‎Couverture de L'Estampe Moderne n°21 January 1899‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris Janvier 1899 | 41 x 56 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche etnuméro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Couverture de L'Estampe Moderne n°22 février 1899‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris Février 1899 | 41 x 56 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche etnuméro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Couverture de L'Estampe Moderne n°24 avril 1899‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris Avril 1899 | 41 x 56 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche etnuméro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Couverture de L'Estampe Moderne n°2 juin 1897‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris Juin 1897 | 41 x 56 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche etnuméro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Couverture de L'Estampe Moderne n°3 juillet 1897‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris Juillet 1897 | 41 x 56 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en noir et blanc servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche etnuméro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Couverture de L'Estampe Moderne n°4 août 1897‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris Août 1897 | 41 x 56 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche etnuméro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Couverture de L'Estampe Moderne n°5 septembre 1897‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris Septembre 1897 | 41 x 56 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en noir et blanc servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche etnuméro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Couverture de L'Estampe Moderne n°6 octobre 1897‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris Octobre 1897 | 41 x 56 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche etnuméro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Couverture de L'Estampe Moderne n°7 novembre 1897‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris Novembre 1897 | 41 x 56 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche etnuméro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Couverture de L'Estampe Moderne n°8 décembre 1897‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris Décembre 1897 | 41 x 56 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche etnuméro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Couverture de L'Estampe Moderne n°9 janvier 1898‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris Janvier 1898 | 41 x 56 cm | une feuille‎

‎Estampe originale en noir et blanc à grandes marges servant de couverture à la célèbre publication mensuelle de l'Estampe Moderne. Entièrement imprimée en noir, notre estampe est la couverture de la rare réunion en volume de luxe à grandes marges de la première année de publication. Signature de l'artiste dans la planche etnuméro du tirage de luxe ajouté au crayon. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎"L'incantation" (Salammbô) - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris s. d. [Mai 1897] | 22 x 38 cm | une feuille et une serpente‎

‎Rare lithographie originale en couleurs réhaussée à l'or, exécutée par Alphons Mucha pour L'Estampe Moderne, "Première prime gratuite réservée aux abonnés d'un an de L'Estampe Moderne". Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges,signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos, petite insolation en marge supérieure de l'épreuve ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'un extrait d'oeuvre, déchirure sans manque dans la largeur sans atteinte au texte. Lithographie inspirée de Salammbô de Gustave Flaubert dont un extrait est reproduit sur la serpente de l'estampe :"Salammbô monta sur la terrasse de son palais..." Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée en couleurs sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très belle planche signée du maître de l'Art nouveau. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎"Salomé" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris (Juin 1897) | 23.50 x 33 cm | une feuille‎

‎Rare lithographie originale exécutée par Alphons Mucha pour L'Estampe Moderne,série numéro 2 publiée en juin 1897. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste et date dans la planche,timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, rares rousseurs marginales sans atteinte à la figure, serpente vierge. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très belle planche signée du maître de l'Art nouveau. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎"Salomé" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris s. d. [Juin 1897] | 23.50 x 33 cm | une feuille et une serpente‎

‎Rare lithographie originale en couleurs réhaussée à l'or, exécutée par Alphons Mucha pour L'Estampe Moderne,série numéro 2 publiée en juin 1897. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges,signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre et d'une présentation de d'oeuvre et d'une serpente vierge. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée en couleurs sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. L'éditeur intègre également à son projet un artiste tchèque fraîchement débarqué à Paris, Alfons Mucha «qui s'est révélé depuis peu en France et qui a conquis d'emblée une si grande place dans la faveur du public. Comme dans ses affiches, que tout le monde connaît et recherche, il nous montre ici les ressources variées de son talent multiple et sûr de dessinateur, de décorateur et de coloriste.» (légende imprimée sur la serpente de Salomé). C'est d'ailleurs à lui que sera confiée la première prime de la revue, offerte « à tous les souscripteurs des douze livraisons annuelles de L'Estampe moderne» ainsi que la célèbre illustration des couvertures. Très belle planche signée du maître de l'Art nouveau. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎Clio‎

‎Calmann Lévy | Paris 1900 | 14.50 x 21 cm | relié‎

‎Edition originale ornée de 13 illustrations originales d'Alfons Mucha (la couverture, 7 hors-texte et 5 bandeaux), un des 50 exemplaires numérotés sur Chine, tirage de tête. Reliure en demi maroquin ornage à coins, dos lisse, date dorée en queue, encadrement de filets noirs sur les plats de papir à la cuve, gardes et contreplats du même papier à la cuve, couvertures illustrées et dos conservés, reliure de l'époque signée Champs-Stroobants. Agréable exemplaire joliment établi comportant bien, ainsi qu'il l'est stipulé à la justification du tirage, de sa double suite des gravures en couleurs et au trait. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎La Plume. Revue Littéraire artistique et sociale. Année 1898 complète en 24 livraisons‎

‎La Plume | Paris 1er janvier au 15 décembre 1898 | 19 x 25 cm | relié‎

‎Edition originale de la dernière année dirigée par Léon Deschamps, fondateur de cette revue qui accorde une place prépondérante aux arts visuels. 24 parutions réunies ici dont le numéro exceptionnel consacré à Alexandre Falguière. Reliure de l'éditeur en pleine toile sapin, dos lisse, pièce de titre en chagrin rouge, motif floral doré, filets à froid sur les plats. La couverture du premier numéro, illustrée par Mucha, est reliée en tête de volume. Contributions de Théophile Gautier, Jules Barbey d'Aurevilly, Karl Boès, Adolphe Retté, Francis Jammes, Victor Margueritte, Ernest Raynaud, Stuart Merrill, etc... Nombreuses illustrations dont un frontispice aquarellé d'Eugène Grasset et des dessins de Henri de Toulouse-Lautrec, Alfons Mucha, Alexandre Falguière, Vivant-Denon, Willette, Jossot, Andhré des Gachons, Ferdinand Cazals, Henri Detouche, James Ensor... Le frontispice de Emile Berchmans annoncé en page de titre n'est pas présent dans notre exemplaire. Table et index en fin de volume. Dédicace manuscrite d'un ancien propriétaire sur la page de garde. Infime accroc sur le premier plat, sinon rare et bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎L'estampe moderne, recueil mensuel de gravures en couleurs.‎

‎ Affiche originale 800 x 605 mm, impression lithographique, entoilée, sous encadrement moderne, baguette verte de même ton que limpression. Petite trace dune déchirure au niveau des mots « moderne » et « recueil », très proprement recollée lors de lentoilage, parfait état par ailleurs. ‎

‎Timbre humide « République Française » apposé en partie basse à droite.Rarissime affiche promotionnelle annonçant la publication en 24 fascicules (ici le 12e avec numéro ajouté au pochoir rouge) du célèbre recueil « LEstampe moderne » publié par Champenois de mai 1897 à avril 1899.Elle reprend le visuel et la mise en page des couvertures de livraison avec une grande vignette reproduisant un dessin de Mucha « Portrait dune femme à la plume ».Voir la photo comparative à l'échelle avec une couverture de livraison pour se rendre compte du rapport de taille et des différences (couverture non fournie). ‎

‎Cocorico - ‎

‎ 1899 Paris - Paul Boutigny - 1899 - 1900 - Ensemble de 31 revues in 4 reliées en un volume demi toile bleue à coins - pièce de titre endomagée - très bon état intérieur -‎

‎Du numéro 2 du 15 janvier 1899 au numéro 33 du 15 mai 1900 - Bien complet du numéro 24 du 30 décembre 1899 avec la belle couverture illustrée par Alphonse Mucha - ‎

‎CLIO‎

‎ 1900 Calmann Levy, Paris, 1900. Petit in-8 (205 X 145 mm) de 188 pages, demi-maroquin brun à coins, dos à nerfs , , couverture illustrée en couleurs et dos conservés Edition originale ornée d'une vignette de titre et de 12 compositions en couleurs par Alphonse MUCHA, dont 7 hors-texte compris dans la pagination. Bon exemplaire en parfait état (Carteret IV; 167: Edition originale et premier tirage trés recherché).‎

‎tres belle reliure non signée double filet doree , bel objet ‎

‎Clio. Illustrations de Mucha.‎

‎ Paris, Calmann-Lévy, 1900.Un volume relié (14 x 20,5 cm) de 188 pages. Illustré par Mucha de 8 planches en couleurs (d'une grande vignette au début et 7 planches) et de 5 illustrations in-texte (13 illustrations en couleurs au totale).Reliure signée Dubois d'Enghien. Demi maroquin à coins bleu nuit, dos à nerfs, caissons ornés mosaïqués, titre doré, tranche supérieure dorée. Très bel exemplaire. ‎

5 Images

‎Le livre de la Croix-Rouge.‎

‎[Art nouveau, Modernismo, Wiener Secession, Anonyme], Le livre de la Croix-Rouge. [Madrid, Sucesores de Rivadeneyra, 1900-1903?]. In-4, [247]p. Tome II, seul volume paru et, a priori, tirage unique sur papier japon, destiné aux membres du Comité International de la Croix-Rouge. Etant donné la rareté de cet ouvrage, il est fort probablement qu'en dehors des 5 membres du Comité et du secrétaire de la présidence, personne n'ai eu la possibilité d'acquérir cet ouvrage en français. Il est donc fort probable qu'il n'ait existé que 6 exemplaires en français de cet ouvrage, tous sur papier japon (voir à ce sujet l'article "Le Livre de la Croix-Rouge" publié dans le Bulletin international des Sociétés de la Croix-Rouge, juillet 1903, n°135). En revanche, il semble que l'édition espagnole ait été commercialisée : il existe des exemplaires d'édition avec la couverture reprenant les dessins de Wieland. Six volumes étaient prévus, le tome I devant être publié à la fin afin d'y publier la liste des souscripteurs. L'ouvrage a été édité simultanément en français, espagnol, anglais, allemand et italien. Ce volume concerne les premiers pays : Allemagne, Argentine, Autriche-Hongrie, Belgique & Congo, Bulgarie. Les plats de la reliure, qui sont répétés en gravures en rouge dans l'ouvrage, sont de Hans Beat Wieland (1867-1945), on retrouve ses initiales HB W sur les gravures. La première page pour chaque pays est d'un artiste en particulier, notons tout d'abord Alfons Mucha pour l'Argentine (première page et culs-de-lampe). Alfred Roller pour l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie, LA (pour Louis Anquetin ?) pour la Belgique et Samokiche pour la Bulgarie. L'ouvrage présente les activités de chaque pays avec un texte (imprimé sur papier japon) et des photos (sur papier glacé). On joint le prospectus de l'édition, expliquant notamment que le tome II était le premier publié. Cartonnage plein chagrin, plats en relief et dorés, tranches dorées, papiers des gardes avec croix rouge répétée. Reliure un peu frotté par endroits, coiffe supérieure avec accroc. Ouvrage exceptionnel, rarissime.‎

6 Images

‎Alphonse Mucha, the Master of Art Nouveau‎

‎Prague, Artia 1966 In-4 27,5 x 24 cm. Reliure éditeur pleine toile beige, 291 pp., 299 figures en noir & blanc et en couleurs dans et hors-texte, index. Exemplaire en bon état sans jaquette.‎

‎Texte en anglais. Fils de l’artiste, Jiří Mucha s’est consacré à l'écriture et aux publications sur l'art de son père. Bon état d’occasion ‎

‎Grenobre et le Dauphiné.‎

‎ Grenoble, Alexandre Gratier et Jules Rey, Imprimeri Allier Frères - Sans Date (1910) - Grand in-8 [200 x 240 mm], demi-basane racinée à coins, dos lisse titre doré sur étiquette maroquinée rouge et dauphins , couverture illustrée, 396 pp + 2 ff. bl +3 ff. , avec en frontispice une gravure à l'eau-forte gravée par Pennequin, d'après un dessin de Mucha sous serpente, nombreuses illustrations photos, dessins, cartes sur papier millimétré ainsi quelques planches couleurs montées, reproduisant des tableaux de Hareux, Comba et Bertier.Bien complet des 3 feuillets de prospectus en fin d'ouvrage [dont 2 sur papier rose de publicités "grenobloises", et un imprimé au verso pour préciser les dernières publications de Ferrand.Bon ensemble, bon état d'usage, qq frottements sur la reliure..‎

8 Images

‎- La houille blanche- de l'esprit d'association dans les Alpes dauphinoises- la démographie et la médecine publique à Grenoble- le mouvement intellectuel à Grenoble- les glaciers du Dauphiné- notice sur les ciments de Grenoble- Comité de patronage des étudiants étrangers de l'université de Grenoble- Les eaux minérales du Dauphiné- L'alpinisme et le tourisme à Grenoble- Poissons et piscicultures dans le Grésivaudan - l'industrie gantière- l'exploitation municipales des services de distribution de l'eau, du gaz et de l'énergie électrique à Grenoble- le patronage des libérés et le sauvetage de l'enfance à Grenoble- Les jardins alpins- note sur l'évolution de l'industrie papetière dans l'Isère. Franco de port France jusqu'à 30 euros. MONDIAL RELAY privilégié et pays suivants desservis : Portugal, Pologne, Espagne, Allemagne, Autriche, Pays Bas, Luxembourg, Italie, Belgique. Toutes les étapes de votre achat sont accompagnées. Achat, estimations et listages France / Suisse (sur rdv). ‎

‎Alfons Mucha. Dix années parisiennes‎

‎ Bibliothèque Nationale de Paris Bibliothèque Nationale de Paris, 1991. In-4 broché de 116 pages illustrées. Texte français - japonais. Très bon état‎

‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

‎1933, Centenaire d'Aristide Bergès 1833-1904. Père de la houille blanche, Fondateur des Papeteries Bergès à Laney (Isère).‎

‎ P., Imprimerie Dreger, [1933] ; plaquette in-8, brochée. 29pp.-2ff. Illustrations in-texte en héliogravure. Très bon état. ‎

‎Une plaquette publiée à l'occasion du centenaire de la naissance d'Aristide Bergès (1833-1904). Ce dernier était fils de papetiers de l'Ariège. Il installe à Lancey, près de Grenoble une usine de pate à papier pour laquelle il utilise la force motrice de l'eau de la montagne par conduite forcée. Il développe ensuite son exploitation par une usine à papier alimentée par l'énergie hydroélectrique et invente l'expression "Houille blanche". Il a été un des promoteurs du progrès technique et économique de la région tout en favorisant le progrès social. On joint : GUILLARD (Henri). Aristide Bergès et la Houille Blanche. Cannes, Editions de l'Ecole moderne française, s.d. ; plaquette de 22pp., illustrée, publiée par le Comité d'érection du monument Bergès. et : Portrait de Bergès, gravé à l'eau-forte par Edmond PENNEQUIN, d'après un portrait peint de MUCHA, imprimé sur japon et protégé par une serpente en papier cigarette de la marque "Les dernières cartouches". On retrouve cette eau-forte en frontispice de "Grenoble et le Dauphiné - Messieurs les Membres du Congrès de l'Association Française pour l'Avancement des Sciences", publié à Grenoble par Allier en 1904. ‎