Zodiaque, 1964, gr. in-8°, 323 pp, 130 héliogravures et 8 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, index, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps, 21)
"Il faut certainement se féliciter de voir paraître dans la collection « La nuit des temps », éditée par l'abbaye de La Pierre-qui-Vire, ce livre sur l'art « roman » en Terre sainte, dont le texte est tout entier de M. Paul Deschamps. Que l'auteur ait été obligé de briser un peu le cadre de la collection, qui se veut exclusivement romane, était fatal : le Crac des chevaliers est en grande partie gothique, Margat ne peut passer pour une œuvre romane ; quels sont d'ailleurs les critères qui distinguent roman et gothique dans le domaine de l'architecture militaire ? Il importe peu que le titre soit quelque peu inadéquat au sujet, pourvu que le sujet soit bien traité, et il l'est, comme on pouvait s'y attendre. Et il est singulièrement utile d'avoir, de la main d'un spécialiste éminent, un ouvrage facilement accessible où l'on trouvera des études, brèves mais précises, sur quelques monuments de Terre sainte pour lesquels il fallait se reporter à des ouvrages devenus introuvables. (...) Le texte de M. Paul Deschamps dont on voit assez l'intérêt, s'accompagne d'un grand nombre de plans très précieux et, comme il est habituel dans cette collection, d'admirables photos tant en noir qu'en couleur. Leur nombre et leur qualité réjouiront les archéologues qui n'ont pas facilement sous la main des vues de ces monuments lointains. Les éditeurs de Zodiaque n'ont pas hésité à faire le pèlerinage de Terre sainte pour cette fructueuse campagne photographique. Il convient de les en remercier chaleureusement." (Francis Salet, Bulletin Monumental, 1965)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1982, gr. in-8°, 376 pp, 3e édition, 152 héliogravures hors texte, 5 pl. en couleurs hors texte, plans, reliure toile éditeur, jaquette illustrée (pelliculage de la jaquette lég. décollé), soulignures crayon sur les 20 premières pages, bon état (la Nuit des temps, 16)
"Ce livre a la netteté et la clarté qui conviennent au sujet dont il traite. Il est également, ce qui explique ses qualités, l'œuvre d'hommes qui par leur vocation, leur vie et leurs travaux sont mieux à même que quiconque de dégager l'esprit qui imprègne l'art monastique en général, et plus particulièrement l'aspect exceptionnel que revêt l'art cistercien. Il s'agit de dom Angelico Surchamp, religieux bénédictin, et, pour la majeure partie de l'ouvrage, du r.p. Marie-Anselme Dimier, religieux cistercien, auteur de nombreux et remarquables travaux sur l'histoire, l'expansion et l'architecture de l'Ordre auquel il appartient. Les dernières pages du livre, consacrées aux manuscrits, ont été demandées à M. Jean Porcher, éminent spécialiste en la matière. Nous sommes ici pourvus de douze monographies solides et claires s'appliquant aux ensembles majeurs, entendons ceux qui nous sont parvenus. Le choix de ceux-ci ne pouvait être imprévisible ; cependant, des abbayes relativement peu connues comme l'Escale-Dieu, Léoncel ou Flaran sont mises ici très légitimement à l'honneur. On trouvera également, en tête de l'ouvrage, trente-six notices brèves consacrées trop souvent, hélas, à une manière de nécrologe dans lequel sont évoquées les abbayes mutilées dont certaines, ne seraient-ce que Cîteaux et Clairvaux, devraient revêtir, sans la stupidité des hommes, une importance capitale. Ces notices sont intelligemment présentées dans l'ordre historique, un index alphabétique permettant de retrouver aisément chacune d'elles. Tout cela, disions-nous, est clair, net, sans fioritures ni vaine littérature..." (René Crozet, Cahiers de Civilisation Médiévale, 1963)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1962, gr. in-8°, 356 pp, 150 héliogravures hors texte, 4 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps, 16)
"Ce livre a la netteté et la clarté qui conviennent au sujet dont il traite. Il est également, ce qui explique ses qualités, l'œuvre d'hommes qui par leur vocation, leur vie et leurs travaux sont mieux à même que quiconque de dégager l'esprit qui imprègne l'art monastique en général, et plus particulièrement l'aspect exceptionnel que revêt l'art cistercien. Il s'agit de dom Angelico Surchamp, religieux bénédictin, et, pour la majeure partie de l'ouvrage, du r.p. Marie-Anselme Dimier, religieux cistercien, auteur de nombreux et remarquables travaux sur l'histoire, l'expansion et l'architecture de l'Ordre auquel il appartient. Les dernières pages du livre, consacrées aux manuscrits, ont été demandées à M. Jean Porcher, éminent spécialiste en la matière. Nous sommes ici pourvus de douze monographies solides et claires s'appliquant aux ensembles majeurs, entendons ceux qui nous sont parvenus. Le choix de ceux-ci ne pouvait être imprévisible ; cependant, des abbayes relativement peu connues comme l'Escale-Dieu, Léoncel ou Flaran sont mises ici très légitimement à l'honneur. On trouvera également, en tête de l'ouvrage, trente-six notices brèves consacrées trop souvent, hélas, à une manière de nécrologe dans lequel sont évoquées les abbayes mutilées dont certaines, ne seraient-ce que Cîteaux et Clairvaux, devraient revêtir, sans la stupidité des hommes, une importance capitale. Ces notices sont intelligemment présentées dans l'ordre historique, un index alphabétique permettant de retrouver aisément chacune d'elles. Tout cela, disions-nous, est clair, net, sans fioritures ni vaine littérature..." (René Crozet, Cahiers de Civilisation Médiévale, 1963)
108 pages, format 170 x 220 mm, illustré, broché, publié en 1957, Cahiers de l'Atelier du Coeur Meurtry (Zodiaque), bon état
Au sommaire : histoire et architecture des églises et chapelles de Saint-Genest de Lavardin, Saint-Gilles de Montoire et Saint-Jacques des Guérets, dans le Loir-et-Cher
Phone number : 04 74 33 45 19
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1969, gr. in-8°, 364 pp, 163 héliogravures et 8 photos en couleurs hors texte, cartes et plans, index, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps 31)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1964, gr. in-8°, 260 pp, 2e édition, 88 héliogravures et 6 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (la Nuit des Temps, 7)
"Nul n'était plus qualifié que M. Marcel Durliat pour conduire cette étude. Depuis plusieurs années, en effet, il s'est entièrement consacré à l'art roman en Roussillon ; il a patiemment et inlassablement fouillé les richesses ; toutes ses recherches, tous ses travaux ont été orientés dans ce sens et les nombreuses publications qu'il a déjà donnée sur la sculpture, la peinture murale, les manifestations de la civilisation sont significatives d'une activité productrice qui lui a permis d'embrasser le problème de l'archéologie médiévale dans son ensemble et d'en saisir les véritables caractères. L'ouvrage s'ouvre sur une vue générale de l'art roman en Roussillon, suivie d'un aperçu très rapide sur une trentaine d'églises. Et puis, fidèle aux formules particulières adoptées par les éditeurs, l'auteur ne les étudie pas individuellement dans le détail, mais choisit simplement les plus typiques, celles qui, par elles-mêmes, traduisent une originalité de style ou permettent de suivre une évolution architecturale et sculpturale. Celles-ci sont encore présentées suivant la conception adoptée pour les divers ouvrages de la collection, avec un aperçu général, une notice historique, un plan de visite suivant un itinéraire intelligemment conçu et une illustration photographique. (...) Tout est à retenir et à méditer dans ce beau livre, depuis les descriptions objectives, les aperçus concrets, les hypothèses savamment appuyées sur des arguments chronologiques et techniques, jusqu'aux planches photographiques, saisissantes de netteté et de vie et qui traduisent encore, par leur éclectisme et la pureté de leurs lignes ce que l'auteur a si heureusement exposé en style simple et concis, sans cesse relevé par une sûreté de vues et une érudition qui n'est jamais en défaut." (André Dupont, Annales du Midi, 1959) — "Cet ouvrage, très important et nouveau lorsqu'il fut écrit, continue d'être indispensable à toute étude sur le Roussillon à l'époque romane." (Xavier Barral i Altet, Bulletin Monumental, 1974)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1958, gr. in-8°, 260 pp, 94 héliogravures et 4 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, index, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps, 7)
"Nul n'était plus qualifié que M. Marcel Durliat pour conduire cette étude. Depuis plusieurs années, en effet, il s'est entièrement consacré à l'art roman en Roussillon ; il a patiemment et inlassablement fouillé les richesses ; toutes ses recherches, tous ses travaux ont été orientés dans ce sens et les nombreuses publications qu'il a déjà donnée sur la sculpture, la peinture murale, les manifestations de la civilisation sont significatives d'une activité productrice qui lui a permis d'embrasser le problème de l'archéologie médiévale dans son ensemble et d'en saisir les véritables caractères. L'ouvrage s'ouvre sur une vue générale de l'art roman en Roussillon, suivie d'un aperçu très rapide sur une trentaine d'églises. Et puis, fidèle aux formules particulières adoptées par les éditeurs, l'auteur ne les étudie pas individuellement dans le détail, mais choisit simplement les plus typiques, celles qui, par elles-mêmes, traduisent une originalité de style ou permettent de suivre une évolution architecturale et sculpturale. Celles-ci sont encore présentées suivant la conception adoptée pour les divers ouvrages de la collection, avec un aperçu général, une notice historique, un plan de visite suivant un itinéraire intelligemment conçu et une illustration photographique. (...) Tout est à retenir et à méditer dans ce beau livre, depuis les descriptions objectives, les aperçus concrets, les hypothèses savamment appuyées sur des arguments chronologiques et techniques, jusqu'aux planches photographiques, saisissantes de netteté et de vie et qui traduisent encore, par leur éclectisme et la pureté de leurs lignes ce que l'auteur a si heureusement exposé en style simple et concis, sans cesse relevé par une sûreté de vues et une érudition qui n'est jamais en défaut." (André Dupont, Annales du Midi, 1959) — "Cet ouvrage, très important et nouveau lorsqu'il fut écrit, continue d'être indispensable à toute étude sur le Roussillon à l'époque romane." (Xavier Barral i Altet, Bulletin Monumental, 1974)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1965, pt in-4°, 204 pp, 2e édition, 77 héliogravures en noir et 2 pl. en couleurs hors texte, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Les Points Cardinaux, 1)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1959, gr. in-8°, 260 pp, 86 héliogravures et 16 pl. en couleurs hors texte, plans, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps 9)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1960-1961, 2 vol. gr. in-8°, 288 et 302 pp, 200 héliogravures et 26 photos en couleurs de Jean Dieuzaide hors texte, cartes et plans, reliures toile éditeur, sans les jaquettes, bon état (la Nuit des Temps 12 et 13)
Tome 1 : Montbui, Cardona, Cassérres, San Llorenç del Munt, Corbera, Frontanyà, Taüll, Ripoll. – Tome 2 : Seu d'Urgell, Sant Pau del Camp, Sant Benet de Bages, Cathédrale de Gérone, Sant Cugat del Valles, Sainte-Marie de L'Estany, peintures, objets et statues.
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1960, gr. in-8°, 288 pp, 99 héliogravures et 15 photos en couleurs par Jean Dieuzaide hors texte, cartes et plans, reliure toile éditeur, jaquette illustrée (un peu défraîchie), bon état (la Nuit des Temps 12)
Tome 1 : Montbui, Cardona, Cassérres, San Llorenç del Munt, Corbera, Frontanyà, Taüll, Ripoll.
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1957, gr. in-8°, 260 pp, 119 héliogravures et 6 pl. en couleurs hors texte, nombreux plans, index, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps, 5)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1984, gr. in-8°, 336 pp, 162 héliogravures hors texte, 4 pl. en couleurs hors texte, plans, cartes, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, qqs soulignures crayon, 6 mots surlignés dans l'index, bon état (la Nuit des temps, 61)
[Zodiaque] – MAURY (Jean), Marie-Madeleine S. GAUTHIER, Jean PORCHER.
Reference : 124280
(1960)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1960, gr. in-8°, 320 pp, 2e édition, 102 héliogravures et 19 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (la Nuit des Temps 11)
[Zodiaque] – MAURY (Jean), Marie-Madeleine S. GAUTHIER, Jean PORCHER.
Reference : 126441
(1960)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1960, gr. in-8°, 320 pp, 2e édition, 102 héliogravures et 19 pl. en couleurs hors texte, cartes et plans, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps 11)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1986, gr. in-8°, 328 pp, 8e édition, 133 héliogravures et 10 pl. en couleurs hors texte, carte, nombreux plans, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, sous étui carton, bon état (la Nuit des Temps, 1)
Dijon, Tournus, Cluny, Berzé-la-Ville, Paray-le-Monial, Saulieu, Autun, Vézelay, portraits du Brionnais.
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1968, gr. in-8°, 304 pp, 129 héliogravures et 8 pl. en couleurs hors texte, plans, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, étui carton, bon état (la Nuit des Temps 27)
Par Jean Secret, parfait connaisseur du patrimoine religieux de la Dordogne, un guide pour parcourir une région à la manière des pèlerins ou des troubadours d'autrefois et découvrir les témoins architecturaux de ce monde roman des XIe et XIIe siècles.
[Zodiaque] – VIDAL (Marguerite), Jean MAURY et Jean PORCHER.
Reference : 126452
(1959)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1959, gr. in-8°, 340 pp, 148 héliogravures sur 128 planches (photographies de Jean Dieuzaide) et 4 pl. en couleurs hors texte, nombreux plans, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps, 10)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1965, gr. in-8°, 473 pp, 163 héliogravures en noir sur 136 planches hors texte, 2 pl. en couleurs hors texte, nombreux dessins de dom Wenceslas Bugara, index analytique, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (Introductions à la Nuit des Temps 1)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1965, gr. in-8°, 351 pp, préface de Hans Haug, 155 héliogravures et 4 pl. en couleurs hors texte, plans, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, étui carton, bon état (la Nuit des Temps 22)
"Ce vingt-deuxième volume de la collection, dont la large diffusion contribue à raffermir le goût de l'art roman, mérite, pour son texte, des éloges particuliers ; ouvrage scientifique dans le plein sens du mot, L'Alsace romane dépasse, par sa documentation et par le caractère de ses « notices », la formule primitive de la collection, qui est de bonne vulgarisation. Ce livre est l'ouvrage le plus considérable en langue française sur ce sujet. Ainsi que l'exigeait la formule de la collection, un choix fut opéré parmi les monuments romans d'Alsace, sept seulement ayant été retenus pour donner des monographies largement illustrées (Ottmarsheim, Eschau, Epfig, Murbach, Marmoutier, Rosheim et Sainte-Foy de Sélestat). Mais des « notes » préliminaires ajoutent trente monographies abrégées et une dernière partie, intitulée « fragments divers » (p. 253-334), fait état de quatre monuments encore ; à quoi s'ajoutent des notices sur des œuvres de ferronnerie, d'orfèvrerie et de peinture sur verre. Ainsi, à part les manuscrits enluminés, l'ensemble de l'art en Alsace entre le Xe et le XIIIe siècle est analysé dans ses œuvres essentielles, situées dans la chronologie et le contexte historique. Chacune des « notices » de ce volume, quelle que soit sa longueur, est le fruit de constatations et de réflexions personnelles de l'auteur et non le simple « état de la question » résumant la bibliographie..." (Louis Grodecki, Bulletin Monumental, 1966)
La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, 1965, gr. in-8°, 351 pp, préface de Hans Haug, 155 héliogravures et 4 pl. en couleurs hors texte, plans, reliure toile éditeur, sans la jaquette, bon état (la Nuit des Temps 22)
"Ce vingt-deuxième volume de la collection, dont la large diffusion contribue à raffermir le goût de l'art roman, mérite, pour son texte, des éloges particuliers ; ouvrage scientifique dans le plein sens du mot, L'Alsace romane dépasse, par sa documentation et par le caractère de ses « notices », la formule primitive de la collection, qui est de bonne vulgarisation. Ce livre est l'ouvrage le plus considérable en langue française sur ce sujet. Ainsi que l'exigeait la formule de la collection, un choix fut opéré parmi les monuments romans d'Alsace, sept seulement ayant été retenus pour donner des monographies largement illustrées (Ottmarsheim, Eschau, Epfig, Murbach, Marmoutier, Rosheim et Sainte-Foy de Sélestat). Mais des « notes » préliminaires ajoutent trente monographies abrégées et une dernière partie, intitulée « fragments divers » (p. 253-334), fait état de quatre monuments encore ; à quoi s'ajoutent des notices sur des œuvres de ferronnerie, d'orfèvrerie et de peinture sur verre. Ainsi, à part les manuscrits enluminés, l'ensemble de l'art en Alsace entre le Xe et le XIIIe siècle est analysé dans ses œuvres essentielles, situées dans la chronologie et le contexte historique. Chacune des « notices » de ce volume, quelle que soit sa longueur, est le fruit de constatations et de réflexions personnelles de l'auteur et non le simple « état de la question » résumant la bibliographie..." (Louis Grodecki, Bulletin Monumental, 1966)