Boivin & Cie | Paris 1908 | 13 x 18.50 cm | broché
Edition originale, un des 10 ex numérotés sur Hollande, seuls grands papiers. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Ernest flammarion in12. Sans date. Relié.
bon état bonne tenue intérieur propre circa 1930
,Paris, Paul Ollendorff s. d., circa 1910, 517 pp., 1 vol. in 12 relié cartonnage 'à la Bradel', pièce de titre
1922 Editions G. Crès et Cie Broché, couverture rempliée, 244pp. Bon état.
Exemplaire sur papier de Rives. portrait de l'auteur en frontispice par Paul Baudier, bandeaux par Maurice de Becque.
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Editions de La revue blanche | Paris 1898 | 12.50 x 18.50 cm | relié
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Reliure à la bradel en demi percaline marron brique à coins, dos lisse orn é d'un motif floral doré, double filet doré en queue, pièce de titre de chagrin turquoise, plats de papier caillouté, gardes et contreplats de motifs floraux, couvertures et dos conservés, reliure de lépoque. Petites taches d'encre noire sur la tranche supérieure et sur les coins inférieurs. Rare et agréable exemplaire de cette utopie littéraire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Revue Blanche.1898.In-8 br.238 p.non coupées.Dédicace à l'auteur Montorgueil.Etat moyen.Justification signée.Couverture tachée.
LIBRAIRIE DES PUBLICATIONS MODERNES. NON DATE. In-12. Relié toilé. Etat d'usage, Coins frottés, Dos frotté, Intérieur frais. 284 pages. Toilé noir, titres et filets gris au dos.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
27 x 20,5 cm, 10 feuillets anopistographes à l’encre, nombreuses ratures et corrections. Relié demi percaline brune à bandes, titre doré sur le premier plat. Toutes les pages manuscrites sont protégées par des serpentes. Le romancier Paul Adam (1862-1920) publie son premier livre en 1885 chez Brancart à Bruxelles (« Chair molle ») qui provoqua un scandale. Du naturalisme il se tourna vers le symbolisme. Dans cet article, il dresse le tableau sentimental qui régnait dans la société au début du dix-neuvième siècle et en étudie les causes sociales et économiques. Il insiste notamment sur la situation des femmes et les rêves romantiques qui les animaient... « Parce que nos aïeules espérèrent, nos femmes veulent réaliser ce que leur sang nous légua de tendances inassouvies. L’atavisme leur passe la dette contractée envers la nature par des ancêtres qui lui empruntèrent, sans le payer par des actes. L’univers nourrit le corps et l'esprit à condition de rendre ce prêt sous forme d’énergie croissante »
Firmin-Didot & Cie | Paris 1893 | 14.50 x 19.50 cm | broché
Edition originale imprimée à petit nombre sur vergé. Petites taches marginales sans gravité sur le premier plat, gardes ombrées, bel état intérieur. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Charpentier | Paris 1913 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale sur papier courant, il n'a été tiré que 30 Hollande. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Bibliothèque charpentier 1913 in12. 1913. Broché.
couverture défraîchie ternies petites fente en haut du dos trace de crayon de couleur rouge sur le premier plat tranche fanée ternie intérieur jauni propre
Paul Adam (1862-1920), écrivain. C.A., sd [1902], 5 lignes. à Lucien Paté (1845-1939), journaliste, poète. Félicitations, vraisemblablement pour le mariage de la fille de Paté. [306]
Paul Adam (1862-1920), écrivain. L.A.S., sd [mercredi soir, août 1891], 5p Œ in-folio. Extraordinaire lettre à l'écrivain Georges Montorgueil (1857-1933). « Mon cher Montorgueil, Votre brûlante diatribe d'hier soir m'avait fort troublé. En rentrant, j'ai lu l'article en question, moi rempli de doutes sur les théories y émises. Après maintes réflexions, je me vois contraint de déclarer que s'il m'était donné de le récrire, je le reproduirais textuellement. Voici pourquoi. A part le mot Patrie qui exprime en effet une idée trop concrète, je ne saurais répudier les termes de mon raisonnement. Mais j'ai employé ce mot parce que, à son défaut, il m'eût fallu développer tout une théorie incompatible avec le cadre de la chronique. A la place de patrie, mettez humanité (total des patries) et vous verrez bien que les déductions exposées ne perdent point de leur valeur. En effet, pour peu que vous soyez au courant des idées ultra socialistes, disons anarchistes, vous n'ignorez pas que la plus belle de ces idées, le principe fondamental, est la répartition intégrale de travail entre tous les individus d'un même pays, d'une même patrie, d'une même race, comme il vous plaira ; (la défense du sol comptant parmi les périodes du travail). Voici. En notre siècle de barbarie, le travail est monopolisé comme l'argent. Pour une place d'ouvrier, il y a cinquante quémandeurs réduits à la famine sauf un que favorisent le hasard, les patrons, ou les syndicats corporatifs. La journée de huit heures avait pour but principal d'admettre au travail un plus grand nombre d'ouvrier. A ce monopole l'anarchie veut remédier en calculant la somme de travail nécessaire pour produire en un an les choses utiles à toute la population d'un état. Si l'on divise le nombre d'heures de travail ainsi obtenu par le nombre d'individus valides, tout le monde aura sa part déterminée et égale de labeur, et tout le monde étant appelé à la production, aura le droit à la consommation. Aujourd'hui, 1 travailleur seul trouvant l'emploi de sa force sur cinquante individus valides est contraint de fournir quarante neuf fois plus de travail qu'il ne faut pour sa subsistance. Dans l'état anarchique au contraire, il peinera quarante neuf fois moins pour gagner plus sûrement une subsistance meilleure. Or, plus le nombre des laborieux grandira, moins chacun devra fournir de tâche. Moins on fournit de tâche, plus on cultive son esprit, plus on jouit du repos. Le bien être et le science grandiront par suite énormément aussi. Vous voyez donc que le bonheur social est immédiatement lié à la multiplication des citoyens. Par suite il faut conclure que l'avortement est un péril social, un crime monstrueux qui retarde l'essor de l'humanité vers la félicité acquise par l'avancement des sciences, et le repos possible. Je lève immédiatement une objection que vous ne manqueriez pas de faire : « plus croîtra le nombre des hommes, plus il faudra produire pour les satisfaire, et plus il faudra de travail pour cette production. Aussi les conditions ne changeront-elles pas et, à tout prendre, la vie étant mauvaise par essence, Malthus avait raison ». Je réponds. Economiquement, il est établi que le travail collectif produit proportionnellement bien plus que le travail individuel. Un cordonnier gagne-petit qui fait seul toute la chaussure produit infiniment moins qu'un seul ouvrier de manufacture dont l'effort est lié à ceux de ses compagnons. Je suis un homme du nord et je me paie difficilement de sentimentalité. Les spéculations générales et synthétiques m'attirent et me séduisent bien davantage que des exhortations à la pitié et au sentiment. A mon sens, l'humanité est la proie de deux fléaux : l'argent et l'amour. Pour conquérir l'or et la femme, l'homme asservit son intelligence aux plus immondes besognes et aux plus bas sophismes. Qui le débarrasserait de ces deux illusions l'introduirait à l'Eden souhaité. Depuis cinquante ans, on attaque le monopole de l'argent. Il va s'écr
Paul Adam (1862)1920), écrivain. L.A.S., sd, 1p 1/4 in-12. Il est heureux de mettre son nom aux côtés de celui de son confrère et attend les épreuves. [384]
Paul Adam (1862-1920), écrivain. L.A.S., sd [mai 1908], 4p in-8 (les 2 pages centrales écrites comme une seule). A André Chaumeix (1874-1955) : « Cher Ami, Votre affectueuse lettre m'a rempli de joie, en même temps qu'elle me contristait puisque nous perdons l'espoir de passer ici avec vous quelques heures qui seraient exquises. J'aurais tant voulu vous dire de vive voix ma reconnaissance pour la façon dont Le Journal des Débats et notre cher ami Albert Petit a traité La morale de l'éducation ! Je suis au comble de mes voeux. Veuillez présenter mes respectueux hommages à madame André Chaumeix et ne pas oublier que je suis à votre dévotion. Paul Adam. Puisque Henri de Régnier est des vôtres maintenant, l'étude que je vous ai remise, l'an passé, sur son oeuvre, ne peut être publiée certainement dans le Journal des débats. Auriez-vous la bonté de me la faire renvoyer ? Merci ». La morale de l'éducation est un livre d'Adam publié en 1908. Henri de Régnier entre au Journal des Débats en mai 1908. Amusante volteface de Paul Adam. [361]
Paul Adam (1862-1920), écrivain. L.A.S., 15 mars 1891, 1p 1/2 in-8. Au docteur et écrivain Maurice de Fleury (1860-1931). Il souhaite le remercier de vive voix de l'avoir « sauvé grâce à [sa] bienfaisante recommandation ». [391]
Paul Adam (1862-1920), écrivain. L.A.S., sd [fin 1890 ou début 1891], 2p in-12. Au docteur et écrivain Maurice de Fleury (1860-1931). Remerciements pour la mise en relation avec le docteur Paul Segond et voeux pour la « famille accrue ». Jean de Fleury est en effet né le 20 décembre 1890. [392]
Paul Adam (1862-1920), écrivain. L.A.S. + enveloppe, 31 décembre 1888, 1p in-8. Au docteur et écrivain Maurice de Fleury (1860-1931). « Cher Monsieur, Je vous adresse de Nancy, ma nouvelle et définitive résidence, mes voeux de bonheur pour l'année nouvelle et l'expression de ma très reconnaissante sympathie ». Il est intéressant de noter qu'il pensait s'installer définitivement à Nancy. Il s'y présenta même à la députation en 1889 (septembre) aux côtés de Maurice Barrès mais sans succès. [392]
Paul Adam (1862-1920), écrivain. L.A.S., 15 mars &896, 1P 1/2 in-8. Au docteur et écrivain Maurice de Fleury (1860-1931). Il lui envoie l'écrivain André Picard (1873-1926), avec qui il a écrit un drame, Le Cuivre, et qui est neurasthénique. [392]
Paul Adam (1862-1920), écrivain. L.A.S., Nancy, 24 janvier 1889, 1p 1/2 in-8. Au docteur et écrivain Maurice de Fleury (1860-1931). Belle lettre le félicitant de son premier article dans Le Figaro et désespérant de réussir à faire paraître son roman En Décor, qui a « rebuté la patience de deux éditeurs ». De fait, ce roman, le dernier de la trilogie Les Volontés merveilleuses, ne fut publié qu'en 1891 par Albert Savine. Les trois volumes ont été publiés chez trois éditeurs différents. [392]
Paul Adam (1862-1920), écrivain. L.A.S., mai 1909, 2p in-8. Au docteur et écrivain Maurice de Fleury (1860-1931). Belle lettre de félicitations pour son élection à l'Académie de Médecine. [392
Paul Adam (1862-1920), écrivain, critique d'art, L.A.S., sd [Samedi, 1885 ?], 2p in-12 (10 lignes). Il remercie Scholl pour la citation de sa chronique en tête de l'Echo de Paris. « Vous êtes pour moi d'une bonté parfaite ». La lettre date probablement, vue l'écriture de fin 1885 ou 1886, peu après la parution de son premier livre Chair Molle. [109]
Paul Adam (1862-1920), écrivain, critique d'art, C.A., sd [avril 1902], 2p in-16 (10 lignes). Paul Adam « retenu à la chambre par ordre du médecin n'a pu, à son très vif regret venir vous dire combien il partage votre douleur, et combien est cruelle pour lui la perte d'un maître et d'un ami si cher ». Il écrit donc ici à la veuve d'Aurélien Scholl. [109]