Sans date. Charles Dickens : Ausgewählte Werke - Richard Zoozmann Max Hesses Verlag
Sans date. Charles Dickens - David Copperfield Nº220 / Les Classiques Pour Tous
1951 1951. bel ouvrage cartonné avec jaquette (éditions Delagrave 1951) édition rare avec illustrations noir et blanc par A. Pecoud adapté de l'anglais par M Chinon en TRES BON ETAT pour son âge complet solide sans annotations; intérieur un peu jaunissant mais propre et sans déchirures
1943 1943. 1943. Livre en assez bon état d'usage. Pages jaunies. Couverture défraichie. ATTENTION jaquette absente
1943 1943. Charles Dickens - Le Marquis de Saint-Évremont / Hachette 1943
Sand Sans date. Charles Dickens - Martin Chuzzlewit : Zweiter Sand / Verlag Albert Langen
Manuscrit autographe complet de la première version de La Salive de l’éléphant, 67 p. in-4, sur un bloc de papier à lettre de la Librairie-papeterie du Port à Saint-Tropez, titré et daté sur le rabat supérieur « décembre 1968 ». Impressionnant manuscrit de premier jet de ce roman érotique composé sous hallucinogène et divisé en sept parties qui correspondent à des prises de drogue successives sur une période d’un mois: le premier feuillet porte la mention « commencé aux environs du 20 décembre 1968 » puis la mention rayée « abandonné le 24 décembre 1968 ». Charles Duits reprend la plume le (mention en fin de deuxième partie), puis le 15 janvier (partie 5), le 21 janvier (partie 6) et enfin le 24 janvier 1969. L’auteur fait partie de cette génération d’écrivains, avec Aldous Huxley et Henri Michaux, qui ont expérimenté l’usage des psychotropes dans leur création, principalement le peyotl, un cactus connu des Amérindiens pour ses propriétés psychédéliques. Marqué par l’influence d’André Breton, Charles Duits a recours à cet « illimiteur de conscience » pour pratiquer l’écriture automatique. Dans sa forme manuscrite, le texte se présente ainsi dans une graphie minuscule, jaillie en de longs paragraphes qui saturent les pages, presque sans ratures ni corrections. Le fond lui-même relève d’un univers fantasmatique pour « masturbateurs» qui tourne en boucle comme une vis sans fin : le narrateur est un écrivain souteneur qui partage sa vie avec deux femmes, Rose et Durande. « C’est un charmant cul celui de Rose. Un cul avec lequel on gagne sa vie et celle de son homme. Admiré des riches et des moins riches, de ceux qui peuvent cou vrir Rose de diamants et de ceux qui se masturbent en pensant à elle […] Durande est un drôle de prénom, mais Durande est une drôle de fille. Moins intelligente que Rose, assurément […] c’est avec Durande que je passe le temps lorsque Rose travaille, avec elle aussi que je me venge de Rose, qui fait parfois l’amour avec des personnes que l’on ne peut vraiment pas considé rer comme des clients. Rose trop intelligente pour être jalouse de Durande, Durande trop bête pour être jalouse de Rose.» À ces deux figures s’ajoute celle de Madame Tchang, « une négresse ? plutôt une chinoise », une experte à la salive d’éléphant, préfiguration de « la seule femme vraiment noire » (personnage du roman éponyme paru aux Éditions Éoliennes en 2016), l’entité divine à laquelle se consacrera l’écrivain devenu peintre à la fin de sa vie. Entre scènes de baise et d’extase, réflexions humoristiques ou digressions métaphysiques, le récit s’étend jusqu’à une partie à trois hallucinée. « L’univers et ses dieux ne viennent de nulle part et ne vont nulle part. Mais ils se meuvent. Et c’est ce mouvement que les hommes appellent le désir. Je bande. Mais je ne bande ni pour Rose ni pour Tchang. Je bande, tout simplement. Je bande comme l’herbe pousse, comme la terre pivote sur son axe, comme les anges glorifient. Tant que je le sais, la souffrance n’est pas. Sur ma verge viennent automatiquement s’empaler tous les vagins du cosmos. La souffrance naît lorsque je prends mon érection pour un signe. » L’ouvrage paraît pour la première fois en 1970 sous le pseudonyme de Lucifer Ilje (pour Il-Je, double de l’écrivain) chez Éric Losfeld. La comparaison du manuscrit avec le texte publié montre que, si nombre de passages sont restés intacts, l’auteur a procédé à des remaniements pour gagner en lisibilité : découpe en paragraphes et en chapitres, réécriture qui passe souvent par une mise en dialogues. Manuscrit unique.
3 feuillets, s.d. [c. 1968], roman-photo sans paroles, une photographie en noir et blanc par feuille. Cette facétie énigmatique a été retrouvée parmi les manuscrits de Charles Duits.
L'editeur 1995 1995. Assez bon état. Livre dédicacé par l'auteur
Arthus Bertrand Paris, Arthus Bertrand sans date 1856. Grand in-Folio relié demi-basane chocolat. Dos lisse à faux nerfs, titre doré. Manque en coiffe et un mors fendu partiellement. La reliure est frottée. 1 feuillet blanc, titre, 1 feuillet de table des planches contenues dans cet album. Bien complet des 55 cartes, plans et planches ; certaines à doubles pages et montées sur onglets. Album lithographié par MM Bayot, E Ciceri, J Jacottet, Sabatier et Vogt, d'après les épreuves Dagueriennes et les dessins de MM Caraguel et Bridet, enseignes de vaisseau. Une mouillure pâle et marginale sur les angles inférieurs à partir de la planche 30. Les lithographies sont en deux tons.Le musée du quai Branly conserve parmi ses collections anciennes de photographies un ensemble de daguerréotypes particulièrement remarquable, dont certains ont été montrés à loccasion de lexposition Dun regard lAutre. Lors de l'exposition Camera obscura, ont été présenté plus particulièrement les daguerréotypes réalisés en Afrique orientale par Charles Guillain, capitaine de frégate, entre 1846 et 1848. (cf. catalogue de l'exposition "Camera obscura", premiers portraits au daguerréotype (1841-1851), qui s'est déroulée au musée du Quai Branly du 30/09/2007 au 13/01/2008).
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Kathmandu, Starstreams Special edition, Bardo Matrix, 1974. No. 3 de la série "Starstreams Poetry Series" du Bardo Matrix. 21 x 13 cm, non paginé. Plaquette agrafée, exemplaire en bel état. Un des 500 exemplaires non numéroté sur papier népalais. Photographie de l'auteur par Ira Cohen, contrecollée suer la première de couverture.