Seuil, 1981, fort in-8° carré, 655 pp, plus de 400 illustrations et cartes, 16 pl. en couleurs hors texte, biblio, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état
Par Roger Chartier, Guy Chaussinand-Nogaret, Hugues Neveux, Emmanuel Le Roy Ladurie.
Hachette, 1964, in-8°, 251 pp, biblio, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
Hachette, 1970, in-8°, 248 pp, biblio, broché, couv. illustrée, marques au crayon rouge et bleu, bon état
"Sur la grande révolte des Camisards et sur Cavalier lui-même, des synthèses au moins honorables ont paru, la meilleure étant probablement celle d'A. Ducasse en 1962." (Pierre Goubert, Revue belge de philologie et d'histoire, 1975)
Fayard, 1991, gr. in-8°, 437 pp, 8 pl. de gravures et photos hors texte, biblio, sources, index, couv. illustrée, bon état
Desjonquères, 1993, in-8°, 147 pp, broché, bon état (Coll. XVIIIe siècle)
Noble suédois de culture française, Tessin avait composé un conte en s'inspirant de gravures qu'il avait commandées à Boucher. Duclos, homme de lettres et historien (1704-1772), accomplit la gageure d'en écrire un autre qui s'accorde avec les mêmes estampes. Outre les deux contes, cette édition reproduit les estampes et la critique de l'abbé Fréron.
Desjonquères, 1992, in-8°, 183 pp, édition préfacée, établie et annotée par Laurent Versini, broché, bon état (Coll. XVIIIe siècle)
Roman mondain et roman de moeurs, publié en 1742, relatant les souvenirs amoureux d'un homme de quarante ans. Duclos a su y décrire les démêlés qui opposent et réunissent, d'un bout à l'autre du XVIIIe siècle, le couple inévitable du coeur et de l'esprit.
Paris Firmin Didot 1846 1 vol. relié in-12, demi-chagrin aubergine, dos à nerfs orné de fleurons et d'encadrements dorés, (4) + 425 + (3) pp. (dos passé). Bibliothèque des mémoires relatifs à l'histoire de France pendant le 18e siècle, tome II. Bon exemplaire en reliure d'époque.
Lausanne J. Mourer 1791 2 vol. relié 2 vol. in-16, reliure demi-basane mouchetée havane, dos lisses ornés de filets dorés, pièces de titre et de tomaison, 443 et 515-(3) pp. Edition suisse parue l'année de l'originale française. Dos un peu frottés et petit trou au mors inférieur du tome 1. Intérieur frais et sans rousseurs. Bon exemplaire dans une reliure légèrement postérieure.
Plon, 1900, in-8°, ii-442 pp, un portrait héliogravé en frontispice et un fac-similé d'autographe en 2 planches hors texte, index, broché, couv. lég. salie, bon état. Peu courant
"Née en 1750, fille du petit-fils du Régent, Louis-Philippe, duc de Chartres, et de Henriette de Bourbon-Conti, Louise-Marie-Thérèse-Bathilde d'Orléans fut mariée à vingt ans au duc de Bourbon, qui n'en avait que quatorze, et le duc d'Enghien vint au monde en 1772. Jusqu'en 1789, elle mena, à la Cour ou à Chantilly, la vie qui convenait à son rang. Le merveilleux était alors en vogue, avec Pasqualis, Mesmer, Saint-Martin ; la princesse se prit, pour leurs théories, d'un vif engouement, qui, changeant de nature à la suite de chagrins intimes, se transforma en une sorte de mysticisme religieux où elle était plongée lorsque survint la Révolution. Emprisonnée au fort Saint-Jean, à Marseille, en 1793, elle fut expulsée de France après le 18 fructidor, et se réfugia en Espagne. Elle était détachée du monde, et ses malheurs l'affectèrent peu ; au moment même où les révolutionnaires la persécutaient, elle les jugeait avec une indulgence qui contriste son biographe ; elle apprit avec indifférence la mort de son fils, et Napoléon, qui refusa de la laisser revenir en France, fut, de sa part, l'objet d'une vive admiration. En 1814, elle rentra à Paris, et y mourut le 10 janvier 1822." (Pierre Caron, Revue d'histoire moderne et contemporaine, 1900)
Editions Douin, 2016, in-8°, 657 pp, traduit de l'allemand, biblio, broché, couv. illustrée, bon état. Réédition (texte entièrement recomposé) de l'édition de 1901
Après l’avoir lu et relu ce volume, nous demeurons vraiment surpris de l’érudition considérable du Docteur Duehren et de la variété de cette érudition à la fois si originale, si profonde et si subtile, en tant que science physiopsychologique, et également tour à tour si curieusement historique, si sûre des sources les plus dissimulées de nos nouvellistes et chroniqueurs, si avisée de ce tout ce qui concerne la vie intime des hommes et des oeuvres du siècle dernier. « Qui ne connaît pas le site ne connaît pas la plante » dit un proverbe Persan. Le Docteur Eugène Duehren à voulu connaître dans toute son étendue et sa profondeur le terrain sur lequel a germé et poussa, monstrueuse, cette fleur du mal qui eut nom le Marquis de Sade. Rien de ce qui entoura son habitat, de ce qui le nourrit de son suc vénéneux n’a échappé à cet historien supérieurement avisé. Le livre qu’il nous offre dans ses divisions générales et aussi substantiel qu’il était permis de le rêver ; il dépasse même notre attente. L’ouvrage du Docteur Duehren restera comme la plus dense et la plus définitive publication de physio-psycho-bio-bibliographie qui ait encore été faite sur le divin Marquis. Ce livre laissera un sillage longtemps visible sur cet océan rose et fangeux d’érotologie du dix-huitième siècle français. On y reviendra comme on revient à un magasin de faits généraux et particuliers où l’on est assuré de se pourvoir sérieusement. Ceux qui l’auront lu auront la satisfaction d’y avoir puisé non-seulement sur le cas du Marquis de Sade et les idées que son nom évoque, mais sur tout le dix huitième siècle libertin et non conformiste, comme on disait alors, les renseignements les plus précieux et un aperçu d’ensemble et de détails qu’on ne saurait trop s’étonner de trouver ici réunis.
P., Editions Bossard, 1921, pt in-8°, 163 pp, une gravure sur bois en frontispice, numéroté sur papier vélin pur chiffon, broché, bon état (Coll. des Chefs-d'œuvre méconnus)
Picard, 1970, gr. in-8°, 183 pp, une planche en frontispice (la famille du marquis de Sourches), index, broché, bon état
Picard, 1954, gr. in-8°, 219 pp, 16 pl. de gravures hors texte, biblio, index, discographie, broché, bon état
Editions du Rocher, 2007, gr. in-8°, 649 pp, 12 pl. de gravures et portraits hors texte en couleurs, une carte, biblio, index, généalogies, code secret, broché, couv. illustrée, bon état
Marie Stuart est une incontournable et fascinante figure de la Renaissance. Fille de Jacques V roi d'Écosse et de Marie de Guise, une grande princesse française, Marie naquit en Écosse le 8 décembre 1542. Son père mourut aussitôt. Elle fut sacrée reine d'Écosse à l'âge de neuf mois et reçut trop jeune les plus glorieux hommages. Sa singulière beauté et son orgueil tracèrent les fatales arabesques de cette existence hors du commun. Mariée à François II, fils du roi de France Henri II et de Catherine de Médicis, Marie connaît la gloire et l'enchantement de vivre à la somptueuse cour des Valois. Veuve à dix-huit ans, elle veut à toute force régner sur son lointain royaume: l'Écosse. Seule en une cour de lords calvinistes, avides, hostiles, convoitant sa beauté et surtout sa couronne, Marie va rencontrer la trahison. Elle se mariera deux fois, mal. Elle épouse, au mécontentement de sa cousine, pire ennemie Elizabeth 1ère, le décevant lord Darnley dont elle aura un fils, le futur Jacques I roi d'Angleterre. Subjuguée par le séduisant comte de Bothwell, Marie bascule dans la passion. Bothwell assassine Darnley et épouse Marie Stuart au mécontentement des lords et de la cour. Des péripéties sanglantes suivent ce mariage qui déclenche la révolte des lords. Marie Stuart commet alors la folle imprudence de croire à l'hospitalité de sa cousine Elizabeth 1ère, l'implacable reine-vierge. Elle ignore que vingt années de dures prisons anglaises l'attendent. Elles aboutiront à son procès et à son exécution à Fotheringhay, le 10 février 1587. Son héroïsme devant la mort, la décapitation non sans cruauté, a impressionné même ses ennemis. Elle allait avoir quarante-cinq ans, reine déchue qui avait brodé sa devise en ses années de captivité : En ma fin est mon commencement. Pour ses fervents alliés, elle demeure fidèle à son sacre et fut la martyre de sa foi catholique. Elle est entrée pour toujours dans le mythe.
A Rouen, de l'Imprimerie privilégiée, 1788, in-12, xxxii, 33-351 pp, un portrait en frontispice (gravé par de Larmessin), 6 planches dépliantes hors texte (3 planches sont signées du graveur Le Bas, le « plan de la baye et de la ville de Rio-Janeiro » est dessiné et gravé par A. Coquart, 2 planches ne sont pas signées), glossaire de marine, reliure plein veau granité, dos lisse à roulettes et fleurons dorés, pièce de titre basane carmin (rel. de l'époque), légère épidermure au 2e plat, bon état (Polak, 2855)
Edition rouennaise des mémoires de Du Guay-Trouin (1673-1736) augmentée de son "éloge" par M. Thomas. Ses Mémoires, écrites sur le ton de la simplicité font peu de cas de tourner les événements à son avantage. Il n’hésite pas à faire part régulièrement de ses doutes et de ses faiblesses avec une étonnante sincérité, ce qui est rare dans les mémoires de cette époque, souvent marquées par des formules alambiquées et hyperboliques. L'ouvrage, qui fourmille d’anecdotes, offre aussi un précieux témoignage sur la marine de la fin XVIIe - début XVIIIe siècle, tant sur la navigation, que la vie à bord et le combat naval. On trouve à la fin des mémoires un état des officiers-majors, et des équipages des vaisseaux du Roi, commandés par M. Du Guay-Trouin de 1702 à 1709 et une liste des offciers de marine pour l'expédition de Rio-Janeiro en 1711.
dans le Correspondant, 1913, gr. in-8°, 25 pp, broché, état correct. On trouve dans le même numéro des études sur Comment a disparu l'influence de la France en Egypte (Biard d'Aunet), A l'Armée de Metz : encore Bazaine et Ladmirault (Mis de La-Tour-du-Pin Chambly), La Conférence Molé-Tocqueville : les débuts de nos hommes politiques (Cte de Larègle), Le gachis mexicain : le protectorat des Etats-Unis, etc.
Hachette, 1958, in-8°, 188 pp, une carte, biblio, index, broché, couv. illustrée, discret C. de bibl., bon état
Perrin, 1981, in-8°, 337 pp, 16 pl. de gravures hors texte, généalogie de Louis II de Condé, reliure skivertex vert de l'éditeur, rhodoïd, bon état
Il incarna la guerre et l'orgueil. Il s'inclinait seulement devant le roi, son cousin, haïssait les cardinaux-ministres mais trébucha dans la rébellion où Mazarin l'avait poussé...
London George Routledge, coll. "The Broadway Library of XVIII Century French Literature" 1928 1 vol. relié in-8, cartonnage percaline verte de l'éditeur, tête jaune, 253 pp., quelques planches hors-texte. Mémoires de la femme de chambre de Mme de Pompadour (1713-1801). Sans jaquette. Cartonnage très légèrement sali, sinon en bon état général.
P., Les Editions de France, 1927, in-12, x-290 pp, préface de Pierre Audiat, imprimé et numéroté sur papier alfa, broché, bon état (Coll. Le Temps passé - Choix de Mémoires historiques)
"Sur Louis XV et Mme de Pompadour, le journal de Mme du Hausset, et le livre de Mouffle d'Angerville “Vie privée de Louis XV et principaux événements et particularités de son règne”, paru en 1781, sont l'un et l'autre des sources d'un intérêt capital. En rééditant en un seul volume ce journal et une partie de l'ouvrage de Mouffle d'Angerville, M. Pierre Audiat apporte une précieuse contribution à l'histoire anecdotique de la France. Mme du Hausset, d'origine noble, était première femme de chambre de Mme de Pompadour. Ce mot évoque maintenant des fonctions subalternes, mais il convient de le traduire en langage d'aujourd'hui par « dame de compagnie ». Mme du Hausset fut, en effet, pendant vingt ans, la confidente, l'amie de la marquise. Elle entra à son service alors que la favorite n'était que Mme Lenormand d'Etioles, et c'est elle qui lui ferma les yeux. Mme de Pompadour semble n'avoir pas eu de secrets pour elle ; cela lui eût été, d'ailleurs, difficile étant donné l'intimité dans laquelle elles vivaient. Sans imagination, un peu naïve, sincère et absolument dévouée à sa maîtresse, Mme du Hausset relate fidèlement ce qu'elle a vu et entendu. Elle n'a pas assez de personnalité pour déformer les événements auxquels elle a assisté. Ce qui fait peut-être le principal intérêt de ses Mémoires, c'est la façon dont elle juge Louis XV. Sans s'en douter peut-être, elle dessine, au cours de ces pages, un affligeant portrait du souverain. Elle le montre égoïste, désanchanté, lassé de tout. « Le roi, dit-elle, parlait souvent de la mort et aussi d'enterrements et de cimetières : personne n'était né plus mélancolique. » Quelle rude tâche que de distraire ce souverain morose et de garder son affection ! Les Mémoires de Mme du Hausset, c'est, au fond, le roi vu par les yeux de sa maitresse ; le livre de Mouffle d'Angerville, c'est la maîtresse vue par les yeux d'un courtisan respectueusement attaché à son souverain. Il poursuit la favorite d'une haine tenace. Il la montre froide, uniquement guidée par l'intérêt et l'ambition. Peut-être, comme c'est souvent le cas en matière historique, est-il équitable de faire une moyenne. D'ailleurs, si l'auteur des “Mémoires” et celui de la “Vie privée de Louis XV” se sont montrés partiaux dans leurs jugements, ils n'en ont pas moins été l'un et l'autre de bonne foi. La preuve en est qu'ils sont d'accord chaque fois qu'il s'agit de faits précis. Avec cette double image de Mme de Pompadour, l'une un peu flattée peut-être, l'autre certainement poussée au noir, il semble qu'on puisse reconstituer avec quelque exactitude le véritable visage de la plus heureuse et la plus infortunée des favorites." (Jacques Patin, Le Figaro, 1928)
Editions du Rocher, 1996, gr. in-8°, 213 pp, repères chronologiques, aperçu bibliographique, broché, couv. illustrée, bon état
Le Grand Siècle ne se limite pas à la majesté de Versailles, aux nobles vers de Corneille ou de Racine, aux oraisons funèbres de Bossuet, au jansénisme, au classicisme. Claude Dulong nous invite à découvrir un monde bien plus varié, parfois inattendu, naturel, humain, patrie de l'amour et des grandes amoureuses. A travers huit portraits, le présent ouvrage raconte les aventures de huit femmes au destin d'exception. Ainsi le lecteur retrouvera-t-il, au fil des chapitres, les deux pôles de l'amour humain : Eros, avec la Du Parc, la duchesse Mazarin. Ninon de Lenclos, Athénaïs de Montespan ; et Agapé, avec Anne d'Autriche, Madame de La Fayette. En ce siècle de foi, les grandes amoureuses pouvaient aussi devenir les plus ferventes chrétiennes. Claude Dulong a choisi de placer en fin de volume les "folles de Dieu", Jeanne Mance et Marguerite Bourgeoys, deux figures admirables, qui, armées de leur seule charité, s'en allèrent fonder dans les neiges du Canada des hôpitaux et des écoles.
Hachette, 1984, in-8°, 306 pp, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
"Peut-on, pour le Grand Siècle, parler des femmes en général ? Et qu'y a-t-il de commun entre la belle Ninon et une sorcière de village ? Une injustice initiale : la condition faite à leur sexe. Dans toutes les classes sociales, au temps de Louis XIV, la tyrannie parentale et maritale est une réalité, la mort en couches une fatalité. D'où ce livre, dans lequel Claude Dulong se garde pourtant de céder à un féminisme agressif. Sa thèse ? Ce Grand siècle de la France ne fut pas le grand siècle des Françaises. Son projet ? Partir de la vie quotidienne pour apprécier les progrès accomplis entre la mort d'Henri IV et celle du Roi-Soleil ; car, s'il est vrai que la loi perpétua l'inégalité jusqu'au XIXe siècle, l'opinion, la société, l'Eglise elle-même évoluèrent, par degrés, dans un sens favorable aux femmes. Mais comment oublier que c'est d'abord à leurs propres efforts que celles-ci durent d'obtenir, lentement, péniblement, le droit à la considération, à l'instruction, au travail, sinon à l'amour, cette tardive invention. De ce combat divers et inégal, l'auteur nous conte les péripéties à travers des destins et des portraits, de la reine à la courtisane, de la comédienne à la sainte." (4e de couverture)
Hachette/GLM, 1984, in-8°, 306 pp, biblio, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
"Peut-on, pour le Grand Siècle, parler des femmes en général ? Et qu'y a-t-il de commun entre la belle Ninon et une sorcière de village ? Une injustice initiale : la condition faite à leur sexe. Dans toutes les classes sociales, au temps de Louis XIV, la tyrannie parentale et maritale est une réalité, la mort en couches une fatalité. D'où ce livre, dans lequel Claude Dulong se garde pourtant de céder à un féminisme agressif. Sa thèse ? Ce Grand siècle de la France ne fut pas le grand siècle des Françaises. Son projet ? Partir de la vie quotidienne pour apprécier les progrès accomplis entre la mort d'Henri IV et celle du Roi-Soleil ; car, s'il est vrai que la loi perpétua l'inégalité jusqu'au XIXe siècle, l'opinion, la société, l'Eglise elle-même évoluèrent, par degrés, dans un sens favorable aux femmes. Mais comment oublier que c'est d'abord à leurs propres efforts que celles-ci durent d'obtenir, lentement, péniblement, le droit à la considération, à l'instruction, au travail, sinon à l'amour, cette tardive invention. De ce combat divers et inégal, l'auteur nous conte les péripéties à travers des destins et des portraits, de la reine à la courtisane, de la comédienne à la sainte." (4e de couverture)
Albin Michel, 1986, in-8°, 248 pp, 18 gravures hors texte, sources et biblio, broché, bon état
Paris Plon, coll. "Le roman des grandes existences" 1927 1 vol. broché in-8, broché, couverture rempliée, non coupé ni rogné, 377 pp. Edition originale. Un des 20 exemplaires de tête numérotés sur chine et à toutes marges. En parfaite condition.