Calmann lévy 1893 in12. 1893. Relié.
Bon état bonne tenue intérieur propre tranche ternie légères rousseurs à l'intérieur
Lumière 1948 in8. 1948. Broché. iconographie en noir et blanc
non coupé à partir de la page 33 couverture défraîchie ternie mouillure sur le dos intérieur jauni
par Michel de La Huguerye,publiée avec la collaboration de Léon MARLET.In 8 broché,faux-titre,titre,XIII 553 pages, 1 page de table des matières,2 fac-similés en fin de volume dont 1 dépliant.Librairie Renouard 1892.Envoi manuscrit autographe de l’auteur,Bon exemplaire,quelques petites rousseurs
Christian Pirot 1985 in8. 1985. Broché.
assez bon état couverture défraîchie intérieur propre bonne tenue
Albin michel 1965 in8. 1965. Broché.
couverture défraîchie dos ridé intérieur propre
Flammarion 1992 256 pages in8. 1992. Broché. 256 pages.
Bon état tranche ternie rousseurs sur tranche intérieur propre
Paris, Félix Alcan [Imprimeries réunies], 1888 in-8, [3] ff. n. ch., 344 pp., avec des illustrations dans le texte et 8 planches hors texte sur fond teinté (dont 4 en dépliant), toile Bradel bleue, pièce de titre brique, première couverture conservée (reliure moderne). Rousseurs.
Édition originale. L'historien Charles-Ernest Maindron (1838-1907) consacra une partie de ses recherches à l'Académie des sciences. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Elisabethville 1956 in8. 1956. Cartonné jaquette.
jaquette abîmée déchirures accrocs bords frottés rousseurs sur tranche intérieur propre carte dépliante in-fine
Editions Place des Victoires Cartonné avec jaquette 2002 grand in-4 (32.5*28), cartonné sous jaquette illustrée, 287pp., servi par de nombreuses photographies noir et blanc et sépia, préface de Franco Salvatori, président de la Société géographique italienne ; jaquette légèrement usée, très bon état Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Plon, 1910 in-8, XI-385 pp., 2 portraits et un fac-similé, index, broché. Quelques rousseurs sur la couverture.
Outre sa correspondance d'Égypte, cet ouvrage contient le Journal de Gerbaud durant l'expédition (pp. 203 à 378). Il trouvera d'ailleurs la mort au siège de Saint-Jean d'Acre, malgré les soins de Larrey.De Meulenaere, 101. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Baudouin frères, Plancher, 1823 in-8, [4]-IV-40 pp., broché sous couverture d'attente de papier vert.
Recueil de plusieurs interventions à la Chambre, dans laquelle le député libéral de Vendée combat l'intervention française en Espagne, destinée à restaurer l'absolutisme de Ferdinand VII. A la suite du discours prononcé le 27 février 1823, les ultras demandèrent son exclusion, malinteprétant un passage où ils virent une justification de la déchéance de Louis XVI : en dépit de ses protestations, le malheureux député fut expulsé de la séance. Bravant sa déchéance, il revint le lendemain et prononça alors sa fameuse réplique: "M le Président, j'ai annoncé hier que je ne céderais qu'à la violence, aujourd'hui je viens tenir ma parole". Il fallut faire appel à la gendarmerie pour l'expulser de force, et Manuel fut ovationné par la foule en sortant de l'Assemblée. Absent de Palau comme de Del Burgo. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., s.d. (1800) petit in-8, [4] ff. n. ch., couverts d'une écriture fine, soignée et lisible (environ 20 lignes par page), 13 ff. vierges, en feuilles, reliées par un ruban jaune à noeuds.
Narration d'un soldat de l'Armée d'Orient fait prisonnier des forces turques. La seule date indiquée est 27 pluviôse, sans précision d'année, mais le texte mentionne la captivité d'une femme d'un sergent-major prise à El-Arich, ce qui laisse supposer que l'action se déroule après la reprise de la forteresse par les armées ottomanes, à savoir le 30 décembre 1799 ; en même temps, la libération qui forme l'objet de ce récit fait clairement allusion à la convention d'El-Arich signée séparément par les représentants de la France et de la Porte (24 janvier 1800), avant que ne parvienne (en mars) la nouvelle de la dénonciation du traité par les Anglais. La date du 27 pluviôse correspondrait alors à l'an VIII [= 16 février 1800].L'auteur, anonyme, raconte comment il fut extrait de sa prison et conduit devant les autorités ottomanes"Vers le milieu de la nuit, on entand frapper aux portes de notre prison ; les gardiens s'éveillent, ouvrent et introduisent un envoyé du Pacha qui me fait signe de le suivre (...). Hassana m'entretint quelques instants en italien qu'il parloit fort bien ; puis il me dit au nom du Pacha, La paix est conclue avec les Français. Le Grand Vizir vient d'envoyer les ordres pour que les prisonniers soient conduits en Égypte, vous partirez demain pour Alexandrie ou Damiette."Le reste du texte raconte les événements qui séparent cette annonce du transfert des prisonniers par voie maritime : "Deux djermes semblables à celles qui naviguent sur le Nil étoient à l'ancre éloignez d'un quart de lieue du rivage, on fit venir une chaloupe pour commencer l'embarquement. Je passai la nuit sur le rivage, trempé par une rosée abondante, le matin je m'embarque sur une des djermes avec les officiers et cent cinquante soldats". La navigation de trois jours fut laborieuse en raison d'une mer très agitée ; malheureusement, la relation s'interrompt brutalement avec la description des réactions diverses des Français et des Turcs à la mer déchaînée. On ne saura jamais la suite. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., s.d. (1803) in-8, 179 ff. partiellement chiffrées, couverts d'une écriture moyenne, soignée et très lisible (environ 25 lignes par page), avec une figure aquarellée à pleine page (la boussole), le feuillet 9 manque, vélin rigide à rabat inférieur, dos lisse (reliure de l'époque). Manque de cuir en coiffe inférieure, exemplaire déboîté.
Un exceptionnel témoignage sur l'expédition d'Égypte.L'explicit de ce très intéressant manuscrit nous éclaire un peu sur sa genèse : "J'obtins une permission de trois mois pour venir chez ma mère à Chauvirey-le-Châtel, département de la Haute-Saône, et où je déposai le présent journal, qui contient l'exacte vérité de ce que j'ai vu depuis ma première sortie de la maison paternel [sic] et pendant toutes les campagnes de la Révolution. Je demande l'indulgence du lecteur et lui expose que je n'ai fait aucune étude". Cette dernière affirmation est à relativiser : l'auteur écrit très correctement, et commet peu de bourdes orthographiques, à la différence de nombre d'officiers plus gradés que lui à la même époque. Sinon, l'aspect très net du texte, qui ne comporte ni rature ni biffure plaide en faveur de la mise au net de carnets qui ont dû subir intempéries et aléas des campagnes ; ce, d'autant que la seconde partie comporte plusieurs copies de proclamations des généraux en chef de l'Armée d'Orient, qui ont dû figurer dans la documentation de Martin sous forme imprimée.A. Martin est originaire de Vitry (Haute-Saône) [Vitry-lès-Cluny], et un de ses frères servait déjà dans l'armée depuis huit ans comme fourrier quand le jeune homme décida de s'engager le 26 février 1792 pour le premier régiment d'infanterie [ancien Régiment Colonel-général], deuxième bataillon, alors stationné à Dunkerque, et où son frère était engagé. Un paraphe sur les dernières gardes du volume, comportant "André. An X" suggère que son prénom était André. Ni Tulard, ni Meulenaere ne signalent une édition de cette relation ; les catalogues de bibliothèques ne semblent pas posséder de copie manuscrite de notre texte.Cette relation est extrêmement structurée, par campagnes, et, à l'intérieur de celles-ci, par éphémérides. Elle se concentre, du moins pour la première partie, uniquement sur les aspects militaires globaux, vus d'en bas, et sans détails superflus, avec même une discrétion peu habituelle sur la carrière et les activités de l'auteur. Pour la commodité, on peut la diviser en deux parties principales.I. De 1792 au 17 Floréal an VI [6 mai 1798], date de l'ordre d'embarquement pour l'Égypte depuis Marseille.1. Campagne de 1792 (ff. 4-8). Le régiment participa au Combat de Quiévrain (29 & 30 avril), qui fut un échec face aux troupes impériales, et aux batailles de Valmy et de Jemappes (non relatées ici).2. Campagne de 1793 (ff. 10-17). Elle se déroule entièrement dans les Pays-Bas autrichiens, avec des pointes aux Provinces-Unies, et le récit se termine par la "trahison" du général Houchard, avant le passage au calendrier révolutionnaire.3. Campagne de l'an II (ff. 18-24r). Elle est marquée par la prise d'Ypres, le siège de Nieuport, un curieux projet de regroupement de 30 000 hommes à Dunkerque pour effectuer un débarquement en Irlande.4. Campagne de l'an III (ff. 24v-29r). Elle se déroule pour la demi-brigade (deuxième demi-brigade de ligne à partir de Germinal an III) entièrement dans les Provinces-Unies, depuis Clèves (prussienne) : Utrecht, Wageningen, Deventer, Enschede, Zutphen), jusqu'à la formation de la République batave. En messidor, cantonnement à Aix-la-Chapelle.5. Campagne de l'an IV (ff. 29v-37r). Le 24 Pluviôse [13 février 1796], Martin fut nommé sergent-major. Cette année est entièrement occupée par les opérations en Allemagne contre les Impériaux : bataille de Sulzbach (19 août 1796), bataille de Wesburg.6. Campagne de l'an V (ff. 37v-41). Traversée du Rhin à Cologne, puis cantonnement d'hiver en Palatinat (Kaiserslautern, Kircheimbolanden, Neusatdt, Landau), puis en Alsace et en Franche-Comté. La demi-brigade est affectée à l'armée d'Italie, et parvient à Milan le 30 Pluviôse [18 février 1797]. L'itinéraire la conduit ensuite par Brescia, Peschiera, Mantoue, Crémone. Le 26 Messidor [14 juillet 1798], première mention du général Bonaparte : "Nous célébrâmes à Milan la fête des Victoires et nous reçûmes du général en chef Bonaparte nos nouveaux drapeaux". En fin d'année, garnison à Alexandrie.7. Campagne de l'an VI (ff. 42-60). La demi-brigade est détachée en Provence, pour y rétablir l'ordre dans certaines localités : itinéraire par Nice, Toulon, Marseille, Brignoles, avec de ci de là quelques anecdotes locales : "Nous logeâmes à Aubagne, petite ville ; quelque tems auparavant [elle] avoit eu l'effronterie de brûler Bonaparte en effigie. La municipalité fut au devant du général Lanne pour le féliciter, mais fut très mal reçue, les trois quarts de ses habitans avoient pris la fuite dans les montagnes à notre approche". Après la signature des préliminaires de paix, l'unité demeure en Italie comme troupe auxiliaire de la République ligurienne, formée du territoire de l'ancienne République de Gênes. Puis elle est réaffectée en France, avec garnison à Marseille, pour une brève période, car "notre demi-brigade faisoit partie des troupes qui devoient embarquer pour l'expédition secrette". En effet, à partir du f. 45 et jusqu'à la fin du texte, tout le récit est occupé par l'Expédition d'Égypte. Ce n'est pas seulement l'objet qui change, mais aussi la manière : aux notations souvent sèches et lacunaires de la première partie, succèdent des narrations plus détaillées et circonstanciées ; on devine que cette expédition fut la grande affaire de la vie militaire de Martin.II. L'Expédition d'Égypte (ff. 45-177).La relation est extrêmement détaillée, depuis l'embarquement à Marseille, et Martin cultive enfin le détail, non seulement des opérations, mais aussi des monuments aperçus, et des particularités des populations des pays traversés, se faisant comiquement apprenti ethnologue. Voici par exemple son passage sur les nomades du désert : "Les Bédoins sont des Arabes qui habitent les déserts de l'Affrique et de Syrie. Ils ne vivent que de meurtre et de brigandages, outre qu'ils sont bien armés et montés sur des chevaux d'une vitesse incroyable ; ils s'assemblent en assez grand nombre, puis se mettent en course, pillent les caravaniers, mettent les villages à contribution, et enfin ruinent le malheureux pays qu'ils parcourent. Quoique les femmes ne soient pas l'objet de leur affection, ils attachent un grand prix à leur beauté ; ce peuple ne fait point usage de vin, ni d'autres liqueurs fortes, il est musulman. Sa passion favorite est ce crime qui, outrageant la nature, provoqua autrefois contre Sodome la vengeance céleste. Plusieurs malheureux soldats tombés en leur pouvoir après avoir été victimes de cette infâme passion, périrent de la main de ces barbares." Qu'en termes choisis cela est dit. De temps à autre, un excursus plus développé se veut une description globale du pays, comme cette partie intitulée "Quelques observations sur l'Égypte, sa situation, sa manierre d'être gouvernée, sa fertilité, &c.", qui occupe les ff. 57-58, et reprend au demeurant des passages de Volney. Enfin, à l'occasion du début du Ramadan correspondant au 1er Nivôse an IX [22 décembre 1800], on a droit à un long excursus sur l'Islam (ff. 145-150), qui fait la part belle à tout ce qui est le plus superficiel, et où la célèbre anecdote du chat de Mahomet l'emporte en longueur sur les principes de la religion.Sinon, le déroulement des opérations est suivi avec une précision qui n'exclut pas le lyrisme, totalement absent de la première partie : on lira dans cette perspective, par exemple, le récit de la bataille de Chébréis du 25 Messidor an VI [13 juillet 1798] (ff. 53-54). L'essentiel du texte tourne évidemment autour de l'aspect militaire de l'expédition, et peu d'épisodes ne sont pas rapportés, depuis la défaite mamelouke initiale, en passant par l'expédition de Syrie (prise de Jaffa, le siège d'Acre avec ses 8 assauts), la bataille d'Aboukir, jusqu'au départ de Bonaparte pour la France, fort laconiquement signalé : "Lorsqu'en arrivant à la Coubée, nous apprîmes que le général en chef Bonaparte, avec tout son état-major, et plusieurs généraux, s'étoit embarqué le 5 courrant pour la France, que les nouvelles peu satisfaisantes qu'il avoit reçues l'avoient déterminé à faire ce voyage, cette nouvelle nous fut d'autant plus sensible que les soldats furent de suitte comme abattus de tristesse".Le reste de l'expédition se déroule sous le commandement de Kléber, puis Menou, et est dominée par les difficiles négociations engagées avec les Anglais pour l'inévitable évacuation de l'Égypte, le refus de la Convention d'El-Arich par le cabinet britannique, la bataille d'Héliopolis, l'insurrection du Caire et l'assassinat de Kléber. C'est au cours de cette dernière période que Martin fut nommé enfin sous-lieutenant le 9 Pluviôse an VIII [29 janvier 1800]. Les funérailles de Kléber sont décrites avec un luxe de détails impressionnant, puis tout tourne autour de l'encerclement par les armées ottomanes et anglaise, des négociations pour l'évacuation (les articles de la convention sont d'ailleurs intégralement reproduits) et du retour en Europe par Marseille. Les derniers feuillets relatent les étapes de la réinsertion de la demi-brigade dans la France du Consulat : affectation en Haute-Provence (Saint-Maximin) sous forme de petits postes détachés pour réduire le brigandage endémique et très mobile qui sévissait dans la région ; casernement à Montpellier ; révolte de Sète ; enfin, réorganisation de l'unité qui ne devait plus compter que trois bataillons : effectuée à Nîmes, elle aboutit à la réforme de 15 officiers et à l'affectation à Autun. Martin pour sa part fut affecté au 3me bataillon. Il obtint le 1er Nivôse an XI [22 décembre 1802] une permission de trois mois, qu'il alla passer chez sa mère à Chauvirey. Ici s'interrompt le manuscrit du sieur Martin, sans que l'on sache à ce stade (cf. infra) la suite de sa carrière militaire. Il est à supposer que la mise au net de notre texte remonte à cette période de permission.ON JOINT : une autre version de la même relation, rédigée bien après le retour d'Égypte, passablement différente de la première, mais formée sur le même canevas. Elle se présente sous la forme d'un volume in-4 relié en plein vélin rigide, dos lisse muet, texte réglé et soigneusement écrit, se distribuant comme suit :1. Un premier ensemble de 133 pp., qui forme la mise au net de la première partie du texte précédent, à savoir depuis l'engagement de Martin en février 1792 jusqu'au 22 Messidor an VI [10 juillet 1798], soit le début de la campagne d'Égypte. Plus soignée, la rédaction est également plus complète, et contient des détails que l'on ne trouve pas dans la première ; par exemple, ce passage relatif à l'exécution de Louis XVI, absent de la rédaction initiale (par prudence ? par suite d'un changement d'opinion rétrospectif ?) : "Je ne sçai ce qu'a produit en France la mort ignominieuse de ce trop faible et vertueux Roi, mais les Belges chez qui nous étions en furent indignés : l'armée en parut surprise. Nous ne fûmes point trompés sur les suites que cela nous occasionnerait, et dès ce moment nous nous attendîmes à une guerre des plus terribles".2. Une suite de 107 ff. vierges, très probablement destinés à recevoir une nouvelle rédaction des événements de l'Expédition d'Égypte, mais qui ne put être réalisée pour des raisons inconnues.3. Un second ensemble paginé 347-431 et donnant la suite de la vie militaire de Martin depuis le 25 germinal an XI [15 avril 1803], soit la fin de sa permission de trois mois (cf. supra) jusqu'en février 1809. C'est ici que l'on peut connaître l'évolution de la carrière de l'auteur, ainsi que les campagnes auxquelles il participa de nouveau : départ pour les garnisons de Landau, Wissembourg, Lauterbourg ; formation d'un bataillon d'élite composé de trois compagnies de grenadiers et de trois compagnies de chasseurs, chacune de 100 hommes, qui fut envoyé à Arras ; participation au camp de Boulogne ; défense des côtes de Normandie et de Picardie contre les entreprises anglaises lors de la reprise des hostilités ; campagne d'Allemagne de 1805, avec un récit détaillé de la bataille des 10-11 Frimaire an XIV - 2 décembre 1805. Ceci dit, l'abondance de copies de proclamations et la relation de négociations diplomatiques auxquelles Martin ne put évidemment pas assister montrent à l'envi que le brave officier passe progressivement d'un journal personnel à une histoire de la période. On gagne ici en cohérence et en exposition ce que l'on perd en immédiateté et en spontanéité rédactionnelle.À partir de la page 407, on a affaire à une copie d'un autre auteur, et nous en sommes dûment avertis : "Ce que je vais raconter de ce qui se passa sur la fin de 1806 et dans le courant de 1807, n'est point écrit par l'auteur de cet ouvrage". Et, en fait, cette copie concerne toute la fin du texte jusqu'aux brèves notations de février 1809 (l'année 1808 ne fait l'objet d'aucune relation).4. Enfin, une suite de 67 ff. vierges, peut-être destinée à la rédaction d'une suite.Il est évident que Martin a voulu donner de ses souvenirs une rédaction soignée et définitive, peut-être destinée à être imprimée, et que ce second jet atteste un début de réalisation. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48
STEPHANE MARAIS 2005 364 pages 15x24x2cm. 2005. Broché. 364 pages.
Bon état garde annotée intérieur propre
Connaissance du monde 1962 in8. 1962. Cartonné. illustrations en noir et blanc
couverture un peu déformée défraîchie intérieur propre
six années de voyages aux Philipines.In12 demi-chagrin vert foncé à nerfs, titre, fers dorés, filets à froid charnière intérieure toile verte. Faux-titre,titre,VI,406 pages, 68 gravures,1 carte dépliante.(Deux annoncées)Paris Hachette & Cie 1887,édition originale très bon état. Perak, Manille, Binangonan, la laguna, Tayabas, le pasig, presqu’île de boiols, le marinduque
Librairie hachette et cie 1886 in8. 1886. relié.
Bon Etat de conservation cependant couverture ternie salie intérieur globalement propre qq rousseurs reliure en bon état
Adrien le clere et cie 1839 in12. 1839. relié.
Bon état général cependant présence de rousseurs couverture terine bords un peu frottés et marqués reliure en bon état de conservation
Payot 1950 in8. 1950. Broché.
bon état de conservation sous papier de soie intérieur propre tampon et note sur la page titre
Berlin, Decker, 1864-73. Lex8vo. 3 contemp. hcalf. Gilt spines and with gilt lettering. Spines slightly rubbed. XXII,(4),352VI,(4),375"XI,(4),426 pp., 24 engraved plates and 3 folded maps. Faint brownspots to margins in volume 1.
First edition. The offered volumes contains the general description of the expedition which relates to Japan and China. They do not comprise the scientific parts (zoology, botany) of the expedition and not the landscape plates published as ""Ansichten aus Japan, China und Siam"".
Paris, A. Pinard, 1832 in-8, [4]-455 pp., cartonnage Bradel marine, dos lisse orné de filets dorés (reliure de l'époque). Infimes accrocs sur le plat supérieur, mais bon exemplaire.
Edition originale de tout ce qui a paru (il existe une réédition aussi rare datée de 1882, et aussi une traduction espagnole). Prévu en trois volumes, l'ouvrage ne couvre que les préparatifs politiques de l'expédition jusqu'en octobre 1822. Comme l'on sait, l'auteur, ancien ministre de Charles X, mourut le 3 mars 1832, et ne put achever son ouvrage.Del Borgo, p. 625. Palau, 153538 - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Scheltens & Giltay in8. Sans date. Cartonné jaquette.
jaquette abîmée tampon tranche ternie + légères rousseurs circa 1950