Lucien Vogel éditeur, Paris 1920, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, La Tradition, 1941. In-4 (290 x 200 mm), 170 pp., 1 f. n. ch., 3 ff. bl. En feuilles, non coupé, couverture imprimée rempliée, chemise-étui marron et crème, titre en rouge au dos, petites piqûres en marge de 3 gravures de la suite (emboîtage de l’éditeur).
Édition ornée de 24 belles eaux-fortes originales de Maurice Leroy, dont une à pleine page en frontispice. «Édition recherchée et cotée» (Carteret). Tirage limité à 470 exemplaires, celui-ci un des 20 sur vélin d’Arches destinés aux collaborateurs. Exemplaire imprimé pour Léon Aubert, contremaître dans les ateliers d’impression de La Tradition. Il est enrichi sur la page de faux-titre d’une aquarelle de l’illustrateur avec un envoi autographe signé «à Léon Aubert, bien amicalement, Leroy, 1941», d’une suite de toutes les planches tirées en bistre et d’une épreuve de la planche refusée. Très en vogue dans la première moitié du xxe siècle, Les Quinze joyes de mariage offrent plusieurs tableaux sur les «joies» conjugales, c’est-à-dire les affreux malheurs de l’homme pris dans la nasse du mariage. Ce texte en prose publié anonymement est à dater de la fin du xive siècle ou début du xve siècle; il est en effet cité dans les Cent Nouvelles Nouvelles (milieu xve siècle), dont il se rapproche par le sujet et par la satire bouffonne. Une récente étude de Stéphanie Benson, Nelly Labère et Gilles Mangard semble avoir percé le mystère qui entourait son auteur: il s’agirait d’Alain Taillecoul (vers 1350-1396), seigneur de Lauresse, dans la Sarthe. Bel exemplaire tel que paru. Carteret, IV, 327. Monod, n°9374. Stéphanie Benson, Nelly Labère et Gilles Mangard, «Le nom de l’auteur des Quinze Joies de mariage», Romanische Forschungen, vol. 127, n°1, mars 2015, p. 52-68.
La tradition. 1941. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 169 pages illustrées de compositions originales en couleurs gravées sur cuivre à l'eau forte par Maurice Leroy dans et hors texte sous serpente - ouvrage sous chemise cartonnée rigide et sous emboitage cartonné rigide en bon état.. . Sous Emboitage. . Classification Dewey : 94.4-Editions numérotées
Exemplaire n°204 sur vélin d'arches. Classification Dewey : 94.4-Editions numérotées
Edition Paul Durupt, 1948. In/4 couverture imprimée rempliée, 143 pages, sous chemise et étui, illustré par 40 pointes sèches originales de Maurice Leroy. Un des 300 exemplaires, feuillets libres.
Lucien Vogel éditeur, Paris Juillet 1920, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Juillet 1920, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris,La Tradition,1946 ; in-4°,en feuilles,couverture crème imprimée en noir,chemise et étui cartonnés,titre au dos de la chemise sur une étiquette imprimée;181pp.,1p.nch.,1f.;chemise et étui cartonnés un peu salis, ouvrage et couverture en très bon état. Illustré hors texte d’un frontispice et de 18 eaux-fortes originales en couleurs par Maurice Leroy.Ouvrage joliment et finement illustré.
Tirage total à 740 exemplaires numérotés sur vélin d’Arches,celui-ci 1 des 512. (Reu-Bur)
1942 Paris, La Tradition, 1942 ; in-4° en feuilles, couverture rempliée crème titre en rouge, sous chemise et étui cartonnés gris, dos de la chemise jaune avec titre en rouge; 192, (1)pp., (1)f.( achevé d'imprimer). Titre imprimé en noir et rouge, titre courant et numérotation des pages en rouge.
Nombreuses eaux-fortes originales en noir de Maurice Leroy étroitement mêlées au texte. Tirage total à 625 exemplaires numérotés, celui-ci n°418 , un des 489 sur vélin d'Arches. La couleur orange du papier de l'intérieur de la chemise cartonnée à un peu déchargé sur le couverture imprimée, sinon très bon exemplaire. (Reu-CO2)
EUGENE BELIN. 1888. In-16. Cartonné. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos frotté, Intérieur acceptable. 512 pages - Page de titre tachée.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Librairie d'adrien le clère et cie 1865 290 pages in12. 1865. Broché. 290 pages.
Etat Correct coiffes abimées tampon haut page faux titre
1945 Paris, Editions du Mouflon, 1945. In-4, (280 x 220), en feuilles, couverture imprimée et rempliée, 118 pp. 17 pointes-sèches originales dont 12 à pleine-page et 5 dans le texte. Tirage à 700 exemplaires. Un des 500 numérotés sur vélin d'Arches. Imprimé en 1945 par PELAMOURGUE. Gravures tirées par PADOVANI.
Paris, Editions du Mouflon, 1945. In-4, (280 x 220), en feuilles, couverture imprimée et rempliée, chemise et étui bleu ciel, 118 pp.
17 pointes-sèches originales dont 12 à pleine-page et 5 dans le texte. Tirage à 700 exemplaires. Un des 500 numérotés sur vélin d'Arches. Imprimé en 1945 par PELAMOURGUE. Gravures tirées par PADOVANI. Photos sur demande.
Eugène belin. 1882. In-12. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Coins frottés, Dos frotté, Intérieur bon état. 358 pp. Tâche sur tranche de haut, manques sur pièce de titre.. . . . Classification Dewey : 840.8-Anthologies, recueils
Classification Dewey : 840.8-Anthologies, recueils
Illustrations en couleurs de Maurice Leroy gravées sur bois par Gilbert Poilliot.Édition tirée à 2600 exemplaires. Celui-ci, sur vélin pur fil, porte le numéro 796.Paris, Éditions Mornay - 1948 - 191 pages et Table des matières. Collection de la Sirène.Reliure demi chagrin vert à coins. Dos à 4 nerfs filetés, aux titre et auteur dorés. Tête dorée sur témoins, non rogné. Couverture et dos illustrés conservés. Pas de rousseur. Parfait état. Format in-8°(21x17).Les Chansons de Bilitis sont parues en 1895, dédiées à Gide en souvenir de Mériem ben Atala, fille à qui il avait fait perdre sa virginité.
LEROY Maurice
Illustrations de Maurice Leroy gravées sur bois par Gilbert Poilliot.Édition tirée à 2600 exemplaires. Celui-ci, sur vélin pur fil porte le numéro 265.Sans Lieu (Paris), Éditions Mornay "Collection de la Sirène" cinquième volumes de la collection. 191 pages + table des matières. 1948.Belle reliure demi chagrin fauve à coins signée Jean Raymond. Dos à nerfs aux titre et auteur dorés. Tête dorée. Couverture et dos illustrés conservés. Pas de rousseur. Très bon état. Format in-8°(21x17).(Les Chansons de Bilitis sont parues en 1895, dédiées à Gide en souvenir de Mériem ben Atala, fille à qui il avait fait perdre sa virginité.)
LEROY Maurice
Illustrations de Maurice LEROY gravées sur bois par Gilbert POILLIOT. Paris. Mornay. Collection de la Sirène. 1948. In-8 (162 x 212mm) broché, couverture à rabats illustrée couleurs, 191 pages et 4 ff.n.ch. de table des matières. Illustrations en couleurs hors texte. Bords de couverture lgt plissés sinon bel exemplaire exempt de rousseurs.
Mornay Paris, Mornay 1948. In-8 carré broché, couverture illustrée de 191 pages. Illustrations de Maurice leroy gravées sur bois par Gilbert Poilliot. Tirage vlimité numéroté. Bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Aux Dépens D'un Amateur, 1943
Cartonnage de l'éditeur, l'un des 100 exemaplaire, complet de son cuivre, comme neuf.
Aux Dépens D'un Amateur Paris 1943 In-4 carré ( 285 X 220 mm ), en feuilles sous couverture imprimée rempliée, chemise et étui. 24 eaux-fortes originales en couleurs de Maurice LEROY. Tirage limité à 350 exemplaires numérotés, tous sur vélin d'Arches. Bel exemplaire.
1945 Paris, Presses de la Cité, 1945. Un volume de 25x20 cm, en feuillets, de 265 pages. Emboitage et étui crème, légèrement salis, avec quelques rousseurs. Dos de l'étui insolé, avec éléments de titre en rouge. Couvertures rempliées. Intérieur prorpe. Eaux-fortes en noir de Maurice Leroy. Exemplaire N°102/200 sur vélin de Lana teinté.
Bon exemplaire.
Paris,Rombaldi,1942 ;in-8°,broché de 235pp.,1p.nch.
Edition numérotée sur vergé Agnella.5 Illustrations hors texte en couleurs de Maurice Leroy. (GrD)
Rombaldi, Editeur Paris 1942 In-8 carré ( 205 X 150 mm ) de 235 pages, demi-chagrin cerise à coins, dos à nerfs orné de filets dorés et d'une petite gouache, tête dorée, couverture imprimée et dos conservés. Illustrations originales en couleurs hors-texte de Maurice LEROY. Exemplaire numéroté sur vergé Agnella. Très bel exemplaire.
Editions Du Charme Paris 1942 Grand in-8 carré ( 250 X 195 mm ) de 187 pages, en feuilles sous couverture rempliée, chemise et étui. 24 compositions gravées sur cuivre par Maurice LEROY, et 59 titres, lettrines et culs-de-lampe, gravés sur bois par POILLIOT. Edition tirée à 750 exemplaires. Celui-ci N°103, un des 100 sur vélin d'Arches auquel il a été ajouté une suite en noir des eaux-fortes et une suite des bois. Bel exemplaire. Charmante édition recherchée ( Carteret ).
Paris,Editions Albert,1943 ; petit in-4°,demi-chagrin mandarine à coins,dos à trois gros nerfs, auteur et titre dorés,tête dorée,couverture et dos conservés;177pp.,1p.nch.,1f.;dos très légèrement passé,mais très bon exemplaire.
Frontispice et 24 compositions dans le texte par Maurice Leroy mis en couleurs au pochoir; lettrines en noir et rouge,culs-de-lampe en noir. Collection “Presses de la Cité”,tirage total à 1050 exemplaires,celui-ci sur Lana à la forme.(Gr)
1938 Sans lieu , Editions Chagor, 1938 ; in-4°, plein cartonnage de l'éditeur bleu illustré en couleurs au 1er plat avec titre en noir, dos de percaline vieux-rose, 2ème plat bleu clair; 82pp. Illustré de dessins en noir dans le texte et de 7 compositions en couleurs à pleine page, d'après Maurice Leroy.
Cartonnage très légèrement frotté aux coins, bel exemplaire. ( CHT13)