Eté 1915. 213 x 320 mm.
Belle et grande planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant dix modèles de robes : 11. Robe de mousseline de soie blanc gris sur fourreau gris. Deux volants de dentelle forment tunique. Ceinture de moire noire. Costume de Callot. Chapeau de Georgette. 12. Linon rose brodé de motifs de fine dentelle. Ceinture de peau de daim blanche. Costume de Jenny. Chapeau de Georgette. Bottes de Généra. 13. Robe en tulle et faille rose ancien, col bordé d'hermine. Costume de Paquin. 14. Soie et voile "canari" alternés à la jupe et au corsage, fine broderie au corsage. Costume de Martial et Armand. Chapeau de Camille Roger. 15. Douillette pour bébé en broderie et soie blanche. Costume de Callot. 16. Robe en crêpe satin noir recouverte de tulle-dentelle blanc. Ceinture de poult de soie bleu ancien, bordé de petites roses roses. Costume de Dœuillet. Chapeau de Magdeleine. 17. Robe de bébé, en forme de gandourab de soie blanche traversée de deux bandes de cachemire or sur rouge. Costume et chapeau de Lanvin. Souliers de Couquet. 18. Robe de crépon de soie blanche bordée de bleu sombre. Des manières de poches en broderie bleu Delf de chaque côté de la ceinture. Costume et chapeau de Lanvin. Souliers de Couquet. 19. Jupe de crêpe français "tilleul" inégalement arrondie au bas et ornée de plis "religieuse." Boléro de pékin bleu et vert sombre sur corsage de crêpe. Costume de Paquin. Chapeau de Camille Roger. 20. Étamine rose découpée en dents carrées brodées de soutaches blanches. Costume et chapeau de Lanvin. Souliers de Couquet. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
Eté 1915. 212 x 320 mm.
Belle et grande planche gravée et finement coloriée au pochoir, avec rehauts d'or, présentant dix modèles de robes : 1. Robe de bébé en tulle blanc, veste de taffetas bleu. Costume de Paquin. 2. Batiste jaune disposée en bouillonnés, des épaules au bas des hanches. Les pans de la redingote sont incrustés de dentelle blanche et dégagent une jupe plissée très finement. Costume de Doucet. Chapeau de Georgette. 3. Robe de linon blanc, très ample, incrustée de fonds de bonnets au point de Beauvais. Boléro de soie grasse bleu marine à revers de velours bleu. Costume de Beer. Chapeau de Lewis. Bottes de Greco. 4. Redingote en satin ivoire à godets exagérés sur les côtés, une ceinture en pareil. Col de petit gris. Costume de Chéruit. 5. Taffetas bleu ciel très ample, avec plis cerceaux sur les côtés seulement. Le corsage s'échancre en rond sous un col Franz Hals en linon brodé à jours. Costume de Martial et Armand. Chapeau de Camille Roger. Bottes de Ducerf. 6. Aube de tulle et mousseline, brodés et plissés sur un fond de taffetas bleu passé. Costume de Chéruit. 7. Chemise de Marceline chair brodée d'argent. Costume de Chéruit. 8. Robe de lingerie blanche en mousseline brodée à la main ; la jupe est à deux étages rayés de ganses blanches. Ceinture en ruban pékiné de trois tons. Costume de Premet. Chapeau de Maria Guy. 9. Robe de lingerie blanche sur fond de satin bleu. Les deux volants de la jupe sont faits d'applications sur tulle et le corsage de tulle uni. Costume de Callot. 10. Robe-chemise en tussor rose incrusté de broderies blanches. Chapeau de Callot. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
1924 P., Rue de Seine, n°10, 1924, 1 vol. in-8 (250 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de IV pp. (numérotées de XXV à XXVIII) (sommaire, publicités, explication des planches) - 36 pp. (numérotées de 257 à 292) (texte).Bas du feuillet 277-278 légèrement épidermé, avec petits trous, très bel exemplaire par ailleurs.
ATTENTION : Numéro complet du texte mais SANS LES POCHOIRS. Articles illustrés en couleurs: Mars par Jean Labusquière - Silhouettes par George Babier, illustrations de Drian - Le Kasha par Vaudreuil, ill. de L'Hom - Théâtres par Louis Léon-Martin, ill. de MArty - Palmarès de la couture par Céclio, ill. de Pierre Mourgue - Moyen-âge par Marcel Astruc, ill. de Charles Martin - La Chronique de Paris avec ill. en couleurs en double page de Roger Chastel."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).
1923 P., Rue de Seine N°10, 1923, 1 vol. in-8 (250 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de IV pp. (numérotées de XVII à XX) (sommaire, publicités) - 40 pp. (numérotées de 181 à 220).Dos légèrement insolé, très bel exemplaire.
Numéro complet du texte mais sans les pochoirs hors-texte.Articles illustrés en couleurs : La dernière nuit par Julien Ochsé - Couleurs dangereuses et vertueuses, texte de George CECIL, ill. de Charles Martin - La Vie des insectes, texte de Georges Armand Masson, dessins d'Helen Smith - Physiologie des parfums, texte de Coriandre, dessins de Charles Martin - Venise, texte de George Barbier, dessins de André E. Marty - Du choix d'une robe, texte de Syviac - D'une partie noble, texte de Vaudreuil, dessins de Pierre Mourgue - La Chronique de Paris, texte de Gérard Bauër - Le Polo par Roger Chastel (illustration à double page) - Zig-Zag revue.La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).
1913 P., Emile Lévy Editeur, Librairie Centrale des Beaux-arts, 1913, 1 vol. in-8 (245 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de IV pp.. (publicités paginés I à IV) - 32 pp. (paginées de 353 à 384).Dos légèrement poussiéreux, pas de page de sommaire (apparemment normal dans les premiers numéros), très bel exemplaire par ailleurs.
Numéro complet du texte mais sans les pochoirs hors-texte.Les pages publicitaires contiennent : Parfum Jane Hading (ill. Georges Lepape) - Robes et Femmes - Chez Mercier, ill. de Paul Méras. Articles fortement illustrés en couleurs de : Nozière "De la mode", dessins de Schetti - Francis de Miomandre "Fourrures d'hier et d'aujoud'hui", dessins de Strimpl, Jacques Boulenger "Les manteaux", dessins de Bernard Boutet de Monvel, Pierre de Trévières "Les fétiches", dessins de Gosé, René Blum "Le gant", dessins de Maggie, Paul Cornu "Sous le casque", dessins de Guy Arnoux, Nada "La mode du bon ton", dessins de Soulié, Explication des planches.Numéro rare, comme tous les premiers numéros."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).
1920 P., Edition Lucien Vogel, 1920, 1 vol. in-8° (245 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de (4) ff. (sommaire & publicités paginés I à VIII) - 36 pp. (paginées de 1 à 36).Dos légèrement insolé, très bel exemplaire par ailleurs.
Numéro complet du texte mais sans les pochoirs hors-texte ni les croquis.Articles illustrés en couleurs de : Henri Bidou "Avant-propos", dessins de Süe - "L'Ethnographie source d'Elégance, coiffures et tatouages", textes de Pierre Mac Orlan, dessins de Charles Martin - "Pour les Fils de Familles", texte de Roger Boutet de Monvel, dessins de Bernard Boutet de Monvel - "Des pas dans le détroit, de Covent-Garden à l'Opéra", texte de Michel Georges-Michel, dessins de Marty - "Le Retour à la Terre", texte de Célio, dessins de Brissaud - "Lettre à un enrichi amateur d'aigles et de lys héraldiques", texte de Jean de Bonnefon , dessins de Félix Lorioux - "Honolulu", texte de Jean Bernier, dessins de Bénito - "Robes, coiffures et manteaux à capuchons", dessins de Romme - "De la beauté", texte de Henriot - "Jadis à Golconde et maintenant", texte de Marcel Astruc, dessins de Marty. Ex-libris "Serge Barrier" collé au verso de la 1e de couverture."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [...] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).
1920 P., Edition Lucien Vogel, 1920, 1 vol. in-8 (245 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de (4) ff. (sommaire & publicités paginés IX à XVI) - 32 pp. (paginées de 37 à 68).Dos très légèrement poussiéreux, très bel exemplaire par ailleurs.
Numéro complet du texte mais sans les pochoirs hors-texte ni les croquis.Articles illustrés en couleurs : "La Peinture absolue", texte de Henry Bidou, dessins de Bernard Boutet de Monvel - "Un ornement du Visage", texte de Louis-Léon Martin, dessins de Zyg Brunner - "Des pieds et des Mains", texte du Danseur inconnu, dessins de Marty - "Lettre au directeur du "Bon Ton" sur un vêtement inutile", texte de Nicolas Bonnechose, dessin de Bénito - "Au cirque", texte de Jean-Louis Vaudoyer, dessins de Jean Galtier-Boissière - "A la recherche d'un néologisme", texte de Marcel Astruc, dessins de Pigeat - "Eventails et bracelets", texte de Célio, dessins de Lepape - "Projet d'armoiries de la République", par André Mare - "Le faste du Président et les Armes de France", texte de Jean Bonnefon, dessins de Félix Lorioux - "Le Boeuf sur le toit" par Bénito. "La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [...] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).
1920 P., Edition Lucien Vogel, 1920, 1 vol. in-8 (245 x 198) en feuilles sous couverture imprimée en noir, de (5) ff. (sommaire & publicités paginés XXV à XXXIV) - 32 pp. (paginées de 101 à 132).Dos et bords de la couverture légèrement poussiéreux, très bel exemplaire.
Numéro complet du texte mais sans les pochoirs hors-texte ni les croquis.Articles illustrés en couleurs : "Dernières voitures", texte de Robert Burnand, dessins de Jacques Brissaud - "1830", Henriot, Brissaud - "Psychologie de la Parure", Georges-Armand Masson, Bénito - "La découverte de l'Ile Torquate, de son influence sur les traditions du Dandysme dans les vieux pays", Pierre Mac Orlan, Martin - "Manteaux pour la mer et l'auto", Gérard Bauër, Zyg-Brunner - "Ronflonflons", Marcel Astruc, Bénito - "Rapport de M. d'Hozier", Jean de Bonnefon, Félix Lorioux - "Children's corner", Louis-Léon Martin, Maggie Salzedo. "La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [...] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia).
1914 P., Librairie Centrale des Beaux-arts, 1914, 1 vol. in-8° (258 x 200) en feuilles, sous couverture crème imprimée en noir, publicité imprimée en noir et rouge au plat inférieur pour Pravia, parfum de Ed. Pinaud, illustré par Charles Martin, de VIII pp. (Sommaire et Publicités) - (40) pp. (paginées de 145 à 184) - 10 planches hors-texteTrès bel exemplaire.
Numéro complet de ses 10 pochoirs hors-texte dont 2 à double page.Les pages publicitaires contiennent : Eau de jeunesse Jane Hading (ill. Pierre Brissaud) - Institut de beauté Handschin (ill. E. Ayres) - Maxima (ill. pleine page de Charles Martin) - Pianos Gaveau (ill. pleine page de Pierre Brissaud) - Hôtels Victoria et Sinaïa - Helena Rubinstein (ill. pleine page de E. Ayres) - Chez Mercier Frères (ill. pleine page de Pierre Brissaaud)...Articles illustrés en couleurs: - Petite ode à l'occasion du printemps (texte de Jean-Louis Vaudoyer, dessins de Carlègle) - Les robes-fleurs (Maurice Level - Louis Strimpl) - La palette des dames (Charles Muller - E. Ayres) - Culture physique (Jean d'Artéaga - Bernard Boutet de Monvel) - L'heure (Gabriel Mourey - Charles Martin) - Voici des roses (Carlos Fischer - P. Méras) - Le Goût au théâtre en regardant Aphrodite (Lise Léon Blum - Zamioka) - Le bon ton des merlettes (Félix Lorioux) - Bas-reliefs (Jeanne R. Fernandez - J. Renée Souéf) - La Robe au théâtre - Intérieurs modernes (Claude Roger-Marx - P.-A. Dumas) - Rubans aux chapeaux - La mode et le Bon Ton (texe et dessins de Nada) - Explication des planches. Les planches hors-texte : L'Arbre de mai, robes simples pour l'été (planche double), par José Gosé - Aphrodite, dans les jardins de la Déesse (planche double), par Charles Martin (la remarque a laissé un fantôme sur la page en regard, comme toujours) - L'Etourdissant petit poisson, Robe d'été, par George Barbier - Elle s'appelle Manon... Cape du soir de Doucet, par H. Robert-Dammy - Sais-tu ta leçon ? Costumes tailleur de fantaisie de Jeanne Lanvin, par Pierre Brissaud - Danaé, Cape du soir de Paul Poiret, par Charles Martin - La Saison des Prunes Mirabelles, Robe d'après-midi de Redfern, par George Barbier - La Commode en laque, Robe du soir de Worth, par Boutet de Monvel - Tiens-toi bien ! Robe d'été de Chéruit, par Pierre Brissaud - Le Soleil dans le Jardin, Robe d'après-midi de Doeuillet, par André-Edouard Marty.Numéro rare, comme tous les premiers numéros."La Gazette du Bon Ton "Art, Modes & Frivolités" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Bernard Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202.
1913 P., Emile Lévy éditeur, Librairie Centrale des Beaux-arts, 1913, 1 vol. in-8° (256 x 200) en feuilles, sous couverture crème imprimée en noir, publicité pour les parfums E.D. Pinaud illustrée en noir et orange par Charles Martin au plat inférieur, de IV pp. (Publicités illustrées) - 32 pp. numérotées de 97 à 128. Dos de la couverture légèrement insolé avec tout petit manque en coiffe supérieure, pas de page de sommaire (apparemment normal pour ce numéro), très bel exemplaire.
ATTENTION : Numéro complet du texte mais SANS LES POCHOIRS. Articles illustrés en couleurs: - Lettre à une provinciale de Jean-Louis Vaudoyer, illustrations de Pierre Brissaud - Le Carnaval à l'italienne (Albert Flament, André-E. Marty) - La Visite imprévue (Henri de Régnier, Umberto Brunelleschi) - Le Loup, le masque et le domino (Henry Bidou, Georges Lepape) - Les Métamorphoses du Petit Chaperon Rouge (Franc-Nohain, ill. non signées) - Mascarades (Jean Besnard, Marscous) - Le Pont-Neuf (Maggie Salzedo) - La Mode et le Bon Ton (illustration pleine page en couleurs de José Gosé (non signée)) - Explications des planches."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Bernard Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202.
1914 P., Librairie Centrale des Beaux-arts, 1914, 1 vol. in-8° (256 x 196) en feuilles, sous couverture crème imprimée en noir, plat inférieur illustré d'une publicité illustrée par Granelli en rose et vert (Nebula), de (I f. (à nos lecteurs) - IV pp. (Sommaire et Publicités illustrées en couleurs) - 40 pp. (paginées de 1 à 40).Quelques légères taches en couverture, quelques annotations marginales anciennes, très bel exemplaire par ailleurs.
Numéro complet du texte mais sans les pochoirs hors-texte.Articles illustrés en couleurs: - Le Bucheron du bon Dieu (texte et dessins de Georges Delaw) - La rose d'or (Jean de Bonnefon, Marty) - Noël à la française (Jeanne Ramon-Fernandez, Carlègle) - Manger... (Nicolas Bonnechose, Boutet de Monvel) - Petits manteaux pour la messe de minuit (Emile Henriot, Gosé) - Rêve de Noël (Jean-Louis Vaudoyer, Maggie Salcedo) - Les arbres de Noël (François de Nion, Charles Martin) - Les soupers de Noël (Henry Bidou, Jean Dulac) - Le goût au théâtre (Lise-Léon Blum, Marty) - La mode et le bon ton (texte de Nada) - Explication des planches. Numéro rare, comme tous les premiers numéros.Ex-libris "Serge Barrier" collé au verso de la 1e de couverture."La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Bernard Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202.
1914 P., Librairie Centrale des Beaux-arts, 1914, 1 vol. in-8° (256 x 200) en feuilles, sous couverture crème imprimée en noir, Publicité imprimée en noir et rouge au plat inférieur pour Pravia, parfum Ed. Pinaud, illustration de Charles Martin, de IV pp. (Sommaire + Publicités) - (36) pp. (paginées de 73 à 108). Dos légèrement insolé, petites rousseurs en couverture, très bel exemplaire par ailleurs.
Numéro complet du texte mais sans les pochoirs hors-texte.Les pages publicitaires contiennent : Parfum Jane Hading (ill. Pierre Brissaud) - Chez Mercier (ill. pleine page de Pierre Brissaud) - Hôtel Matignon...Articles illustrés en couleurs: - La femme et les saisons (texte de Nozière - Dessins de Pierre Brissaud) - Armène Ohanian (Raymond Escholier - Valentine Gross) - Les robes nouées (Marcel Astruc - Gosé) - Les masques de perles (Gabriel Mourey - Charles Martin) - Le bon ton des merlettes (Jean de Bonnefon - Félix Lorioux) - Riviera... Riviera... (Michel Georges-Michel (Srrimpl) - Peites choses pour après minuit (Emile Henriot - Georges Lepape) - Le goût au théâtre (Lise-Léon Blum - A.-E. Marty) - Mme Yvette Guilbert aime le ruban (Strimpl) - Explication des planches. Numéro rare, comme tous les premiers numéros."La Gazette du Bon Ton "Art, Modes & Frivolités" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Bernard Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202.
1921 P., aux éditions Lucien Vogel, 1921, 1 vol. in-8° (248 x 198) en feuilles, sous couverture crème imprimée en noir, de IV pp. (Sommaire et Publicités illustrées en couleurs, paginés de XXI à XXIV) - 32 pp. (paginées de 161 à 192).Dos légèrement insolé, très bel exemplaire par ailleurs.
Numéro complet du texte mais sans les pochoirs hors-texte.Articles illustrés en couleurs: - Légion d'Honneur (texte de Tristan Bernard, dessins de Charles Martin) - Devoirs de vacances (Emile Henriot, Bénito) - Pour distraire votre amie sous son bonnet marin bicolore (Eugène Marsan, M.-M. Barratin) - Toiles à mouchoirs (Georges-Armand masson, Georges Lepape) - La Mythologie nouvelle (Raymond Radiguet, Jean Hugo) - Almanachs (Célio, L'Hom) - Polo (Gérard Bauër, Jacques Brissaud) - Conseils à une fière amazone à propos de son costume (Gilbert Charles, Raymond Bret-Kock) - Explication des planches. "La Gazette du Bon Ton "Art, Goût, Beauté" est une revue de mode fondée à Paris en 1912 par Lucien Vogel. Elle a paru jusqu'en 1925, avec une interruption de 1916 à 1920, soit 69 livraisons. Elle comprend 573 planches coloriées au pochoir et 148 croquis représentant des modèles de couturiers. Chaque fascicule constitue un album de luxe, imprimé sur beau papier en Cochin, caractère totalement nouveau à l'époque. De nombreux artistes y ont collaboré : Guy Arnoux, Léon Bakst, George Barbier, Benito, Pierre Brissaud, Bernard Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Emile Laboureur, Georges Lepape, Charles Loupot, Charles Martin, André-Edouard Marty Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, imposeront une nouvelle image de la femme. Ils garderont de leur collaboration à cette revue un socle esthétique commun et exposeront leurs uvres sous le nom de Collaborateurs de la Gazette du bon ton. Les planches représentent les robes des créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet, Doucet. Certaines planches ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. [] La naissance de la Gazette du bon ton est un événement dans l'histoire de l'édition de mode. C'est la première revue qui allie souci esthétique, exigence de beauté et d'unité plastique." (Sources Wikipédia). Réf. biblio. : Colas 1202.
IMPRIMERIE DROUILLARD. NON DATE. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 135 pages - petite déchirure sur le 1er plat - nombreuses illustrations en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
Préface de R.Canivenc. Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
Imprimerie Drouillard Bordeaux. non daté. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 135 pages de photos en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
Préface de R.Canivenc. Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
GENIN Simonne - BARBIER Jean-François
Reference : RO80038842
(1995)
ISBN : 2909219062
LE PATIO. 1995. In-8. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 15 pages, illustrées en couleurs.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
La belle histoire du Théâtre du Peuple de Bussang. Classification Dewey : 792-Théâtre
Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Lucien Vogel éditeur | Paris Février 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur abondamment rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.
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S. n. | Paris 1913 | 14 x 22.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en haut à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | Paris 1913 | 14 x 22.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. n. | s. l. 1923 | 24.2 x 30.2 cm | Une feuille
5 compositions à l'encre de Chine signées et datées de 1923 par George Barbier sur un feuillet de papier fort. Traces d'un ancien encollage aux quatre angles du verso du feuillet, quelques très discrètes traces d'anciennes inscription au crayon au recto. Une exceptionnelle encre de l'éminent illustrateur de mode George Barbier pour la rubrique "Elegances" du journal La Vie Parisienne- où figurent quatre silhouettes au sommet de la mode des années folles, avec des coupes garçonnes, habillées de robes tubulaires, fluides et taille basse ou encore enveloppées de luxueuses fourrures. * La silhouette en bandeau et hauts talons dans le coin inférieur gauche ainsi que le beau profil féminin daté et signé au centre du feuillet figureront dans le numéro du 12 janvier 1924 deLa Vie Parisienne (n°62, année n°2, p. 38), dans la rubrique "Elegances" que Barbier illustra à de nombreuses reprises. Les trois autres silhouettes ont été publiées dans la même rubrique (26 janvier 1924, n°64, année n°2, p. 79-80). Superbes effigies de mode aux postures hiératiques et élégantes, tracées par Barbier dans le style Art Déco qui fit sa célébrité. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Lucien Vogel éditeur | Paris 1924 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur rehaussée au palladium et à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale
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Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Lucien Vogel éditeur | Paris Juin 1914 | 36.50 x 24 cm | une feuille
Estampe double originale en couleur rehaussée à l'or et au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Ori
Phone number : 01 56 08 08 85