Sahara-Soudan-Guinée, Congo, Egypte, Ethiopie, Afrique Orientale, Inde, Indochine, Chine tropicale, Philippines, Papouasie, Archipel tropicaux du Pacifique, Mexique, Amérique centrale, Antilles, Guyane, Brésil. In 4 reliure éditeur, pleine toile verte, plaque argentée avec titre sur le premier plat. Faux-titre, titre, XIX-244 pages, 450 illustrations, Armand Colin & Cie éditeur 1897
Paris Armand Colin 1897 1 4° demi-chagrin tête de nègre XX, 268 pages Armand Colin, Paris, 1897. Un volume in 4° relié demi-chagrin tête de nègre à coins, dos à cinq nerfs, caissons ornés de fleurons dorés, plats papier marbré, XX, 268 pages, 411 photographies Poids près de 2 kg avant emballage, frais d'envoi 10
Bon état Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
COLIN ARMAND. 1897. In-8. Relié. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos abîmé, Intérieur frais. XIX + 244 pages - nombreuses gravures en noir et blanc dans et hors texte - couverture d'origine conservée - plats et contre-plats jaspés. . . . Classification Dewey : 996-Autres régions du pacifique
Sommaire: le Sahara et l'Arabie tropicale - le Soudan et la Guinée - le bassin du Congo - la Haute-Egypte et l'Ethiopie - l'Afrique orientale - l'Inde - l'Indo-Chine - la Chine tropicale - Insulinde, Philippines et Ppouasie - Archipel tropicaux du Pacifique - le Mexique - Amerique centrale - les Antilles - L'Amerique tropicale andine - Guyane et Bresil. Classification Dewey : 996-Autres régions du pacifique
Société d'Etudes Historiques de la N.C.. 1985. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 72 pages augmentées de nombreuses photos et cartes en noir et blanc,dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 996-Autres régions du pacifique
Classification Dewey : 996-Autres régions du pacifique
Couverture souple. Broché. 124 pages. Rousseurs.
Livre. Editions Arthème Fayard, 1929.
Fayard.1929.E.O.In-8 demi-relié.Ex.n°2/15, sur pur fil Lafuma.122 p.Etat neuf.Demi-chagrin avec caractères dorés.Tète dorée.Couv.conservées.
Librairie Delagrave. 1927. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Papier jauni. 126 pages. Coins frottés. Accrocs légers au dos. Nombreuses rousseurs. Frontispice illustré en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 996-Autres régions du pacifique
Bibliothèque d'Histoire et de politique. Classification Dewey : 996-Autres régions du pacifique
Paris, Delagrave 1927, 1 volume, in-12, broché, 126 p.. Une carte, notes et sources au bas des pages. Envoi autographe de l'auteur à Henri Moysset. Sous papier cristal de protection d'origine.
Henri Moysset deviendra ministre d'Etat sous le gouvernement de Vichy, il sera inculpé de trahison à la libération, l'action publique est éteinte depuis son décès en 1949. Envoi gratuit en colissimo ordinaire pour la France métropolitaine. Très bel état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
DELROISSE / VILO. ANNEES 70. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 208 pages illustrées de nombreuses photos en couleur in et hors texte - augmenté d'une carte - Jaquette abimée et illustrée d'une photo en couleur.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 996-Autres régions du pacifique
Ouvrage traduit en Espagnol / Français / Anglais et Allemand. Classification Dewey : 996-Autres régions du pacifique
GRASSET. 54ème édition. 1947. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Non coupé. 385 pages. Frontispice noir et blanc hors-texte. Quelques planches de photos en héliogravures hors-texte. Carte dépliante en noir et blanc, en fin d'ouvrage.. . . . Classification Dewey : 996-Autres régions du pacifique
Chez les Singhalais et les Tamouls. Classification Dewey : 996-Autres régions du pacifique
1970 2 volumes (complete). xi, 753 p., 324 figs, 72 (32 col.) pls, publisher's cloth. Library stamps (Zoological Museum Amsterdam), and number on spine.
1988 108 p., 207 figs, hardbound.
1988 108 p., 207 figs, hardbound. Library stamps and markings, but else good copy.
Etudes de mœurs Martiniquaises. Grand in 8 broché, faux-titre, frontispice en couleurs de MauriceMILLIERE, titre 258 pages, 61 reproductions photographiques. Couverture de Pierre BIDARD. Bandeaux et culs de lampe d’après les dessins originaux de COMMET d’AAGE Editons Berger Levrault 30 Septembre 1937. Large mouillure au deuxième plat ainsi qu’aux deux dernières pages (atténuée) Ensemble très correct. Edition originale. Très bonne étude sur la MARTINIQUE son histoire, le patois créoles, ses mœurs Etc.
1954 Nouméa, Technical paper n° 79, 1954 : in-4°, broché 202 pp., couverture imprimée. Très bon état, couverture légèrement défraichie !
Paris, L. Tenré et Henri Dupuy, 1834. 2 volumes in-4 de [4]-VIII-576 et [4]-584 pages, demi-basane verte, dos lisses ornés de filets dorés, traces d'étiquette dans la partie supérieure des dos, petite fente à un mors, coiffes, coupes et coins frottés, premier cahier du tome second légèrement déboîté, avec une petite mouillure.
Illustré au tome premier d'un frontispice, de 140 planches et 3 cartes (des îles de Tahiti, d'Hawaï et la carte générale des Voyages pittoresques), et pour le second tome, un frontispice, 136 planches et 3 cartes (des îles Tonga, de la Nouvelle-Zélande et une carte générale de l'Océanie). Les 276 planches ont été dessinées par Louis de Sainson, dessinateur du voyage de l'Astrolabe, commandé par Dumont d'Urville en 1826-1829. Fabuleux travail entrepris par Dummont d'Urville, qui réunit ici tous les plus grands récits de voyages et d'explorations, en les débarrassant de leurs indications nautiques et autres relevés météorologiques (fastidieux à lire pour le commun des mortels), en évitant les redites (les navigateurs se trouvent souvent dans les pas de leur devanciers). Sous la forme d'une grande circum-navigation, le récit, à la première personne, passe par toutes les côtes et les îles de nos océans et de nos mers, avec tout de même une nette prédilection pour l'océan Pacifique et l'Océanie.
Publié sous la direction du Contre Amiral DUMONT D’ URVILLE. Nouvelle édition revue, corrigée. Deux tomes en deux volumes in 4 demi-cuir rouge. Titre et caissons dorés. Larges filets à froid sur les plats. Tome1 : faux-titre, frontispice gravé, sous serpente, titre XI, 550 pages, 1 page de table des chapitres, tranches mouchetées. 21 gravures sur acier, hors-texte, sous serpente, y compris le frontispice, Une grande carte dépliante Tour du Monde. Furne & Cie 1848. Rousseurs, importantes, fortes à certaines pages ainsi qu’au verso de certaines gravures. Une mouillure à l’ange supérieur droit. Tome 2 : faux-titre, frontispice gravé sous serpente« mort du Capitaine COOK », 542 pages, 20 gravures sur acier, hors-texte , sous serpente, y compris le frontispice. Grande carte dépliante des Iles TAHITI pour les voyages autour du monde ; 1 page de table des chapitres. Rousseurs, fortes et concentrées à certaines pages, ainsi qu’au verso de certaines gravures. Furne et Cie 1848
1834 Tenré, Paris, 1834 - 1835. Deux volumes in 4° reliés demi-chagrin rouge à dos lisse orné de filets dorés, plats papier marbré, bon état général., (4), VIII, 576 pp et (4), 576 pages (manque 8 pp de la table analytique), 278 planches dont deux planches de portraits, 6 cartes dépliantes, texte sur deux colonnes. Envoi colissimo recommandé R3, 20 .
Ouvrage essentiellement consacré à l'Océan Pacifique, Asie et Océanie. Bon état général, Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Paris Tenré 1834 - 1835 2 4° demi-basane (4), VIII, 576 pp et (4), 584 pages, 278 planches dont deux planches de portraits, 6 cartes dépliantes Tenré, Paris, 1834 - 1835. Deux volumes in 4° reliés demi-basane bleu-nuit à dos lisse orné de filets dorés, tranche marbrée, plats papier marbré, état général.correct malgré un coin renforcé au scotch, (4), VIII, 576 pp et (4), 584 pages, 278 planches dont deux planches de portraits, 6 cartes dépliantes, texte sur deux colonnes. Envoi colissimo recommandé R3, 20 .
Ouvrage essentiellement consacré à l'Océan Pacifique, Asie et Océanie. Etat correct, reliure en peu fatiguée Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Paris, Furne et Cie. 1857, 1853, 270x180mm, frontispice, XI - 550 + 542pages, reliure demi-basane. plats papier marbré. Cuir et plats frottés par endroits. Rousseurs très marginales.
44 planches gravées, 1 carte en couleurs dépliante, 1 carte n/b dépliante,
[Paris, 1833]. 343 x 240 mm.
Portrait en buste de Jules-Sébastien-César Dumont d'Urville à bord de l'Astrolabe, lithographié par Lemercier d'après un dessin d'Antoine Maurin, issu du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire.
[Paris, 1833]. 302 x 460 mm.
Belle carte figurant la partie nord de l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, où se trouvent la Baie des Îles ou Bay of Islands, et la rivière Hokianga, ici appelée Shouki-Anga. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire.
[Paris, 1833]. 581 x 429 mm.
Belle carte figurant l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, avec la partie nord de l'île du Sud, dressée entre janvier et mars 1827, et montrant en pointillés la route suivie par la corvette l'Astrolabe. Elle est issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire. Petite restauration à la pliure centrale.
[Paris, 1833]. 250 x 330 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Victor Adam, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.
[Paris, 1833]. 202 x 380 mm.
Estampe dessinée par Louis-Auguste de Sainson et lithographiée par Villain, issue du Voyage de la corvette l'Astrolabe exécuté par ordre du roi pendant les années 1826, 1827, 1828, 1829, sous le commandement de M.J. Dumont d'Urville, capitaine de vaisseau. Le voyage de Dumont d'Urville est la plus importante expédition française ordonnée par le gouvernement entre la fin du dix-huitième et le début du dix-neuvième siècle. Après avoir accompagné Duperrey dans son expédition en qualité de commandant en second, Dumont d'Urville reçut le grade de capitaine de frégate et le commandement de l'Astrolabe pour explorer les parties peu connues de la Polynésie et rechercher les traces du naufrage de La Pérouse. Dans cette expédition, Dumont d'Urville, secondé par le lieutenant de vaisseau Charles-Hector Jacquinot, s'était adjoint les services de deux des plus grands médecins naturalistes de la Marine ; Jean-René Quoy et Joseph-Paul Gaimard. L'équipe scientifique comprenait également Pierre-Adolphe Lesson, chargé des recherches botaniques et le dessinateur Louis-Auguste de Sainson. Quittant Toulon le 25 avril 1826, l'Astrolabe passa par Ténériffe et les îles du Cap-Vert, atteignant la Nouvelle-Hollande (Australie) le 7 octobre. Il longea la côte sud de l'Australie et fit relâche à Port Western puis à Port Jackson. L'expédition se rendit ensuite en Nouvelle-Zélande, aux archipels Tonga et Fidji, en Nouvelle-Irlande, et rallia Hobart-Town en longeant les côtes australiennes. Durant ce séjour, Dumont d'Urville apprit qu'un capitaine anglais, Peter Dillon, venait de découvrir à Vanikoro les débris d'un des bâtiments de La Pérouse. Changeant ses programmes, il se rendit sur les lieux et y découvrit les carcasses des deux navires et plusieurs objets qui furent déposés plus tard au Musée naval de Paris. Pour commémorer ce naufrage, Dumont d'Urville fit édifier un monument à la mémoire de La Pérouse et de ses hommes. Ayant rempli sa mission, il entama le chemin du retour en faisant escale à Batavia, à l'île Maurice et à la Réunion, et parvint à Marseille le 24 février 1829. Les résultats de cette expédition furent considérables ; soixante-cinq cartes et plans ainsi que plusieurs milliers de planches anatomiques et de dessins, plus de dix mille espèces d'animaux, près de sept mille espèces de plantes et d'innombrables échantillons de minéralogie qui enrichirent les collections du Muséum d'histoire naturelle. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.