Centre Georges Pompidou / Dumont. 1998. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 324 pages - nombreuses photos, reproductions en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - étiquettes collées sur la page de garde.. . . . Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
Avec les contributions de Fabrice Hergott, Doris Krystof, Günter Metken, Jürgen Pech. Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
Centre Pompidou. 2000. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 443 pages - nombreuses photos, reproductions en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
Catalogue raisonné des sculptures établi en collaboration avec Christine Piot. Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
The Fine Art society 1986 Livre en anglais. In-8 broché 20 cm sur 20,7. 154 pages. Illustrations photographiques en noir et blanc. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Lausanne, Meulenhoff International / Club "Formes et couleurs", 1970, gr. in-4°, 216 p., richement ill. avec des photogr. en couleurs (sur planches) et en n/b, reliure en demi-cuir, jaquette orig. ill. en couleurs, jaquette rhodoïd, étui cart.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Lausanne, Meulenhoff International / Club "Formes et couleurs", 1970, gr. in-4°, 216 p., richement ill. avec des photogr. en couleurs (sur planches) et en n/b, reliure en demi-prachemin + jaquette orig. ill. en couleurs + Jaquette rhodoïd.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Berlin, 1991 771pp., with some bl/w illustrations, 21cm., softcover, text in German, Doctoral dissertation (Inaugural-Dissertation zur Erlangung des Doktorgrades der Philosophischen Fakultät der Freien Universität Berlin), stamp at verso of title page, text is clean and bright, good condition, weight: 1kg., S109260
Reprostudio Schirmer, 1978, kl. in-4to, 132 S., reich illustriert mit Verz. der 140 ausgestellten Werke
Phone number : 41 (0)26 3223808
Bookking international 1996 in4. 1996. Relié jaquette. 200 pages. Bon état (BE) interieur propre
P , Atlas , 2005 , in4° br , 200 pp Langue: Français
Editions Atlas Broché 2005 In-4 (24 x 30,5 cm), broché, 200 pages, photographies en couleurs ; quelques légères marques d'usage sur les plats, bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Bookking International/ Atlas collections. 2005. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 200 pages illustrées de très nombreuses photos en couleurs et en noir et blanc, dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
ATLAS. 2005. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 200 Pages. Nombreuses photos en couleur dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
Booking international Atlas. 2005. In-4. Broché. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 200 pàages augmentées de nombreuses photos en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
Editions Atlas Collections. Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
Atlas. 2005. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Mouillures. 200 pages augmentées de nombreuses photos en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
Traduit par Henry-Philippe Faucher. Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
Atlas. 2005. In-4. Broché. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 200 pages augmentées de nombreuses photos en couleurs dans texte.. . . . Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
Classification Dewey : 730-Arts plastiques. Sculpture
s.l. 9 janvier 1809, 11,7x18,3cm, deux pages sur un bifeuillet.
Lettre autographe signée de Germaine de Staël, datée de sa main du 9 janvier 1809 adressée à Julie Nigris, fille d'Elisabeth Vigée-Lebrun. Deux pages à l'encre noire sur un bifeuillet. Adresse autographe au verso et traces de cachet portant ses armes, ainsi que des tampons postaux. Plis inhérents à l'envoidéchirure avec manque, sans atteinte au texte, sur le feuillet d'adresse, dû à l'ouverture du cachet. Publiée en addendum dans les Souvenirs de Madame Vigée Lebrun, 1837, t. III, pp. 264-265. Germaine de Staël s'impatiente de recevoir son portrait sous les traits de son héroïne Corinne, commandée à la célèbre portraitiste Elisabeth Vigée-Lebrun. La lettre est le maillon de la longue et fascinante histoire de ce portrait, que la baronne découvrira quelques mois plus tard. "J'ai renoncé Madame, à la gravure du portrait de Madame votre mère, c'est trop cher pour ma fantaisie et je viens d'éprouver un procès considérable qui m'oblige à des ménagements de fortune. Mais avez-vous la bonté de me dire quand le portrait de Corinne me sera remis par Mad. Le Brun ? Mon intention était de lui envoyer mille écus en le recevant mais n'ayant pas de ses nouvelles je ne sais pas du tout ce que je dois faire. Soyez assez bonne pour vous en mêler, et me négocier à cet égard ce que je désire. Une négociation qui me serait bien douce aussi c'est celle qui vous amènerait en Suisse cet été. Prosper dit qu'il y viendra. M. de Maleteste ne se laisserait-il pas séduire par cette réunion de tous ses amis ? J'ose me mettre du nombre. En le voyant une fois il m'a semblé que je rencontrais une ancienne connaissance" Germaine de Staël s'adresse à la fille de Vigée-Lebrun, Julie, en l'invitant ainsi que sa mère à égayer son exil. Elle tente également de rassembler à Coppet son propre amant ainsi que celui de Julie - Prosper de Barante et le marquis de Maleteste. Abhorrant la solitude, elle était résolue à inviter une foule de personnalités intéressantes. Deux ans plus tôt, Vigée-Lebrun avait commencé chez la baronne le portrait d'après nature de cette dernière sous les traits de l'héroïne de son dernier roman Corinne. L'artiste y avait rencontré les célèbres protagonistes du fameux groupe de Coppet : Frédéric de Prusse, Benjamin Constant et Juliette Récamier. Germaine avait déjà requis un changement auprès de Vigée Le Brun à peine la toile commencée et demandé un différent paysage de fond. Consciente de l'aspect ingrat de son modèle - ni elle ni la baronne ne s'en cachent - Vigée-Lebrun livrera un portrait ambitieux, à l'antique certes, mais à l'allure furieusement romantique, capturant le regard inspiré de la baronne au détriment de l'aspect néo-classique attendu.Malgré ses enthousiastes premières réactions, Germaine de Staël en commandera un autre à l'artiste local Firmin Massot. Ce dernier réalisera une piètre quoique fidèle copie de la composition originale, à l'exception du visage, et tout particulièrement du regard qu'il fait vide de toute émotion. La réaction de la baronne illustre le dilemme irréconciliable dont souffraient les femmes de lettres en ce début de XIXe siècle : tiraillées entre l'exercice d'un art intellectuel que Vigée-Lebrun avait magnifiquement capturé dans ce portrait, etles critères normatifs de la féminité auxquels Germaine de Staël voulait ressembler. Précieux feuillet de correspondance, quiréunit deux femmes illustres, la commanditaire et l'artiste dont les visions de la féminité s'affronteront bientôt de part et d'autre du chevalet. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris s.d. (circa 1954), formats divers 18x23,9cm (7 photographies) ; 21x27,2cm (4 photographies), une feuille.
Ensemble de 11 photographies originales autour de l'atelier de Nicolas de Staël par Denise Colomb, en tirage d'époque. Petites traces de plis aux coins de certains clichés. Superbes vues de la bâtisse abritant l'atelier du peintre, au 7 de la rue Gauguet à Paris, pris un an avant sa fin tragique. Les murs lézardés et texturés ressemblent de manière frappante à sa "peinture brossée, voir maçonnée" (Marcelin Pleynet et Michel Seuphor), ces aplats au couteau qui eurent une influence considérable sur la peinture abstraite de la seconde moitié du siècle. Les photographies furent prises par Denise Colomb,grande portraitiste du XXe siècle, qui immortalisa Antonin Artaud, et réalisa des vues spectaculaires des ateliers de Giacometti, Picasso, Soulages et Miro. "On dit que son atelier était une caverne de potier paléontologique. A sédiments, couches du paléo... Un creuset, un grand puits matériel, criblé de pigments, de pinceaux, de pots de truelles plâtrées, de seaux, de chiffons. Dans une forte odeur de térébenthine. Un atelier gorgé, souillé, empanaché de crasses, des pâtes de la maçonnerie. Son envergure, sa force, sa hauteur de hunier s'élançent dans ce cratère de Vésuve. Légèrement déboussolé, il incline, il verse. Peindre, pour lui, c'est être en proie au vertige, à des bifurcations imprévisibles d'accident, de hasard." (Patrick Grainville,Les Yeux de Milos). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris s.d. (circa 1954), deux nus : 33x23cm ; fleurs et nu seul : 24x30,5cm, une feuille.
Ensemble de 3 vues photographiques originales d'oeuvres de Nicolas de Staëlpar Denise Colomb, en tirage d'époque. Traces de plis et petites déchirures aux extrémités du cliché des deux nus. Discrète décharge d'un papier dactylographié en marge du cliché de la toile desFleurs. Traces sombres et plis en marge du cliché de la toile représentant un nu seul. Clichés représentant trois toiles prises dans l'atelier du peintre, au 7 de la rue Gauguet à Paris, un an avant sa fin tragique. On y retrouve une toile de sa célèbre sérieFleurs, réalisée entre 1953 et 1954, ainsi que deux toiles représentant des nus, un sujet devenu l'une des clés de voûte de son travail sur le rapport entre le fond et la figure à partir de 1951 et jusqu'à sa mort en 1955. Les photographies furent prises par Denise Colomb,grande portraitiste du XXe siècle, qui immortalisa Antonin Artaud, et réalisa des vues spectaculaires des ateliers de Giacometti, Picasso, Soulages et Miro. "On dit que son atelier était une caverne de potier paléontologique. A sédiments, couches du paléo... Un creuset, un grand puits matériel, criblé de pigments, de pinceaux, de pots de truelles plâtrées, de seaux, de chiffons. Dans une forte odeur de térébenthine. Un atelier gorgé, souillé, empanaché de crasses, des pâtes de la maçonnerie. Son envergure, sa force, sa hauteur de hunier s'élançent dans ce cratère de Vésuve. Légèrement déboussolé, il incline, il verse. Peindre, pour lui, c'est être en proie au vertige, à des bifurcations imprévisibles d'accident, de hasard." (Patrick Grainville,Les Yeux de Milos). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris s.d. (circa 1954), 24,2x31,1cm, une feuille.
Photographie de l'atelierde Nicolas de Staël en noir et blanc, par Denise Colomb, en tirage argentique d'époque. Traces de plis, infimes manques dans le coin inférieur gauche. Superbe "nature morte" en large format de l'atelier du peintre, au 7 de la rue Gauguet à Paris, prise un an avant sa fin tragique. Ses chefs d'oeuvres sont entreposés pêle-mêle avec le bois de chauffage et les nombreux pots de peinture. La photographie fut prise par Denise Colomb,grande portraitiste du XXe siècle, qui immortalisa Antonin Artaud, ainsi que les artistes Giacometti, Picasso, Soulages et Miro dans leurs ateliers. "On dit que son atelier était une caverne de potier paléontologique. A sédiments, couches du paléo... Un creuset, un grand puits matériel, criblé de pigments, de pinceaux, de pots de truelles plâtrées, de seaux, de chiffons. Dans une forte odeur de térébenthine. Un atelier gorgé, souillé, empanaché de crasses, des pâtes de la maçonnerie. Son envergure, sa force, sa hauteur de hunier s'élançent dans ce cratère de Vésuve. Légèrement déboussolé, il incline, il verse. Peindre, pour lui, c'est être en proie au vertige, à des bifurcations imprévisibles d'accident, de hasard." (Patrick Grainville,Les Yeux de Milos). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris s.d. (circa 1954), photographie : 14,5x20,4cm ; feuille : 18,2x24cm, une photographie.
Portrait photographique en noir et blanc de Nicolas de Staël par Denise Colomb, en tirage argentique d'époque. Superbe cliché du peintre aux yeux inquiets,dans son atelier de la rue Gauguet à Paris,un an avant sa fin tragique. La photographie fut prise par Denise Colomb,grande portraitiste du XXe siècle, qui immortalisa Antonin Artaud, Giacometti, Picasso, Soulages et Miro. "On dit que son atelier était une caverne de potier paléontologique. A sédiments, couches du paléo... Un creuset, un grand puits matériel, criblé de pigments, de pinceaux, de pots de truelles plâtrées, de seaux, de chiffons. Dans une forte odeur de térébenthine. Un atelier gorgé, souillé, empanaché de crasses, des pâtes de la maçonnerie. Son envergure, sa force, sa hauteur de hunier s'élançent dans ce cratère de Vésuve. Légèrement déboussolé, il incline, il verse. Peindre, pour lui, c'est être en proie au vertige, à des bifurcations imprévisibles d'accident, de hasard." (Patrick Grainville,Les Yeux de Milos). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris s.d. (circa 1954), photographie : 17,4x20,4cm ; feuille : 18,2x24cm, une feuille.
Portrait photographiqueen noir et blanc de Nicolas de Staël par Denise Colomb, en tirage argentique d'époque. Très beau cliché du peintre, pris sur le vif, s'aprêtant à parler, dans son atelier de la rue Gauguet à Paris,un an avant sa fin tragique. Assis devant une de ses oeuvres, on aperçoit les amoncellements de toiles du peintre dans la pièce derrière lui. La photographie fut prise par Denise Colomb,grande portraitiste du XXe siècle, qui immortalisa Antonin Artaud, Giacometti, Picasso, Soulages et Miro. "On dit que son atelier était une caverne de potier paléontologique. A sédiments, couches du paléo... Un creuset, un grand puits matériel, criblé de pigments, de pinceaux, de pots de truelles plâtrées, de seaux, de chiffons. Dans une forte odeur de térébenthine. Un atelier gorgé, souillé, empanaché de crasses, des pâtes de la maçonnerie. Son envergure, sa force, sa hauteur de hunier s'élançent dans ce cratère de Vésuve. Légèrement déboussolé, il incline, il verse. Peindre, pour lui, c'est être en proie au vertige, à des bifurcations imprévisibles d'accident, de hasard." (Patrick Grainville,Les Yeux de Milos). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris s.d. (circa 1954), photographie : 19,1x29cm ; feuille : 20,5x30,5cm, une feuille.
Portrait photographiqueen noir et blanc de Nicolas de Staël par Denise Colomb, en tirage argentique d'époque. Petite déchirure en partie inférieure de la feuille, sans atteinte à la photographie. Spectaculaire cliché du peintre en grand format, les yeux perdus dans le lointain, dans son atelier de la rue Gauguet à Paris,un an avant sa fin tragique. Assis devant une de ses oeuvres, on aperçoit les amoncellements de toiles du peintre dans la pièce derrière lui. La photographie fut prise par Denise Colomb,grande portraitiste du XXe siècle, qui immortalisa Antonin Artaud, Giacometti, Picasso, Soulages et Miro. "On dit que son atelier était une caverne de potier paléontologique. A sédiments, couches du paléo... Un creuset, un grand puits matériel, criblé de pigments, de pinceaux, de pots de truelles plâtrées, de seaux, de chiffons. Dans une forte odeur de térébenthine. Un atelier gorgé, souillé, empanaché de crasses, des pâtes de la maçonnerie. Son envergure, sa force, sa hauteur de hunier s'élançent dans ce cratère de Vésuve. Légèrement déboussolé, il incline, il verse. Peindre, pour lui, c'est être en proie au vertige, à des bifurcations imprévisibles d'accident, de hasard." (Patrick Grainville,Les Yeux de Milos). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 1990, photographie : 18x26,5cm ; feuille : 23,9x30,3cm, une feuille.
Portrait photographiqueen noir et blanc de Nicolas de Staël par Denise Colomb, en tirage argentique réalisé par la photographe dans les années 1990 d'après ses négatifs de 1954.Signature manuscrite de Denise Colomb en angle inférieur droit du cliché. Au dos du cliché mention "N. D. S. 1954" et envoi autographe signé de Denise Colomb adresséau photographe Serge Tamagnot : "Pour mon cher ami Serge/ Le roi des collages. Denise Colomb 7-5-2000 Bon anniversaire à Serge, je penserai à toi le 9 mai." Très beau cliché du peintre en grand format, les yeux perdus dans le lointain, dans son atelier de la rue Gauguet à Paris,un an avant sa fin tragique. Assis devant une de ses oeuvres, on aperçoit les amoncellements de toiles du peintre dans la pièce derrière lui. La photographie fut prise par Denise Colomb,grande portraitiste du XXe siècle, qui immortalisa Antonin Artaud, Giacometti, Picasso, Soulages et Miro. "On dit que son atelier était une caverne de potier paléontologique. A sédiments, couches du paléo... Un creuset, un grand puits matériel, criblé de pigments, de pinceaux, de pots de truelles plâtrées, de seaux, de chiffons. Dans une forte odeur de térébenthine. Un atelier gorgé, souillé, empanaché de crasses, des pâtes de la maçonnerie. Son envergure, sa force, sa hauteur de hunier s'élançent dans ce cratère de Vésuve. Légèrement déboussolé, il incline, il verse. Peindre, pour lui, c'est être en proie au vertige, à des bifurcations imprévisibles d'accident, de hasard." (Patrick Grainville,Les Yeux de Milos). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris s.d. (circa 1954), photographie :17,3x12,2cm ; feuille : 24x18,2cm, une feuille.
Photographie de l'atelier de Nicolas de Staël par Denise Colomb, en tirage d'époque. Petite trace de rouille au coin supérieur droit. Beau cliché de l'atelier du peintre, au 7 de la rue Gauguet à Paris, prise un an avant sa fin tragique. On peut apercevoir sa palette ainsi que deux de ses toiles : une issue de sa célèbresérie d'une vingtaine d'huiles intituléeFleurs, réalisée de1952à1953,ainsi qu'une composition abstraite sur la droite. La photographie fut prise par Denise Colomb,grande portraitiste du XXe siècle, qui immortalisa Antonin Artaud, ainsi que les artistes Giacometti, Picasso, Soulages et Miro dans leurs ateliers. "On dit que son atelier était une caverne de potier paléontologique. A sédiments, couches du paléo... Un creuset, un grand puits matériel, criblé de pigments, de pinceaux, de pots de truelles plâtrées, de seaux, de chiffons. Dans une forte odeur de térébenthine. Un atelier gorgé, souillé, empanaché de crasses, des pâtes de la maçonnerie. Son envergure, sa force, sa hauteur de hunier s'élançent dans ce cratère de Vésuve. Légèrement déboussolé, il incline, il verse. Peindre, pour lui, c'est être en proie au vertige, à des bifurcations imprévisibles d'accident, de hasard." (Patrick Grainville,Les Yeux de Milos). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris s.d. (circa 1954), photographie :17,3x12,2cm ; feuille : 24x18,2cm, une feuille.
Photographie de l'atelier de Nicolas de Staël par Denise Colomb, en tirage d'époque. Admirable détail de l'atelier du peintre, au 7 de la rue Gauguet à Paris, pris un an avant sa fin tragique. La photographe a mis en opposition la palette de l'artiste et ses nombreux pinceaux, avec le bois de chauffage sur le même plan. Au second plan, on aperçoit une de ses toiles issue de sa célèbresérie d'une vingtaine d'huiles intituléeFleurs, réalisée de1952à1953. La photographie fut prise par Denise Colomb,grande portraitiste du XXe siècle, qui immortalisa Antonin Artaud, ainsi que les artistes Giacometti, Picasso, Soulages et Miro dans leurs ateliers. "On dit que son atelier était une caverne de potier paléontologique. A sédiments, couches du paléo... Un creuset, un grand puits matériel, criblé de pigments, de pinceaux, de pots de truelles plâtrées, de seaux, de chiffons. Dans une forte odeur de térébenthine. Un atelier gorgé, souillé, empanaché de crasses, des pâtes de la maçonnerie. Son envergure, sa force, sa hauteur de hunier s'élançent dans ce cratère de Vésuve. Légèrement déboussolé, il incline, il verse. Peindre, pour lui, c'est être en proie au vertige, à des bifurcations imprévisibles d'accident, de hasard." (Patrick Grainville,Les Yeux de Milos). - Photos sur www.Edition-originale.com -