1856-1864. En 32 sections montées sur toile et repliées, formant une carte de 1,34 x 1,80 m ; étiquette au dos portant le titre ; sous chemise et étui de toile verte de l'époque (340 x 240 mm), avec titre "Chemins de fer de l'Ouest" en lettres dorées au dos.
Superbe carte monumentale figurant le réseau ferroviaire de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest, couvrant le quart nord-ouest de la France. Elle a été dressée par Onésime Théodore Lefèvre, et lithographiée en couleurs par Eugène Kæppelin à Paris. Elle a été publiée en 1856, puis mise à jour en janvier 1864. Elle s'étend du nord au sud entre Calais et Nantes, et à l'est jusqu'à Paris, avec les côtes de l'Angleterre. Un système de couleurs permet de distinguer les chemins de fer de la compagnie : en lignes continues de couleur gris foncé, les chemins de fer en exploitation ; en lignes continues de couleur rouge, les chemins de fer en construction ; en lignes ponctuées de couleur rouge, les chemins de fer communs avec la Compagnie du Nord. Les lignes étrangères au Réseau de l'Ouest sont également représentées. Elles concernent les lignes en exploitation, en construction ou en projet vers Orléans, en bleu, les lignes du Nord en mauve, les lignes de Paris, Lyon et Méditerranée en brun, les lignes de l'Est en jaune, et les lignes de la Petite Ceinture de Paris en orangé. Les mines, forges et usines, ainsi que les différents types de terrains, sont également reportés par des symboles de couleur : mines de fer, hauts-fourneaux, forges, mines d'étain, de plomb, usines à zinc, mines de houille, lignite, marbre, ardoise, granit, ou encore grès. Les zones frontières en ce qui concerne les chemins vicinaux de toute classe et les chemins forestiers, sont aquarellées de deux couleurs : en vert clair, les territoires réservés, en vert foncé les territoires non soumis à la surveillance de l'autorité militaire. Les forts et villes fortifiées sont aquarellés en rouge. La Compagnie des chemins de fer de l'Ouest a été créée en 1855, à la suite de la fusion de plusieurs compagnies ferroviaires desservant la Bretagne et la Normandie. Elle reliait également Paris à Londres, via Rouen, Dieppe et New Haven, par la gare Saint-Lazare, avec un trajet de jour en 8h30. En 1908, elle fut rachetée par l'Administration des chemins de fer de l’État, ou Réseau de l’État, créée en 1878. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine. Il fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Très bel et rare exemplaire aquarellé à l'époque, avec la Manche finement aquarellée en bleu. Petites fentes aux mors de l'étui.
1854-1870. 1,22 x 0,89 m, replié.
Beau plan de très grand format de la commune de Clamart en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. En 1870, la commune de Clamart, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine, faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Clamart et les communes limitrophes de Meudon, Vélizy, Issy-les-Moulineaux, et Le Plessis-Piquet, renommé Le Plessis-Robinson en 1909. On remarque que Meudon appartenait à cette époque au département de Seine-et-Oise. Cet ancien département fut dissous en 1968 pour constituer les départements de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines. Au sud de la commune d'Issy-les-Moulineaux, on peut voir le fort d'Issy, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui abrite aujourd'hui des logements ainsi que la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Sur la Seine, on peut voir les îles Seguin, Chabanne et de Billancourt, ainsi que le pont de Billancourt, construit en 1862 pour relier les communes d'Issy-les-Moulineaux et de Boulogne. Les îles Chabanne et de Billancourt forment aujourd'hui l'île Saint-Germain. Une importante légende accompagne la commune de Clamart : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, cimetières, lavoir, église, fontaines, etc) et des établissements publics (station du chemin de fer, gendarmerie) ; route nationale de Versailles à Choisy-le-Roi ; routes départementales ; chemin vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Six teintes ont été utilisées : en rose, la route nationale de Versailles ; en jaune, la route départementale n°54 de Chevreuse ; en vert, les chemins vicinaux de grande communication ; en violet, les chemins vicinaux ordinaires ; en bistre pâle, les chemins ruraux ; et en orange, les voies urbaines. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de Chevreuse, devenue l'avenue Jean-Baptiste Clément, l'avenue de Fleury renommée avenue Adolphe-Schneider en 1885, la rue de la Forêt renommée rue du Président-Roosevelt, les rues Nouvelle et de Paris devenues l'avenue Jean-Jaurès, la rue de Saint-Cloud, renommée après la Seconde guerre mondiale rue d'Estienne-d'Orves, la rue de Sèvres renommée rue Paul-Vaillant-Couturier dans les années 1930, ou encore la ruelle des Truies, aujourd'hui disparue. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l'époque, replié. Petite déchirure à une pliure restaurée.
1854-1870. 610 x 900 mm.
Très grand et beau plan de la commune d'Issy-les-Moulineaux en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. En 1870, la commune d'Issy, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine, faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Issy fut officiellement renommée Issy-les-Moulineaux en 1893, lorsque le petit hameau des Moulineaux, qui appartenait à la commune de Meudon, fut rattaché à la commune d'Issy. Ce très grand plan montre les deux rives de la Seine, avec, sur la rive gauche, Issy et Vanves, avec une partie de l'enceinte de Thiers marquant les limites de Paris, et une partie du 15ème arrondissement de Paris, et sur la rive droite, Boulogne-Billancourt jusqu'au cimetière et la Route de la Reine. Sur la Seine, on peut voir les deux îles de Billancourt et Saint-Germain, aujourd'hui île Saint-Germain, et le pont de Billancourt, construit en 1862 pour relier les communes d'Issy-les-Moulineaux et de Boulogne. Au sud d'Issy, on peut voir le fort d'Issy, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui abrite aujourd'hui des logements ainsi que la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Une importante légende accompagne la commune d'Issy : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, fontaines, cimetières etc) et des établissements publics (hospices, usine à gaz, gendarmerie, etc) ; route nationale de Paris à Versailles ; routes stratégiques, destinées en premier lieu à faciliter les opérations et les approvisionnements des armées, notamment en cas d'insurrection, et départementales ; chemins vicinaux de grande communication, ordinaires et ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Sept teintes ont été utilisées : en rose, la route nationale ; en vermillon, la route stratégique (couleur non utilisée) ; en jaune, la route départementale d'Issy à Montrouge ; en vert, les chemins de grande communication ; en violet, les chemins vicinaux ordinaires ; en bistre pâle, les chemins ruraux ; et en orange, les voies urbaines. Les usines sont également indiquées : fabrique de cartouches, briqueterie, ou encore la fabrique de couleurs. Pour le 15ème arrondissement de Paris, l'auteur a indiqué la fabrique d'allumettes chimiques et la fabrique de produits chimiques ; pour Boulogne-Billancourt, la fabrique d'épingles. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des bâtiments qui n'existent plus aujourd'hui, comme le château d'Issy, château du XVIIe siècle détruit en 1871 lors de la Commune de Paris, ainsi que des rues qui ont disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de l'Abreuvoir, aujourd'hui renommée rue Rouget-de-Lisle, ou la rue du Vivier, aujourd'hui renommée rue Guynemer. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 1,21 x 0,89 m, replié.
Beau plan de très grand format de la commune d'Ivry-sur-Seine en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune d'Ivry-sur-Seine, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. La commune prit son nom actuel d'Ivry-sur-Seine en 1897. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Ivry-sur-Seine et les communes limitrophes de Vitry-sur-Seine, Villejuif, Charenton-le-Pont, appelée Conflans les Carrières, Le Kremlin-Bicêtre, ainsi que le quartier de Bercy dans le 12ème arrondissement de Paris. On peut voir également une partie du 13ème arrondissement, sur laquelle figure la partie de la commune d'Ivry annexée à la ville de Paris. En 1860, le nord de la commune d'Ivry fut annexé à Paris pour constituer une partie du 13ème arrondissement. Les limites de Paris sont marquées par l'enceinte de Thiers. Sur la Seine figurent le pont de Bercy, ouvert en 1864, le pont National, construit entre 1852 et 1853 pour relier les gares de Lyon (chemin de fer de Lyon) et d'Austerlitz (chemin de fer d'Orléans), et le pont d'Ivry, ici nommé pont d'Ivry ou de la Bosse de Marne. Au sud d'Ivry, on peut voir le fort d'Ivry, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui appartient aujourd’hui au ministère de la Défense. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Dans la ville d'Ivry sont représentées les fabriques de produits chimiques, de wagons, d'essieux, d'huiles et de bougies. Dans Paris sont représentés les entrepôts de Bercy, le magasin à fourrages, l'usine à gaz de la Compagnie Parisienne, et la manufacture de tabacs. À Charenton-le-Pont, on peut voir la gare aux charbons et aux longs bois, et les magasins généraux des vins. Une importante légende accompagne la commune d'Ivry : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, église, cimetière, etc) et des établissements publics (Hospice des Incurables, fort d'Ivry, gendarmerie, etc) ; route nationale de Paris à Bâle ; routes militaires (du fort de Bicêtre à celui d'Ivry, et du fort d'Ivry à celui de Charenton) ; routes départementales ; chemins vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues publiques et particulières ; signes conventionnels. Les huit teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de l'Est, renommée rue Jean Jacques Rousseau en 1894, la rue des Fauconniers renommée rue Jules Vanzuppe, la rue de la Gorne, renommée rue Bernard Palissy en 1894, la rue Nationale, devenue le boulevard Paul Vaillant-Couturier en 1937, la rue Jean Picourt renommée rue Gaston Cornavin, la rue du Moulin de la Tour devenue la rue Baudin en 1888, la rue des Œillets renommée rue Kléber en 1894, la rue de l'Orme au Chat, renommée rue Maurice Gusnsbourg en 1945, la rue des Plantes renommée rue de Châteaudun en 1894, la place Saint-Frambourg devenue place Parmentier vers 1900, la rue de la Voyette, renommée rue Ledru Rollin en 1894, ou encore la rue Moïse renommée rue Edmé Guilloux en 1945. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 22 septembre 1855, 1855, p. 688, 222.
1854-1870. 619 x 904 mm.
Très grand et beau plan de la commune du Plessis-Robinson en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. Nommée le Plessis-Liberté sous la Révolution, la commune reprend son nom d'origine de Plessis-Piquet en 1801, puis est baptisée Le Plessis-Robinson en 1909, du nom de la guinguette Au Grand Robinson, construite en 1845 par le restaurateur parisien Joseph Gueusquin. Avec ses cabanes dans les arbres comme dans Le Robinson suisse de Johann David Wyss, inspiré du Robinson Crusoé de Daniel Defoe, cette guinguette connut un tel succès que d'autres guinguettes firent leur apparition, et que le quartier finit par prendre le nom de Robinson. En 1870, la commune du Plessis-Robinson faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Issy fut officiellement renommée Issy-les-Moulineaux en 1893, lorsque le petit hameau des Moulineaux, qui appartenait à la commune de Meudon, fut rattaché à la commune d'Issy. Ce très grand plan figure Le Plessis-Robinson et les communes limitrophes de Fontenay-aux-Roses, Sceaux, Châtenay et Malabry (réunies en 1920). Une importante légende accompagne la commune du Plessis : liste des établissements communaux (mairie, écoles, cimetières, etc) ; route nationale de Versailles à Choisy-le-Roi ; cours d'eau (ru de la Fontaine du Moulin) ; route départementale de Choisy à Versailles ; chemins vicinaux ordinaires et ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Six teintes ont été utilisées : en rose, la route impériale de Versailles à Choisy-le-Roi ; en bleu, le ru de la Fontaine du Moulin (couleur non utilisée) ; en jaune, la route départementale de Versailles ; en violet, les chemins vicinaux ordinaires ; en bistre pâle, les chemins ruraux ; et en orange, les voies urbaines qui sont les rues de la Ferme et de l'Église. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de l'Église renommée rue de la Mairie, ou les rues de l'Étang rouge et de Versailles, aujourd'hui disparues. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
1854-1870. 614 x 891 mm.
Très grand et beau plan de la commune de Montrouge en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. En 1870, la commune de Montrouge, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine, faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce très grand plan figure Montrouge et les communes limitrophes de Vanves, Malakoff, Gentilly, Arcueil, Bagneux et Châtillon, ainsi qu'une partie du quartier de Montsouris dans le 14ème arrondissement de Paris. Au sud de Montrouge, on peut voir le fort du même nom, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui abrite aujourd'hui des services du ministère de la Défense, notamment un groupement de gendarmerie. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Une importante légende accompagne la commune de Montrouge : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, cimetière, église etc) et des établissements publics (Collège Saint-Joseph et Asile des Vieillards) ; route nationale de Paris à Toulouse ; routes départementales ; chemin vicinal de grande communication, chemin vicinal ordinaire et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Six teintes ont été utilisées : en rose, la route nationale de Toulouse à Paris ; en jaune, la route départementale de Châtillon à Paris ; en vert, la route de Bagneux, chemin vicinal de grande communication ; en violet, le chemin vicinal ordinaire de Montrouge à Châtillon ; en bistre pâle, le chemin rural de Fontenay à Paris et Montrouge ; et en orange, les voies urbaines. Dans le 14ème arrondissement de Paris, on peut voir les réservoirs de la Vanne Montsouris, le quartier de cavalerie et école de dressage, ou encore la Clinique des Aliénés, actuel hôpital Sainte-Anne. La commune de Malakoff est nommée Village de Malakoff ou de la Nouvelle Californie. C'est ainsi que fut nommée Malakoff à ses débuts, lorsque l'entrepreneur Alexandre Chauvelot acheta les premières parcelles de la future commune en 1845. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de Bagneux, renommée Avenue Henri-Ginoux en 1996, la rue de Courcelles, actuelle rue Sadi-Carnot, la rue Hortense, renommée rue Louis-Lejeune, l'avenue Orange, aujourd'hui disparue, la rue de la Princesse, renommée rue Armand Barbès, ou encore l'avenue des Trembles, renommée avenue Verdier. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 0,90 x 1,19 m, replié.
Beau plan de très grand format de la commune d'Orly en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune d'Orly, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce plan de très grand format, de près d'1,20 m de longueur, figure Orly et les communes limitrophes de Thiais, Choisy-le-Roi, Villeneuve Saint-Georges et Villeneuve-le-Roi. On remarque que ces deux dernières appartenaient à cette époque au département de Seine-et-Oise. Cet ancien département fut dissous en 1968 pour constituer les départements de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines. Une importante légende accompagne la commune d'Orly : liste des établissements communaux (mairie, écoles, abreuvoir, fontaines, église, cimetières, etc) ; route nationale de Paris à Antibes ; cours d'eau du ru d'Orly ; route départementale de Choisy à Orly ; chemin vicinal de grande communication, chemins vicinaux ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Les sept teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu, comme les ruelles Andry ou aux Chiens, et les rues Greneta et des Caves, ou qui ont été renommées, comme la rue Paruseau devenue la rue Louis Bonin, ou encore la place de la Mairie, renommée place François Mitterrand. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 22 septembre 1855, 1855, p. 688, 222.
1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 1,21 x 0,89 m, replié.
Beau plan de très grand format de la commune de Vitry-sur-Seine en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune de Vitry-sur-Seine, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. La commune prit son nom actuel de Vitry-sur-Seine en 1897. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Vitry-sur-Seine et les communes limitrophes d'Ivry-sur-Seine, Alfortville, Choisy-le-Roi, Thiais et Villejuif. Au sud d'Ivry-sur-Seine, on peut voir le fort d'Ivry, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui appartient aujourd’hui au ministère de la Défense. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). La commune d'Alfortville porte ici encore le nom de Maisons-Alfort. Ce n'est qu'en 1885 que sera créée la commune d'Alfortville sur un territoire démembré de la commune de Maisons-Alfort, et incorporée au canton de Charenton-le-Pont. Dans la ville de Vitry, on peut voir les anciens quartiers du Petit Vitry, actuel quartier du 8-Mai-1945, et du faubourg Bacchus, aujourd'hui renommé rue Jules-Lagaisse. Dans Choisy-le-Roi figurent les manufactures de maroquins, de chapeaux, de pierres artificielles, et de porcelaine opaque. Sur la Seine, on peut voir le pont de Choisy, reliant les deux rives de Choisy, détruit pendant la guerre de 1870 puis reconstruit, et le barrage du Port-à-l'Anglais, entre les communes de Vitry et d'Alfortville. Une importante légende accompagne la commune de Vitry : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, corps de garde, crèche, lavoir, fontaines, église, etc) et des établissements publics (station du chemin de fer d'Orléans, pompe de la ville de Paris et gendarmerie) ; route nationale de Paris à Antibes ; routes départementales ; chemins vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Les sept teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des bâtiments qui n'existent plus aujourd'hui, comme le château de Vitry, détruit en 1910, ainsi que des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue d'Arnetal devenue l'avenue Roger Derry, la rue Saint-Aubin devenue l'avenue Maximilien Robespierre, la rue de la Barre devenue l'avenue Youri Gagarine, la rue de la Chapelle aux Granges, renommée rue du 10 Juillet 1940, la voie du Chevaleret devenue la rue Gabriel Péri, la rue des Étroits renommée rue Antoine Marie Colin, la rue Eugène Dubois devenue la rue Charles Infroit, la place du Petit Vitry devenue la place des Martyrs de la Déportation, la rue aux Prêtres, aujourd'hui disparue, ou encore la rue de Seine devenue la rue Jean Jaurès. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Petite déchirure restaurée à une pliure. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 30 juin 1855, 1855, p. 463, 101.
LEFÈVRE-UTILE (Louis) & BERTEAUX (Hippolyte, attribué à).
Reference : LBW-8151
(1900)
1900. 498 x 619 mm.
Splendide et très rare affiche publicitaire Art Nouveau représentant une carte de la Bretagne, réalisée pour la marque française de biscuits LU ou Lefèvre-Utile. Elle est ornée d'une bordure d’encadrement sur fond brun, décorée de fleurs de couleur jaune-orangé, entrecoupées de médaillons contenant le nom de LU et des papillons. Tous les éléments décoratifs et le nom de Bretagne sont imprimés en relief. La carte nous présente une jeune femme contemplant la Bretagne, assise sur un piédestal, sur lequel se trouve dessiné un Petit-Beurre LU couronné, avec pour légende L'Unique Grand Prix Paris 1900 décerné à la Biscuiterie Française. Ce Grand Prix est la récompense reçue par la Manufacture des Biscuits Lefèvre-Utile lors de l'Exposition universelle de Paris de 1900. Ce fut le premier Grand Prix accordé par une Exposition universelle de Paris à la biscuiterie française. L'État français s'associa à cette consécration en décorant Louis Lefèvre-Utile de la Légion d'honneur. LU, anciennement Lefèvre-Utile, est une marque française de biscuits emblématique de la ville de Nantes, dont le Petit-Beurre est le produit phare. L'entreprise Lefèvre-Utile a été créée en 1846 par Jean-Romain Lefèvre, et a pris son nom complet après le mariage en 1850 de Jean-Romain Lefèvre avec Pauline Isabelle Utile. À cette époque, ce sont les fabricants anglais qui dominent le marché de la biscuiterie. Après avoir étudié le marché en Angleterre, le fils, Louis Lefèvre-Utile, rachète la société de ses parents en 1882 et décide d'industrialiser la production. En 1886, il dessine un biscuit rectangulaire aux bords découpés en festons arrondis, dont les 52 doigts correspondent au nombre de semaines de l’année, les quatre coins en forme d'oreilles aux quatre saisons, et les 24 points au nombre d'heures dans une journée : le Petit-Beurre est né. L’histoire raconte qu’il se serait inspiré d’un napperon de grand-mère et aurait emprunté à la broderie le lettrage pour écrire sur le biscuit : « LU, PETIT-BEURRE NANTES ». Le Petit-Beurre devient le produit-phare de la marque. Sarah Bernhardt, l'une des ambassadrices de la marque, crée pour l'occasion le slogan « Je ne trouve rien de meilleur qu'un petit LU ; oh si deux petits LU ». En 1900, c'est la consécration avec le Grand Prix de l'Exposition universelle. Parallèlement à la fabrication des biscuits, Louis Lefèvre-Utile ne néglige aucun support publicitaire pour mettre ses produits en valeur. Selon lui, « Pour susciter la gourmandise, rien de tel que de séduire l’œil ». Pour ses affiches, collections d'images, cartes postales, boîtes décorées, objets peints, calendriers, et publicités murales, il va faire appel aux meilleurs artistes de l'époque, tels Alphonse Mucha, Luigi Loir, Leonetto Cappiello, Delphin Enjolras, Benjamin Rabier, ou encore Firmin Bouisset, qui conçoit en 1897 le personnage du Petit Écolier. Notre carte, qui ne porte pas de nom d'artiste, est attribuée à Hippolyte Berteaux. Nos recherches n'ont pas permis de confirmer cette attribution. Il existe une autre version de cette carte, dont la bordure d'encadrement n'est pas aussi raffinée, et dont le personnage féminin est une Bretonne en costume traditionnel, assise sur un rocher survolé de mouettes. Cette version ne porte pas de date et pas de mention du Grand Prix. Très rare. Nous n'avons pas trouvé d'exemplaire dans les collections publiques. Très bon exemplaire. Quelques marques de pliures, perte de dorure au niveau du titre Petit-Beurre LU LU, petites déchirures restaurées dans les marges.
Editions Alan Sutton Mémoire en Images Broché 1996 In-8, (23,5x16,5 cm), broché, couverture illustrée sepia, 128 pages, riche iconographie en noir et blanc (cartes postales et photographies) ; plats à peine défraîchis, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Couverture souple. Broché. 210 pages.
Livre. Cartes exécutées par Michel Pluvinage. Editions Fayard, 1977.
1943 br. (quelques petits trous aux pliures de la carte). in-4, XXII-96pp., 1 carte pliée en couleurs 99 x 69 cm, Le Caire Imprimerie de l'Institut Français d'Archéologie Orientale 1943.
Publié par l'Afrique française libre.
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[circa 1780]. 300 x 450 mm, sur papier calque.
Copie manuscrite, encre de Chine et rehauts d'aquarelle, d'une vue d'optique de la fin du XVIIIe siècle intitulée Vue du bombardement de la ville du Havre, dessiné du haut du pré de St. Roch le 4 juillet 1759, d'après un dessin réalisé sur place de Joseph-Abel Couture, dit l'aîné. Ce dessin illustre un épisode de la Guerre de Sept Ans, lorsque les Français élaborèrent un plan pour envahir l'Angleterre. Dans ce but, de nombreuses barges à fond plat et des provisions furent stockées dans le port du Havre. Mais début juillet 1759, une flotte de 17 navires de la Royal Navy se positionnent au large de la ville et la bombardent pendant plus de deux jours sans rencontrer d'opposition, causant de grands dégâts tant au port qu'à la ville. Taches brunes, papier froissé par endroits, traces de pliures.
[circa 1787]. 305 x 437 mm.
Beau plan à l’encre et à l'aquarelle, sans légende, du projet de François-Laurent Lamandé. Il montre le plan des nouvelles fortifications, et celui des deux nouveaux bassins du Commerce et de la Barre; à l’intérieur de l’enceinte, les parties anciennes conservées sont en gris, et les nouveaux bâtiments, qui suivent un plan en damier, sont en rouge; à l’extérieur de la ville, sont figurés le canal Vauban, plusieurs habitations le long de la côte, quelques jardins, les marais et des terres cultivées. A la fin du XVIII° siècle, la ville du Havre, devenue trop petite et peu fonctionnelle, doit s’agrandir pour répondre à l’augmentation du trafic maritime et à celui de sa population. Choisi par Louis XVI, le projet de François-Laurent Lamandé servira de guide pour les travaux d’aménagement de la ville qui seront poursuivis par son fils Corneille Lamandé. En effet, commencés en 1787, les travaux seront interrompus plusieurs fois par la Révolution puis par le blocus anglais, et ne seront terminés qu’en 1830. Deux légères traces de pliures verticales, petit froissement dans l’angle supérieur droit.
D R , 1996 , grand in 8 broché , 212 pp. reproductions légendées de cartes postales anciennes. Envoi de l' auteur.
Paris, Gallimard, coll. L'univers des formes, 1967. In-4 de [12]-447-[10] pages, pleine toile rouge avec titre doré au dos et au premier plat, jaquette photographique couleurs. Minimes accrocs en bords de jaquette, pour le reste en parfaite condition.
Illustré de 444 photographies en noir et en couleurs et de 6 cartes en couleurs dont une dépliante. L'importante bibliographie (504 entrées) et les 23 pages d'index font de cet ouvrage un incontournable sur le sujet. Pour mémoire, la collection L'univers des formes était dirigée par André Malraux et André Parrot. Joint le feuillet d'hommage de André Parrot à Georges Salles, Afrique Noire étant le premier volume de la collection après son décès.
Berlin, Safari-Verlag, 1985, gr. in-8vo, 402 S. mit 18 Farbtafeln, 73 Kunstdrucktafeln u. 40 Abb. im Text, (mit 65 S. 2-spaltig: Verzeichnis der Kartographen), Original-Leinenband. Mit farbig ill. Schutzumschl.
Image disp.
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Lejeune Caroline Faujour Loïc Bové José
Reference : 500047881
(2021)
ISBN : 9782366722529
PLUME CAROTTE 2021 32 pages 14 9x20 9x0 7cm. 2021. Broché. 32 pages.
Comme neuf
Lejeune Caroline Faujour Loïc Bové José
Reference : 500048670
(2021)
ISBN : 9782366722529
PLUME CAROTTE 2021 32 pages 14 9x20 9x0 7cm. 2021. Broché. 32 pages.
Très Bon Etat
Lejeune Caroline Faujour Loïc Bové José
Reference : 500050220
(2021)
ISBN : 9782366722529
PLUME CAROTTE 2021 32 pages 14 9x20 9x0 7cm. 2021. Broché. 32 pages.
Comme neuf
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Reference : 500051993
(2021)
ISBN : 9782366722529
PLUME CAROTTE 2021 32 pages 14 9x20 9x0 7cm. 2021. Broché. 32 pages.
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Lejeune Caroline Faujour Loïc Bové José
Reference : 500058916
(2021)
ISBN : 9782366722529
PLUME CAROTTE 2021 32 pages 14 9x20 9x0 7cm. 2021. Broché. 32 pages.
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Lejeune Caroline Faujour Loïc Bové José
Reference : 500062494
(2021)
ISBN : 9782366722529
PLUME CAROTTE 2021 32 pages 14 9x20 9x0 7cm. 2021. Broché. 32 pages.
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Reference : 500070959
(2021)
ISBN : 9782366722529
PLUME CAROTTE 2021 32 pages 14 9x20 9x0 7cm. 2021. Broché. 32 pages.
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Reference : 500074548
(2021)
ISBN : 9782366722529
PLUME CAROTTE 2021 32 pages 14 9x20 9x0 7cm. 2021. Broché. 32 pages.
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