Editions Du Grenier Paris 1927 In-4 carré ( 290 X 230 mm ) de 86 pages, demi-vélin ivoire à la bradel à coins, dos lisse. Reliure artistiquement décorée à la main à la gouache dans le plus pur style "Art Nouveau" ( Signature de l'artiste illisible ). Premier tirage des 11 dessins inédits par Antoine BOURDELLE, José CLARA et GRANDJOUAN. Une reproduction photographique de Isadora DUNCAN et 3 fac-simile. Manuscrits inédits et textes communiqués par Ch. Dalliès, Georges Delaquys, Fernand Divoire et Mario Meunier. Edition autorisée par Raymond DUNCAN. Edition Originale, tirage limité à 795 exemplaires numérotés, 1 des 30 sur Hollande avec une suite des illustrations sur pur-fil Lafuma ( N°23 ). Agréable exemplaire dans une jolie reliure peinte originale enrichi d'un bel envoi autographe signé de Raymond DUNCAN à Louis VIRARD.
Paris, Editions du Grenier, 30 dcembre 1927. In-4, broché, couverture de couleur gris-bleuté rempliée, 86 pp.
Edition originale. Tirage à 795 exemplaires numérotés. Un des 725 n° sur pur-fil Lafuma, n° 327. 16 planches illustrées hors-texte (dont fac-similé de fragment de lettre adressée par Isadora Duncan au pianiste Hener Skene et à Clément Vautel). Bel exemplaire. Photos sur demande.
GALLIMARD .. 1969.. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 362 pages. 1ère de couverture illustrée en noir et blanc. Note au stylo sur la page de titre.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Traduit de l'anglais par Jean Allary. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Gallimard (1969) - In-8 broché de 368 pages - Couverture illustrée d'un portrait-photo en noir et blanc de Arnold Genthe - Traduit de l'américain par Jean Allary - Préface de Jean-Louis Curtis - Exemplaire en excellent état Préface d'Isadora Duncan - Exemplaire en excellent état
Gallimard. 1998. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos plié, Papier jauni. 446 pages. Légères traces de salissures sur les plats.. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Trad. de l'anglais par Jean Allary. Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Gallimard. 1928. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos plié, Papier jauni. 382 pages. Mors fendus. Annotation au crayon de papier en page de garde.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Trad. de l'anglais par Jean Allary. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
1912 Edition de l'auteur ( avec le concours de son ami l'imprimeur nantais Charles Boite ), 1912, in folio ( 50x38cm ), reliure pleine basane verte, l'ensemble des feuillets montés sur onglet, les gardes et les contreplats de couverture estampés en relief révélant le véritable titre de l'ouvrage " Les Danses d'Isadora Duncan ", la pièce de titre et un fac-similé autographe par Isadora Duncan extrait des " Bacchantes " d'Euripide puis les 25 planches ( dont une dépliante ) de différentes couleurs imprimées sur papier Roma des papeteries FABRIANO, sur papier Vergé et sur papier à fort grammage, tirage unique à 50 exemplaires ( on connait le véritable tirage de cet ouvrage lors de la sortie en 1923 chez Charles Boite de " Nantes-La-Grise, ses Vingt-Huit Ponts " par GRANDJOUAN, il est indiqué " du même auteur : ISADORA DUNCAN ( 1912) 25 reproductions de pastels, 50 exemplaires, reste 3 exemplaires à 600fr " ), reliure un peu usagée : plats et dos frottés, coiffes arasées, quelques rares et légères déchirures superficielles en périphérie de quelques planches ainsi et traces d'insolation aussi en bordure de quelques planches.Exemplaire accompagné de deux dessins originaux, non signés, d'Isadora DUNCAN par Jules GRANDJOUAN : " portrait au profil " crayon d'un format 158x158mm et un pastel d'un format 270x155mm.
Ouvrage ayant appartenu à la famille GRANDJOUAN, il est joint une lettre originale d'Henri GRANJOUAN ( fils de Jules GRANDJOUAN ) datée du Mardi 7 Octobre 1958 avec ce texte " Mon cher Tod, Cet album des danses d'Isadora Duncan est resté quarante ans dans le salon où mère Bettina ( Bettina Simon femme de Jules GRANDJOUAN) habitait. Nous avons pensé Vige ( Edwige GRANDJOUAN fille de Jules GRANDJOUAN ) et moi que tu aurais plaisir à le garder, affectueusement, Henri " .