Grenoble, Terre et Mer 1982, 270x210mm, 219pages, broché. Couverture à rabats. Bel exemplaire.
photos n/b,
Grenoble. Editions des 4 Seigneurs. 1980. Album in-4° broché. Couverture illustrée. 219 pages. Abondamment illustré. Bon état.
Lyon en 1900 : la ville, l'industrie, la soie, la politique, la presse, les écrivains, les peintres, Auguste et Louis Lumière, Guignol, l'assassinat de Sadi Carnot...
Paris Gallimard 1975 In-12 Broché Ed. originale Dédicacé par l'auteur
Edition originale. Service de presse. ENVOI autographe signé de Malraux au résistant et écrivain lyonnais Jean-Marie Domenach. Très bon 0
Paris Gallimard NRF 1975 In-12 Broché Dédicacé par l'auteur
EDITION ORIGINALE. Exemplaire du service de presse portant un ENVOI AUTOGRAPHE de l'auteur à François Nourissier Très bon 0
Paris Gallimard 1974 In-8 Broché Ed. originale Dédicacé par l'auteur
Edition originale. Cahier photographique in fine. Exemplaire du service de presse. ENVOI autographe signé de Malraux au résistant et écrivain lyonnais Jean-Marie Domenach. Très bon 0
Paris Gallimard 1974 In-12 Broché Ed. originale Dédicacé par l'auteur
Edition originale. Service de presse. ENVOI autographe signé de Malraux au résistant et écrivain lyonnais Jean-Marie Domenach. Très bon 0
Paris Gallimard NRF 1974 In-12 Broché Dédicacé par l'auteur
EDITION ORIGINALE. Exemplaire du service de presse portant un ENVOI AUTOGRAPHE de l'auteur à François Nourissier Très bon 0
SOCIETE GENERALE D'IMPRIMERIE ET D'EDITION. 1932. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 387 pages. Ouvrage de bibliothèque : étiquette de code sur la coiffe en-tête et tampons sur la page de titre et dans quelques marges. Petit manque en coin sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 947-Europe de l'Est, URSS
Classification Dewey : 947-Europe de l'Est, URSS
Société Générale d'Imprimerie et d'Edition, 1932, in-12, 380 pp, broché, rares qqs soulignures crayon. Bon état
Lyon, Lardanchet, 1908; in-4°, demi veau marbré, dos à nerfs mosaïqué et orné de motifs floraux, tête dorée, couverture conservée, étui (Kauffmann). Frontispice et 14 eaux-fortes originales hors-texte de Marcel Roux, grands encadrements à chaque page de texte, culs-de-lampe. Tiré à 300 exemplaires; celui-ci sur hollande.
Beau livre.
1924 Calmann-Lévy, 1924, 1 volume in-12 de 193 pages, cartonnage avec dos toilé vert sapin.
Un tampon d'appartenance sur la page de faux-titre, légers frottements sur les coupes, sinon bon état.
Chez Nicolas Caille Lyon 1669 Petit in-12, veau brun granité, de 12 ff.-542-14 ff., plein veau fauve granité, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, tranches mouchetées ( Reliure de l'époque ). Armes ecclésiastiques au verso du titre 1 figure hors-texte et 2 planches portant 18 figures en taille douce et un schéma planisphérique dépliant. EDITION ORIGINALE. Dos légèrement frotté, il manque le dernier feuillet de l'Avis au lecteur ( comme le relève déjà Guaita en 1890 ). Bel exemplaire. Caillet ( III, 7497 recopiant Guaita 1617 ): "Livre curieux et très rare"."Rare et curieux ouvrage composé par un huguenot converti, docteur de l'université de Montpellier qui resté veuf est devenu chanoine de l'église Saint Nizier de Lyon. On y trouve des passages singuliers : Jugements qui conçoivent du vent, préservatifs contre les opérations des comètes et malignité des astres, sympathie par laquelle on gagne les Esprits etc." Dorbon, 3067.
1656 A Lyon chez Jean Huguetan 1656. Une erreur a été faite sur la page de titre qui est notée 1606 mais l'approbation est bien de 1656.in-8, plein veau, ÉDITION ORIGINALE RARE. 14 ff + 221 pp + 8 ff, reliure usagée, quelques manques de cuir
Par un grand nombre de sections et de compositions usitées à présent, qui manquent et ne se trouvent point en celle de MM. Bauderon, avec des Paraphrases curieuses sur chacune, et le Meslange en François.Ouvrage nouveau et necessaire aux Medecins, Maistres Apoticaires, Chirurgiens et Pharmaciens qui vont par la Campagne, et à tous ceux qui sont curieux de leur Santé.Édition originale rare. A Lyon, chez Jean Huguetan 1656. Une erreur a été faite sur la page de titre qui est notée 1606, mais l'approbation est bien de 1656. Ex-libris ancien manuscrit au tire.Reliure plein vélin ancien. Dos avec étiquette de titre noire. Tranches rouges. Rogné, court de marge en tête. Quelques mouillures. Bon état. Format in-12°(16x10).
Imprimerie J.Dumoulin 1941. Fort in-8 broché. Petit tirage sur alfa d'édition. Poèmes de Miguel de San Lazaro écrits entre 1940 & 1941. Livre accompagné d'une belle photo de l'auteur ( cachet " Le Studio "au dos ) & d'une belle lettre tapuscrite signée de Louis Thomas donnant des conseils au jeune écrivain. Superbe état. Edition originale. Rare
Cher Client, Chère cliente, bonjour, merci de votre visite, je suis absent quelques jours et en raison des ponts de la semaine prochaine, mon activité sera réduite jusqu'au 12 mai inclus. En cas d'achat, les commandes seront expédiées à partir du 13 mai.Amitiés, bibliophiliques.Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres
Camille Dalou, Paris 1888, 20x27,5cm, relié.
Edition originale, un des rares exemplaires sur Japon. Reliure à la bradel en demi cartonnage à coins façon vélin , dos lisse orné de motifs typographiques en tête et en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tête dorée, couverture conservée. Bel et rare exemplaire. Considéré par Victor Hugo comme «l'espoir de la poésie française»[1], ce Rimbaud méridional injustement oublié fut emporté par la tuberculose à l'âge de 23 ans. Ephraïm Mikhaël figura parmi les précurseurs du symbolisme et futunanimement acclamé et amèrement pleuré par le mouvement, qui perdit l'un de ses membres les plus prometteurs: «celui qui évoqua la nocturne dame déprise, l'hiérophante hautain et l'idéale vierge, n'est plus déjà.» (Préface de l'ouvrage posthume Poésies En Vers, Paris, Lemerre, 1890).» Comptant seulement trois ouvrages publiés du vivant de son auteur, l'uvre d'Ephraïm Mikhaël bénéficia d'une précoce notoriété en tant qu'émule du Parnasse, et fut exhumée il y a peu de temps après une longue période d'oubli. Cet ancien élève de l'école des Chartes épris de culture classique signa en effet un unique recueil de poèmes (L'automne), et composa les toutes premières pièces de théâtre symbolistes, notamment La fiancée de Corinthe, avec Bernard Lazare, qu'il adapta avec Catulle Mendès en opéra. Dans une France à l'aube de l'affaire Dreyfus, le jeune Mikhaël, originaire de la communauté juive toulousaine, fut également considéré par certains comme un ambassadeur du judaïsme, qu'il revendiqua en abandonnant définitivement son nom francisé «Georges Michel» pour sa forme hébraïque. Au sein du lycée Fontanes, futur lycée Condorcet, ce jeune poète en recherche d'absolu dirigea dans l'esprit joyeux d'Alfred Jarry le groupe de La Pléiade, avec, entre autres, Rodolphe Darzens, Pierre Quillard et Saint-Pol-Roux. Marqué par l'émulation intellectuelle des débuts du symbolisme et la liberté grisante des années 1880 dont il demeura l'éternelle incarnation, son talent fut très vite reconnu par ses pairs: on le compta parmi les habitués des fameux "mardis" du poète Stéphane Mallarmé qui enseignait aussi à Condorcet. Mikhael fréquenta également Heredia, se lia d'amitié avec Villiers de l'Isle-Adam dans les cafés de Montmartre et fut rapidement invité à contribuer aux revues symbolistes, notamment La Basoche, La Pléiade, ou La Jeune France dirigée par Paul Demeny, destinataire de la célèbre Lettre du voyant de Rimbaud(«JE est un autre [...]»). Durant ses huit années d'activités littéraire, Ephraïm Mikhael produisit une uvre conséquente, suggérant le mystère du monde, la magie et le prodige; on y rencontre des thèmes baudelairiens, des mythes antiques (Briséis, «La reine de Saba») et du moyen-âge chevaleresque sous l'influence de Wagner («Siegfried», «Florimond»). Mikhaël abandonna le mètre pour quelques uvres dramaturgiques, dont le Cor fleuri, sa «féerie en un acte» qu'il monta au Théâtre Libre en 1888. Souvent qualifié de Décadent au regard de son mélancolique recueil de poèmes L'automne, il suscita l'admiration de Mallarmé, Maeterlinck et surtout Catulle Mendès, qui signe une des plus belles élégies après sa tragique disparition : «Ses tristesses sont bien les siennes, et il pleure, le cher enfant, nostalgique de tant de ciels de jadis, l'automne, c'est le passé, des larmes que ses yeux seuls ont pleurées.» [1] Gilbert Lély, «Ephraïm Mikhaël», Nos Poètes, 15 fév. 1925, cité dans Ephraïm Mikhaël, Poèmes en vers et en prose, édités par Matthew Screech,Droz, 1994 - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. 1888, 24,5x31,5cm, relié.
Manuscrit autographe complet, de la main d'Ephraïm Mikhael, de 28 feuillets numérotés de papier cartonné souple. Reliure à la bradel en demi cartonnage à coins façon vélin , dos lisse orné de motifs typographiques en tête et en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tête dorée, couverture conservée. Notre manuscrit, dans sa majorité écrit de la main d'Ephraïm Mikhaël comporte des ratures, des ajouts de Mikhaël sur des placards encollés. Il présente également des ajouts à la plume et au crayon de la main du coauteur de la pièce, Bernard Lazare. On distingue la signature partielle «B Lazare» dans le coin supérieur gauche de la page de titre. Quelques petits manques de texte en raison de la fragilité du papier. A notre connaissance, aucun autre manuscrit de cette uvre n'a été conservé. Considéré par Victor Hugo comme «l'espoir de la poésie française»[1], ce Rimbaud méridional injustement oublié fut emporté par la tuberculose à l'âge de 23 ans. Ephraïm Mikhaël figura parmi les précurseurs du symbolisme et futunanimement acclamé et amèrement pleuré par le mouvement, qui perdit l'un de ses membres les plus prometteurs: «celui qui évoqua la nocturne dame déprise, l'hiérophante hautain et l'idéale vierge, n'est plus déjà.» (Préface de l'ouvrage posthume Poésies En Vers, Paris, Lemerre, 1890).» Comptant seulement trois ouvrages publiés du vivant de son auteur, l'uvre d'Ephraïm Mikhaël bénéficia d'une précoce notoriété en tant qu'émule du Parnasse, et fut exhumée il y a peu de temps après une longue période d'oubli. Cet ancien élève de l'école des Chartes épris de culture classique signa en effet un unique recueil de poèmes (L'automne), et composa les toutes premières pièces de théâtre symbolistes, notamment La fiancée de Corinthe, avec Bernard Lazare, qu'il adapta avec Catulle Mendès en opéra. Dans une France à l'aube de l'affaire Dreyfus, le jeune Mikhaël, originaire de la communauté juive toulousaine, fut également considéré par certains comme un ambassadeur du judaïsme, qu'il revendiqua en abandonnant définitivement son nom francisé «Georges Michel» pour sa forme hébraïque. Au sein du lycée Fontanes, futur lycée Condorcet, ce jeune poète en recherche d'absolu dirigea dans l'esprit joyeux d'Alfred Jarry le groupe de La Pléiade, avec, entre autres, Rodolphe Darzens, Pierre Quillard et Saint-Pol-Roux. Marqué par l'émulation intellectuelle des débuts du symbolisme et la liberté grisante des années 1880 dont il demeura l'éternelle incarnation, son talent fut très vite reconnu par ses pairs: on le compta parmi les habitués des fameux "mardis" du poète Stéphane Mallarmé qui enseignait aussi à Condorcet. Mikhael fréquenta également Heredia, se lia d'amitié avec Villiers de l'Isle-Adam dans les cafés de Montmartre et fut rapidement invité à contribuer aux revues symbolistes, notamment La Basoche, La Pléiade, ou La Jeune France dirigée par Paul Demeny, destinataire de la célèbre Lettre du voyant de Rimbaud(«JE est un autre [...]»). Durant ses huit années d'activités littéraire, Ephraïm Mikhael produisit une uvre conséquente, suggérant le mystère du monde, la magie et le prodige; on y rencontre des thèmes baudelairiens, des mythes antiques (Briséis, «La reine de Saba») et du moyen-âge chevaleresque sous l'influence de Wagner («Siegfried», «Florimond»). Mikhaël abandonna le mètre pour quelques uvres dramaturgiques, dont le Cor fleuri, sa «féerie en un acte» qu'il monta au Théâtre Libre en 1888. Souvent qualifié de Décadent au regard de son mélancolique recueil de poèmes L'automne, il suscita l'admiration de Mallarmé, Maeterlinck et surtout Catulle Mendès, qui signe une des plus belles élégies après sa tragique disparition : «Ses tristesses sont bien les siennes, et il pleure, le cher enfant, nostalgique de tant de ciels de jadis, l'automne, c'est le passé, des larmes que ses yeux seuls ont pleurées.» [1] Gilbert Lély, «Ephraïm Mikhaël», Nos Poètes, 15 fév. 1925, cité dans Ephraïm Mikhaël, Poèmes en vers et en prose, édités par Matthew Screech,Droz, 1994 Manuscrit autographe complet d'une des toutes premières pièces de théâtre symbolistes, écrite par Ephraïm Mikhael et Bernard Lazare, s'inspirant d'une légende antique auréolée de mystère, à la croisée du paganisme et du mysticisme chrétien. Composée en 1887 alors qu'Ephraïm Mikhaël était déjà rongé par la tuberculose, cette «légende dramatique» en trois actes ne sera pas créée au théâtre de son vivant. Ce manuscrit constitue un authentique témoin du travail coordonné des deux hommes, qui se considéraient comme cousins tant leurs affinités littéraires étaient grandes. Les pages du manuscrit retracent les nombreuses étapes d'écriture à travers les innombrables parties encollées dévoilant ou masquant les états antérieurs du texte abandonnés et réécrits par Mikhaël. On y rencontre çà et là les ajouts de Bernard Lazare, qui se charge en majorité des didascalies, et dont l'écriture serrée se distingue aisément de l'ample plume de son acolyte. S'inspirant d'un récit du Livre des Merveilles de Phlégon, auteur du IIe siècle de notre ère, la pièce conte le destin de deux amants païens, Apollonia et Manticlès, réunis dans la mort après avoir été séparés par Bénénikè, mère de la jeune fille récemment convertie au christianisme. Ephraïm Mikhaël corrigea systématiquement le nom de «Bérénice» en «Bérénikè», s'éloignant de la référence cornélienne pour donner une couleur plus antique au récit. En tous points fidèle à l'esthétique symboliste, telle qu'énoncée un an plus tôt dans le fameux manifeste du mouvement, la pièce est traversée par le motif de la revenante d'outre-tombe et de la tension religieuse : «Je voudrais que les Euménides nous reçoivent tous deux au seuil de l'Hadès, comme des amants fugitifs dans un bois sacré»(Acte I, scène IV); à la fin de la pièce, la fiancée morte de chagrin dans un couvent revient sous la forme de spectre entraîner son amant dans une union éternelle : « Le glorieux Erôs m'a prêté sa force divine pour lever les pierres de la tombe; la nuit funèbre n'a pu fermer mes yeux qui te cherchaient au loin» (Acte III, scène VI). La pièce marque également la filiation d'Ephraïm Mikhaël avec le romantisme, le mythe ayant déjà été traité par une ballade éponyme de Goethe puis dans un poème d'Anatole France, intitulé Noces corinthiennes paru en 1876. Le caractère énigmatique de la pièce a mené à de nombreuses interprétations: rejet du divin ou au contraire syncrétisme païen et chrétien imprégné de mysticisme? On peut considérer la pièce comme une tentative de réconciliation entre les intérêts respectifs de leurs auteurs: d'un côté Ephraïm Mikhaël, jeune chartiste épris de Grèce antique, et de l'autre son ami Bernard Lazare «fasciné par les périodes de transition culturelle, les moments dans l'histoire où les civilisations et les religions se rencontrent et se confrontent» (Nelly Wilson, Bernard-Lazare, Cambridge University Press, 1978). Cette uvre signale la présence d'un fait religieux universel, une aspiration vers l'au-delà et l'invisible que le Verbe dévoile par des symboles. D'aucuns ont vu dans la Fiancée de Corinthe un manifeste anti-chrétien, du fait de l'origine juive des deux auteurs, souffrant sans doute de l'antisémitisme de la société française à la veille de l'affaire Dreyfus. Ainsi Félix Fénéon accueille la publication de la pièce en ces termes: «on comprendra, sans doute, pourquoi deux Sémites, mécontents de Goethe et de M. France, sont venus nous dire leur sentiment de l'introduction du christianisme dans la société païenne» (La revue indépendante, tome IX, octobre-décembre 1888). Malgré les dissensions qui ont prévenu sa création au théâtre, La Fiancée de Corinthe fut bien reçue par la critique après sa publication l'année suivante; les deux écrivains furent notamment félicités par leur maître Mallarmé, et leurs amis du journal Pléiade. La pièce est par ailleurs dédiée à leur ami le poète Catulle Mendès, qui fera du premier acte un livret d'opéra avec Ephraïm Mikhaël. Unique témoignage autographe d'un drame aux accents prophétiques ; l'auteur partagea moins de deux ans plus le destin des jeunes amants de cette pièce, trouvant selon ses dires la délivrance dans la mort: «bientôt ils se perdent dans la nuit resplendissante de surnaturelles clartés» (Acte III, scène VII). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Santa Barbara, Capra Press, 1976. In-8, cartonnage de l’éditeur sous jaquette illustrée par H. Miller, 138 pages. Edition originale (First Printing) de ces souvenirs de jeunesse à Brooklyn. Illustré de photos de Brooklyn par Jim Lazarus et de reproductions de lithos de l’auteur. Excellent état à tout point de vue.
La Wallonie, 1899. Une plaquette brochée (13,5 x 20 cm) de 30 pages. Couverture légèrement salie et usée sinon bon exemplaire non coupé. Textes de Camille Lemonnier, Bernard Lazare
Un ouvrage de 270 pages, format 160 x 240 mm, illustré, broché couverture couleurs, publié en 2012, bon état
Les Chevaliers de Saint Lazare ont notamment aidé à la fondation de l'Acadie et du Québec, à l'indépendance américaine, participé à la découverte de nouvelles terres. Préface du Prince François Murat
Phone number : 04 74 33 45 19
Un ouvrage de 515 pages, format 135 x 205 mm, illustré de gravures rerésentant les décorations, relié cartonnage dos percaline, publié en 1819, Belin-Le Prieur / Delaunay, Libraires (Paris), bon état, rare
Ouvrage rédigé sur les documents authentiques conservés dans les Archives et Bibliothèques publiques ; contenant les statuts fondamentaux des Ordres existans actuellement en France, les Lois, Ordonnances, Avis du Conseil d'Etat, Règlemens et autres Actes administratifs qui les concernent, une Notice historique sur chacun d'eux, et un exposé analytique de leur état actuel
Phone number : 04 74 33 45 19
Stock 2003 Stock, 2003, 456 p., broché, coins des plats un peu cornés, bon état pour le reste et intérieur propre.
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OSPAAAL. Impression en offset. 1971. Dim: 520 x 320 mm.
En 1970, le militaire Arana Osorio arrive au pouvoir, surnommé le "Chacal de Zacapa" par les FAR (Forces Armées Rebelles) . Il restera quatre années maître du pays, durant cette période 150.000 personnes disparaîtront au Guatemala. Citée dans l'ouvrage de Richard Frick "l'Affiche Tricontinental de la Solidarité".