‎Dictionnaire des relations internationales au XXe Siècle‎

‎ Armand Colin 16 x 23,5 Paris 2000 In-8, couverture souple, 298 p. Index et nombreuses cartes in fine. Exemplaire à l'état neuf.(C49) ‎

‎ Fêtes galantes ‎

‎ Sous étui cartonné. Couverture illustrée. Illustré de 23 compositions en couleurs pleine page par George BARBIER, dont deux sur la couverture. ‎

‎Paris H. Piazza 1928 100 pp. In-8. Broché. Parfait état. 1 volume. TIRAGE LIMITÉ à 1200 exemplaires numérotés. Celui-ci un des 200 exemplaires sur Japon Impérial, avec un état en noir des illustrations sous chemise éditeur. ‎

‎Pierre Barbier et France Vernillat. Histoire de France par les chansons‎

‎Gallimard Broché D'occasion état correct 01/01/1961 249 pages‎

‎HISTOIRE DE FRANCE PAR LES CHANSONS‎

‎MAX FOURNY. 25 DEC1982. In-4. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 295 pages. Très nombreuses illustrations en noir et blanc et quelques illustrations en couleurs hors texte. Ouvrage de bibliothèque avec une couverture plastique transparente sur la couverture originale.Tampons de bibliothèque sur la page de titre. Une étiquette de code en pied du dos.. . . . Classification Dewey : 843.06-Bande dessinée‎

‎ Classification Dewey : 843.06-Bande dessinée‎

‎Les Rosati, notice historique, choix de poésies‎

‎sans date, vers 1888 reliure dos cuir contemporaine, 72p. très bon état, plats conservés restaurés.‎

‎"Un portrait de Robespierre en frontispice. Contient entre autres les couplets chantés par Robespierre ""en donnant le baiser â M. Foacier de Ruzé"", ""pour la réception de M. Morin de Morgant""...." ‎

‎PARTITION : Les noces de Jeannette. Opéra-Comique en un acte. Paroles de J. Barbier et M. Carré. Musique de Victor massé. ‎

‎Paris, léon Grus, sans date (début XXe) Partition in-4 reliée demi-basane rouge, titre doré sur le dos, 125 pages. 620g.- exemplaire issu de la Bibliothèque de M. Louis VIALET, chef-d'orchestre au Théâtre de Monte-Carlo dans les années 1895-1920. Claires brunissures. Bon état général.‎

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‎Partition de la chanson : Fanfreluches de l'amour (Les) Ballet en un acte de Vova Berky , Album de 77 pages Fanfreluches de l'amour (Les) Olympia‎

‎ Vieu Maurice et Vieu Jane 1914‎

‎ Bon état Grand format Piano ‎

‎Les gens de Mogador. Roman. Avec 16 lithographies d'Andrée VILAR.‎

‎ P., Julliard, 1951, in 8° relié demi-chagrin vert à coins, dos à faux nerfs, tête dorée, 494pp. Bel exemplaire. ‎

‎Trage limité à 1990 exemplaire numérotés sur vélin d'Alfa Navarre. ...................... Photos sur demande ..........................‎

‎Séléné. Ouvrage illustré de 64 compositions de Madeleine Guilhot , A. Barbier, F. Cachoud. Honoré de la souscription de M. Le Président de la République et de Madame Raymond Poincaré.‎

‎ Lyon, Emmanuel Vitte , 1916 ; grand in-8°, demi-chagrin brun, dos à nerfs plats, titre et auteur dorés, couverture illustrée en bleu et dos conservés ;194pp.,1f.; petite piqûre à la couverture et à 2 feuillets, sinon très bon état. Lettre-préface de Edmond Rostand, Ballade du Mendiant avec musique notée par F. Cumin, Liste des souscripteurs.‎

‎ Bel exemplaire de ce recueil de poèmes à la gloire de la Lune dans tous ses états, illustré dans et hors texte de dessins tirés en bleu , les hors texte sur papier couché. Tirage total à 1500 exemplaires numérotés, celui-ci 1 des 250 sur papier à la cuve de Rives( 2ème papier).Ouvrage publié au Profit du Corps expéditionnaire d' Orient. ( Reu-CH1) ‎

‎SELENE / Ouvrage illustré de 64 compositions de Madeleine Guilhot , A. Barbier, F. Cachoud. Honoré de la souscription de M. Le Président de la République et de Madame Raymond Poincaré.‎

‎VITTE EMMANUEL. 1916. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 194 pages augmentées de nombreuses illustrations monochromes in et hors texte - EXEMPLAIRE N°807/1500 sur Vélin.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie‎

‎ Classification Dewey : 841-Poésie‎

‎Ceux des chars 45 jours 45 nuits‎

‎ 1941 Editions Archat - 1941 - In-4, demi chagrin bleu - 181 pages - Illustrations en N&B in et hors texte - Envoi de l'auteur (dédicace) en page de garde‎

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‎Bon état - Reliure frottée, intérieur propre ‎

‎Voltaire. ‎

‎Genève, La joie de lire, collection Connus, méconnus, 1994. Grand in-8, cartonnage couleurs. En belle condition. ‎

‎Dans une collection qui présente aux enfants des personnages qui ont laissé une trace dans l'aventure humaine. ‎

‎Les bijoux des neuf-soeurs.‎

‎A Paris, Chez Defer de Maisonneuve, 1790. 2 volumes in-12 de 296 + 300 pages, plein veau raciné havane, dos lisses ornés de fleurons et filets dorés, pièces de titre rouges, plats encadrés d’un triple filet doré, tranches vertes. Belle condition. ‎

‎Charmante illustration qui se compose de 2 frontispices et de 4 figures hors texte avant la lettre d'après Le Barbier par Gaucher. Recueil de poésie, la plupart assez lestes de Piron, Piis, Chaulieu, Voltaire et autres auteurs, publié à l'initiative de l'abbé François Bancarel. "Les agréables petites estampes..." avaient auparavant figurées dans Les Chansons de Piis. Elles sont ici avant la lettre, car Cohen nous dit "on a ajouté une légende en bas" et il n'y en a pas dans notre exemplaire. Achevé d'imprimé par l'Imprimerie de Clousier en 1789; et il existe une édition à cette date avec, sur la page de titre, la mention supplémentaire "A Bruxelles, chez la veuve Dujardin, libraire de la Cour" que Cohen ne connaît pas. Cohen, 147; Gay-Lemmonyer, I, 401; Bengesco, IV, 2243 " Ce recueil contient un assez grand nombre de poésies de Voltaire". ‎

‎Les Bijoux des Neuf-Soeurs.‎

‎Paris, Defer de Maisonneuve, 1790. 2 volumes in-12 de [4]-296; [4]-300 pages, plein maroquin cerise, dos lisses ornés de fleurons et roulettes dorées, pièces de titre et de tomaison en maroquin vert, roulette dorée en encadrement des plats et intérieur, filet doré aux coupes, tranches dorées. ‎

‎Charmante illustration qui se compose de 2 frontispices et de 4 figures hors texte avant la lettre d'après Le Barbier par Gaucher. Recueil de poésie, la plupart assez lestes de Piron, Piis, Chaulieu, Voltaire et autres auteurs publié à l'initiative de l'abbé François Bancarel. "Les agréables petites estampes..." avaient auparavant figurées dans Les Chansons de Piis. Elles sont ici avant la lettre, car Cohen nous dit "on a ajouté une légende en bas" et il n'y en a pas dans notre exemplaire. Achevé d'imprimé par l'Imprimerie de Clousier en 1789; et il existe une édition à cette date avec, sur la page de titre, la mention supplémentaire "A Bruxelles, chez la veuve Dujardin, libraire de la Cour" que Cohen ne connaît pas. Très plaisant exemplaire dans une reliure de grande qualité. Petite restauration à un plat, très discrète. Ex-libris moderne de Jean-François Chaponnière. Cohen, 147; Gay-Lemmonyer, I, 401; Bengesco, IV, 2243 " Ce recueil contient un assez grand nombre de poésies de Voltaire". ‎

‎1 carte gravée en couleurs du Tarn et Garonne - N°79‎

‎IMP. MIGEON. XIXe siècle. In-4. En feuillets. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Une planche ( de 34.5 x 26.5 cm) illustrée d'une carte en couleurs et de quelques gravures en noir et blanc.. . . A l'italienne. Classification Dewey : 912-Atlas, cartes et plans‎

‎Gravures en noir et blanc : Armes de Montauban, J. de la Valette Parisot, Ingres, Montauban. Classification Dewey : 912-Atlas, cartes et plans‎

‎Livre de Madame.‎

‎ 1918 Paris, Wanamaker, Maquet, calendrier, 1918, in-16, couvertures en soie estampées d'un décor art-déco persan avec au centre une jeune femme à la fleur, tranches dorées, sous étui assorti, 156 pages. ‎

‎George BARBIER (Nantes 1882-1932), peintre et illustrateur, a beaucoup travaillé pour la mode et le théâtre, composant des dessins de costumes et des décors. L'artiste a également illustré de nombreux ouvrages. Il a exposé régulièrement au Salon des Artistes Décorateurs de 1912 jusqu'à sa mort. En 1920 il participait à l'exposition du Musée des Arts Décoratifs à Paris: "La mode au XXème siècle vue par les peintres", représentant ce qu'on a nommé par la suite "l'Art Déco". On montre encore ses dessins aujourd'hui lors d'expositions sur cette époque, ce fut le cas en 1971 à Minéapolis aux U.S.A., et à Paris en 1973 (Bénézit, I, p.432). Exceptionnel et rare ouvrage, édité par le Grand Magasin américain Wanamaker ; Cet agenda s'ouvre sur la par la page de titre ornée d'un dessin de George Barbier ; le calendrier est agrémenté de quatre planches de George Barbier, en noir et à pleines pages qui illustrent les quatre saisons. S'ensuivent 55 pages de notes, puis L'Anacréon des Dames avec des poèmes et des élégies de Bertin, Chénier, Corneille, La Fontaine, Malherbe, Musset, Ronsard, Voltaire... Trois dessins, en noir, à pleines pages ornent les poèmes. Usures, taches et accidents à la chemise et à l'étui, infime déchirure à la page de titre, petites restaurations, manque à la page N°17, annotations manuscrites à la mine de plomb page 21, manque à l'étui. ‎

‎Ecole au Soleil de Trianon 1920 - 1937‎

‎1 fasc. in-12 broché, Imp. Ch. Barbier, 1937, 8 pp. ‎

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‎Etat très satisfaisant (couv. très lég. frottée, bon état par ailleurs). ‎

‎Le Canal des deux mers ( extrait de la revue de l'Afrique Française )‎

‎1 vol. in-8 br., au bureau de la Revue de l'Afrique française, Picard, Barbier, Paris, s.d. (circa 1886), 25 pp.‎

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‎Etat moyen (couv. frottée et ayant détient sur la première page, pages écornées, état très satisfaisant par ailleurs) pour cette réflexion sur un canal de grand gabarit entre l'Atlantique et la Méditerranée, via la vallée de la Garonne. Peu courant. Prix en l'état.‎

‎THE ANALYSIS OF FOODS‎

‎John Wiley & Sons. 1945. In-8. Relié. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 999 pages. Illustré de nombreux schémas en noir et blanc dans le texte. Texte sur 2 colonnes. Tampons et annotations de bibliothèque en pages de garde et de titre. Tranche tachée. Jaquette manquante.. . . . Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon‎

‎With 208 Illustrations. Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon‎

‎A Palm Beach. Tailleur, de Worth (pl.40, La Gazette du Bon ton, 1921 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎A Palm Beach. Tailleur, de Worth (pl.40, La Gazette du Bon ton, 1921 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Eros. Robe et Manteau, pour le soir, de Worth (pl.51, La Gazette du Bon ton, 1924 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur rehaussée au palladium et à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Espérez. Robe du soir, de Worth (pl.48, La Gazette du Bon ton, 1922 n°6)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en haut à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎La Voie lactée. Robe et manteau pour le soir, de Worth (pl.22, La Gazette du Bon ton, 1921 n°3)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1921, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur finement rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Le Belvédère. Robe-manteau, de Worth (pl.36, La Gazette du Bon ton, 1924 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎