Strasbourg, Oberlin, 1996; in-8, 221 pp., br.
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Strasbourg, Editions COPRUR, s.d.; in-8, cartonnage de l'éditeur. Neuf - en Manche, de 939 à 1942 - roman.
Neuf - en Manche, de 939 à 1942 - roman.
Buhl - Baden, Verlag Konkordia, 1940; in-8, 134 pp., cartonnage de l'éditeur. Elsassische novelle.
Elsassische novelle.
Buhl - Baden, Verlag Konkordia, 1940; in-8, 134 pp., cartonnage de l'éditeur (plats salis). Elsassische novelle.
Elsassische novelle.
Barr, Le verger éditeur - Terre d'Alsace, 2011; in-8, 285 pp., br. Broché en bon état.
Broché en bon état.
, (le nouveau rhin français ?), 1953; in-12 oblong (16x35), Demi-toile noir dos muet . Reliure du roman complet (coupure du journal reliée) en allemand.
Reliure du roman complet (coupure du journal reliée) en allemand.
Colmar, SOS editions, 1978; in-8, 266 pp., br. Broché très bon état - dédicacé de l'auteur.
Broché très bon état - dédicacé de l'auteur.
Strasbourg, La nuee bleue, 1978; in-4, 266 pp., cartonnage de l'éditeur. Broché en bon état dédicacé de l'auteur.
Broché en bon état dédicacé de l'auteur.
Paris, Paul hartmann , 1931; in-12, 266 pp., br. Broché bon état exemplaire dédicacé de l'auteur.
Broché bon état exemplaire dédicacé de l'auteur.
Paris, Paul hartmann , 1931; in-12, 266 pp., br. Tache de rousseurs.
Tache de rousseurs.
Paris, Paul Hartmann, 1931; in-12, 266 pp., broché (usures, écorné,;).
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Strasbourg BNUS 1982 [4] , 31 ff. 6 tableaux dépliants, index in-4, 21 x 29,4 cm Broché, avec agrafes, première de couverture illustrée en noir Bon exemplaire
catalogue rédigé par Gérard Littler et Marie-Josèphe Sundhauser ; préface Marcel Rudloff, président du Conseil Régional d'Alsace ; avant-propos Mlle L. Grenier, Administrateur de la BNUS Titres de la presse alsacienne en français et en allemand
Arthaud. 1966. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 243 pages. Nombreuses photos en noir et blanc et en couleurs hors texte + une carte dépliablee en fin d'ouvrage. Jaquette en couleurs, abimée.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Coll ' le monde en images'. Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Arthaud. 1966. In-8. Broché. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 243 pages. Nombreuses photos en noir et blanc et couleurs hors texte + une carte dépliable en fin d'ouvrage.. . . . Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
coll. 'le monde en images'. Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Paris, Les Belles Lettres, 1956 fort gr. in-8, 1084 pp., index et biblio, 27 cartes, croquis, diagrammes, fac-similés, broché.
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Presses Universitaires de Strasbourg,1996.In-4 cartonné illustré de 528 pages avec Table des Matières.Reproductions de photos et de documents.Etat neuf sauf dédicace signée du possesseur.
Presses universitaires de Strasbourg.1996.In-8,cartonnage éditeur ill.527 p.Ills.en noir.Dédicace de l'Auteur.TBE.
Strasbourg, Paris Editions F.-X. Le Roux & Cie 1948 54 p. 2 figures en noir dans le texte, mémoires consultés pages 52-54 in-8, 16 x 24,2 cm Broché, couverture beige clair, titre en noir sur la première de couverture Exemplaire en bon état Envoi de l'auteur "A mon maître Bossuat en témoignage d'affectueux respect, Paris 9-9-48", signé G. Livet"
par Georges Livet, Agrégé de l'Université, Secrétaire général du Comité régional du Tricentenaire Georges Livet (1916-2002) était un historien de l'Alsace qui fut doyen de la Faculté des Lettres de Strasbourg. Exemplaire du Professeur Bossuat
Strasbourg, Paris Editions F.-X. Le Roux 1950 pages 441-464 in-8, 16 x 24,2 cm Broché avec deux agrafes, couverture beige, titre en noir sur la première de couverture Exemplaire en bon état Envoi de l'auteur "A M. le Professeur Bossuat, avec ses affectueux respects", signé "G. Livet" Publications de la Société savante d'Alsace et des régions de l'Est
Georges Livet ; l'activité de la société en 1948-1949, par Philippe Dollinger Georges Livet (1916-2002), fut Professeur d'histoire moderne à l'Université de Strasbourg. Cette plaquette fut offerte à André Bossuat (Paris, 1892-1967), historien et géographe, qui fut directeur de recherches au CNRS
Toulouse, Privat, 1983, gr. in-8° carré, 331 pp, 8 pl. de gravures et photos hors texte, 13 cartes et illustrations dans le texte, biblio, index, reliure pleine toile éditeur, sans la jaquette, bon état (Coll. Pays et villes de France)
Par Georges Livet, Georges Bischoff, Charles Bonnet, Gabriel Braeuner, Jean-Marie Schmitt, Lucien Sittler, Christian Wilsdorf. — "Le nom de Colmar viendrait du mot latin columbarium (colombier), mais à l'époque romaine le centre de peuplement, le camp fortifié d'Argentovaria, se situe sur l'emplacement du village actuel de Horbourg, un peu plus à l'Est. La première mention assurée de Colmar se trouve dans un diplôme de 823, accordé par Louis le Pieux. Une autre référence qualifie en 865 le lieu de villa : c'est le centre d'un grand domaine rural, qui est bientôt morcelé au profit d'institutions ecclésiastiques. La véritable entrée dans l'histoire est l'octroi du statut de ville en 1212 par Frédéric II, alors roi de Germanie. Un conseil gère la bourgade, qui prospère, et le prévôt Jean Roesselmann, un tanneur, mène la résistance contre les ambitions temporelles de l'évêque de Strasbourg. Une charte de franchises est accordée en 1278 par Rodolphe de Habsbourg, à qui les bourgeois ont envoyé douze tonneaux de leur meilleur vin ! Dans les troubles du XIVe siècle, l'union avec les autres villes impériales semble indispensable, des contacts sont pris et en 1354 Charles IV constitue officiellement la Ligue des dix villes, la fameuse Décapole. Au XVIe siècle, Colmar est ainsi décrite par Sébastien Munster comme «une plaisante cité... située en une plaine fertile... ayant de toutz costez grand quantité de vin et de bled, et la terre est principalement bonne à pourter frouments, oignons et aultres jardinages ». Le couvent des Dominicaines (Unterlinden) est réputé pour la qualité de sa vie spirituelle. Un grand artiste, Martin Schongauer, a illustré avec génie la dévotion mariale, tandis que Matthias Grunewald a peint son admirable retable pour le couvent proche d'Issenheim. Cependant en 1575 la ville passe au protestantisme, par la volonté de l'oligarchie municipale. Mais le régime confessionnel est bientôt remis en question par les péripéties de la Guerre de Trente Ans. Celle-ci a aussi pour effet d'introduire le roi de France dans les pays du Rhin. Il installe pour la première fois des troupes à Colmar en 1635 et il obtient au traité de Westphalie la cession de la Décapole et de toutes les possessions alsaciennes des Habsbourg. Le bourgmestre, présent à Munster, toujours avec des barriques, a lutté pour que la ville « ne soit pas réduite d'un libre État d'Empire en servitude et esclavage éternels ». Le maintien formel de l'immédiateté d'Empire est illusoire, il craque vite sous l'action des agents de Louis XIV. Et à partir de 1679, Colmar constitue le centre de l'influence française, avec une garnison que double la place de Brisach, avec une subdélégation qui administre l'Alsace moyenne, avec enfin en 1698 le Conseil souverain qui exerce la souveraineté judiciaire. La société se transforme : la culture française et la religion catholique prennent l'avantage, plus nettement qu'à Strasbourg. Comme Mulhouse reste encore une cité indépendante, c'est tout naturellement à Colmar que la Constituante établit le chef-lieu du haut Rhin quand elle partage l'Alsace en deux départements. Bientôt son plus illustre fils, le général Rapp, devient l'aide de camp et l'interprète de l'Empereur. Depuis un siècle, l'histoire de la ville a suivi l'histoire de la province et participé à ses épreuves. Elle s'est montrée une « capitale de la protestation » contre l'annexion allemande, par une série de scrutins comme par les fameuses gravures du caricaturiste Hansi, tandis que le sculpteur Bartholdi connaissait la gloire à Paris et à New- York. Mais, en réaction contre la centralisation parisienne, l'autonomisme y a aussi trouvé des partisans, autour de l'abbé Haegy et du député Rossé. L'industrie textile s'est développée au xtx* siècle et sensiblement diversifiée ensuite. Après 1945, la ville a beaucoup changé. De nouvelles usines ont été installées, des ensembles de logements ont été construits, sous l'impulsion d'un maire remarquable, Joseph Rey, populaire pour sa simplicité, son patriotisme et son efficacité, réélu sans interruption pendant trente ans de 1947 à 1977. Sept auteurs qualifiés se sont partagés cette fresque millénaire. Leur écrit vivant et précis se fonde sur une solide connaissance des sources et sur une riche bibliographie. Des gravures et des photographies évoquent les aspects successifs de la ville, des graphiques saisissent certaines données de sa croissance économique. Il est également présenté quelques plans." (Pierre Barral, Revue belge de philologie et d'histoire, 1987)
Toulouse, Privat, 1983, gr. in-8° carré, 331 pp, 8 pl. de gravures et photos hors texte, 13 cartes et illustrations dans le texte, biblio, index, reliure pleine toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Pays et villes de France). Edition originale, numérotée sur vélin spécial Pétrarque des Papeteries de la Rochette Cenpa
Par Georges Livet, Georges Bischoff, Charles Bonnet, Gabriel Braeuner, Jean-Marie Schmitt, Lucien Sittler, Christian Wilsdorf. — "Le nom de Colmar viendrait du mot latin columbarium (colombier), mais à l'époque romaine le centre de peuplement, le camp fortifié d'Argentovaria, se situe sur l'emplacement du village actuel de Horbourg, un peu plus à l'Est. La première mention assurée de Colmar se trouve dans un diplôme de 823, accordé par Louis le Pieux. Une autre référence qualifie en 865 le lieu de villa : c'est le centre d'un grand domaine rural, qui est bientôt morcelé au profit d'institutions ecclésiastiques. La véritable entrée dans l'histoire est l'octroi du statut de ville en 1212 par Frédéric II, alors roi de Germanie. Un conseil gère la bourgade, qui prospère, et le prévôt Jean Roesselmann, un tanneur, mène la résistance contre les ambitions temporelles de l'évêque de Strasbourg. Une charte de franchises est accordée en 1278 par Rodolphe de Habsbourg, à qui les bourgeois ont envoyé douze tonneaux de leur meilleur vin ! Dans les troubles du XIVe siècle, l'union avec les autres villes impériales semble indispensable, des contacts sont pris et en 1354 Charles IV constitue officiellement la Ligue des dix villes, la fameuse Décapole. Au XVIe siècle, Colmar est ainsi décrite par Sébastien Munster comme «une plaisante cité... située en une plaine fertile... ayant de toutz costez grand quantité de vin et de bled, et la terre est principalement bonne à pourter frouments, oignons et aultres jardinages ». Le couvent des Dominicaines (Unterlinden) est réputé pour la qualité de sa vie spirituelle. Un grand artiste, Martin Schongauer, a illustré avec génie la dévotion mariale, tandis que Matthias Grunewald a peint son admirable retable pour le couvent proche d'Issenheim. Cependant en 1575 la ville passe au protestantisme, par la volonté de l'oligarchie municipale. Mais le régime confessionnel est bientôt remis en question par les péripéties de la Guerre de Trente Ans. Celle-ci a aussi pour effet d'introduire le roi de France dans les pays du Rhin. Il installe pour la première fois des troupes à Colmar en 1635 et il obtient au traité de Westphalie la cession de la Décapole et de toutes les possessions alsaciennes des Habsbourg. Le bourgmestre, présent à Munster, toujours avec des barriques, a lutté pour que la ville « ne soit pas réduite d'un libre État d'Empire en servitude et esclavage éternels ». Le maintien formel de l'immédiateté d'Empire est illusoire, il craque vite sous l'action des agents de Louis XIV. Et à partir de 1679, Colmar constitue le centre de l'influence française, avec une garnison que double la place de Brisach, avec une subdélégation qui administre l'Alsace moyenne, avec enfin en 1698 le Conseil souverain qui exerce la souveraineté judiciaire. La société se transforme : la culture française et la religion catholique prennent l'avantage, plus nettement qu'à Strasbourg. Comme Mulhouse reste encore une cité indépendante, c'est tout naturellement à Colmar que la Constituante établit le chef-lieu du haut Rhin quand elle partage l'Alsace en deux départements. Bientôt son plus illustre fils, le général Rapp, devient l'aide de camp et l'interprète de l'Empereur. Depuis un siècle, l'histoire de la ville a suivi l'histoire de la province et participé à ses épreuves. Elle s'est montrée une « capitale de la protestation » contre l'annexion allemande, par une série de scrutins comme par les fameuses gravures du caricaturiste Hansi, tandis que le sculpteur Bartholdi connaissait la gloire à Paris et à New- York. Mais, en réaction contre la centralisation parisienne, l'autonomisme y a aussi trouvé des partisans, autour de l'abbé Haegy et du député Rossé. L'industrie textile s'est développée au xtx* siècle et sensiblement diversifiée ensuite. Après 1945, la ville a beaucoup changé. De nouvelles usines ont été installées, des ensembles de logements ont été construits, sous l'impulsion d'un maire remarquable, Joseph Rey, populaire pour sa simplicité, son patriotisme et son efficacité, réélu sans interruption pendant trente ans de 1947 à 1977. Sept auteurs qualifiés se sont partagés cette fresque millénaire. Leur écrit vivant et précis se fonde sur une solide connaissance des sources et sur une riche bibliographie. Des gravures et des photographies évoquent les aspects successifs de la ville, des graphiques saisissent certaines données de sa croissance économique. Il est également présenté quelques plans." (Pierre Barral, Revue belge de philologie et d'histoire, 1987)
Dernières Nouvelles de Strasbourg, 1981, 713pp, in- 8 relié plein skivertex blanc, lettrage gris, illustré N.& couleurs, très légères traces d'usage sur les plats, très bon état
PRIVAT. 1987. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 528 pages - jaquette en bon état - quelques illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
EXEMPLAIRE N°4490/5500. Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace