1950 reliure pleine toile éditeur grand in-12, dos et 1er plat décoré, 282 pages, sans date Paris Nelson Editeurs,
- collection "Nelson" - bon état -
1913 Paris E. Fasquelle éditeur 1913 Un volume in°12 relire demie-toile verte à la bradel XX + 356 ppEdition originale après 30 grands papiers
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"Collection Nelson sans jaquette. sans date. In-12. Relié toilé. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 282 pages. ""Les chefs-d'oeuvre de la littérature"". Impression en caractères très lisibles sur papier de luxe. Reliure toile solide et élégante. Frontispice en couleurs.. . . . Classification Dewey : 0-GENERALITES"
Classification Dewey : 0-GENERALITES
Charpentier. 1913. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Mors fendus, Papier jauni. 356 pages.. . . . Classification Dewey : 843-Littérature populaire
Classification Dewey : 843-Littérature populaire
Paris Bibliothèque-Charpentier 1913 1 vol. broché in-12, broché, XX + 356 pp. Edition originale avec un envoi de l'auteur à l'éditeur Arthème Fayard. Bon état.
FASQUELLE - CHARPENTIER. 1913. In-12. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 356 pages. Reliure de bibliothèque : étiquette de code sur la coiffe en-tête et tampons sur la page de titre et dans quelques marges.. . . . Classification Dewey : 0-GENERALITES
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Adam Paul Dos carré collé 1997 In-12 (14,4 x 20,3 cm), dos carré collé, 221 pages ; coins du premier plat un peu cornés, par ailleurs bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Manuscrit autographe intégral titré au début et signé à la fin, 7 ff. paginés remplis au recto, dont 1 découpé et recollé. Nombreuses ratures et corrections. (21/29 cm chaque) « Enturbanné de gazes sanglantes et piqueté de taches pourpres sur les épaules, l’aviateur allemand mince, morne, dans sa tunique réséda, se laisse conduire. Deux réservistes moustachus, pansus, l’amènent, bayonnette (sic) au canon, par le faubourg tumultueux de la ville flamande, où les femmes aux corsages clairs, les cyclistes alertes, les boutiquiers accourus se précipitent, s’appellent, se montrent l’ennemi chétif. Tout à l’heure il survolait l’église. Les mitrailleurs l’ont atteint. Il a dû descendre et s’affaisser parmi les ailes rompues de son appareil. Le vautour à terre est traîné vers la citadelle entre les rangs de la cohue, plus curieuse que malveillante. Très loin, l’orage de la canonnade gronde sans émouvoir ces français accortes, ces français gouailleurs. Ils continuent de vendre, d’acheter, de flâner, de prendre aux cantines des feuilles de nouvelles, de s’assembler autour des soldats contant leurs aventures. Sur une place, le spahi soudanais dompte, les maxillaires serrés, un cheval trop fringant. Poudreuses, les motocyclettes militaires arrivent à grand bruit entre les tramways combles. Dans les cafés, lieutenants et capitaines écrivent. A mesure que l’on monte vers la haute ville, plus de soldats se pressent dans les rues de briques. Chasseurs bleus et goguenards, fantassins d’écarlate et d’azur, anglais cossus et athlétiques en draps verdâtres, marocains vêtus de jaune avec de singuliers turbans dont une bande couvre la nuque, et sous le petit béret à rubans, highlanders, les genoux nus, en kilt masqués par un tablier brun, tout le monde mange, boit, rit, fume, au seuil des tavernes, des maisons. Tout le monde s’interpelle en français, en anglais, en arabe. Bientôt les groupes deviennent foules, que divisent les prolonges et les fourragères, que contournent les automobiles d’officiers. Plus haut, ce sont des colonnes au repos derrière les faisceaux, autour des cantines. Les États-majors causent à l’écart. Tels Anglais attribuent le succès des Allemands aux hécatombes de leurs troupes. Les Civilisés épargnent davantage leurs bataillons : l’avenir, déjà, qui eut raison… Voici la bannière. Les compagnies marocaines en ligne s’allongent par la campagne d’XX, derrière des meules rousses, vers les bois bleuâtres. Sur leurs trépieds, les mitrailleuses tendent, hors des tranchées, leurs canons brillants. Aquilins et sveltes, les hommes, quelques-uns debout, la plupart vautrés, guettent. De quelle chaouïa arrivent ces Sémites carthaginois ou arabes, ces berbères en larges baies de toile, en dolmans jaunes, ces petits-fils des Hamilcars, des Mohammeds, des Jugurthas ? Au milieu de la riche terre des Flandres, ils apparaissent comme les types d’une image d’autrefois, choisie dans la collection d’un fermier-général orientaliste. Reconnaissants d’avoir été, par nos armes, délivrés de la tyrannie féodale que leur imposaient les caïds, ils viennent ici combattre, pour le génie de la Méditerranée, contre la barbarie des Baltiques. Au-delà, rien que le silence ; des hommes attentifs des hommes attentifs ; et là-bas, ce grondement interrompu, repris, de la canonnade. Brusquement, dans le torpédo surgis, deux allemands captifs, deux lieutenants boueux, ioniques, les mains emmaillotées, avec quelques-uns des nôtres, christs mourants qui caressent leurs plaies dans la capote bleue. Et quand ils ont franchi nos avant-postes, la huée de la ville monte à la face des prisonniers barbares, massacreurs de femmes et d’enfants. Cela se passe au soleil d’août, vers la fin de l’après-midi. Notre moteur maintenant retentit sur une route désertée, qu’ombragent des platanes et des ormes épanouis. On nous a dit de revenir très vite si nous apercevions de ces XX téméraires, qui s’avancent loin de leurs infanteries. Et nous essayons de les discerner entre les barrages qui, ornent partout si royalement cet espace de cultures rectilignes. Mille dômes d’or sur la terre que l’ennemi convoite. Il en a chassé les quatre familles assises en un immense chariot au milieu de leurs paquets, de leurs ustensiles, de portraits chers. La bataille s’étant reprochée de leur bourg il fallait évacuer, en moins d’une heure, pour éviter les supplices et les exécutions que les Barbares prodiguent à la plus certaine innocence. Point de larmes ni de lamentations. Plutôt de la bonne humeur, et la certitude qu’avant peu la victoire nous couronnera. Chacun semble content d’avoir sacrifié sa maison à l’honneur de la patrie. Les jeunes filles et les enfants sourient à nos modestes cadeaux et les reçoivent de bonne grâce. Même cette veuve qui, dans la petite voiture de son XX, trottinant, pousse un peu de linge, des casseroles, les images des parents défunts, le crucifix de cuivre avec le coquillage du bénitier. De grosses femmes en sueur, ses fil adolescents qui plient sous le faix, décrivent sans geindre, leur infortune. C’est du provisoire. Ils rentreront chez eux, derrière notre sûre victoire. Des âmes sans pareilles. Plus avant nous rencontrons l’avant-garde à cheval d’un train d’artillerie. Il vient au ravitaillement des munitions. Bien qu’elles soient rouges par places, les toiles de leurs civières, repliées sur les caissons gris, tous ces hommes sortent calmes et fiers du combat. Un lignard hâlé, intelligent, le nez écarlate, nous conte qu’ils répondent au feu de l’ennemi depuis cinq jours et quatre nuits, sans repos ni trêve. Mais ça va : ‘On les a contenus.’ Des batteries prussiennes furent anéanties en grand nombre. Le peloton cycliste accepte nos cigarettes et nos tablettes de chocolat. Ces Nantais ont beaucoup connu de la bataille. Ils déclarent l’ennemi fixé en bien des points. L’un extrait de sa musette un tesson d’acier XX et bleu, fragment ramassé de l’obus qui a coupé la jambe d’un camarade. Ils ne s’en montrent pas moins de gais fatalistes, des XX lurons. A les en croire il paraît impossible que ces multitudes allemandes ne se désagrègent pas tout à l’heure. Leurs soldats ne sont redoutables qu’en masses, sous le revolver des lieutenants. Or ces masses s’allongent, se divisent, perdent, chaque jour de leur cohésion, de leurs cadres, de leurs artilleries. Notre canon les fauche par mille et mille. Nos élans à la baïonnette les épouvantent et laisse de la terreur dans l’âme des survivants, de leurs voisins. S’ils n’avaient su multiplier cette accumulation scientifique de leurs nombres pour déborder sans cesse à notre gauche, ils étaient déjà perdus. Ils le seront. Leur effort titanique s’épuise. L’intelligence et la foi illuminent les yeux de nos amis instantanés. Dans leurs charrettes, les blessés eux-mêmes témoignent de cette confiance. Il n’importe guère que l’éclat d’obus ait déchiré de haut en bas ce pantalon garance, puis la jambe à cette heure méticuleusement bandée, ni qu’une explosion ait noirci ce visage contusionné où deux yeux effrayants persistent et visent dans un masque de boursouflure noirâtre, ni que les balles aient couché ces dormeurs fiévreux sur la paille des chariots successifs, avec la tête dans les bras bleus, les jambes écarlates ballant aux cahots. Ce qui seulement importe pour eux, pour les autres, c’est l’espoir de la chance finale. Une paysanne à tignasse grise se précipite au-devant de l’automobile : ‘Y-a-t-il un médecin parmi vous ?’ Cinquante mètres plus bas un fantassin souffre sur une table où on le déshabille. Quand nous arrivons il achève de mourir, stoïque. Derrière un char de blessés, l’un tire par la bride, le cheval bien sellé, harnaché, du capitaine qui succomba. L’épée pend derrière l’arçon. Au soir, le vent qui se lève emporte et dissipe l’orage de la canonnade par-delà les campagnes riches en moissons. Les lièvres courent, s’arrêtent, écoutent. Les perdrix rappellent. Paul Adam. »
OLLENDORFF Paul 9ème édition. 1906. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 568 pages. Relié dos toilé plat papier marbré pour bibliothèque du patronnage de nansouty. Ouvrage légèrement déboité.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Société d'éditions littéraires et artistiques. 1906. In-12. Relié. Etat du neuf, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 568 pages. Signature à l'encre en page de titre. Petite annotation au crayon de papier en page de garde. Plats jaspés, dos à pièce de titre rouge, titre, auteur et filets dorés.. . . . Classification Dewey : 970-Histoire générale de l'Amérique du Nord
Classification Dewey : 970-Histoire générale de l'Amérique du Nord
OLLENDORFF Paul. 6ème édition. 1906. In-12. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 568 pages. Reliure de bibliothèque : étiquette de code sur la coiffe en-tête et tampons sur la page de titre et dans quelques marges.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Paris Picard 1926 Grand in 8 124 pages - broché - dos cassé - etat moyen
Moyen Signé par l'auteur
1 vol. in12 rel. pleine toile lie-de-vin, couverture conservée, Ernest Kolb, Paris, s.d. (circa 1891), 349 pp.
Bon état pour ce roman, second titre de la trilogie L'Epoque (1. Le Vice filial, 2. Les Robes Rouges, 3. Les Coeurs utiles
Société des amis de la Bibliothèque de Sélestat, 1975,Sélestat : Impr. Alsatia,in4 329 p. : Couv. ill., ill. ; 26 cm,Tome 3 seul,
cachets bibliotheques,bon état Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
A COMPTE D'AUTEUR. NON DATE. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Tapuscrit de 64 pages - reliure à spirale en plastique noire.. . . . Classification Dewey : 629.1-Aviation
Classification Dewey : 629.1-Aviation
Paris Georges Crès et Cie. Les Maitres du livre 1922 in 8 (19x13) 1 volume broché, couverture illustrée rempliée, XIII et 237 pages [3], avec en frontispice un portrait de l'auteur gravé sur bois par Paul Baudier, et des compositions originales dessinées et gravées sur bois par Maurice de Becque. Collection '' Les Maitres du Livre ''. Tirage limité à 3950 exemplaires numérotés, celui-ci un des 1835 exemplaires numérotés sur papier des manufactures de de Rives. Bon exemplaire
Bon Ed. numérotée
1922 Editions G. Crès, Paris, 1922. Un volume in-12 plein veau brun, dos à nerfs, titre doré, tête dorée, couverture conservée, portrait de l'auteur en frontispice (gravé par Paul Baudier), XII+237 pages. Bel exemplaire.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
La Grande revue Collection de la grande revue Relié 1890 "In-4 (18.5x27.5 cm), relié demi-basane rouge, titre et année dorés au dos lisse, La Grande Revue Paris et Saint-Pétersbourg, 3e année, tome IV, 651 pages, contient 6 numéros, du n°19 (10 juillet 1890) au n°24 (25 septembre 1890), ouvrage collectif, textes de Adam, Houssaye, Musset (""Déclamation"", ""A miss Anna X"", vers inédits), etc. ; coiffes, mors, coins et bords frottés, plusieurs épidermures au dos, rayures et traces de frottement sur les plats, rousseurs aux tranches, quelques rousseurs à l'intérieur, état correct. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
Couverture souple. Broché. 17 x 23 cm. Imprimé sur 2 colonnes. 74 pages. Papier bruni. Mouillure à la couverture.
Livre. Couverture illustrée par G. Pita. Editions La Renaissance du Livre. Ed. Mignot éditeur (Collection : In Extenso N° 5), 1913.
Paris, 1898, in-8, 242pp, Reliure demi-basane tabac, Très bel exemplaire illustré par Dédina! 242pp
Paris, 1898, in-8, 242pp, reliure demi-basane, Superbe exemplaire! Illustration par Dédina! 242pp
Adam Paul et Moreas Jean,Anonyme,Fénéon Félix,Méténier Oscar
Reference : ce142
(1886)
Giraud E. & Cie Broché 1886 In 8 (13 x 17 cm), broché cartonné avec couverture rempliée, couverture illustrée couleurs, 180 pages, anonyme (Paul Adam, Oscar Méténier, Jean Moréas et Félix Fénéon) ; couverture légèrement salie, une des pages de gardes se détache, brochage fragile, quelques rousseurs seulement sur la pages de titre, de faux titre et les pages de gardes, le dernier cahier n'est pas coupé, intérieur est frais, très beaux cul-de-lampes gravés, bel état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Georges Crès Et Cie. - "Les Maitres Du Livre" Paris 1922 In-12 de XII-241 pages, demi-maroquin framboise à coins, dos à nerfs orné d'un décor mosaïqué, tête dorée, couvertures et dos conservés ( Reliure signée de FRANZ ). Portrait de l'auteur par Paul BAUDIER, compositions gravées sur bois par Maurice DE BECQUE. Volume numéroté sur papier des Manufactures de Rives. Agréable exemplaire, bien relié.
Halle, Verlag von Wilhelm Knapp, 1913-1919, in-4to, alle Bänden reich illustriert mit Buchbandill., Vignetten, Lederarbeiten aller Art, und dem Buchindustrie verwandte Exponaten & Machinen, Original-Pappband. O.-Umschlag Aufgezogen.
Band 12 bis 18 (ohne 16) Halb-Prgt gebunden. + 24 Einzel-Heften zwischen 1917-1921. Nicht eingehend kollationniert.XII Jhrg 1913, 192 S. (+ Werbung u. Tafeln Buntpapier Muster) XIII Heft 1 - 12, 1914, 192 S. + Werbung XIV Jhrg. Heft 1 - 12. 160 S. + Tafeln & WerbnungXV Jahrgang Heft 1 bis 6 - 1915/16 Hrsg. v. Paul Adam IV + 148 S. + Fachbibl. Paul Kersten - Bertlin, 24 S. XVII Heft 1-12, 1918.XVIII Jhrg. Heft 1-12. 72 S. + Tafeln. 1919. bild
Phone number : 41 (0)26 3223808
Georges Cres & Cie 1916 - nouvelle coll. "les proses", in 12 broché, 258 pages + catalogue de Crès, illustré hors texte de dessins de Huygens en noir et blanc, mention de 2ème édition. Couverture rempliée.
bon etat Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €