‎Instructions secrètes des Jésuites. Troisième édition augmentée de notes curieuses et précédées d'une introduction.-‎

‎Paris. Dentu. 1863. In-12 (116 x 161mm) dos basane verte (virée au brun), plats mouchetés, 144 pages. Rousseurs, bords de feuilles tachés, état moyen.‎

‎MONITA SECRETA SOCIETATIS JESUS‎

‎Instructions secrètes des Jésuites troisième édition,augmentée de notes curieuses et précédée d’une introduction par Charles SAUVESTRE.In 12 demi-cuir vert,titre,filets dorés.faux-titre,titre,144 pages,E.Dentu 1864.rousseurs principalement en début et fin de volume ‎

‎Les Jésuites au cours de quatre siècles - Travaux, éprueves, joines 1540-1940‎

‎s.l., L'édition Universelle 1941 170pp., non coupé, br.orig.‎

‎Les Jésuites au cours de quatre siècles, travaux, épreuves, joies, 1540-1940.‎

‎Edition Universelle s.a., 1941. 12 x 19, 170 pp., broché, bon état.‎

‎Les Jésuites au cours de quatre siècles, travaux, épreuves joies, 1540-1940.‎

‎Belgique, Editions Universelles, 1941. 13 x 19, 170 pp., broché, bon état.‎

‎Ignace de Loyola.‎

‎ Editions du Rocher, 2000, in-8°, 198 pp, index, broché, couv. illustrée, bon état‎

‎Biographie d'Íñigo López de Loyola, francisé en Ignace de Loyola, né en 1491 à Azpeitia dans le Pays basque espagnol et mort le 31 juillet 1556 à Rome, fondateur et le premier Supérieur général de la Compagnie de Jésus, congrégation catholique reconnue par le pape Paul III en 1540. — Né alors que Christophe Colomb se prépare à son grand voyage, et qu'en Europe s'annonce la Renaissance, Ignace de Loyola s'efforce de maintenir un équilibre constant entre son action militante et la contemplation. Dès les premières années de son apostolat, il parcourt l'Espagne, la France et l'Italie tout en poursuivant l'élaboration de ses divers projets. Après les vœux décisifs de Montmartre, il met au point les “Exercices spirituels” et les “Constitutions” du nouvel ordre, et prend l'initiative de confréries de bienfaisance et de Collèges diffusés dans le monde entier. Mais il garde aussi le contact avec les autorités politiques et religieuses – principalement Charles Quint et les papes – et maintient un échange épistolaire continu tant avec ceux qui favorisent ses desseins qu'avec ceux qui y font obstacle. Ainsi s'élaborent les deux volets de son œuvre : une vigilance envers les missions les plus lointaines (le Japon, l'Ethiopie, le Brésil), et une recherche intérieure incessante dont témoignent son “Autobiographie” et son “Journal spirituel”. (4e de couverture) ‎

‎Sint Jan Berchmans - Een vaandrig van Christus (1599-1621)‎

‎, s.l., 1949, 64pp.geïll.‎

‎Pensées et conseils, offerts aux jeunes gens instruits.‎

‎Genève, Société Générale de Librairie Catholique, 1882 12 x 19, 572 pp., reliure dos cuir, bon état (cachets du Collège jésuite Saint Stanislas à Mons)‎

‎LE PERIL JESUITIQUE.‎

‎Georges Bridel - Librairie Fischbacher Lausanne - Paris 1903 In-12 ( 185 X 120 mm ) de 336 pages, demi-chagrin bleu, dos à nerfs janséniste ( Reliure de l'époque ). Edition originale.‎

‎La Monarchie des Solipses. Traduit de l’original latin de Melchior Inchofer, de la Compagnie de Jésus avec des remarques et diverses pièces importantes sur le même sujet. ‎

‎Amsterdam, Uytwere, Amsterdam, Uytwere1754 ; in-12, veau fauve marbré, dos orné. (Rel. de l’époque). XLIV pp., 4 ff. n. ch., 407 pp.La traduction est de Pierre Restaut. Solipse est un terme injurieux pour qualifier les jésuites soit Soli ipsi (pour eux-seuls). Les bibliographes hésitent à attribuer cette satire qui fit grand bruit lorsqu’elle parut en latin en 1645 au jésuite hongrois Inchhofer, un savant bizarre qui écrivit contre Copernic. Elle serait plus vraisemblablement de Scoti, un jésuite infidèle à sa Compagnie. L’ouvrage “sent plutôt le dépit et l’esprit de rancune que l’amitié sévère et le goût d’une sage réforme. On devine que les Solipses ont dû attribuer ce terrible livre à Scoti, c’est-à-dire à un apostat (...) Le grammairien Restaut, qui a traduit la satire, ne doute pas qu’elle soit d’Inchhofer.” Du Roure II 224-32 21 chapitres dans lesquels sont fustigés le gouvernement des jésuites, la façon insinuante dont ils recrutent, les fables qui courent à leur sujet, leur goût pour les nouveautés, leurs méthodes pédagogiques, leurs moeurs, leurs missions étrangères et leurs revenus, leurs mensonges.‎

‎La Monarchie des solipses par Jules Clément Scotti, Jésuite, sous le nom emprunté de Melchior Inchofer ; traduite de l'original latin, par Pierre Restaut, avocat au Conseil du Roi ; accompagnée de notes, de remarques et de pièces. Précédée d'un discours préliminaire. Publiée par le baron d'Hénin de Cuvillers‎

‎Paris, Barrois l'aîné, Delaunay [Imprimerie de P. Gueffier], 1824 2 parties en un vol. in-8, 536 pp., avec quelques figures dans le texte (dont les symboles des Jésuites : l'hydre de Lerne, le caméléon, le serpent ...), avec une (sur deux) planche lithographiée (déchirée sur sa moitié - cf. l'explication infra), demi-basane prune, dos lisse orné de hachurés et guirlandes dorés, ainsi que de larges fleurons à froid, pièces de titre noires, tranches marbrées Deux charnières très frottées, rousseurs. (reliure de l'époque).‎

‎Nouvelle édition, procurée dans le climat d'hystérie anti-jésuitique qui accompagna le règne de Charles X, supposé leur soutien aveugle ("Hommes noirs, d'où sortez-vous ?"). Elle doit normalement comprendre deux lithographies hors texte, mais qui furent retirées des exemplaires par ordre de François Franchet d'Esperey (1778-1864), alors directeur général de la police depuis 1816, et accessoirement membre de la Congrégation. Dans notre exemplaire, la première gravure fut déchirée sur sa moitié, mais pieusement restaurée sur la partie manquante (p. 125), touchant témoin des fureurs que l'ouvrage déclenchait chez les soutiens de la Compagnie.L'originale latine de ce pamphlet ironique contre la Compagnie de Jésus était parue en 1645 à l'adresse de Venise (Lucii Cornelii Europaei Monarchia solipsorum). Son auteur, le père Giulio Clemente Scotti (1602-1669), ancien profès de la Compagnie, avait quitté la société par faute d'obtenir le poste qu'il convoitait.La traduction et les remarques sont du grammairien Pierre Restaut (1696-1764).Quérard VIII, 581. Backer & Sommervogel VII, 969 (ne fait que signaler en passant cet écrit embarrassant d'un ancien confrère, conformément à cet usage tellement ecclésiastique, mais si peu rigoureux qu'ils avaient adopté : passer sous silence les ouvrages composés par des Jésuites ayant quitté l'Ordre, ce qui rend, sur ce point leur bibliographie fautive). LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎La Monarchie des solipses traduite de l'original latin de Melchior Inchofer, de la Compagnie de Jésus. Avec des remarques, & diverses pièces importantes sur le même sujet‎

‎Amsterdam, Hermann Uytwerf, 1722 in-12, LXX pp., [4] ff. n. ch. (avertissement, table des chapitres, dédicace), 407 pp., basane fauve marbrée, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre bouteille, encadrement de simple filet à froid sur les plats, tranches rouges Un coin abîmé. (reliure de l'époque).‎

‎Reprise à l'identique de l'édition de 1721. L'originale latine de ce pamphlet ironique contre la Compagnie de Jésus était apru en 1645 à l'adresse de Venise (Lucii Cornelii Europaei Monarchia solipsorum). Son auteur, le père Giulio Clemente Scotti (1602-1669), ancien profès de la Compagnie, avait quitté la société par faute d'obtenir le poste qu'il convoitait.La traduction et les remarques sont du grammairien Pierre Restaut (1696-1764).Quérard VIII, 580. Backer & Sommervogel VII, 969 (ne fait que signaler en passant cet écrit embarrassant d'un ancien confrère, conformément à cet usage tellement ecclésiastique, mais si peu rigoureux qu'ils avaient adopté : passer sous silence les ouvrages composés par des Jésuites ayant quitté l'Ordre, ce qui rend, sur ce point leur bibliographie fautive). LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎La Monarchie des solipses traduite de l'original latin de Melchior Inchofer, Jésuite. Avec des remarques‎

‎Amsterdam, s.n., 1721 in-8, LX pp., [4] ff. n. ch. (avertissement, table des chapitres, épître), 407 pp., basane brune écaille, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre fauve, tranches rouges (reliure de l'époque).‎

‎Première traduction française. L'originale latine de ce pamphlet ironique contre la Compagnie de Jésus était parue en 1645 à l'adresse de Venise (Lucii Cornelii Europaei Monarchia solipsorum). Son auteur, le père Giulio Clemente Scotti (1602-1669), ancien profès de la Compagnie, avait quitté la société par faute d'obtenir le poste qu'il convoitait.La traduction et les remarques sont du grammairien Pierre Restaut (1696-1764).Quérard VIII, 581. Backer & Sommervogel VII, 969 (ne fait que signaler en passant cet écrit embarrassant d'un ancien confrère, conformément à cet usage tellement ecclésiastique, mais si peu rigoureux qu'ils avaient adopté : passer sous silence les ouvrages composés par des Jésuites ayant quitté l'Ordre, ce qui rend, sur ce point leur bibliographie fautive). LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎ La monarchie des solipses. Accompagnée de notes, de remarques et de pièces. Précédée d'un discours préliminaire. Publiée par le baron D'Hénin de Cuvillers. ‎

‎ Paris, Barrois et Delaunay, 1824. 2 parties en un volume in-8 de 536 pp., demi chagrin brun.‎

‎" Les 2 lithographies de cette édition en ont été déchirées et arrachées par ordre... M. d'Hénin méritait, sans doute, une pareille rigueur. En effet, dans son discours préliminaire, qui remplit la moitié du volume, il attaquait sans ménagements, et avec une éloquente énergie, les intrigues ambitieuses des jésuites. Il y dévoila, avec hardiesse, l'immoralité jésuistique, qui, disait-il, menaçait l'Europe d'une invasion générale " (Quérard). Rousseurs. Un coin cassé avec petit manque. ‎

‎Lettres sur divers points de controverse, contenant les principaux motifs qui ont déterminé son altesse sérénissime monseigneur le duc Frédéric des Deux Ponts à se réunir à la sainte Eglise Catholique, Apostolique & Romaine.‎

‎A Liège, Chez Everard Kints, 1749. 2 parties en 1 vol. in-12 de (6)-231 pp. ; 232 pp., veau havane, dos orné à nerfs chiffre répété sur chaque caisson, trigramme en pied, filet doré sur les plats, tranches rouges (reliure de l'époque). ‎

‎Nouvelle édition publiée deux ans après l'édition originale.Le prince Frédéric-Michel (1724-1767) fut comte palatin de Deux-Ponts-Birkenfel et de Rappolstein. Il est le frère de Christian IV (1722-1775), duc palatin des Deux-Ponts et comte palatin de Birkenfeld de 1734 à 1775, dont le règne correspond à l'époque la plus glorieuse et la plus prospère du Palatinat-Deux-Ponts.De Backer : « On trouve dans le premier volume une liste des Princes et des Princesses qui ont abjuré les erreurs de Luther et de Calvin. Ces lettres furent composées pour l'instruction du Prince Frédéric, avant qu'il se fût réuni à la religion catholique ; elles sont solides et Benoît XIV en témoigne sa satisfaction ».François de Seedorff fut le précepteur et confesseur de Charles Théodore de Bavière (1724-1799) - Charles XII de Suède étant mort sans descendance mâle en 1718, la principauté de Deux-Ponts passa à la branche de Birkenfeld en 1731, à laquelle appartenait Charles Théodore. Seedorff vécut seize ans à la cour de ce Prince et mourut à Schwetzingen en 1758, à l'âge de soixante-sept ans.Provenance : bibliothèque du Collège des Jésuites de Paris avec le chiffre grec de Fouquet répété sur le dos. Les Jésuites de Paris, à qui Fouquet avait fait don d'une rente perpétuelle de 6000 livres pour augmenter leur bibliothèque, firent frapper sur les plats ou sur le dos des ouvrages acquis avec cette rente deux F entrelacés, afin de distinguer ces volumes de ceux que le poète Desportes leur avait donnés et qui portaient aussi deux F, mais éloignés l'un de l'autre.Dos restauré. De Backer-Sommervogel, VII, 1043. ‎

‎Panegyrici sacri. Ex postrema editione italica latinè redditi a R.P. Maxim. Rassler. Accedit Eusebii Truchses ... Oratio ... Itémque Diss. Academicae Max. Rassler De Monarchia summi pontificis. Editio secunda.‎

‎Dilingae (Dillingen), Joannis Caspari Bencard, 1725, gr. in-8° carré, 4 ff., titre en rouge et noir + 656 p. + 14 ff. (Index), légèrement bruni, exlibris ms. ancien ‘Bullet’ (d'Estavayer) et inscription ms. de prix pour: - Hoc praemio donatus est Franciscus Laurentius Cuassot (Chassot) Humanista anno 1733 -, la feuille du prix même a été enlevée, doublures en papier dominoté ‘grand peigné caillouté’ en 4 couleurs sur fond blanc, magnifique reliure fribourgeoise en parchemin teinté en rose, dos à cinq nerfs richement doré aux fers, plats avec double encadrement de fleurons dorés, qqs pet. taches sur le pat infér., frottements, manquent les lanières d'attache, les 3 tranches dorées, bel exemplaire.‎

‎Somptueux témoignage de l'art de la reliure à Fribourg. L’auteur le Père Segneri, fameux jésuite italien, infatigable missionaire et évangélisateur des campagnes, eut une audience et un influx sur la multitude inégalés en Italie depuis Savonarole. Le style de ses ouvrages était si remarquable que la florentine Accademia della Crusca (alter ego de l'Académie française) en recommanda la lecture. L'ouvrage donné comme prix à Fr.-L. Chassot (1717-1783) médecin réputé, conseiller d'Estavayer, gouverneur 1740-1750, -63, -69. Barbier III/33a; Quérard IX/17; Hoefer NBG XXX/57 et XLIII/685. Image disp.‎

‎Un apôtre des petits enfants dans les collèges des jésuites suivi de Vie du R.P. Jeantier, de la Compagnie de Jésus.‎

‎Paris/Poitier, H. Oudin , 1882 12 x 18, 462 pp., reliure dos cuir, bon état (reliure légérement usagée, quelques rousseurs, cachets du Collège jésuite Saint Stanislas à Mons)‎

‎souvenirs de Saint-Acheul, de Fribourg, du Passage, de Turin, de Bruxelles et de Vannes, envoi de l'Auteur‎

‎Croquis de Chine‎

‎Paris, Gabriel Beauchesne & Cie, Editeurs, 1912. 1 volume in-8, 200 pp., reliure moderne plein cuir tabac, orné de nombreuses photographies et plans, très bon état général.‎

‎Table des Matières: Zikawei et Changhai - Premier contact avec la Chine - A Zikawei - Changhai - Chez les Vieux Chrétioens: Deux Chrétientés rivales - Une fête de la Sainte-Enfance à Dangkoh - Une mission et une ouverture de mois de Marie à Dangmouhiao - Tsonming et Haimen - Chez les pêcheurs - Au Pélerinage de Zosé - En Pays Neuf: En route pour le Siutcheoufou - Au pays des brigands - Au Nganhoei.‎

‎Vie du Père Lintelo.‎

‎Bruxelles, Librairie de l'Action Catholique/Toulouse, Bureaux de l'Apostolat de la Prière, 1921. 14 x 22, 352 pp., broché, bon état (couverture légèrement défraîchie).‎

‎Père Lintelo de la Compagnie de Jésus, Apôtre de la Communion Quotidienne, membre du Bureau des Congrès Eucharistiques, en frontispice portrait du Père Lintelo.‎

‎L'épopée des Jésuites 1540-1940‎

‎Liège, Dessain 1941 176pp., br.orig.ill., 18cm., cachet, bon état‎

‎Les Missions religieuses en France sous la Restauration (1815-1830).‎

‎Saint-Mandé, Procure des prêtres de la miséricorde, Paris, Vrin, 1948-1959; 2 vol. in-8, XXX-366 pp. et 531 pp., 1 portrait, broché. Rousseurs sur la couverture du tome II. Cachet. ‎

‎Tome I. Le missionnaire et la mission. Tome II. Les missions.Rare complet. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎L'Observatoire de Zi-Ka-Wei - Cinquante Ans de Travail Scientifique‎

‎Paris, sans date (1929?). 1 volume in-4, (46) pp. (ouvrage non paginé) sur papier à fort grammage, enrichi de nombreuses illustrations photographiques, d'une carte et d'une caricature de Sapajou, broché, très bon état général. ‎

‎Bel album célébrant le Cinquantenaire de la reprise des travaux scientifiques des Jésuites, à Zi-Ka-Wei, petit village à 6 kilomètres de Chang-Hai. Les Jésuites effectuaient des travaux scientifiques de météorologie, de physique du globe (observations magnétiques et sismologiques), de géographie, d'astronomie et de physique générale. Ils poursuivaient ainsi l'oeuvre scientifique entreprise par leurs illustres devanciers du seizième et dix-septième siecle, les Ricci, les Schall, les Verbiets, ces "Présidents du Tribunal des Mathématiques" dont les noms sont restés dans l'Histoire.‎

‎De geestelyke Don Quichot of de Spaansche doolende ridder van de H. Maagd, Don Ignatius de Lojola, in zyn leven, aart, gedrag, manieren, en wonderdaden ; zoo geestig, als deftig, beschreven, tot troost van zyne, tegen wil en dank, allerwegen omdoolende Ridder-orde der Jesuiten, en ook van andere zyner Basterd kinderen [2 volumes]‎

‎Amsterdam, by de Kruyf, Baalde, Bom, [e.a.] 1767 Volledig in 2 delen, ingebonden in 1 volume: [8],268 + [4],382 pp., met kopergravure buiten tekst in volume 1 (portret van Ignatius biddend voor beeld van Maria), "Nu voor de tweedenmaal in het licht gegeven, om de waereld, op eene onpartydige wyze, den waren oorsprong en aanwas dezer listige en valsche Societeit van Dweepers en Bedriegers onder het oog te brengen", 16cm., lichtgecart. band, tekst helder met slechts enkele vage vlekken op laatste pagina's, tekst in het Nederlands, goede staat, [zeldzame Nederlandse vertaling van Quesnel's oorspronkelijke Franse werk "Histoire de l'admirable Dom Inigo de Guipuscoa, chevalier de la Vierge et fondateur de la monarchie des Inighistes" (1636)], R96563‎

‎Ignatianisch - Eigenart und Methode der Gesellschaft Jesu‎

‎Freiburg, Herder 1990 704pp., cart.cover, dustwrapper, 24cm., VG‎

‎Supplément à l'écrit intitulé "Du rétablissement des jésuites en France".‎

‎ Paris, Egron, 1816, 1 br., sans couverture. in-8 de 20 pages non coupées, paginées 67 à 86 ; ‎

‎Louis Silvy polémiste janseniste, mort à Port Royal des Champs. Sa belle-mère était la fille de François Antoine, célèbre pour avoir traqué la Bête du Gévaudan. ‎