Aubier, 1983, in-8°, 352 pp, 13 illustrations, 15 cartes et 2 graphiques hors texte, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Historique)
"Comment la mutation industrielle et sociale des Etats-Unis, à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, peut-elle se lire sur le visage changeant d'une de ses métropoles ? Si Olivier Zunz a choisi Detroit pour mener cette analyse, c'est que cette ville a connu, entre 1880 et 1920, une croissance tout à fait spectaculaire : de 116 430, n'est-elle pas passée à 993 678 habitants et du 18e au 4e rang des grandes cités américaines ? Tiré d'une thèse soutenue à l'Université René Descartes, le livre nous donne, dans sa première partie, une description approfondie — géographique, économique et sociale — de la ville à la fin du XIXe siècle ; dans la seconde, il montre ce qu'elle est devenue quarante ans plus tard : « Une métropole aux dimensions nouvelles et le rêve d'une nouvelle société ». Aux clivages ethniques et spatiaux qui sont la marque distincte d'une ville d'immigration à la fin du XIXe siècle, Olivier Zunz consacre des pages très vivantes et très nourries : juxtaposition de communautés homogènes, possibilités de promotion sociale à l'intérieur de ces communautés, solidarités des groupes d'origine plus marquées que celles des classes sociales, osmose dans la population américaine des immigrés les moins récents et les plus assimilables. Tous ces phénomènes, auxquels les écologistes américains nous ont initiés, se trouvent ici présentés dans un cadre original où l'auteur n'a garde d'oublier les changements d'usage de l'espace urbain. (...) Aussi faut-il se féliciter de la publication dans notre langue — et sous la plume d'un universitaire français — d'un livre d'une telle qualité." (Jean-René Tréanton, Revue française de sociologie, 1986)
1983 Paris, Aubier, 1983, in 8 broché, 352 pages ; importante iconographie.
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Paris, R. Helleu, (25 janvier) 1918 1 vol. (250 x 330 mm) de 85 pp., [1] et 1 ff. Broché. Tirage à 1500 exemplaires. Un des 57 premiers exemplaires sur japon (n° 39).
Texte anglais sur la page de gauche et traduction en regard, en caractères italiques, par P.-H. Loyson ; et inversement pour le Discours de Ribot à l'Assemblée, traduit en anglais par J. H. Woods. Illustrations dans le texte de Bernard Naudin.
Bordeaux Imprimerie de Simon Lacourt 1793 in-4 de 3 pp., la quatrième blanche dérel
"Tous les ports des colonies Françaises sont ouverts aux vaisseaux des États-Unis (sic) d'Amérique"
Paris, Librairie de L. Hachette et Cie, coll. « Bibliothèque des Chemins de Fer. Deuxième série, Histoire et voyages » 1853 In-12 17,5 x 11,5 cm. Broché, couverture verte, titre en noir sur le dos et le premier plat, 267 pp., table des chapitres. Couverture poussiéreuse.
Bon état d’occasion
Toulouse, Société des Livres Religieux 1880 In-4 190,5 x 29 cm. reliure de l’éditeur demi-chagrin rouge, dos à 5 nerfs, caissons ornés de fers dorés, auteur et titre dorés, nombreuses dans et hors-texte. Plats de couverture, page de titre et dernière page salis, charnières internes fendillées. Intérieur en bon état. Voyage à travers les états-Unis des années 1860.
Etat correct d’occasion
1958 99 dessins crayons de couleurs, stylo bille et pastels, signés, réunis dans un carnet de croquis à spirale, crayon gras, (1958), 27 x 36 cm.
Albert Brenet (1903-2005), de ses origines havraises, a gardé un goût certain pour la mer. Peintre de la Marine et de l'Air, c'est tout naturellement qu'il sillonna les mers et les océans du monde dont il témoigna son amour par des vues de navires et de cargos, de ports, d'équipages. Tel un ethnographe, il rapporta de ses nombreux voyages des vues de paysages. Des États-Unis, Albert Brenet rapporte ce carnet de voyage dans lequel il croque, en 99 études, son voyage aux États-Unis, qu'il sillonne en voiture : Du Colorado à New-York en passant par l'Utah, l'Arizona... Il traverse de grandes villes telles que New-York, Los Angeles, Las Vegas, San Francisco, Colorado SpringDenver, Salt Lake City, Fort Collins... Il croque aussi bien les individus qu'il croise ou rencontre, que les scènes de rue, les paysages. Il représente des cow-boys, des ranchs, du bétail, des indiens, des policiers, shérifs, joueurs de base-ball à New-York (Yankees), des trains, locomotives, autobus, camions, camions de pompier, bateaux et bateaux de pêche, les studios de cinémas, Disneyland, Las Vegas avec ses hôtels et sa Wedding chapel, New-York... Petits plis et déchirures marginales. a