In-8, broché, 75 pp.
Bon ex. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Avec une carte. Basse-Terre. Imprimerie Officielle. (1935). Gd in-8 (164 x 251mm), broché, couverture imprimée, VI, 305 pages. Bords de couverture un peu brunis et piqués, papier également bruni sinon bon état. Très grande carte dépliante (ca 740 x 560mm).
P., Challamel 1881 2 tomes en 1 vol. in-12, demi-basane fauve, dos lisse, filets et roulettes dorés, VI- 194- 47 pp. Dos passé, petits frottements. Bon exemplaire.
La première partie est reliée à la suite de la seconde. Rare complet. Bon état d’occasion
Tadorne 1999 In-4 cartonné, sous jaquette illustrée, 110 pp; illustrations en noir.
U, effacement volontaire des couleurs pour mieux cerner la dimension authentique des situations et des hommes, dans un milieu naturel préservé. Un témoignage touchant où l’auteur nous invite à poser un autre regard sur cette terre de constrates et de traditions. Très bon état d’occasion
Paris, Horizons de France, 1958. Coll. "Visages du monde". In-8 relié toile bleue, sous jaquette ill., 160 p. Avec 100 héliogravures et des cartes. Très bon état.
[Londres, 1747]. 320 x 230 mm.
Belle carte de l'île d'Antigua dans les Caraïbes, issue de l'atlas A complete System of geography, publié par le graveur et marchand britannique Emanuel Bowen en 1747. Cette carte détaillée a été dressée d'après les relevés et les observations astronomiques les plus récents. Elle figure les villes, les églises paroissiales, les forts, les châteaux, les moulins à vent, et les routes, mais aussi les plantations les plus remarquables, les sucreries selon le nombre de moulins (6, 3, 2 ou 1), et les moulins pour le bétail. Le long des côtes, également très détaillées en noms, sont signalés les rochers submergés. À droite du cartouche de titre figure un texte nous apprenant qu'Antigua n'a pas une seule source d'eau ; en période de sécheresse, lorsque tous les étangs sont à sec, et les citernes presque vides, les habitants doivent, en temps de guerre, aller chercher leur eau douce sur l'île de Montserrat (voisine d'Antigua), et en temps de paix, sur l'île de Montserrat, et sur l'île française voisine de la Guadeloupe. Antigua fut colonisée par les Britanniques en 1678. Bel exemplaire finement aquarellé. Tooley, Map Collectors' Series n°55, The Printed Maps of Antigua, 1689-1899, 20.
Brissot-Thivars Paris 1823 3 vol. 3 vol. in-8 de 2 ff.n.ch. VIII 420 pp., 2 ff.n.ch. 466 pp. et 530 pp., demi-basane contemporaine, dos lisse, pièces de titre et de tomaison.
Edition originale (Sabin 7135 - Leclerc 197). Ouvrage orné d'une grande carte lithographiée repliée représentant la Guadeloupe, dressée par Desmadryl frères et Joumar et de 14 tableaux repliés. "Le colonel Eugène Edouard Boyer-Peylerau(1774-1856), demeura d'abord sept ans à la Martinique comme aide de camp de Villaret-Joyeuse. Promu chef d'escadron, il reprend le fort du Diamant aux Anglais en 1805 et défend contre eux le fort Bourbon en janvier 1809. Il rentre en France à la capitulation de l'île. Nommé sous-gouverneur de la Guadeloupe à la Restauration, c'est lui qui reprit possession de l'île. Dans une longue introduction historique, il étudie les différentes populations des Antilles, l’élaboration du Code noir, la traite des Nègres, et le travail dans les sucreries. Son ouvrage traite plus particulièrement de la Guadeloupe pour laquelle il donne de nombreux renseignements statistiques (commerce, population) et dresse une nouvelle carte plus précise". Bon exemplaire non rogné de cet ouvrage rare et recherché.
L'harmattan 2009 In-8 broché 21,5 cm sur 13,5. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Oxford, Clarendon Press, 1978. In-8, broché, XVI-374 pp., texte anglais, bibliogr., index.
Bon état. Fine condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Chapelot et Cie, 1899 in-8, 275 pp., nbses ill. in-t., demi-basane brune, dos lisse, filets a froid (rel. de l'époque). Dos en partie décoloré, cachets (annulés).
LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Paris , Desnos , 1766 , carte coloriée ,encadrée par un texte collé , 49,5 x 30 cm . Mouillure claire sur la marge inférieure. Langue: Français
1772 Planche seule - dimensions 38 x 29 cm - planche aquarellée - Échelle en lieux . Le pli du milieu existant déjà sera donc envoyée pliée en deux .La nouvelle Espagne correspond au Mexique , Nicaragua, Panama / la Terre ferme au Vénézuela .
Bon
Paris, Desnos, 1766 [1772]. 280 x 310 mm.
Belle carte figurant le Mexique, l'Amérique Centrale, la Colombie, le Venezuela et les Antilles, encadrée d'une bordure florale décorée des armoiries royales, et ornée d'un cartouche de titre. Elle a été dressée par Louis Brion de La Tour, ingénieur-géographe du roi, et est issue de l'Atlas général, civil, ecclésiastique et militaire, méthodique et élémentaire pour l'étude de la géographie et de l'histoire, atlas destiné à l'instruction de la jeune noblesse de l'École Royale Militaire. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.
Nîmes, Imprimerie de la veuve Belle, 1805 in-12, 2 ff. n. ch. [titre, titre intermédiaire], X-74 pp., un f.n.ch. d'errata, broché sous couverture d'attente de papier crème.
Ouvrage très rare, l'unique composé par l'auteur, et qui en fait est entièrement consacré à Saint-Domingue ; il a échappé aux bibliographes, notamment à Sabin. Chaque partie dispose d'un titre propre surmonté de la même mention "Matière 8. Description et relations diverses". On a ainsi successivement : 1. Objet 1. Quelques détails sur la partie françoise de l'Isle de St-Domingue (pp. I-X). - 2. Objet 2. Description de l'Isle de St-Domingue (pp. 3-51). - 3. Objet 3. De l'Emploi que les habitans de St-Domingue font de leurs revenus (pp. 53-58). - 4. Objet 4. Relation d'un voyage par mer des Cayes à Léogane (pp. 59-74). Gabriel-François de Brueys, baron d'Aigaliers, membre de l'Assemblée constituante, naquit à Uzès le 28 février 1743, de Gabriel et de Marguerite de La Rouvière. Il est connu plutôt par son titre que par son nom que devait illustrer son frère puiné, le héros malheureux d'Aboukir. Il suivit honorablement la carrière des armes, servit à la fin de la guerre de Sept ans, plus tard à Saint-Domingue (d'où lui vient sa connaissance des lieux), puis en Corse et à Belfort. Il prit sa retraite en 1785, et mourut en 1806.
Phone number : 33 01 43 26 71 17
, , 1803. 1 pp. in-4.
« Monsieur Lamiral. Laide de camps de mon parent ma fait la remise d'après vos ordres des quatre cents gourdes qui m'avoit été prise abord de la frégatte La Pique commandée par Monsieur Cumberland ; Veuillez je vous prie Monsieur l'amiral, en recevoir mon remerciement, quoique la somme soit modique, elle est beaucoup pour une habitante qui a perdu ce quelle possédais a St Domingue ; J'ose cependant vous assurer que mon indignations fut a son comble, lorsque j'ai vu faire la visite de mon linge, que la perte métois moins sensible ; le tout s'est passé en présence du général et de plusieurs officiers. Cette conduite de Monsieur Cumberland, n'est pas celle d'un anglais galant. Je suis avec la plus parfaite considération Monsieur l'Amiral. Votre très humble servante. Ve Brunet ainée. Le 31 xbre 1803. » (17X21,5).
, , 1803. 2 pp. in-8.
« à Spanish-town le 23 décembre 1803. Monsieur l'amiral, j'ai l'honneur de vous prévenir que je dépèche près de vous mon aide-de-camp, que j'autorise comme vous me le mandez, à toucher les fonds que doit remettre M. Cumberland, d'après l'arrêté du conseil d'enquête, aux trois personnes désignées: savoir : Monsr Berret, médecin & archiviste des papiers de la place Des Cayes, & malade dans ce moment, pour la somme de soixante pounds, trois montres aux soldats & 6 gourdes aux cuisiniers. ces sommes seront reparties à chacun d'eux. Sous peu j'aurai l'honneur de vous soumettre le travail que je fais de nouveau contre cet officier ; je suis persuadé d'avance de trouver en vous, un juge impartial & qui décidera du fait dans un jour. Quant aux quatre cents gourdes prises à Madame Brunet & que la même commission dit n'avoir pas de raison pour croire que cette somme ait été soustraite à ladite Dame, je suis témoin & mes aides-de camp, du vol fait dans les malles de ma parente par le commissaire de la frégate & par quelques chirurgiens. Tous les effets ont été sortis de ses malles, comme les miens & ceux de tous les officiers de la garnison Des Cayes. J'ai l'honneur d'être, Monsieur l'amiral, votre très humble serviteur. Le général de Division Brunet ». (17X22).
, , 1803. 3 pp. in-8.
« Kingston le 27 octobre 1803. Le Général de Division Brunet à Monsieur l'Amiral Duckworth. Monsieur l'Amiral, je n'avois scu que par la voie publique l'histoire arrivée au Général Darbois à bord du Brick de sa Majesté Brit. le Pellican, j'avois remis à vous en entretenir jusqu'à ce que j'eusse pris des renseignements sur cette affaire qui m'avoit paru si extraordinaire ; hier je m'en suis procuré par les differentes personnes qui etoient au même bord, et qui ont été envoyés à Spaniston sur leurs paroles auxquels cette aventure à paru aussi étonnante qu'a moi: en effet Monsieur l'Amiral comment peut on croire qu'un officier Général français qui s'est rendu par Capitulation puisse manquer d'une manière aussi affreuse à sa parole d'honneur et enfanter un projet aussi deshonnorant que celui que l'on suppose ; oui Monsieur l'Amiral si je croyais cet off. Genl. coupable, je serois le premier a demander sa punition mon gouvernement me blamerait si j'agissois autrement. peut-être que quelques propos indiscrets de la part d'un homme que j'ai chassé des Administrations et qui se dit son secrétaire ont donné lieu à cette aventure malheureuse, mais je vous déclare qu'il étoit la à mon inscu, et que si le Genl. D'Arbois à eû la faiblesse de se l'attacher c'est qu'il ne le conoissoit pas ; au demeurant je vous l'abandonne. Mais Monsieur l'Amiral intimement convaincu de l'innocence du Genl. D'arbois, je vous demande sa liberté pour qu'il se rende à Spaniston, et s'il vous falloit un garant de ses moeurs et de ses principes je vous engage ma parole d'honneur: vous savez si je scais l'a tenir. Je pars aujourd'hui pour Spaniston et je vous demande la permission de venir quelques fois vous voir avec un de mes officiers. J'ai l'honneur d''être avec la plus parfaitte considération Monsieur l'Amiral votre très humble et très obéissant serviteur. Brunet. » (20,5 x 25).
, , 1803. 2 pp. in-4.
« Spanish Tow le 13 xbre1803. Monsieur l'amiral. J'ai l'honneur de vous adresser ci inclus une note de deux domestiques retenus, et reclamés par deux officiers supérieurs de ma division. Veuillez Monsieur l'amiral donner des ordres pour que ces hommes aient la liberté de rejoindre leurs Maitres, qui ont le plus grand besoin de leurs services. Je suis avec la plus haute considération monsieur votre très humble serviteur. Brunet Gal. de Don ». « General Brunette request about white Servants ». (16,5 x 21,5).
, , 1803. 2 pp. in-4.
« à Spanish-Town, le 3 décembre 1803. J'ai reçu seulement hier au matin, Monsieur L'amiral, le lettre de condoléances que vous m'avez fait l'honneur de m'écrire pour le décès du Général de Brigade D'arbois. Je regrette bien sincèrement la perte de cet officier-général ; pendant le laps de temps qu'il a servi sous mes ordres, j'ai su apprécier son mérite & ses qualités militaires, c'est, j'ose le dire, une perte que fait le gouvernement. J'attribue, Monsieur, sa mort à la suitte des mauvais traitements qu'il a essuyé àbord du brick de Sa Majesté, Le Pélican. j'espère qu'il se trouvera des ames assez généreuses pour prendre sa défense auprès des gouvernements, & obtenir la justice qu'il avait lieu d'espérer. Oui, Monsieur L'amiral, sans égard au grade de cet officier-général, il a été impitoyablement dépouillé ; on lui a arraché une ceinture, qu'il s'était ménagé pour assurer son existence en pays étranger. Le seul reproche qu'on puisse lui faire, c'est de n'avoir point puni le Témeraire qui a osé porter une main sacrilège sur sa personne. Je n'ai pas reçu comme vous me le mandez, la nouvelle officielle de sa mort par votre agent Mr Water-house. Le général d'Hénin m'a appris cette triste nouvelle en me priant d'envoyer des officiers de mon état-major, pour faire l'inventaire de ses effets. J'ai l'honneur d'être, avec la plus parfaite considération, Monsieur, votre très humble & très obéissant serviteur. Brunet ». (20 x 32).
, , 1803. 2 pp. in-4.
« Spanish Town le 23 xbre 1803. Le général de Division, Brunet, à Monsieur L'amiral. Le général de Brigade Cageot ma communiqué Monsieur l'amiral, l'ordre qu'il a reçu de Monsieur Le Commissaire chargé de l'échange des prisonniers de guerre : de se rendre au port et qu'il trouverait un canot pour porter ses effets et sa personne, à bord de la frégatte la Révolutionnaire étant compris parmi les officiers généraux qui se rendent en Europe avec le Général en chef. Cet officier Général me signale que sa mauvaise santé ne lui permet pas de faire le voyage pour le moment ; je peux même l'atestée, depuis quelques jours il a une fièvre qui l'accable : il doit avoir répondu à Monsieur le commissaire : sa lettre sa position et les souffrances qu'il endure, ne lui permettent pas de faire un aussi long voyage. Je suis avec la plus parfaite considération Monsieur l'amiral votre très humble serviteur. Brunet. » (22X26). Sur papier entête République française armée de Saint-Domingue.
, , 1804. 4 pp. in-4.
« Spanishtown le 11 février 1804. Le Général de Division Brunet à Monsieur l'Amiral Duckworth Commandant les forces Navales de sa majesté Britannique. Monsieur l'Amiral. J'ai l'honneur de vous prevenir que Mr le Commisaire Saville, vient de me signifier de votre part d'être pret à partir et de m'embarquer lundi prochain pour l'Europe. quoique ce départ soit bien précipité je serai au port Andersonn à 4 heures après midi avec mes équipages pour de là passer sur le batiment que vous me destinez. Les offres de service que vous m'avez faites à mon arrivé à la Jamaïque me fait prendre la liberté de vous demander votre agrément pour que je puisse avoir avec moi mes trois aides de camp ; mr Saville m'ayant dit que vous ne m'accordiez que mon chef d'état major Lefebvre et un officier, il resteroit alors deux de mes aides de camp, si cela ne contrarie pas vos intentions veuillez, je vous pris m'accorder ces deux officiers. j'ai aussi Monsieur l'Amiral, à vous réclamer les papiers du greffe que j'ai emporté des Cayes ; ce sont des papiers pretieux et qui font la fortune de plusieurs milliers de familles qui un jour seront bien aise de les retrouver ; les ordres de mon gouvernement me prescrivent de les emporter avec moi, si vous avez reçu de votre gouvernement des ordres contraires, veuillez, Monsieur l'Amiral me donner une décharge de la quantité de papiers déposés dans les magasins du Roi au port-Royal afin que je puisse prouver à mon gouvernement que j'ai rempli mes devoirs. Mr Waterhouse m'avoit fait espérer il y a quelque temps que je pouvais compter que vous feriez tout pour m''être agréable, en m'accordant tous mes officiers d'état major qui ne sont pas nombreux, si la chose est possible, je vous les réclame, ainsi qu'un fourrier de la 86è 1/2 brigade nommé Quenet et qui est à bord du ponton, cet homme a tenu mes registres depuis la mort de mon premier secrétaire et il me seroit d'une grande utilité à mon arrivée en Europe. Je compte, Monsieur l'Amiral, sur vos bontés et sur les promesses que vous m'avez déjà faites. Je suis avec la plus parfaite considération Monsieur l'Amiral votre très humble et très obéissant serviteur. Brunet ». « Géneral of Division Brunet Febry 11th 1804. » (19,5 x 25).
, , 1804. 3 pp. in-4.
« Spanisch-town le 12 février 1804. Monsieur. J'ai reçu cette nuit la lettre que vous ---- l'honneur de m'écrire: comme vous ne me parlés pas de mon chef d'état major Monsieur Lefebvre je vous l'expédie : afin de savoir de vous s'il est compris dans le nombre d'officiers que vous m'accordés pour ------ en Europe : je vous observent que jai le plus grand besoin de lui à mon arrivée en France : et puisque vous voudrés bien faire tout ce qui peut m'être agréable j'ose prendre la liberté de vous l'envoyer, votre réponse me tranquiliserat. J'ai eut l'honneur de prier Monsieur Saville d''être près de vous mon interprette en faveur de Madame : cette infortunée a perdu dans la colonie son mari capitaine de la 86e 1/2 brigade. Madame Brunet a eut pour cette infortunée quelques bontés : et désirerait la lui continué jusque son arrivée…'ayant point de femmes à sa suitte--ayant tout laissé à St Domingue, elle implore votre humanité pour cette Vve, vous ----Monsieur l'Amiral que les dames ont toujours besoin dans une traversée aussi longue-----de leur sexe pour plusieurs besoins elle compte beaucoup sur vos bontés et vous en témoigne d'avance sa plus vive reconnaissance. malgré le peu d'emplacement qu'il y a dans le vaisseau que vous me destiné pour me porter en Europpe mes deux autres aides de camp se ---toujours contentés d'un poste quelconque à bord: fussent sur les ponts. Je suis désespéré que les batiments ne puissent transportés en Europpe les papiers publiques du département du Sud: votre lettre me suffit pour prouver à mon gouvernement que j'ai rempli mon devoir. Je suis avec la plus haute considération votre très humble serviteur. Brunet ». « General of division Brunet febry 12th 1804 ». (19,5 x 25).
, , 1804. 3 pp. in-4.
« a bord du ----le 14 février 1804. a Monsieur l'amiral Duckworth. Monsieur j'ai l'honneur de vous accuser réception de votre dernière dépèche: je suis chagriné que les circonstances ne vous eut pas permis d'acquiescer à mes demandes pour mes officiers : je vous les recommande Monsieur L'amiral, ils ont toutes les qualités du coeur pour mériter vos bontés: j'ose vous mander de leur acorder par la première occasion un passage pour l'europe compté d'avance sur mes sincères remerciements. Mes deux aides de camp sont Messieurs Baillot chef des ca --------et d'Aberoux capitaine, mes officiers d'etats major sont Messieurs-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------Bertrand inspecteur aux revues Mettinger et Lombard-----------------capitaines d'artillerie. Je suis embarqué conformément a vos ordres avec Madame Brunet mon chef d'état major un aide de camp et le secrétaire, j'expédie pour obtenir ce dernier votre lettre a Monsieur le Commissaire Saville afin qu'il ne-------------------------------------------votre ------aucune dificulté pour sortir-------------------je l'attends ce soir à bord. Je --- n'ai plus le plaisir de vous voir dans cette colonie. veuillez Monsieur recevoir mes adieux. je suis avec la plus parfaite considération Monsieur l'amiral votre très très humble serviteur. Brunet. A Monsieur l'amiral Duckworth commandt les forces navales de Sa majesté dans les colonies. a Kinstow le Gal de Don. Brunet. The General of Division Brunet febry 14th 1804 ». (20X25).
Paris, M. Moreau de St. Méry et M. Ponce, [1791]. 283 x 587 mm.
Beau panorama de la ville du Cap Français, aujourd'hui renommé Cap-Haïtien, dessiné par Fernand de la Brunière et gravé par Nicolas Ponce, et issue du rare Recueil de vues des lieux principaux de la Colonie Françoise de Saint-Domingue de Moreau de Saint-Méry. Situé au nord de l'île, le Cap-Français était alors la capitale de la colonie de Saint-Domingue. La vue, prise depuis le chemin de l'embarcadère de la Petite Anse, sur la rive opposée de la baie du Cap Français, montre l'hôpital, le cimetière, les bâtiments du gouvernement, la paroisse, la vigie et le fort de Picolet. Les symboles des légendes sont figurés par des mouettes. La vue est animée au premier plan de personnages, tandis que la baie est animée de voiliers et frégates. Bel exemplaire. Très légère trace de pliure au milieu de la planche.