Images Obliques - Editions Borderie Paris 1980 In-8 ( 215 X 140 mm ) de 124 pages, pleine toile rouge à la bradel imprimée en doré. Edition originale illustrée de 102 gravures "très libres" à pleine page. Très bel exemplaire.
Editions Des Arceaux Paris - Montpellier - Nîmes 1947 In-4 carré ( 320 X 245 mm ) de 219 pages, demi-chagrin rouge à coins, dos à nerfs orné de fleurons dorés, couverture conservée. Illustrations hors-texte en couleurs contrecollées de Allier - Couderc - Decossy - Dezeuze - Fouard - Simone-Julienne - Margerit - Mougenot - Pertus - Richarme-Boisseau - Rudel. Très bel exemplaire numéroté sur vélin chiffon de Renage.
Galerie Alphonse Chave, Vence, 1974. In-8, broché, 24 pp. Parade interne - Planches.
Avec 10 planches en noir. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Phone number : 01 42 73 13 41
A L'Enseigne Du Pot Cassé - Scripta Manent Paris 1926 In-8 ( 210 X 135 mm ) de 162 pages, broché sous couverture illustrée. L'ornementation de ce livre a été dessinée et gravée par Ivana LEMAITRE. 1 des 75 exemplaires numérotés sur Hollande Van Gelder ( N° LXIII ), second papier après 50 exemplaires numérotés sur papier Impérial du Japon. bel exemplaire, non rogné.
Librairie De L. Hachette Et Cie Paris 1868 Fort in-8 ( 280 X 190 mm ) de XLVIII-612 pages, demi chagrin rouge, dos à cinq nerfs orné de caissons dorés richement ornementés, filets d'encadrement à froid sur les plats de percaline rouge, gardes et contreplats de papier moiré crème, toutes tranches dorées ( Présentation de l'éditeur ). Oeuvres précédées d'une étude sur André CHENIER par SAINTE-BEUVE, mises en ordre et annotées par Louis MOLAND. Gravures sur acier hors-texte d'après les dessins de STAAL. Très bel exemplaire, très pur.
- Gravure 11,5 x 15,5 cm sur feuille 19 x 28 cm.
Vieux papier. Gravé par Decisy. L'Artiste, Fin XIXe. Vers 1880.
PARIS Chereau 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 42 x 27 cm., 1760 Paris CHEREAU Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS Chereau 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 52 cm., 1760 PARIS Chereau Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris DAUMONT 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 42,5 x 28,5 cm., 1760 Paris Daumont Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS CHEREAU 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 43 x 30 cm., 1760 Paris CHEREAU Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris Chereau, 1701 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 42,5 x 28,5 cm., 1701 Paris Chereau, Jacques Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS CHEREAU 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 47,5 x 32,5 cm., 1760 Paris chez CHEREAU Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS CHEREAU 1750 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33 x 47,5 cm., 1750 Paris CHEREAU Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS Chereau 1750 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 51 cm., 1750 PARIS Chereau Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS Chéreau 1750 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 27 cm., 1750 PARIS Chereau Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS CHEREAU 1762 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 43 x 52 cm., 1762 Paris CHEREAU Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS Chéreau 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 27 cm., 1760 PARIS Chereau Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS Chereau 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33 x 51 cm., 1790 PARIS Chereau Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
In 4 reliure éditeur pleine toile rouge, premier plat historié,belle plaque polychrome animée,or et argent,sur le premier plat avec titre.Titre et fers dorés au dos,Faux-titre,frontispice(villa d’Este à Tivoli)titre,425 pages,1 page de table des matières,tranches dorées.Illustrations en noir dans et hors-texte par les meilleurs artistes.Tours Alfred Mame er fils éditeurs 1896.rousseurs légères très éparses.Très bon état.Dorure éclatante,superbe premier plat
Flammarion 1970 album in4. 1970. Relié jaquette. 96 pages. Bon état petit accroc à la jaquette
Nantes 1924 Une lithographie Originale en noir et 2 tons de marron, Format total de la gravure : Hauteur : 48 centimètres Largeur : 63 centimètres, format de la gravure seule : 22,5 cm de haut par 28 cm de large, gravure sur papier crème, imprimé en noir en bas à gauche : G. Chevalier-La-Barthe Del. et Lith. + signature gravée dans la gravure en bas à droite : G. C. B. 3 aout 1924 + Noté en haut au centre à la mine de plomb et de façon manuscrite : "Vieux Pont de Pirmil au moment de son effondrement",
LITHOGRAPHIE SUPERBE .......... TRÉS RARE ....... en trés bon état (very good condition). trés bon état
Tours, Alfred Mame et Fils, éditeurs 1892 2 volumes en 1, in-4, cartonnage éditeur percaline rouge, dos à nerfs à caissons ornés, tranches dorée, frontispice sous serpente, et nombreuses vues dans le texte par Anastasi. Volume I, 288 pp. - Volume II, 288 pp. Coins de pied émoussés, coiffes frottées, rousseurs faibles et éparses. Bon exemplaire.
Auguste Anastasi (1820-1889) est un peintre paysagiste français, élève de Jean-Baptiste Corot. Il collabore comme lithographe aux revues “L'Artiste” et “Les Artistes contemporains”. Il peint des paysages des environs de Paris, de Normandie, de Hollande ou d'Italie, à Rome et surtout à Naples. Bon état d’occasion Illustrés romantiques et modernes
Réunion de 7 gravures anciennes, aquarellées. 80x135mm plus marges courtes 1) chevalier de Saint Blaise. 2) Chevalier de Frise 3) chevalier de la croisade 4) grand maître de l’ordre de Jérusalem 5) Grand Maître de l’ordre de Saint Jean de Jérusalem 5) chevalier de St Jacques de l’épée 6) chevalier de Malthe en habit de guerre7) Chevalier de Saint Jean de Jérusalem ou de Malthe à la grand croix (orthographe de l’époque conservée)
Alphonse Lemerre Paris, Alphonse Lemerre, 1893. In-8 relié demi-basane bleue, dos à nerfs, titre doré. Reliure signée de Michel Rigaud. 2 ff. 323 + 2 pages. Frontispice à l'eau-forte par Bracquemond, 3 portraits hors-texte et 8 pages de lettres en fac-similé. Bel exemplaire, bien relié.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Paris, chez Vanheck, 1749, in-folio, 17 ff. avec 68 gravures (4 par feuille) de 72, plis et petites déchirures sur les bords, plusieurs ff. réparées (une gravure touchée), couverture provisoire contemporaine en papier, abîmée sur les bords.
Pièce unique: épreuves non coupées des planches de cet oeuvre rare de Jacques Chevillard entiérement gravé. D'après Saffroy aussi attribué aux éditeurs Vanaeck & Gallays). A part le titre chaqu'une des gravures très fines au format duodecim présente une armoirie, le nom du porteur et de son épouse, suivi par la description héraldique de l'armoirie (indiquant les couleurs). Les planches sont numérotées de 1 - 63 et les numéros 14, 15, 24, 49, 50, 51, 52 manques, pendant que les 11, 16, 17, 18, 19, 22 et 23 sont en double. Il s'agissait peut-être du travail d'un apprenti. La dernière planche contient 4 armoiries hors série représentant le Pavillon royal avec manteau et autres attributs de chancellier, des armes de tenants, du 'Grand Maistre d'artillerie' et les armes destinées au 'Cardinal, Archevêque, Duc et associé des Ordres' . En tout 99 armoiries sur 17 feuilles. Saffroy I, 2309 - 2310. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808