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‎[SAINT-DOMINGUE] — BOYE (Jacques).‎

Reference : LBW-8094

‎Etat des services et campagnes du citoyen Etienne Félix Hénin, chef d’escadron. Pièce manuscrite signée (en copie).‎

‎Au quartier-général du Cap, 29 brumaire an 12 (21 novembre 1803). 1 p. in-folio (47,8 x 37,2 cm), annotations au verso, traces de plis.‎


‎Brevet d’adjudant commandant d’un officier de l’armée de Saint-Domingue. « Le général en chef, capitaine général de la colonie de Saint-Domingue, voulant récompenser la conduite distinguée et la bravoure, que le Cit. E. Félix Hénin chef d’escadron adjoint à l’état-major général de l’armée de St Domingue a montrées en diverses occasions et notamment dans l’affaire qui a eu lieu le 26 brumaire dernier (18 novembre 1803), devant le Cap, le nomme adjudant commandant. Il jouira à compter du 26 brumaire an 12, des honneurs et émolumens attachés à ce grade… ». Ce brevet contient deux tableaux : le premier, intitulé « Détails des services » indique ses différents grades, principalement à l’armée d’Italie et à l’armée de Saint-Domingue ; le second, nommé « Campagnes, actions, blessures » précise qu’il fut blessé à la bataille d’Arcole et qu’il eut un cheval tué sous lui lors de la bataille du Cap le 26 brumaire an 12. Né à Baloy (Yonne) en 1755, Etienne Félix d’Hénin de Cuvillers entra dans l’armée en 1779 comme cadet gentilhomme au régiment de Languedoc-Dragons. A partir de 1788, il effectua une carrière diplomatique en tant que chargé d’affaires, d’abord à Venise, puis à Constantinople. En 1796, il réintégra l’armée et servit à l’état-major général de l’armée d’Italie. Passé à l’armée de Saint-Domingue en 1802, il devint chef d’état-major de la division du Nord et commandant du Cap. Le 1er décembre 1803, il fut fait prisonnier par les Anglais. Rentré en France, il devint baron de l’Empire en 1810 puis maréchal de camp en 1819. Auteur d’ouvrages sur la vie politique, le clergé et le magnétisme, il mourut à Paris en 1841. Général de la Révolution et de l’Empire, Jacques Boyé (Montauban, 1766 - Saint-Pétersbourg, 1838) servit à Saint-Domingue à partir de 1793. Il mena plusieurs campagnes contre les rebelles, les Espagnols et les Anglais qui le firent prisonnier en 1804. Libéré en 1811, il participa, l’année suivante, à la campagne de Russie. Fait prisonnier à bataille de la Bérézina, il fut libéré en 1814. Ayant pris la nationalité russe, il changea son nom en Yakov Petrovitch Boyko et devint conseiller d’Etat auprès du tsar. Il ne doit pas être confondu avec le général Jean-Pierre Boyer (1776-1850), homme d’Etat haïtien. On joint : LOUIS XVIII. Lettres de chevalier de l’Ordre militaire de Saint-Louis en faveur d’Etienne Félix, baron d’Hénin de Cuvillers. Pièce signée, contresignée par le maréchal Soult, duc de Dalmatie. Paris, 14 novembre 1814, 1 p. in-4 oblong sur parchemin, sceau de cire rouge conservé dans une boîte en fer‎

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‎SAINT-DOMINGUE — BOYER (Jean-Pierre).‎

Reference : LBW-7645

‎Pièce signée, contresignée par son secrétaire Joseph Balthazar Inginac.‎

‎Port-au-Prince, 10 novembre 1825. In-folio (30,5 x 20 cm) de 1 p. sur une feuille double ; grande vignette gravée de la République d’Haïti accompagnée de l’intitulé « Jean-Pierre Boyer Président d’Haïti ».‎


‎L’arrivée d’un diplomate français au Cap-Haïtien. « Vu les provisions de vice-consul de France au Cap-Haïtien, accordées par Sa Majesté Charles X, Roi de France et de Navarre, à Monsieur Mollien, le quatorze août mil huit cent vingt-cinq ; mandons et ordonnons à tous ceux qu’il appartiendra que Monsieur Mollien soit admis et reconnu au Cap-Haïtien, comme vice-consul de France, et qu’il en exerce les fonctions sans trouble ni empêchement… ». Militaire et homme politique, Jean-Pierre Boyer (1776-1850) participa à la guerre d’indépendance haïtienne avant de devenir premier ministre d’Haïti de 1809 à 1815. En 1818, il fut nommé président à vie, succédant à Alexandre Pétion dont il était proche. En 1820, il unifia le nord et le sud de l’ancienne colonie, puis il annexa la partie espagnole de l’île. Devenu chef suprême d’Haïti, il fut renversé par la révolution de 1843 et s’exila. Explorateur et diplomate, Gaspard Théodore Mollien (1796-1872) fut l’un des rares rescapés du naufrage de la Méduse en 1816 au large des côtes africaines. Il explora ensuite le Cap-Vert, le Sénégal, la Gambie et le Niger. En 1823, il visita la Colombie avant d’occuper plusieurs postes consulaires en Haïti, d’abord au Cap-Haïtien, puis à Port-au-Prince. Il quitta Haïti en 1831 pour devenir consul général à La Havane, poste qu’il occupa jusqu’en 1848. Précieux document. Numa Broc, Dictionnaire illustré des explorateurs français du XIXe siècle, Afrique, pp. 234-235.‎

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‎[SAINT-DOMINGUE] — CAMBIS (Joseph de).‎

Reference : LBW-7340

(1792)

‎[Notes sur la colonie française de Saint-Domingue]. Ensemble de 7 manuscrits autographes.‎

‎1792-1793 et s.d. 18 pp. in-4 (pour la plupart), en feuilles.‎


‎Notes sur la géographie et l’administration de Saint-Domingue, sur l’établissement d’une colonie, le commerce et la comptabilité. Elles sont classées sous forme de notices, avec titres et rubriques: - St. Domingue. S.l.n.d. [ca. 1792], 1 p. in-4, plus p. en anglais. Notes sur la géographie, évoquant notamment la plaine du Cap : «C'est le pays de l'Amérique qui produit le plus de sucre et de meilleure qualité", ainsi que le Cap François dont le port est "admirablement placé pour recevoir les vaisseaux qui arrivent d'Europe… Plus de la moitié des denrées de la colonie entière sont versées dans cet entrepôt…» (p. 2). - Station St. Domingue. Administrateurs du pays. S.l., 1792-1793, 2 pp. in-4. Notes sur l'administration de la colonie, le rôle de la marine et ses rapports avec le gouvernement. Contient aussi une adresse au maire et aux officiers municipaux du Cap, en mars 1793, dans laquelle Cambis exprime son attachement et sa fidélité à la patrie (p. 2). - Délits militaires. Insubordination. S.l.n.d., 2 pp. petit in-folio, ratures et corrections. Notes sur la mutinerie, la désobéissance et la désertion. - Préfet colonial. S.l.n.d., 1 p. in-4. Liste des responsabilités d'un préfet colonial : levée de contributions, solde et entretien des troupes, approvisionnements, inscription maritime, répression du commerce interlope, répartition des prises, etc. - Colonie (Etablissement de). S.l.n.d. [ca. 1793], 1 p. in-4. Contient le plan d'établissement d'une colonie, où l’auteur préconise «des lois précises, qui règlent l'échange des services mutuels qui doivent remplacer la domesticité et l'esclavage». Il ajoute aussi: «Avancer le système de civilisation par les mariages avec les filles du pays: ce lien si cher et si sensible éteint ces distinctions odieuses qui nourrissent des haines éternelles et qui séparent à jamais des peuples habitant la même région et vivant sous les mêmes lois». - Commerce. S.l.n.d., 8 pp. (dont une en anglais, d'une écriture penchée). Code marchand, sociétés, lettres de change, intérêts, capital, bilan, profits et pertes, comptes, factures et charte-partie (contrat entre un fréteur et un affréteur). - Comptabilité. S.l.n.d., 1 p. . Principes généraux de la comptabilité, tenue des comptes, registre journal, contrôle par l’ordonnateur, etc. Entré dans la marine en 1764, Joseph de Cambis participa, de 1778 à 1782, à la guerre d'indépendance américaine. Favorable aux idées révolutionnaires, il conduisit à Saint-Domingue les premiers commissaires de l'Assemblée nationale. Resté dans la colonie, il dirigea, en 1793, la station navale des îles Sous-le-Vent. Entré en conflit avec les commissaires civils Sonthonax et Polverel, il fut destitué par eux en juin 1793 et renvoyé en France. Débarqué à Lorient en octobre, il fut arrêté et destitué le mois suivant. Libéré en octobre 1794, il fut réintégré dans son grade en septembre 1795. Cf. Taillemite, Dictionnaire des marins français.‎

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‎[SAINT-DOMINGUE] - CORDIER (Mme)‎

Reference : 2128

‎Stéphane et Marie ou persévérance et courage. Bibliothèque chrétienne et morale, approuvée par Mgr l’Évêque de Limoges ‎

‎Limoges, Barbou Frères, imp.-lib., 1852 - in-8 : 215 pp. - rel. cart. romantique de l’ép. ornée sur plats et dos, 2 coins inf. écrasés ; grav. en front.‎


‎Belle reliure romantique en long.‎

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‎[SAINT-DOMINGUE] DUGUA (Charles-François-Joseph)‎

Reference : 666626

‎P.S.‎

‎Au Q.G. du Cap, 16 prairial an 10, 5 juin 1802 , 1 pp. in-folio, en-tête de l'état major de l'Armée de St-Domingue avec vignette gravée ; petite déchirure à la pliure. ‎


‎Ordre au citoyen Gatras "chef de bataillon attaché au general de brigade Rigaud, de se rendre en France, près de lui. Sitôt son arrivée il en donnera avis au Ministre de la Marine et des Colonies, qui est dejà prevenu sur son retour."Engagé dans l'armée depuis 1760, Charles-François-Joseph Dugua (1744-1802) avait participé sous la Révolution avec le grade de général, aux campagnes des Pyrénées Orientales (1793-1795), d'Italie (1796-1798) et d'Orient (1798-1800). Commandant la 10e Division militaire à Toulouse, il avait été nommé en octobre 1801 chef d'état-major du général Leclerc à l'Armée de Saint-Domingue, embarqué à Brest fin décembre, débarqué dans les îles en février 1802. Le 2 mai, une autre flotte débarquait en Guadeloupe sous le commandement de Richepance. Dans le même temps, Bonaparte rétablissait l'esclavage par décret du 10 mai. Blessé au siège du fort de la Crête-à-Pierrot (mars 1802), Dugua mourra de la fièvre jaune le 16 octobre 1802 ; le beau-frère de Bonaparte, Leclerc, suivra peu après le 1er novembre. ‎

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‎SAINT-DOMINGUE. — JONQUIERES (F. de). — AUGE.‎

Reference : LBW-6439

(1825)

‎Documents relatifs aux demandes d'indemnisation.‎

‎Paris, 1825-1826. 2 pp. in-4 imprimées, et 1 p. in-4 imprimée. ‎


‎Ensemble de deux imprimés : - Instruction à suivre par les Anciens Propriétaires et Colons de Saint-Domingue, pour faire liquider l'indemnité qui leur est allouée en vertu de la loi du 30 avril 1826. [Paris, 1826]. Note d'instructions destinée aux anciens propriétaires qui dresse la liste complète des documents à fournir, notamment les renseignements sur les propriétés : localisation, superficie, cultures, abornements, distance de l'embarcadère, moyens d'exploitation, nombre d'esclaves, animaux, bâtiments et usines, nature des denrées récoltées en 1789 ou dans l'année la plus rapprochée. Le cabinet Jonquières et Augé prendra une commission de 4 % au-dessous de 4000 fr. d'indemnité, 3 % de 4001 à 10000 fr. et 2 % au-dessus de 10000 fr. - Avis aux anciens colons de Saint-Domingue.[Paris, 1826]. Imprimé contenant, en 14 points, la liste des renseignements à fournir pour constituer le dossier d'indemnisation : localisation, nom de l'habitation, superficie, cultures, matériel, animaux, revenu annuel, valeur présumée de l'habitation, etc. Dans la marge, on a ajouté à la main : "7° Le nombre de nègres qui existaient dans l'habitation. 8° La nature des moulins". Etabli d'abord au 12 rue de Ménars, le cabinet Jonquières et Augé fut transféré au 65 rue Neuve des Petits-Champs à Paris. En 1825, un traité fut signé entre le roi Charles X et le président de la République haïtienne, selon lequel Haïti consentait une indemnité de 150 millions en faveur des colons dépossédés, en échange de la reconnaissance de la République haïtienne par la France. Une commission d'indemnisation fut nommée, et examina, entre 1826 et 1833, plus de 27000 demandes de propriétaires de Saint-Domingue et de leurs ayants droits, retenant finalement 12000 dossiers. Bon état de conservation.‎

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‎SAINT-DOMINGUE — LABAN.‎

Reference : LBW-2997

‎Lettre autographe signée.‎

‎Roseaux, paroisse Saint-Marc, 20 mai 1790. 4 pp. in-4 d'une écriture régulière et très lisible.‎


‎Lettre d'un français établi à Saint-Domingue, adressée à son oncle demeurant à Toulouse. Il est d'abord question de l'héritage de ses parents, dont il n'a encore rien reçu. Désireux de récupérer sa part, il a signé une procuration qu'il a envoyée à Toulouse en juin dernier. Ne sachant pas si les biens de ses parents ont été vendus, il demande à son oncle de lui fournir des explications. Il souhaiterait aussi avoir des nouvelles de son frère, Joseph Laban, et demande qu'on adresse son courrier dans une enveloppe au nom de "Monsieur Roux et Cie, négociant à Saint-Marc, isle St Domingue". Il précise aussi que les lettres à destination des îles ou de l'étranger doivent être affranchies de Toulouse pour Bordeaux (ou autre port de mer), sinon elles ne sont pas acheminées. La dernière partie évoque la situation dans la colonie : "Vers la fin de décembre dernier le paÿs a été sagement gardé par les Blancs et gens de couleur libres, plusieurs nègres annonçant ou laissant voir qu'ils auroient secoué le joug de l'esclavage le jour du premier de l'an, sur les faux bruits que ces êtres brutaux avoient ouï que le Roy les avoit affranchis… En mars dernier les gens de couleur au lieu-dit la Petite Rivière ont voulu se révolter. Le commandant de St Marc, M. de Campan, homme brave, les a repoussés et les a obligés de prêter en place publique le serment de fidélité, les chefs de cette conjuration ont été proscrits. Leur tête est à prix, on en a saisi quelques-uns, ils sont retenus en prison, et je pense qu'ils seront punis selon qu'ils le méritent. L'assemblée générale a été convoquée à St Marc d'où elle n'est pas prête à sortir. Il y a présentement dans cette ville deux ou trois cents membres qui composent ce corps…". Intéressante lettre, écrite un an avant le soulèvement des esclaves de Saint-Domingue (1791).‎

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‎[SAINT-DOMINGUE] — LAFOREST (Hippolyte).‎

Reference : LBW-8005

‎Lettre signée à M. Estienne, au Plessis, près Châteaudun (Eure-et-Loir).‎

‎Jérémie, Isle d’Haïti, 1er janvier 1817. In-4 (23,8 x 19,5 cm) de 8 pp., en feuilles, cachet de cire noire, adresse, marques postales (Colonies par Nantes).‎


‎Longue lettre sur la situation économique de l’ancienne colonie de Saint-Domingue. Négociant à Jérémie, Laforest évoque le voyage de Santiago de Cuba qu’il avait effectué sur l’un des bâtiments de son correspondant, puis il aborde la situation d’Haïti : « Le Général Pétion connu sous le titre de Président d’Haïti reçoit avec candeur généralement toutes les nations qui viennent dans la colonie pour commercer ; les Français en font partie, pourvu qu’ils n’y viennent point sous pavillon français. Les Français d’après notre constitution ne peuvent y résider à titre de maître ni de propriétaire. Tous les biens des anciens colons ont été vendus au profit du gouvernement, nul n’a droit d’y prétendre… ». Il ne peut fournir les renseignements demandés par son correspondant au sujet de plusieurs propriétés : « Les habitations dans toute l’étendue du quartier de Jérémie ont été incendiées par l’insurrection qui y existe depuis dix ans ; cependant on commence à les relever ; les nouveaux propriétaires y travaillent à force et sous peu de temps selon les apparences ce quartier offrira encore une très belle perspective… ». « Les denrées sont extrêmement chères cette année, rapport à un ouragan qui a abîmé les plantations dans toute l’étendue de l’isle ; Le café vaut de 2 à 3 S la livre. Le sucre $ 13 le %. Le coton $ 30 le %. Le cacao $ 12 à $ 13 le %. L’acajou 10 S le pied. Le bois de campêche $ 12 le tonneau… ». Laforest mentionne les prix d’autres denrées (vin, huile, farine, etc.) ainsi que les droits d’exportation et d’importation. Il ajoute que le commerce se porte bien : « Il y a souvent des bâtiments de toutes nations dans nos ports, tels qu’Anglais, Américains, Espagnols, Hollandais, Prussiens, etc., ils font tous bien leurs affaires et jouissent de la protection du gouvernement […]. Les bâtiments venant de France jouissent des mêmes protections, mais ils n’y viennent point sous pavillon français… ». Puis il précise : « Il n’y a en fait de négociants étrangers établis en cette place que des Anglais. Tous les autres sont Haïtiens et je fais partie de leur nombre : je suis établi dans le commerce depuis sept ans, je reçois des consignations, soit bâtiments, soit marchandises. Notre maison est connue sous le rapport de Laforest & Brierre… ». Il propose à son correspondant d’entrer en relations commerciales avec lui, et termine sa lettre en donnant quelques renseignements sur des parents qui avaient résidé dans la colonie. La maison Laforest et Brière, établie à Jérémie, est mentionnée dans l’Almanach-Bottin du commerce (1842, p. 1150). Quant à Hippolyte Laforest, il était apparenté à la famille Tabuteau (source : Généalogie et Histoire de la Caraïbe). Cote d’inventaire inscrite ultérieurement en première page, probablement à l’occasion de la demande d’indemnisation des anciens colons de Saint-Domingue.‎

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‎[SAINT-DOMINGUE] PEINIER (Louis-Antoine Thomassin de)‎

Reference : 178716

‎L.S. et 6 copies de lettres au ministre de la Marine, le comte de La Luzerne, 1 L.S. de La Luzerne à Peinier et 4 copies de lettres certifiées conformes par les membres du Comité paroissial‎

‎Port-au-Prince, Paris, 1789-1790 in-4 et in-folio, Qqs lettres sont froissées. ‎


‎Intéressant ensemble sur la colonie au début de la Révolution. 14 octobre 1789. La Luzerne recommande M. de Monglat, avocat, qui résidera au Port-au-Prince… 25 avril 1790. Peinier raconte ses difficultés pour maintenir l'ordre dans la colonie : révolte de la compagnie du Drozaire, condamnation des rebelles par un conseil de guerre, fuite de mulâtres soupçonnés de complot vers la partie espagnole de l'île… 26 avril. Peinier raconte la réaction de députés de l'Assemblée coloniale, aux décrets de l'Assemblée nationale concernant les colonies ; l'assemblée qui siège à Saint-Marc se considère comme pratiquement souveraine… 9 mai. Peinier informe le ministre que l'Assemblée coloniale a rejeté des propositions de reconnaître les Droits de l'Homme et de déclarer l'égalité des gens de couleur et des Blancs… 6 juin. La Luzerne envoie un mémoire lu à l'Assemblée nationale sur l'indiscipline de certains régiments… 11 juin. La Luzerne fait part de l'interdiction royale de faire usage d'aucune cocarde, sauf la cocarde nationale… Juin. La Luzerne informe le gouverneur de mesures prises ou à prendre pour la fédération des troupes de terre avec les milices nationales… 21 août. Peinier avise le ministre du refus de la province du Nord de fournir des troupes pour en imposer à l'attroupement de Léogane… 3 septembre. Peinier envoie copie de sa proclamation aux paroisses concernant la conduite de l'assemblée ci-devant séant à Saint-Marc, et la formation d'une nouvelle… 17 octobre. Peinier expose les difficultés rencontrées pour mettre en œuvre les décrets de l'Assemblée nationale relatifs aux municipalités ; ils n'ont pas prévu de traiter avec des nations riveraines… Etc.On joint la copie d'époque d'une lettre de La Luzerne au marquis de La Galissonnière, mars 1790. ‎

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‎SAINT-DOMINGUE- PONCIGNON, COUGNACQ-MION (Charles-François)‎

Reference : 16900

‎Lettre des membres de l'Assemblée provinciale du Nord de Saint-Domingue, à l'Assemblée Nationale.‎

‎ In-8, broché (sans couverture), 3 p. Paris, Imprimerie Nationale, 1790.‎


‎Edition originale. Sur l'agitation entretenue par l'Assemblée coloniale dans le but d'obtenir l'indépendance de la colonie. Les membres de l'Assemblée provinciale du Nord de Saint-Domingue assurent de leur loyauté vis-à-vis de la métropole et se montrent hostiles à toute volonté dindépendance de Saint-Domingue.Signé Poncignon, président, Cougnacq-Mion, vice-président et daté du Cap, le 31 août 1790.Charles-François Cougnacq, dit Cougnacq-Mion, était propriétaire d'une indigoterie et chirurgien-major des milices. Envoyé en France en 1790 comme commissaire de l'Assemblée Coloniale, il passa en Angleterre.(Manque aux principales bibliographies spécialisées).Bon exemplaire, très frais. ‎

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‎[SAINT-DOMINGUE] — RIVOIRE.‎

Reference : LBW-8001

‎Lettre autographe signée.‎

‎La Grande Anse, 23 juillet 1770. Petit in-folio (33,7 x 21,5 cm) de 4 pp. ; traces de plis.‎


‎Intéressant témoignage sur le tremblement de terre du 3 juin 1770. L’auteur, un négociant établi dans le sud de la colonie, décrit ce qu’il a observé lors de cet événement : « Je me promenois avec deux autres personnes devant mon magasin lorsque j’entendis un bruit sourd et violent, qui venoit du fond de la maison et en même tems le mouvement de la terre, je courus du côté du bord de la mer, le mouvement devint si violent que couché ventre à terre je roulois comme une boule, je me retenois à tout ce que je pouvois […]. Dans le moment toute la ville vint bas, ainsi que ma maison ras terre, la poussière fut si épaisse qu’il n’étoit pas possible de bouger de place. La terre se fendoit, et s’ouvroit de tous côtés autour de moy, il ne restoit d’autre espérance que d’être englouty ou par la terre, ou par la mer. Les cris de miséricorde mon Dieu étoient épouvantables. Lorsque la poussière me permit d’ouvrir les yeux, je cherchois à gagner les hauteurs… ». Après une nuit passée à la campagne, il retourne le lendemain sur l’emplacement de sa maison où il retrouve son personnel : « Mes commis et domestiques me joignirent. Les larmes alors me vinrent aux yeux tant par l’affreux spectacle que le jour éclairoit que de joye intérieure de voir que personne de ma maison n’étoit tué… ». Ne pouvant régler ses créanciers, il demande à son correspondant de lui faire payer la moitié ou du moins le tiers de ses « malheureux papiers du Mississipi », ou de les remettre à une personne qui pourra les négocier. Le tremblement de terre du 3 juin 1770 eut lieu à 7 heures 15 du soir, avec deux secousses de 4 minutes environ à Port-au-Prince et dans les régions du sud, provoquant la destruction des villes. Document très lisible.‎

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‎[SAINT-DOMINGUE] — SIMOND, HANKEY & fils.‎

Reference : LBW-8087

‎Lettre signée à M. Mérot fils aîné, à Jersey.‎

‎Londres, 25 novembre 1796. 3 pp. in-4 (22,8 x 18,2 cm) sur une feuille double, en français.‎


‎Le remplacement du gérant de l’habitation Mérot à Saint-Domingue. Originaire de Nantes, la famille Mérot possédait une habitation-sucrerie au Boucassin, dans la paroisse de l’Arcahaye, au nord de Port-au-Prince. Au moment de la Révolution, une partie de la famille émigra en Angleterre et continua à suivre les affaires de Saint-Domingue par l’intermédiaire de la maison Simond, Hankey et fils, de Londres, auteur de la présente lettre. Il est d’abord question du courrier reçu et envoyé, d’un crédit non encore utilisé, d’un « paquet » en provenance de Saint-Domingue et qui n’est pas arrivé, du départ du général britannique Simcoe, des renforts attendus (3 000 hommes) et de la guerre que l’Espagne veut déclarer au Portugal. Viennent ensuite les nouvelles de l’habitation : « [On] vient de recevoir à l’instant lettre […] annonçant que […] Mr Guy de Mareil gérant votre habitation est décédé dans la nuit du 28 au 29 août dernier avant que la fièvre dont il étoit attaqué lui ait laissé le tems de consommer ses dispositions en faveur de Mr Goyon des Murlières. [Cependant] après un mûr entretien avec notre ami commun [celui-ci] pense que Mr de La Tullaye major des vaisseaux & à son défaut Mr de La Tullaye lieutenant des vaisseaux frère du susdit, méritent votre confiance entière, ils avoient celle de leur famille ainsi que de Mr Drouet général des finances, qui habitoit souvent la Ville-au-Blanc, mais dont l’habitation à Léogane est au pouvoir des brigands ; ils sont à la tête de l’artillerie à St Domingue, jouissent de la réputation & du crédit le plus distingué, sont vos concitoyens nantais & sûrement capables de tenir une place de confiance dont dépend le bonheur de votre famille respectable… ». Une procuration va être envoyée à Mérot qui devra la remplir et la retourner à Simond, Hankey et fils ; il devra aussi donner des instructions précisant que son nouveau gérant aura pour correspondant la maison E.J. Guieu Bion & Cie, négociants à Port-au-Prince. Le destinataire de la lettre est probablement Jean Mérot (1754-1843), qui confia la gestion de ses biens à Saint-Domingue à la famille de La Tullaye. Il était le frère de François Mérot du Barré (1761-1843), dont l’un des fils, Edouard, naquit à Londres en 1796. Rentré en France en 1802, François devint alors entreposeur des tabacs et poudres à Nantes (source : Archives départementales de Loire-Atlantique). La maison Simond, Hankey et fils (ou Simond, Hankey et Cie) était une banque nouvellement créée qui accordait de nombreux crédits aux réfugiés des Antilles. Cf. Chevalier (G.A.), Debien (G.), Dermigny (L.) et al., Les Papiers privés de l’Amérique française (suite et fin), in « Revue d’histoire de l’Amérique française », 1953, 7 (2), p. 279.‎

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‎SAINTE-CROIX de LA RONCIERE.-‎

Reference : 34160

‎Dans le sillage des Caravelles de Colomb. L'Ile d'Emeraude.‎

‎ P., "La caravelle", 1930, grand in 8° broché, 257 pages ; nombreuses illustration et une carte dépliante ; importante bibliographie in-fine ; couverture illustrée en couleurs (fanée). ‎


‎ ...................... Photos sur demande ..........................‎

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‎SAINTE-CROIX (Lambert de);‎

Reference : 13026

(1897)

‎Onze mois au MEXIQUE et au Centre-Amérique.‎

‎Plon-Nourrit et Cie Paris 1897 1 vol. In-12 de VIII 292 pp., demi-percaline de l'époque, dos lisse fileté, couverture conservée.‎


‎Edition originale. Ouvrage accompagné de reproductions photographiques et d'une carte repliée. Bon exemplaire.‎

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‎[SAINTE-LUCIE] — BELLIN (Jacques-Nicolas).‎

Reference : LBW-8006

(1763)

‎Carte de l'isle de Sainte Lucie.‎

‎1763. En 8 sections montées sur toile et pliées, formant une carte de 59,2 x 90,2 Cm ; titre manuscrit à l'encre au dos.‎


‎Belle et grande carte de Sainte-Lucie, île des Antilles située entre la Martinique et Saint-Vincent. Elle est ornée d'un beau cartouche de titre décoré des armoiries royales, et d'une rose des vents indiquant le nord, placé à gauche de la carte. L'île est divisée en deux parties : Basse Terre à l'ouest, et Cabesterre à l'est. Trois symboles désignent les endroits où les gros vaisseaux et les petits bâtiments de 40 à 50 tonneaux peuvent mouiller, ainsi que les terrains défrichés où l'on a planté anciennement du manioc et du mahy. La partie haute de la carte est occupée par trois plans : plan du port du Carénage, au nord-ouest de l'île, renommé Castries en 1785, et aujourd'hui capitale de Sainte-Lucie ; plan du cul de sac des Roseaux, à l'ouest ; et un plan des mouillages du Grand Islet et du Choc, au nord-ouest de l'île. À l'intérieur de l'île, très peu détaillé, on peut voir le volcan de la Soufrière. La carte a été dressée par Jacques-Nicolas Bellin. Ingénieur hydrographe français, IL entra en 1721 au Dépôt des cartes, plans et journaux de la Marine, créé en 1720 par le Régent. C’est grâce à lui que le Dépôt de la Marine, constitué à partir des archives de la Marine, devint l’une des plus belles collections d’Europe. Il publia de nombreux ouvrages et atlas tels que la Description géographique de la Guyane en 1763 ou le Neptune François en 1773. Très bon exemplaire. Deux petites taches dans le coin inférieur droit. Tooley, MCC n°81, Printed maps of St. Kitts, St. Lucia and St. Vincent, p. 11.‎

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‎SAINT-HILAIRE.‎

Reference : LBW-1534

(1836)

‎Rapport sur l'administration de la justice aux colonies.‎

‎Paris, Imprimerie Royale, 1836. In-8 de 27 pp. ; cartonnage de papier gris, titre au dos (reliure moderne).‎


‎Pour la première fois, et sur le même modèle que cela se pratiquait pour la métropole, le conseiller d'état Saint-Hilaire, directeur des colonies, dresse un tableau de l'administration de la justice dans les colonies. L'auteur du rapport déplore un manque de données qui ne lui permettent pas de poursuivre très loin son analyse, mais il constate tout de même que, avec des effectifs moindres, les justices coloniales règlent un nombre d'affaire comparable à celui de la plupart des département français. Bel exemplaire.‎

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‎SAINT-MAURIS (Charles Emmanuel, chevalier de).‎

Reference : LBW-6460

‎Pièce signée.‎

‎Paris, 7 mars 1782. 1 p. in-12 oblong (16,7 x 20,1 cm) ; cachet de cire armorié.‎


‎Certificat en faveur d’un officier ayant servi à la Martinique. «Nous […] certifions à tous qu’il appartiendra que M. Laurent chevalier d’Epernay, officier au corps royal de l’artillerie, a débarqué à la Martinique dans cette qualité avec un détachement dudit régiment auquel il était attaché dans l’année 1767, lorsque nous étions commandant général en ladite île; et que pendant les deux années que nous avons commandé dans cette qualité, nous n’avons que des éloges à donner au zèle, à l’intelligence et à l’activité que cet officier a toujours montré pour le service du Roy…». Issu de l’une des plus anciennes familles de la noblesse de Franche-Comté et colonel d’un régiment portant son nom, le chevalier de Saint-Mauris fut commandant en second de la Martinique, avant de devenir, en 1767, gouverneur par intérim après le départ du comte d’Ennery, gouverneur général. Rentré en France, il devint par la suite gouverneur de Péronne et maréchal de camp; c’est à ce titre qu’il signa le présent document. Référence: Saint-Mauris (Charles Emmanuel Polycarpe), Généalogie historique de la maison de Saint-Mauris, Vesoul, Imprimerie de C.-F. Bobillier, 1830, p. 254.‎

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‎SAINVILLE (Léonard)‎

Reference : 33435

‎Victor Schœlcher (1804 - 1893). ‎

‎Paris, Fasquelle, 1950. in-8, 269pp.-1f. - quelques planches de photogravures. Broché.‎


‎ - Papier légèrement jauni.‎

Librairie Devaux - Moulins

Phone number : 33 04 70 44 02 65

EUR12.00 (€12.00 )

‎[Gérard Noel Guy ] - ‎ ‎Sala Gilles - Beaux René,Pau Elie - Sala Gilles,Pau Elie‎

Reference : 85107

(1950)

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR40.00 (€40.00 )

‎Sala Gilles - d'Anella Marcel,Sala Gilles - Legay Suzanne,Sala Gilles‎

Reference : 5801

(1944)

‎Partition de la chanson : Petit roi des ananas ‎

‎Partitions sur les Fruits et légumes,Partitions sur les Antilles d'AnellaMarcel 1944‎


‎ Bon état Petit format Accordéon,Piano ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR8.00 (€8.00 )

‎Salvador Henri - - Desbois Roger‎

Reference : 71840

(1950)

‎Partition de la chanson : Maladie d'amour Paroles Antillaises et musique recueillies par Abel Beauregard ‎

‎Partitions sur les Antilles,Partitions illustrées QUELQUE PART AUTOUR DU GLOBE Universelles 1950‎


‎ Etat moyen Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎SAMUEL ELIOT MORISON‎

Reference : 18615

(1974)

‎Christophe Colomb amiral de la mer océane.‎

‎ 1974 Saint Clair, 1974, 422 pages, in 8 reliure éditeur cartonnée skaivertex noir, rouge et or, dos et mors skaivertex marron, titres or, état correct, quelques usures et frottements sur le dos.‎


Phone number : 06.80.85.37.77

EUR7.00 (€7.00 )

‎[SANSON D'ABBEVILLE (Nicolas)].‎

Reference : 230537

‎Isle de la Guadeloupe. Scituée à 16 degrez de Lat .Septentrionale. A Paris chez Pierre Mariette, rue S.Iacques à L'Espérance. Avec Privilège du Roy‎

‎Paris, MARIETTE Pierre, (vers 1662) à vue : 32 x 43,5 cm - cadre : 43 x 52.5 cm , Cadre du XXe siècle. Déchirures dont une au coin inférieur gauche et une au niveau inférieur de la pliure centrale. Taches. ‎


‎Belle Carte gravée de la Guadeloupe rehaussée à l'aquarelle. Nicolas SANSON D'ABBEVILLE (1600-1667) est un cartographe et géographe. Il fut notamment le professeur de géographie de Louis XIII et de Louis XIV. Il s'associa avec Pierre Mariette pour l'édition de ses cartes. Gravée par Abraham PEYROUNIN, (1620-1666).Editée par Pierre II Mariette (1634-1716) qui obtint en 1662 la permission de graver et d'éditer les traités et cartes géographiques de Nicolas Sanson.Joli cadre du XXème siècle à renforts de laiton aux coins, rappelant l'univers marin du sujet. ‎

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‎SANSON d'ABBEVILLE (Nicolas).‎

Reference : LBW-606

(1670)

‎[SAINT KITTS] Carte de lisle de Sainct Christophle.‎

‎Paris, Pierre Mariette, [1670]. 308 x 424 mm.‎

‎Très rare première carte imprimée de Saint Kitts, île des petites Antilles, gravée par Peyrounin. On y voit l'île partagée entre les Français et les Anglais, avec leur nombre d'hommes : Quartier des Anglois qui sont au nombre de dix mille et François qui sont au nombre de six mille. Les forts, les mines de soufre et d'argent, ainsi que le Logis de Mr. de Poincy, lieutenant général des îles d'Amérique, sont indiqués. Le nord est à gauche de la carte. Très bel exemplaire. Pastoureau, p. 416, cite un ensemble de cartes, dont celle-ci, publiées dans un atlas de Sanson d'Abbeville.‎


[SAINT KITTS] Carte de lisle de Sainct Christophle.. SANSON d'ABBEVILLE (Nicolas).
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‎SANTO-DOMINGO (capitaine).‎

Reference : LBW-4739

(1791)

‎Exposé de la conduite de M. Santo-Domingo, commandant le vaisseau le Léopard, en station à Saint-Domingue.‎

‎Paris, Imprimerie de Quillau, 1791. In-8 de 16 pp.; cartonnage de papier marbré à la bradel, pièce de titre de maroquin bordeaux au dos avec le titre en long (reliure moderne).‎


‎Récit en forme de justification du capitaine en second du Léopard, en mouillage à Port-au-Prince en juillet 1790. Nommé capitaine par l'équipage (car son titulaire était à terre et refusait de remonter à bord), et il embarqua, après une escale à Saint-Marc, les membres de l'Assemblée Générale (nouveau nom de l'Assemblée Coloniale) et les mena en France. [Joint, du même:] - Conduite de M. de Santo-Domingo, lue par lui-même à l'Assemblée Nationale, le 7 octobre 1790. Paris, Didot fils aîné, 1790. In-8 de 8 pp.; cartonnage de papier marbé à la bradel, pièce de titre de maroquin citron au dos avec le titre en long (reliure moderne). Bons exemplaires. Correction manuscrite de l'époque page 5 du premier texte. Max Bissainthe, 5714, 7916, 7917. — Sabin, 76875 & 76874.‎

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West indies
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