Tonelle. 24 juillet 1909. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de gravures noir et blanc. Premier et second plat de couverture en couleurs illustré par Carlègle et Delaw.. . . . Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens
Loisirs de ville d'eaux de Métivet, les deux batonniers - Duel parlementaire et Chez les habitants de Mars par Métivet, malentendu par Avelot, émigrant par Guillaume, un tas d'imbéciles regarde en haut par Nob,le retour du colonial par Florès, armor par Bac (pleine page, en couleurs), gros père et petit père par Markous (pleine page en couleurs), le Danton est lancé par Rixens, la poétesse par Dangon, les fourriers d'été par Delaw (couleur). Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens
Tonnelle. 25 juin 1910. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages, gravures noir et blanc in et hors texte, deux pages en couleurs, 1ère et dernière pages couleurs par Carlègle et Kainer.. . . . Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens
A la campagne par Carlègle, Le rire de la semaine par Métivet, Têtes chaudes par Delaw, Le grand prix par Gerbault, Une tempête sur le ring par Genty, Théodore 1er empereur des Yankees par Bofa, Le modèle par Mirande, Voyage de noces par Galanis, Echos du rire par Radiguet, Turf par Kainer. Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens
P., O.V.P. Editions, vers 1930, In-4, en feuilles sous chemise.
"Collection artistique des Laboratoires Gouttes Nican & Somnothyril".Recueil à tirage limité et sur vergé teinté de 10 gravures sur bois rehaussées d'aquarelles .
P. Georges Briffaut "Le Livre du Bibliophile" 1928. In-4° broché, couverture rempliée;
21 compositions de CARLEGLE en beige et bistre dont 20 in-texte et une vignette de titre répétée sur la couverture.Traduction de Raoul VEZE. Edition illustrée Tirage limité à 850 exemplaires. Un des 790 sur vélin d'Arches.
Lucien Vogel éditeur, Paris Février 1913, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé et signée en bas à droite. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Janvier 1914, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Janvier 1914, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleurs, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Cartonnage d'éditeur rouge-bordeaux illustré en couleurs. Petites salissures sur les plats. Rousseurs sur l'illustration du premier plat. Ex-libris sous forme d'étiquette et étiquette d'éditeur sur le contre-plat. Papier bruni. Bel état du contenu orné des planches illustrées en noir et blanc par CARLEGLE.
Paris. Société littéraire de France. 1916. 56 pp. In-8 à l'italienne. Cartonné. Très bon état. 1 volume. ÉDITION ORIGINALE.Album à colorier vierge de couleurs publié alors que le pays était en plein dans la Grande Guerre. Le lecteur savourera certainement les illustration et le texte tournant en ridicule l'ennemi d'alors. Quand bien même le contexte est différent aujourd'hui, il est fort probable que cette histoire vous fasse également sourire.
[CARLEGLE (Charles Emile EGLI, dit). ] - CARLEGLE (Charles Emile EGLI, dit).
Reference : 18545
(1922)
Paris EDITION 1922 1 Illustrations originales de CARLEGLE, Préface de Léo Larguier. Paris, L'Edition, 1922, in-4 oblong, broché, couverture imprimée en noir et en rouge, 28 ff. n. ch., 1922, 17 X 24 cm.
CARLEGLE présente avec vérité (qu'elle soit aimable ou cruelle) des chroniques où la Parisienne est le thème principal). Piqures et légères déchirures au dos.
P., Editions Littéraires de France, sans date, in 8° broché, 243 pages ; couvetrure fanée.
PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Dimensions : 307 x 233 (marges incluses).
Joli bois gravé sur vergé avec rehauts à l'aquarelle ; revêtu de la signature autographe en marge inférieure de Carlègle et numérotée 18/50. Saint-Martin, 5.000 dessinateurs de presse, p. 776 - Bénézit IX, Dictionnaire des peintres, p. 316. Petites altérations marginales. Du reste, très belle condition.
Dimensions : 307 x 233 (marges incluses).
Joli bois gravé sur vergé avec rehauts à l'aquarelle ; numérotée 12/100 en marge inférieure gauche. Saint-Martin, 5.000 dessinateurs de presse, p. 776 - Bénézit IX, Dictionnaire des peintres, p. 316. Belle condition.
Paris, Les Editions Pittoresques, 1931. In-4, broché, (20 x 28,5 cm), couverture imprimée, rempliée et illustrée, 230 pp.
Illustrations en couleurs de Carlègle dans le texte. Tirage unique à 400 exemplaires. Un des 350 sur vélin de Rives. Nouvelle édition illustrée de ce roman gastronomique. (Le premier illustré est de 1926 par Falké). Photos sur demande.
P. Le Livre 1926. Pet in-4° étroit broché, couverture rempliée.
32 bois originaux en noir de CARLEGLE. Tirage limité à 450 exemplaires. Un des 25 sur Hollande contenant une suite en noir sur Japon.
P., Chamotin, Société d'Edition "Le Livre" (Collection Didactique Inédite), 1928, in 8° broché, 251 pages ; couverture rempliée ; quelques rousseurs éparses, y compris à la couverture.
Edition Originale, tirée à 790 exemplaires numérotés, celui-ci un des 700 sur vélin à la forme d'Arches (n°174).PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P. Georges Briffaut, Le Livre du Bibliophile 1932. In-8° broché, couverture rempliée.
Charmantes illustrations en couleurs de Jean CARLEGLE. Tirage limité à 1230 exemplaires. Un des 1200 sur vélin de Rives. Bel exemplaire non coupé.
1934 Paris, Calmann-Lévy (Collection "Pour Nos Enfants"), 1934, petit in 4°, cartonnage illustré de l'éditeur, 32 pages ; petits frottis aux coins.
Charmantes illustrations de CARLEGLE, reproduites en lithographie par Mourlot Frères ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris, Editions Mornay, 1935; in-8°, broché, couverture rempliée beige rosé, titre en noir et vignette en couleurs au 1er plat, en noir au dos; 229, ( 2)pp. Frontispice et illustations dans le texte en couleurs par Carlègle.Quelques piqûres à la couverture, très bon état intérieur.
Exemplaire numérotés sur Rives. 71ème volume de la collection " Les Beaux Livres". ( CO1)
1935 Paris, Calmann-Lévy (Collection "Pour nos Enfants"), 1935, in 4°, cartonnage illustré en couleurs de l'éditeur, 34 pages.
Bel exemplaire. Illustrations de CARLEGLE, lithographie MOURLOT Frères. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P. André Plicque 1928. Petit in-4° broché (plats insolés).
30 illustrations de CARLEGLE, reproduites au pochoir par Saudé. Tirage limité à 270 exemplaires, un des 245 sur vélin de Rives à la forme.
[MORIN (Louis), FORAIN (Jean-Louis), WILLETTE (Adolphe), DAUMIER (Honoré), CARLEGLE, HEMARD (Joseph), etc.] - CARLEGLE. [REVUE].
Reference : 4927
(1924)
Paris Société des Dessinateurs Humoristes 1924 1 Paris, Société des Dessinateurs Humoristes, 1924 à 1929, 11 Numéros in-12, brochés, sous couverture illustrée.
Cette collection de onze livrets nous emmène à la découverte d'artistes à l'humour talentueux tels que FORAIN, WILLETTE, DAUMIER, MORIN, GAVARNI, MONNIER, CARLEGLE, CHERET, LEANDRE, NEUMONT, HEMARD... Quelques infimes accidents et usures.
Paris, Chez l'imprimeur Léon Pichon, 1920, in-8, en feuilles, couverture rempliée, 14 pages. Charmante édition d’une typographie de qualité. L’un des 45 exemplaires numérotés sur papier de Chine (n°40)(15 japon ancien, 20 vergé du Japon, 45 chine, 295 vélin). Illustré par Carlègle de gravures sur bois. Bel exemplaire.
EXEMPLAIRE SUR CHINE
A Paris chez l'imprimeur Léon Pichon, 1921. In-4 broché, couverture rempliée, 204 pages. Tirage limité à 560 exemplaires numérotés, celui-ci sur papier vélin à la cuve (n° 255). Couverture brunie, quelques piqûres, sinon état correct.
Paris, Xavier Havermans, 1929. Gr. in-8°, 50p. Broché, couverture rempliée.
Edition numérotée 1/180 exemplaires sur Arches à la forme [tirage total 200 exemplaires]. Illustré de 3 gravures en taille-douce de Carlègle, coloriées par Saudan. Sans la suite en noir, sinon en parfaite condition.
Paris, Société littéraire de France, 1916; in-4° à l'italienne, cartonnage de l'éditeur. Édition originale. Joli album à colorier dont le texte et les dessins sont dus à Carlègle.
Exemplaire en parfait état, non colorié.