LEBRETON, Théodore-Éloi - Rouen, 1er décembre 1803/ 12 décembre 1883 - Poète, chansonnier et bibliographe autodidacte
Reference : 23468
ROUEN, A. Le Brument, 1865 - In-8 - Broché (dos cassé) - 360 pages
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Paris, Chez Delaunay/Lefuel, 1810, In-douze, seconde partie : X-276 pp,reliure demi veau,dos lisse titre,filets dores sur les plats,frontispice grave,texte frais
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Paris. Delaunay. Léopold Collin. 1810. In-16 (86 x 135mm) dos lisse basane vert foncé, gardes marbrées, 2ff., 228 pages. Petite tache sur une tranche, rares rousseurs assez bon exemplaire.
LITTERATURE.,EDITIONS|ORIGINALES.,BEAUX ARTS.,CHANSON.,HISTOIRE.,XIX° SIECLE.,LIVRES ANCIENS.,LIVRES XIX°.
,Paris, Le Bailly Libraire-éditeur sans date, circa 1870, 108 pp., 1 vol. in 16 br. couverture défraîchie, petites déchirures marginales sans manque, quelques tâches au plat inférieur, pages jaunies, en l'état.
roman presque policier. Poème. Préface d’André MILE. In 12 broché, couverture illustrée. Faux-titre, titre, 142 pages, 1 page de table des chapitres. 12 illustrations hors-texte de l’auteur. Les Humoristes Liège 1942. Edition originale.
Louis-François Nicolaïe dit Clairville (1811-1879), comédien, poète, chansonnier.
Reference : 006918
Louis-François Nicolaïe dit Clairville (1811-1879), comédien, poète, chansonnier. Chanson A.S., 1er octobre (ca.1873), 2p in-8. « Couplets chantés à la goune (?) - Banquet du 1er octobre - présidence d'Ambroise ». 40 vers composés vraisemblablement à l'occasion d'une élection à une société bacchique. Ancienne collection JL Debauve. [233]
Louis-François Nicolaïe dit Clairville (1811-1879), comédien, poète, chansonnier.
Reference : 006917
Louis-François Nicolaïe dit Clairville (1811-1879), comédien, poète, chansonnier. L.A.S., 13 mai 1869, 1p in-8. Il fixe un rendez-vous et transmet ses amitiés à Noriac. Ancienne collection JL Debauve. [233]
Librairie Hachette, 1934, collection "Figures du Passé", portrait en frontispice, broché, partiellement coupé, 288pp. bon état +, 230x155 . (p4)
Phone number : 33 05 49 26 70 36
2 pages in8 - bon état -
Coolus lui a dit qu'il souhaitait faire partie du diner du Quatrain et cela le réjouit - Le réglement veut qu'il envoie 4 quatrains "qui seront lu anonymement au diner"...- Les "notes" obtenues décident de l'admission "en toute indépendance des votants" - Jacques DEVAL (ou Jacques Boularan) (1866 - 1972) était un dramaturge, scénariste et réalisateur français par ailleurs père de Gérard de Villiers -
( MANUSCRIT AUTOGRAPHE SIGNÉ) - MONTOYA Gabriel (1868-1914), chansonnier, auteur dramatique, docteur en médecine.
Reference : 11420
Don Raphael . Comédie en Trois 2 Actes En Vers tirée du Gil Blas de Santillane par M.M.Montoya (1897-1898). Manuscrit petit in folio cartonné, dos muet de toile noire; environ 60 pages autographes non chiffrées avec quelques ratures et corrections, (surtout au 2e acte), un passage du 1er acte biffé au bleu, inscriptions dans le texte au bleu. Les 2 actes sont respectivement de 19 et 13 scènes. Tout d'abord prévu en 3 actes, Montoya a rayé dans le titre "Trois" qu'il a remplacé par "2". 2 pages sont entièrement refaites et recollées sur les anciens textes. L'avant dernière - page (parties des scènes 12 et 13) est ronéotée. Le reste et donc presque totalité du manuscrit est autographe mais non signé. Au verso du dernier feuillet Montoya a pris des notes au crayon pour des conférences à venir. Don Rafael, comédie en 2 actes en vers (d'après Lesage), parut chez Fasquelle en 1912 ( in-18 de 72pp). / Damoiselle Berthe pièce en I acte en vers par Gabriel Montoya ; 34 bd de Clichy. ( adresse du cabaret des 4'Z'arts). Manuscrit autographe signé de 27 pages petit in folio. Un acte de VIII scènes. La Pièce s'appelait initialement Le Chevalier, titre rayé et remplacé par " Damoiselle Phèdre" . Couverture de papier gris Titre manuscrit à l’encre et rectifié au bleu d’imprimerie. Il s’agit d’une mise au propre par l’auteur sans rature, sauf sur la couverture où on a rectifié au bleu le titre. Dans le texte on a souligné ou encadré au bleu quelques rares mots et fait quelques annotations au crayon en marge. Ici le manuscrit est signé. Le Baiser de Phèdre, pièce en 1 acte, en vers... La pièce fut donné à la Comédie française le 21 décembre 1905 et parut chez Fasquelle en 1906 ( in-12 de 29pp.). Pour les deux pièces les titres ont légèrement changé lors de leur parution.
Cartonnage frotté pour Don Raphael, et petite tache brune en marge des feuillets, la couverture factice de Damoiselle Phèdre est salie, manque de papier angulaire au feuillet de titre, sans perte de lettres.( Reu-Bur)
( MANUSCRIT AUTOGRAPHE SIGNÉ) - MONTOYA Gabriel (1868-1914), chansonnier, docteur en médecine.
Reference : 10738
Manuscrit de 274 pages in folio (chiffrées de 1 à 310 sans manque), dans lesquelles ont été insérés, pour être publier dans l’ouvrage plusieurs coupures de presse, des programmes originaux, chansons, et une rare affiche de la tournée de 1897 à Valence avec au verso des biographies des participants. Nombreuses ratures, corrections, coupures. Cet important manuscrit retrace la tournée de la troupe du Chat Noir en 1897 et la mort de Rodolphe Salis survenu en mars 1897. Il a été publié chez Flammarion, en 1898, sous le titre : "Le roman comique du Chat Noir", dont on joint un exemplaire: volume in-12° broché, de (4), 326pp. Couverture illustrée en couleurs et portrait –charge de Montoya par Léandre en frontispice, tiré en noir. Exemplaire de Waldeck Rousseau, billet dactylographié d’envoi de l’ouvrage, sous la forme d’un quatrain de Gabriel Montoya à Waldeck- Rousseau.
Chronique au jour le jour de la tournée en province, le départ de Paris, se fit le 5 janvier 1897 et le retour le 20 mars 1897. Par cette tournée, on espérait récupérer assez de trésorerie pour le déménagement du cabaret montmartrois dont le bail rue Victor-Massé n’était pas renouvelé. Cette chronique est rédigée sous forme épistolaire, Montoya, s’adressant à une cousine, auprès de qui il aurait retrouvé les lettres envoyées lors de la tournée. Tout d’abord l’annonce du départ prochain : “c’est la première fois que le Chat Noir quitte Montmartre en pleine saison d’hiver. Tous les cabarets de la Butte vont se réjouir…“. La troupe se dirige par étape vers l’oasis de Monaco… Montoya évoque le répertoire qu’ils vont présenter, donne copie des “biographies fantaisistes“ des camarades rédigées par Salis, Alphonse Allais, Goudezki (Edouard Goudez), Edmond Deschaumes (qui fut des Hydropathes), le journaliste Dominique Bonnaud (qui relata plusieurs anecdotes sur Salis et le Chat Noir et Montoya pendant la tournée de 1895), et raconte leur départ loufoque de la gare de l’Est, décorés de rubans et de rosettes de divers ordres étrangers, pour mieux impressionner les provinciaux… Puis c’est Troyes, Chalon-sur Saône, Roanne, Dijon, Lyon, avec les souvenirs, incidents divers… Montoya se remémore ses débuts, alors qu’il faisait ses études de médecine : “Amoureux de poésie , de musique et d’art dramatique {…}, hanté par Baudelaire, par Richepin, et par Rollinat, dont les strophes musicales me poursuivaient comme sd’hallucinant modèles, je passai des nuits à rimer des sonnets et des rondels indignes à coup sur leurs brillants inspirateurs, mais qui me furent un salutaire apprentissage de cette orfèvrerie qu’est la composition poétique…“. Ils passent ensuite à Avignon, Aix, Marseille et Nice, nous livrant anecdotes amusantes et critiques très parisiennes ponctuées par des bribes de chansons et de dialogues… Le séjour à Monte-Carlo est marquée par l’interdiction du spectacle pour cause d’ “allusion insincère“ dans un “ boniment“ de leur “ Barnum“. Ce n’est pas simple de se tirer d’affaire auprès des autorités françaises et monégasques, mais ils triomphent ensuite sous les rires de la Princesse Alice… Montoya s’attarde longuement sur l’intéressante personnalité du savant Prince Albert, avant de poursuivre le récit de leur périple : Nimes, Toulouse, Tarbes, Agen, Perpignan, Châteauroux, Bourges, un retour et bref arrêt à Paris pour prendre quelque repos, puis c’est de nouveau, Versailles, Châteaudun… Cependant les forces de Salis s’épuisent et à Angers il est obligé d’abandonner le spectacle … De retour à Paris, Montoya raconte les obsèques de Jules Jouy (27 avril 1855- 17 mars 1897), et enchaîne sur la nouvelle qu’ils viennent tous d’apprendre au retour du Père Lachaise, la mort de Salis, le 20 mars 1897. Montoya se rend à Chatellerault, aussitôt, recueille les détails des derniers jours du grand Rodolphe Salis, et trouve tout de même, matière à rire dans son château : “pas mal je pense, pour un jour d’enterrement“. FICHE DÉTAILLÉE SUR DEMANDE.
S.l., s.d. (vers 1750) in-12, titre, 103 pp., couvertes d'une écriture moyenne, relativement lisible, des passages biffés, 20 ff. vierges, [16] ff. n. ch. de table alphabétique des chansons, vélin souple de remploi à recouvrement.
Très agréable recueil de badinages aimables et légers sur les deux thèmes inséparables du vin et de l'amour (ou de l'amitié), dont la brève pièce suivante donnera une idée : "S'il me venoit un amant, / de bonne mine, / l'enverrais-je à ma voisine ? / Non vrayment. / S'il me disoit, je t'aime, / je luy dirois de mesme, / sans tant de façons, / sans tant de raizons, / sans chercher d'excuse, / sans trouver de ruze. / Tu veux de moy, / je veux de toy". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète & Michel-Nicolas Balisson de Rougemont (1781-1840), journaliste, auteur dramatique.
Reference : 012385
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète & Michel-Nicolas Balisson de Rougemont (1781-1840), journaliste, auteur dramatique. P.A.S. par les deux, 18 juin 1808, 1p in-4. Contrat écrit et signé par Rougemont et contresigné par Désaugiers concernant la vente de leur vaudeville « Monsieur et Madame Denis » au libraire Barba. Cette vente a lieu quelques jours avant la création de la pièce au théâtre des Variétés le 23 juin et son montant varie suivant le succès de la pièce. Barba publiera bien la pièce qui fut un succès. Elle sera reprise par Offenbach pour son opéra comique en 1862, sur un livret de Laurencin et Michel Delaporte. Très beau document. [161-2]
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète.
Reference : 012391
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète. L.A.S., Paris, 16 janvier 1826, 1p in-4. Importante lettre pour l'organisation de l'assemblée générale annonçant aux auteurs les modifications faites au traité du Vaudeville du 24 décembre 1813. En effet, malgré une mauvaise gestion du théâtre entre 1816 et 1822 (il perd les meilleurs éléments au moment de l'ouverture du Gymnase), il était redevenu directeur du Vaudeville en 1825, jusqu'à sa mort. Il écrit donc ici à Prin, agent d'auteurs, afin de lui demander une date. Prin note : « répondu le 19 que l'assemblée aura lieu jeudi 19 du courant chez moi ». La page intérieure indique la liste des auteurs convoqués pour cette assemblée générale. Cette liste est de la main de Prin. On y retrouve notamment Etienne Arago, Eugène Scribe, Montigny, Rougemont (avec qui Désaugiers co-écrivit plusieurs pièces), Armand Gouffé, etc. Très beau document. [161-2]
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète.
Reference : 012392
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète. L.A.S., 6 avril 1826, 3p et demi in-8. Très longue lettre à l'écrivain Théodore Anne (1797-1869). Il est question de la réception de sa pièce « L'orpheline et l'héritière », que Désaugiers nomme ici « L'héritière et l'orpheline ». Cette pièce, co-écrite avec Henri de Tully, sera jouée l'année suivante au Vaudeville. Désaugiers fait ici plusieurs remarques sur l'écriture de la pièce. Il mentionne enfin la reprise d'Alfred. Il s'agit ici de « Alfred ou la Bonne Tête !! , pièce co-écrite avec Achille d'Artois et qui fut créée en 1824. Belle lettre. [161-2]
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète.
Reference : 012393
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète. L.A.S., 16 mars 1827, 1p in-4. A Armand Séville (17..-1847). Lettre difficile à lire : « Mon cher Séville, Je me suis laissé dire qu'un billet pour Le hussard [de Felsheim] vous serait agréable ; il me l'est beaucoup plus encore de vous l'offrir et je vous en adresse un de balcon pour samedi avec des remerciements bien sincères pour les articles bienveillants dont vous étayez chaque matin le succès brillant que nous avons obtenu. Je n'oublie pas la liquidation et je la placerai au premier jour. Ne nous oubliez pas non plus et tout ira bien. Tibi. Désaugiers ». Le hussard de Felsheim est une pièce collective de Villeneuve, Dupeuty et Saint-Hilaire créée au Vaudeville le 12 mars 1827. La liquidation est une pièce de Séville co-écrite avec Benjamin Antier et Louis Ponet qui fut créée le 17 novembre 1826. Désaugiers promet donc ici une reprise de la pièce. Beau courrier. [161-2]
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète.
Reference : 012394
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète. L.A.S., 11 mai [ca.1818], 1p in-12. A Thomas Sauvage (1794-1877), écrivain, directeur de l'Odéon en 1827-1828. « Mon cher Sauvage, j'ai tardé quelques jours à vous répondre parce que je désirais vous donner un jour fixe ou le plus rapproché possible. Instruit par une réponse que j'ai sollicitée [passage illisible] qui devaient lire jeudi 16 ne sera pas prêt, je vous offre son tour. Vous voyez donc bien qu'il n'y a pas eu de négligence de ma part mais au contraire des [?] Et de l'amitié. Tout à vous. Désaugiers » Sympathique lettre au jeune Sauvage, encore nommé « Sauvage fils » sur l'adresse. Il s'agit d'une de ses premières pièces puisque seules trois furent jouées au Vaudeville : Arlequin (créée le 18 octobre 1817), Une aventure de Faublas (créée le 19 février 1818) et Le Portefeuille (créée le 28 décembre 1819). Sauvage avait donc à peine plus de 20 ans. [161-2]
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète.
Reference : 012395
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète. L.A.S., 27 juillet, 1p et demi in-12. Au peintre Jean-Henry Marlet (1771-1847). « Désaugiers présente mille amitiés à Monsieur Marlet et allant à la campagne d'où il craint de ne pouvoir revenir demain à l'heure convenue pour la séance, il le prie de ne l'attendre que mardi. Monsieur Marlet peut compter sur l'exactitude de son modèle qui sera après à 15 heures dans le jour qui lui conviendra. Compliments et amitiés. Désaugiers ». Il existe donc probablement un portrait de Désaugiers par Marlet mais nous n'en avons pas trouvé trace. [161-2]
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète.
Reference : 012387
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète. Manuscrit autographe, sd, 1p in-4. Petite pièce de 21 vers commençant par : « Oui j'aime Arlequin, / Sa grâce enfantine / Son esprit badin. ». Ce poème semble inédit. [161-2]
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète.
Reference : 012388
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète. Manuscrit A.S., sd, 3p un quart in-4. Longue chanson « Le froid et le chaud » sur l'air du vaudeville de M. Blaise. Cette chanson a été publiée, peut-être posthume car nous n'avons pas trouvé de publication du vivant de Desaugiers. Elle est composée de huit huitains. [161-2]
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète.
Reference : 012384
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète. Portrait gravé, tirage sur chine contrecollé, d'après un dessin d'Achille Deveria et gravé par J.M. Fontaine. 21*15cm environ. [161-2]
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète.
Reference : 012389
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète. P.A.S., 5 décembre 1810, 1p in-8 oblong. « Reçu de l'administration du théâtre des variétés la somme de cent trente neuf francs pour supplément des vingt premières représentations de la Chatte merveilleuse dont quittance. A Paris ce 5 décembre 1810. Désaugiers ». Cette pièce, co-écrite avec Gentil de Chavagnac, fut créée le 12 novembre 1810, et fut un succès. Il semble que l'opéra-comique d'Albert Grisar sur un livret de Dumanoir et d'Ennery s'en soit inspiré. [161-2]
[Marceline Desbordes Valmore] Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète.
Reference : 012257
Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers (1772-1827), chansonnier, poète. Poème A.S., sd, 1p 1/4 in-4. Poème titré « A Madame Desbordes Valmore », divisé en trois huitains et portant à la fin « par son admirateur Désaugiers ». Peintre et Poëte tour à tour ; Simple et touchante Marceline Apollon au nom de l'amour T'a prêté sa Lyre divine. Tout céda au prestige charmant Des chants plaintifs que tu soupires ; Organe pur du plus doux sentiment, Tu le peins comme tu l'inspires. Ce poème est probablement écrit vers 1821 alors que Marceline habite Lyon. On connaît plusieurs couplets de Désaugiers qui lui sont consacrés à cette époque. Le document est passé aux enchères le 22 novembre 1989 (vente à Drouot, n°70) puis le 28 juin 2004 (vente Piasa, collection Jean Darnel, n°125). Il proviendrait aussi de la collection Henri Chenu. Les poèmes de Désaugiers sont peu communs. [226]
Marius Audran (1816-1887), chansonnier, ténor. L.A.S., mardi 18 février [après 1877 ?], 3p in-12. Amusante lettre qu'il signe « Audran le Papa », répondant à une lettre adressée à son frère, « Mr mon cadet » qui est parti à Paris où « il était demandé par dépêche ». « Edmond aussi est à Paris : je reste seul !..., un, deux. etc etc ». Edmond Audran commença vraiment sa carrière à Paris à partir de 1877, cette lettre est donc probablement écrite après. [279]
Couverture souple. Broché. 78 pages.
Livre. Editions Raoul Solar, Vers 1950.