d’une assemblée à Bourges pour le Berry. En 1779, une autre est créée à Montauban pour la Haute Guyenne et une à Grenoble pour le Dauphiné, qui ne fonctionna pas. Loménie de Brienne reprit en juin 1787, un projet de réforme qui sera appliqué. Il propose de le mettre en place dans les 23 généralités dépourvues d’États provinciaux ou d’assemblées provinciales créées par Necker. Il en fut constitué dans la plupart des pays d'élections : pas dans tous, car l'opposition de certains parlements, Bordeaux, Grenoble, Besançon, fut insurmontable.
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Reference : 86400
Edition d'Amboise, 1990, 430 p., cartonnage éditeur sous étui, étui frotté, livre en bon état, intérieur propre.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
1990 In-8 relié. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Reference : 2477
Grenoble, 1700, 1 placard de 28 x 38 cm, aux armes du Dauphiné, belle lettrine ;
Phone number : 06 80 15 77 01
Reference : 225964
Grenoble, Allier Père et Fils, 1888 in-8, XXV-221 pp., broché. Petits manques de papier sur la couverture. Rousseurs.
Ouvrage tiré à 200 exemplaires.La BnF indique que le "vieux bibliophile dauphinois" est Eugène Chaper. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A Grenoble, chez Andé Giroud, 1750. In-4 broché de 7 pp.
Reference : 23751
Grenoble. 1901. 19 pages. Broché.
4 planches.
Reference : 23851
P. 1903. 4 pages. Broché.
Reference : 23951
P. 1904. 16 pages. Broché.
1 planche.
A Grenoble, chez J. M. Cuchet, 1794. In-4 broché de 4 pp.
A Grenoble, chez J. M. Cuchet, 1794. In 4 broché de 3 pp.
A Grenoble, chez J. M. Cuchet, 1792. In-4 broché de 3 pp.