Paris, P.G. Chanlaire, [1806]. 506 x 575 mm.
Première carte imprimée du département de la Nièvre, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 26 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 4 arrondissements ou sous-préfectures, et 26 cantons ou justices de paix. Nevers, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire à grandes marges, contours aquarellés à l'époque.
Paris, Au Bureau de l’Atlas National, [1792]. 509 x 738 mm.
Première carte imprimée du département du Nord, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 1er février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 8 districts et 54 cantons. Il comprenait Barbençon, aujourd’hui en Belgique. Douai, chef-lieu du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. La commune principale des districts et des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des districts sont aquarellées en rose et bleu. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Très bon exemplaire à grandes marges, contours aquarellés à l'époque.
[Paris, P.G. Chanlaire et E. Mentelle, An six de la République - 1798]. En quatre feuilles pouvant être jointes pour former une carte de 640 x 841 mm.
Belle carte du gouvernement de Normandie en quatre feuilles, dressée par Edmé Mentelle et Pierre-Grégoire Chanlaire, et gravée par Pierre François Tardieu. Elle est issue de l'Atlas universel de géographie physique et politique, ancienne et moderne, présenté à l'Instruction des Écoles Centrales, pour les classes de Géographie, d'Histoire et de Législation, publié l'An six de la République, soit 1798. En carton figure une carte des îles Anglo-Normandes d'Aurigny, Guernesey, Sercq, orthographiée Cers, et Jersey. La carte s'étend au sud jusqu'à Saint-Malo. Sous l'Ancien Régime, les gouvernements militaires étaient des circonscriptions administratives correspondant aux anciennes provinces du royaume. Les gouverneurs étaient nommés par le roi. Jusqu'au XVIe siècle, la France en comptait 12. En 1776, elle en comptait 39, dont dix-huit de la première classe (les titulaires percevaient 60 000 livres par an), et vingt-et-un de la seconde classe (30 000 livres par an). Le gouvernement de Normandie appartenait à la première classe, son chef-lieu était Rouen. Les chaînes de montagnes sont aquarellées en brun, les forêts en vert. Les villes les plus importantes sont aquarellées en rouge. Chanlaire et Mentelle sont les auteurs de l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, publié en 1793. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque. Taches dans la marge supérieure de la feuille nord-ouest.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 511 x 584 mm.
Première carte imprimée du département de l’Oise, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 7 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 4 arrondissements ou sous-préfectures, et 35 cantons ou justices de paix. Beauvais, préfecture du département, est aquarellée en rouge. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 511 x 620 mm.
Première carte imprimée du département de l’Orne, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 25 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 4 arrondissements ou sous-préfectures, et 35 cantons ou justices de paix. Alençon, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire à grandes marges, contours aquarellés à l'époque.
Paris, Au Bureau de l'Atlas National, [1792]. 186 x 203 mm.
Première carte imprimée des anciens départements de la Seine et de l'Oise et de Paris, issue de l'Atlas National portatif de la France, destiné à l'instruction publique, de Pierre-Grégoire Chanlaire et Edmé Mentelle. Cet atlas, ainsi que l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, par les mêmes auteurs, ont tous deux été publiés en 1792. Décrété le 27 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département de la Seine et de l'Oise fut divisé en 9 districts ou arrondissements, et 59 cantons. Versailles fut désignée comme préfecture. Le département fut dissous en 1968 pour constituer les départements de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines. Le département de Paris, également appelé département de la Seine, fut décrété les 13 et 19 janvier 1790, et divisé en 3 districts ou arrondissements, et 16 cantons. Il fut également dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les districts sont aquarellés de trois couleurs, les villes sous-préfectures sont signalées à l'aquarelle rouge. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dans de très beaux coloris de l'époque.
[Paris, P.G. Chanlaire et E. Mentelle, An six de la République - 1798]. 343 x 448 mm.
Très rare et beau plan de Paris, dressé par Edmé Mentelle et Pierre-Grégoire Chanlaire, et gravé par Antoine-François Tardieu. Il est issu de l'Atlas universel de géographie physique et politique, ancienne et moderne, présenté à l'Instruction des Écoles Centrales, pour les classes de Géographie, d'Histoire et de Législation, publié l'An six de la République, soit 1798. Cet atlas contient sept autres plans de villes capitales. Il est accompagné d'une légende des principaux édifices et lieux de la ville. Chanlaire et Mentelle sont les auteurs de l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, publié en 1793. Très rare exemplaire en pleins coloris de l'époque. La Bibliothèque Nationale d'Espagne possède une édition de 1806 de l'Atlas universel, et ce plan, comme les sept autres, est resté en noir et blanc. Bel exemplaire. Boutier, 320A (donne la date vers 1779-1782).
Paris, Au Bureau de l'Atlas National, [1792]. 225 x 291 mm.
Beau plan de la ville de Pondichéry, dressé lors du siège du 11 août 1778. Il est issu de l'Atlas National portatif de la France, destiné à l'instruction publique, de Pierre-Grégoire Chanlaire et Edmé Mentelle. Cet atlas, ainsi que l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, par les mêmes auteurs, ont tous deux été publiés en 1792. Située sur la côte de Coromandel, au sud-est de l'Inde, la ville fut construite selon un plan en damier conçu et démarré par les Hollandais en 1693, puis achevé par les Français dans le courant du XVIIIe siècle. Les bastions et les bâtiments principaux sont numérotés et légendés : le Gouvernement, l'Arsenal, l'hôpital, les casernes, le couvent des Capucins, les portes, le camp des Anglais, ainsi que les villages aux alentours (Montalpet, Lauriston, Haulgaré et Nelitop). Au nord de la ville, sont également indiquées les rizières. La mer est ornée de deux vaisseaux, dont l'un illustrant le combat du 11 août 1778, et d'une rose des vents indiquant le nord à droite du plan. Le petit port côtier de Pondichéry est acheté en 1673 par la Compagnie des Indes, qui en fait la tête de pont des intérêts commerciaux de la France en Inde. Au cours du XVIIIe siècle, la ville est assiégée à trois reprises par les Anglais, dont la Compagnie anglaise des Indes était le concurrent direct de la Compagnie française. Le premier siège a lieu en 1742, lors de la Guerre de Succession d'Autriche, le second en 1760 lors de la Guerre de Sept Ans. Notre plan illustre le troisième siège de Pondichéry en août 1778, lors de la Guerre d'Indépendance des États-Unis. La ville capitule après dix semaines de siège. Puis elle est pillée par les Anglais, qui l'abandonnent en 1781. En ruines, elle sera rendue aux Français en 1781. Bel exemplaire, replié.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 512 x 585 mm.
Première carte imprimée du département du Puy-de-Dôme, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 5 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 5 arrondissements ou sous-préfectures, et 50 cantons ou justices de paix. Clermont-Ferrand est ici appelée simplement Clermont, ce qui semble curieux compte tenu de la date. En effet, Clermont fut unie en 1731 à la ville voisine de Montferrand, pour former une seule et même ville, Clermont-Ferrand, préfecture du département. Cette dernière aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Très bon exemplaire, contours aquarellés à l'époque. Mouillure claire dans la partie haute, petite déchirure dans la marge inférieure.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 500 x 687 mm.
Première carte imprimée de l'ancien département des Basses-Pyrénées, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 8 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 5 arrondissements ou sous-préfectures, et 40 cantons ou justices de paix. Il sera renommé Pyrénées-Atlantiques en 1968. Pau, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire à grandes marges, contours aquarellés à l'époque.
Paris, Au Bureau de l'Atlas National, [1792]. 189 x 209 mm.
Première carte imprimée de l'ancien département des Basses-Pyrénées, issue de l'Atlas National portatif de la France, destiné à l'instruction publique, de Pierre-Grégoire Chanlaire et Edmé Mentelle. Cet atlas, ainsi que l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, par les mêmes auteurs, ont tous deux été publiés en 1792. Décrété le 8 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 6 districts ou arrondissements, et 40 cantons. Navarrenx fut désignée comme préfecture le 4 mars 1790, avant que Pau ne lui succède le 14 octobre 1790. Le département sera renommé Pyrénées-Atlantiques en 1968. Les districts sont aquarellés de trois couleurs, les villes sous-préfectures sont signalées à l'aquarelle rouge. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dans de très beaux coloris de l'époque.
Paris, Dumez, [An II - 1793]. 514 x 588 mm.
Première carte imprimée du département des Pyrénées-Orientales, issue de l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 9 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 3 districts ou arrondissements et 25 cantons. Perpignan, chef-lieu et évêché du département, est signalée d’une croix. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dont les districts ont été entièrement aquarellés à l'époque. Petites rousseurs dans la marge supérieure.
Paris, Au Bureau de l'Atlas National, [1792]. 188 x 202 mm.
Première carte imprimée du département des Pyrénées-Orientales, issue de l'Atlas National portatif de la France, destiné à l'instruction publique, de Pierre-Grégoire Chanlaire et Edmé Mentelle. Cet atlas, ainsi que l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, par les mêmes auteurs, ont tous deux été publiés en 1792. Décrété le 9 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 3 districts ou arrondissements, et 25 cantons. Perpignan fut désignée comme préfecture. Les districts sont aquarellés de trois couleurs, les villes sous-préfectures sont signalées à l'aquarelle rouge. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dans de très beaux coloris de l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 510 x 579 mm.
Première carte imprimée des départements de la Loire et du Rhône, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Ces deux départements distincts, bien que représentés sur la même feuille, ne font pas partie des 83 départements initiaux décrétés en 1790. Ils sont nés de la scission, décrétée par la Convention Nationale le 29 brumaire An II (19 novembre 1793) du département de Rhône-et-Loire, qui avait été décrété le 3 février 1790, divisé en 6 districts et 71 cantons, et dont le chef-lieu était Lyon. Le nouveau département de la Loire fut divisé en 3 arrondissements ou sous-préfectures, et 27 cantons ou justices de paix. Il avait pour préfecture Montbrison, aujourd'hui remplacée par Saint-Étienne. Quant au département du Rhône, il fut divisé en 2 arrondissements ou sous-préfectures, et 25 cantons ou justices de paix. Il avait pour préfecture Lyon. Les deux villes préfectures sont aquarellées en rouge et signalées d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
[Paris, P.G. Chanlaire et E. Mentelle, An six de la République - 1798]. 330 x 438 mm.
Très rare et beau plan de la ville de Rome, dressé par Edmé Mentelle et Pierre-Grégoire Chanlaire, et gravé par Antoine-François Tardieu. Il est issu de l'Atlas universel de géographie physique et politique, ancienne et moderne, présenté à l'Instruction des Écoles Centrales, pour les classes de Géographie, d'Histoire et de Législation, publié l'An six de la République, soit 1798. Cet atlas contient sept autres plans de villes capitales. Il est accompagné d'une légende des principaux édifices et lieux de la ville, et d'une liste de 7 mots de vocabulaire italien avec leur traduction en français. Chanlaire et Mentelle sont les auteurs de l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, publié en 1793. Très rare exemplaire en pleins coloris de l'époque. La Bibliothèque Nationale d'Espagne possède une édition de 1806 de l'Atlas universel, et ce plan, comme les sept autres, est resté en noir et blanc. Bel exemplaire.
[Paris, P.G. Chanlaire et E. Mentelle, An six de la République - 1798]. 334 x 434 mm.
Belle carte du gouvernement de Roussillon, dressée par Edmé Mentelle et Pierre-Grégoire Chanlaire, et gravée par Pierre François Tardieu. Elle est issue de l'Atlas universel de géographie physique et politique, ancienne et moderne, présenté à l'Instruction des Écoles Centrales, pour les classes de Géographie, d'Histoire et de Législation, publié l'An six de la République, soit 1798. Sous l'Ancien Régime, les gouvernements militaires étaient des circonscriptions administratives correspondant aux anciennes provinces du royaume. Les gouverneurs étaient nommés par le roi. Jusqu'au XVIe siècle, la France en comptait 12. En 1776, elle en comptait 39, dont dix-huit de la première classe (les titulaires percevaient 60 000 livres par an), et vingt-et-un de la seconde classe (30 000 livres par an). Le gouvernement de Roussillon appartenait à la première classe, son chef-lieu était Perpignan. Les chaînes de montagnes sont aquarellées en brun, les forêts en vert. Chanlaire et Mentelle sont les auteurs de l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, publié en 1793. Bel exemplaire à grandes marges, finement aquarellé à l'époque.
[Paris, P.G. Chanlaire et E. Mentelle, An six de la République - 1798]. 335 x 434 mm, sur papier bleuté.
Belle carte du gouvernement de Saintonge et Angoumois, dressée par Edmé Mentelle et Pierre-Grégoire Chanlaire, et gravée par Pierre François Tardieu. Elle est issue de l'Atlas universel de géographie physique et politique, ancienne et moderne, présenté à l'Instruction des Écoles Centrales, pour les classes de Géographie, d'Histoire et de Législation, publié l'An six de la République, soit 1798. Sous l'Ancien Régime, les gouvernements militaires étaient des circonscriptions administratives correspondant aux anciennes provinces du royaume. Les gouverneurs étaient nommés par le roi. Jusqu'au XVIe siècle, la France en comptait 12. En 1776, elle en comptait 39, dont dix-huit de la première classe (les titulaires percevaient 60 000 livres par an), et vingt-et-un de la seconde classe (30 000 livres par an). Le gouvernement de Saintonge et Angoumois appartenait à la seconde classe, ses capitales étaient Saintes et Angoulême. Les chaînes de montagnes sont aquarellées en brun, les forêts en vert. Chanlaire et Mentelle sont les auteurs de l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, publié en 1793. Bel exemplaire à grandes marges, finement aquarellé à l'époque.
Paris, Au Bureau de l'Atlas National, [1792]. 185 x 202 mm.
Première carte imprimée du département de la Sarthe, issue de l'Atlas National portatif de la France, destiné à l'instruction publique, de Pierre-Grégoire Chanlaire et Edmé Mentelle. Cet atlas, ainsi que l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, par les mêmes auteurs, ont tous deux été publiés en 1792. Décrété le 4 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 9 districts ou arrondissements, et 53 cantons. Le Mans fut désignée comme préfecture, elle sera remplacée par Saint-Lô en 1796. Les districts sont aquarellés de quatre couleurs, les villes sous-préfectures sont signalées à l'aquarelle rouge. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dans de très beaux coloris de l’époque.
Paris, Au Bureau de l'Atlas National, [1792]. 185 x 203 mm.
Première carte imprimée du département de la Seine-et-Marne, issue de l'Atlas National portatif de la France, destiné à l'instruction publique, de Pierre-Grégoire Chanlaire et Edmé Mentelle. Cet atlas, ainsi que l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, par les mêmes auteurs, ont tous deux été publiés en 1792. Décrété le 30 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 5 districts ou arrondissements et 37 cantons. Melun fut désignée comme préfecture. Les districts sont aquarellés de trois couleurs, les villes sous-préfectures sont signalées à l'aquarelle rouge. L’échelle est de 20 000 toises. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel et rare exemplaire dans de très beaux coloris de l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 510 x 580 mm.
Première carte imprimée de l'ancien département de la Seine Inférieure, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 3 février 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 5 arrondissements ou sous-préfectures, et 50 cantons ou justices de paix. Il sera renommé Seine-Maritime en 1955, après qu'il ait été décidé que l'adjectif "Inférieure" nuisait à l'économie de la région. Rouen, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 508 x 580 mm.
Première carte imprimée du département de la Somme, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 26 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 5 arrondissements ou sous-préfectures, et 41 cantons ou justices de paix. Amiens, préfecture du département, est aquarellée en rouge. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 20 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire, contours aquarellés à l'époque.
Paris, P.G. Chanlaire et Veuve Dumez, [1806]. 510 x 584 mm.
Première carte imprimée du département de l’Yonne, gravée par François d'Houdan pour l'Atlas National de France, premier atlas des départements français. Décrété le 27 janvier 1790 par l’Assemblée Nationale, le département fut divisé en 5 arrondissements ou sous-préfectures, et 37 cantons ou justices de paix. Auxerre, préfecture du département, est aquarellée en rouge et signalée d’une croix. Les villes sous-préfectures sont aquarellées en bleu, la commune principale des cantons est aquarellée en rouge. Les limites des arrondissements sont aquarellées en bleu, celles des cantons en rouge. L’échelle est de 30 000 toises et 40 000 mètres. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre augmentera au fil des années, jusqu'à atteindre 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire à grandes marges, contours aquarellés à l'époque.
Chanoine Alfred Weber (traduction nouvelle avec notes, cartes et plans)
Reference : 1618678661766
(1904)
MISS-26, OEuvre Catholique de la Diffusion du Saint Evangile, Braine-le-Comte, Verdun 1904
Assez bon
Superbe carte postale Barclay noir et blanc de Charles Aznavour au format 13,5 x 9. Superbe état. Rare carte dédicacée par Charles Aznavour. ( Port inclus pour la France ).
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Superbe carte postale Vogue en noir et blanc de Jean-Jacques Debout, photographié par André Nisak, au format 14 x 9. Carte signée par Jean-Jacques Debout. Petites traces d'adhésif au verso, sinon comme neuf.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues