ARTHUS-BERTRAND. 1812. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 624 pages - bandeau en tete de chapitre - 1 tampon sur la page de titre et sur quelques pages.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
COLLECTIF. 1938. In-4. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 32 pages environ avec de nombreuses illustrations en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
COLLECTIF. 1938. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 32 pages environ avec de nombreuses illustrations en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte - manque des articles sur les dernieres pages. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Rousseurs. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte - manque quelques articles .. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte - manque d'article en dernière page. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte - manque d'articles en dernière page. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte - manque un article en derniere page. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 40 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte - manque l'article en première page. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 24 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1939. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 24 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1939. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 24 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte - manque un article en derniere page. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1939. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 24 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte - manque d'articles en derniere page. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1939. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 24 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte - manque un article en derniere page. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte - manque un article en derniere page. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte - manque d'articles en dernière page. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
COLLECTIF. Non daté. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
LES HUMANOIDES ASSOCIES. 1983. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 82 pages illustrées de bandes dessinnées couleurs et N&B.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux