AMICALE DE RAVENSBRUCK, ASSOCIATION DES DEPORTES ET INTERNEES DE LA RESISTANCE
Reference : 26780
(1965)
1965, nrf Gallimard, in-8 demi-cuir de 350 pages, collection «Documents «, gardes marbrées, titrage doré, dos à 4 nerfs, signet, couverture d'origine conservée (illustrée en couleurs), photographies noir et blanc hors-texte. Grand témoignage collectif sur la déportation des femmes. | Etat : Bon état général, page de titre détachée (Ref.: KH5004)
nrf Gallimard
Gallimard. 1965. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en tête abîmée, Intérieur acceptable. 350 pages - couverture contrepliée - rousseurs sur les plats - coins frottés - tampon sur la page de titre.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
AMICALE de RAVENSBRÜCK et ASS. des DÉPORTÉS et INTERNÉS de la RÉSISTANCE.
Reference : AUB-2738
(1965)
Paris, Denoël/Gonthier 1965. Bel exemplaire broché, couverture ornée d'éd., 390 pages avec annexes.
France-Empire 1972 2 volumes. In-12 19 x 14 cm. Reliures plein chagrin noir, dos lisses, 318-318 pp., bibliographie, table des matières. Exemplaires en très bon état, élégamment reliés.
Vol. 1 : Auschwitz - Vol. 2 : Ravensbrück Très bon état d’occasion
Paris, France-Empire, 1973. in-12, 316 pp., broche, couv., jaquette ill. plast.
Bel exemplaire. [DV-18]
France Empire Paris, France empire 1972. In-8 broché couverture illustrée de 318 pages. Cachet de bibliothéque. Bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
P, France Empire, 1972; in-8, br. - 318pp. Jaquette illustrée. Bon état.
Moulins, Crépin-Leblond, 1946 ; in-12, br. - 295pp. Couverture illustrée. Légèrement défraîchi, état convenable.
Préface du capitaine de Vaisseau Jean L'Herminier. De retour des camps de Ravensbrück et de Holleischen, l'auteur donne le journal de sa captivité. Il s'agit d'un des premiers récits sur les camps de concentrations publiés juste après la guerre. Il sera complété d'une suite : "Carrefour en Bohème..."
Moulins, Crépin-Leblond, 1946 ; in-12, br. - 295pp. Couverture illustrée. Bon exemplaire.Légèrement défraîchi, état convenable.
Exemplaire courant de la première édition, avec un bel envoi autographe à Jaqueline [Débordes]. Préface du capitaine de Vaisseau Jean L'Herminier. De retour des camps de Ravensbrück et de Holleischen, l'auteur donne le journal de sa captivité. Il s'agit d'un des premiers récits sur les camps de concentrations publiés juste après la guerre. Il sera complété d'une suite : "Carrefour en Bohème..."
Lyon, M. Audin, 1946 ; in-8 carré, broché ; 230 pp., (1) f. (achevé d'imprimer) ; 1 illustration en frontispice, quelques illustrations in-texte ; couverture blanche imprimée rouge et noir.
Envoi manuscrit de l'auteur au Général Seive. Exemplaire en bel état et en partie non coupé.
Phone number : 06 60 22 21 35
Heimdal, 1992, in-8 br., 181 p., illustrations photos, fac-similés, très bon état.
Monique Corblet de Fallerans (1923 - 2012), fille du résistant Philippe Livry-Level, est arrêtée le 12 juillet 1944 alors qu’elle tente une mission de renseignement auprès des lignes allemandes en Normandie. Emprisonnée à Caen, puis à Fresnes, elle est déportée à Ravensbrück le 17 août 1944 puis transférée au Kommando de Torgau. Elle s’échappe d'une marche de la mort au mois d'avril 1945. Ce livre apporte un témoignage fort sur la déportation, sur la guerre et la condition humaine.
DUFOURNIER Denise - Maurice Schumann de l'Académie Française (préface de)
Reference : 98486
(1992)
1992 Julliard, collection témoignage - 1992 - petit In-8 broché - 174 pages
Bon état
[GUERRE 39/45] - AMICALE DE RAVENSBRUCK, ASSOCIATION DES DÉPORTÉES ET INTERNÉES DE LA RESISTANCE -
Reference : 202304939
Paris, Gallimard, 1996; in-8, 350 pp., br. Dédicacé , par l'amicale de ravensbruck et l'association des déportées et internées de la resistance.
Dédicacé , par l'amicale de ravensbruck et l'association des déportées et internées de la resistance.
1989 Perrin Terres des Femmes, 1989, 346 pages, in 8 broché, état d'usage, exemplaire de bibliothéque (tampons), usures et frottements sur les bords des plats, coins cornés.
Paris, Calmann-Lévy, 1997. 15 x 24, 251 pp., broché, état neuf.
traduit de l'anglais par Catherine David.
Paris, Union Générale d'Editions/10-18, 1996. 11 x 18, 317 pp., broché, très bon état.
"traduit du tchèque par Claudia Lancelot; textes réunis et présentés par Dorothea Rein."
Editions du Seuil 2000 In-8 broché 24 cm sur 15,3. 339 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
L'Espoir Rhodanien - Organe hebdomadaire des mouvements de la Résistance ActiveFondateur : M. Cellard à Loire (Rhône). Chef de la Résistance
Reference : 55329
2e année - N° 36 - Samedi 2 juin 1945 - "Ce journal est National et non politique" - Saint-Romain-en-Gal et 4, rue Jean-Ligonnet. Givors - Journal illustré - 4 pages
bon état (petites déchirure sur les bords du "dos", sans manque)
France-Empire, 1968, pt in-8°, 254 pp, avant-propos de Geneviève Anthonioz de Gaulle, 32 pl. hors texte de dessins originaux de Jeannette L'Herminier, broché, jaquette illustrée, bon état, envoi a.s. de Catherine Roux « À notre chère sœur de captivité ... qui a connu le pire de notre épreuve à Ravensbruck... » et dédicace a.s. de Jeannette L'Herminier (Prix littéraire de la Résistance 1968)
Souvenirs de déportation à Ravensbrück et à Holleischen. Agée de 24 ans lors de son arrestation, Catherine Roux –matricule 35 282 – fut marquée du "triangle rouge" de ceux qui faisaient de la résistance... — "Voici le livre du courage. Pas de la peur, et Dieu sait pourtant qu'elles lui étaient promises ces femmes traquées, arrêtées, torturées, jetées dans les prisons, puis franchissant le seuil de l'univers concentrationnaire parmi les coups, les cris, les aboiements des chiens... Certaines d'entre elles ont rejeté la peur, ne lui ont même pas livré leurs songes. « Dévêtue, battue, piétinée, cravachée, échevelée... », Catherine Roux entend les agents de la Gestapo lui assurer « qu'elle est juive, qu'ils le prouveront scientifiquement », et de s'armer d'un mètre-ruban de couturière pour mesurer l'écart entre ses deux yeux. Innocente et douce, elle interroge: « Il paraît que les Juifs ont des écailles sur le ventre, en plus ? » Catherine sourit après avoir manqué son suicide avec une « épingle anglaise, arme dérisoire ». « C'est dit je ne mourrai pas cette nuit. » C'est qu'elle est un « vrai petit coffre-fort bourré de secrets »... Ne portait-elle pas sur elle, au moment de son arrestation, le Plan d'insurrection pour le jour du débarquement ? (...) A Ravensbrück, Catherine découvrira le pire : la férocité dans le cœur de certains hommes et elle rencontrera avec épouvante ses sœurs dans l'univers concentrationnaire : leurs yeux sans regard, leurs lèvres sans sourires, leurs visages devenus inhumains. C'est l'heure de vérité où le courage n'affronte plus seulement la peur, mais le désespoir. Il n'est pas une d'entre nous qui, ayant dû traverser ce feu, n'en ait pas gardé l'âme brûlée. (...) De la tendresse, il y en a beaucoup aussi dans les dessins de Jeannette l'Herminier qui illustrent « Triangle Rouge ». Dans notre Block de quarantaine – nous avons fait partie du même convoi des 27.000 – elle croquait nos silhouettes avec un méchant crayon et quelques fragments de papier ou de carton « récupérés »..." (Geneviève Anthonioz de Gaulle, avant-propos)
Seuil, 1988, in-8 br., 468 p., coll. "XXe siècle", nouvelle édition entièrement refondue, un portrait, très bon état.
Suivi de : "Les exterminations par gaz à Ravensbrück" par Anise Postel-Vinay - "Les exterminations par gaz à Hartheim, Mauthausen et Gusen" par Pierre Serge Choumoff
Editions André Bonne, 1945, gr. in-12, 215 pp, illustrations de Johnny, broché, couv. illustrée, 4 feuillets lég. tachés, bon état
Edition illustrée sur beau papier blanc (l'édition courante, publiée en même temps sur un papier plus quelconque, n'est pas illustrée). — "Depuis les tortures de la rue des Saussaies jusqu'aux kommandos de Buchenwald, en passant par le train du 15 août, Ravensbruck et Torgau, c'est l'épopée d'une déportée de la « France combattante », une histoire poignante qui décrit avec une précision terrible les horreurs, les promiscuités, les trahisons et, par dessus tout cela, la solidarité qui unissait toutes les malheureuses déportées. Et cependant cette histoire a aussi des accents de tendresse et des coins de fraîcheur qui en font, en même temps qu'un émouvant documentaire, un véritable roman." (La Gazette des Lettres, 16.02.1946) — "Le récit d'Andrée Carliez Lambert de Loulay (alias Wanda) s'organise en quatre volets. Le premier rapporte son arrestation à Paris dans les premiers jours de juillet 1944. Prise dans le coup de filet qui anéantit son réseau, incarcérée à Fresnes, l'auteure subit des interrogatoires dont elle décrit les scènes de torture (supplice de la baignoire, brûlures de cigarettes). Particulièrement courageuse, elle ne parle pas et est transférée au fort de Romainville où elle retrouve plusieurs camarades de la résistance. Le deuxième volet rapporte le long transfert (sept jours) qui la conduit à partir du 15 août 1944 vers Ravensbrück dans un "cercueil tressautant". Wanda décrit le sort de nombreuses camarades dont elle a le plus souvent modifié les noms. Elle raconte, à travers de multiples anecdotes, la vie du camp (la quarantaine, l'alimentation, le travail), et s'attarde plus particulièrement sur les relations malsaines entre déportées (vols, dénonciations, accusations, etc.). Transférées dans une usine de munitions près de Torgau, Wanda et ses camarades les plus proches organisent le sabotage. Un grave accident lors de la fabrication des obus provoque leur départ. S'ouvre un troisième volet. Les ouvrières ont été transférées à Abteroda (Thuringe). Wanda échappe au travail en devenant infirmière du Kommando et s'attache, aussi souvent que possible, à soulager ses camarades. Particulièrement forte physiquement et psychologiquement, son humour et son tempérament combatif lui permettent d'entretenir le moral de ses amies. Elle n'en est pas moins très éprouvée par son départ dans un nouveau Kommando où elle et ses camarades travaillent à la mine de sable. De plus en plus épuisées, ces femmes se soutiennent pour tenir jusqu'à la libération et entretiennent l'espoir en s'imaginant auprès de leurs compagnons en France, attablées devant des repas rêvés, ou encore en pratiquant la cartomancie. Le 13 avril 1945, elles sont évacuées. Wanda et son amie Yolande s'évadent lors d'une "marche de la mort". Recueillies par des prisonniers de guerre, elles marchent vers les Américains et arrivent à l'hôtel Lutetia, centre d'accueil des déportés à Paris, le 14 mai 1945." (Françoise Passera, « Ecrits de Guerre et d’Occupation » EGO 1939-1945)