Mille Et Une Nuits 2002 In-12 broché 19,3 cm sur 12,5. 240 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Berg International. 1992. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 407 + 816 pages augmentées de quelques illustrations et fac-similés de documents en noir et blanc dans le texte. Plats contrepliés en un rabat.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Classification Dewey : 320-Science politique
Berg internationale. 2002. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 182 pages.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Série interventions. Classification Dewey : 320-Science politique
Mille et une nuits 2002 206 pages in12. 2002. Broché. 206 pages.
comme neuf
Leiden, 1995 xiv + 265pp., 25cm., brochure originale, Thèse de doctorat (Rijksuniversiteit te Leiden), text en français, cachet au verso de la p.d.t., texte frais, bon état, C110008
L'IDEE LIBRE. 1927. In-8. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 15 pages.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Classification Dewey : 320-Science politique
Paris , P.-V., Stock, 1899 ; in-18°, broché, couverture rose imprimée en noir; 189pp.,1f.nch.portrait de Tailhade par Léandre en frontispice.Couverture froissée au 1er plat avec infimes manques de papier en bordure des plats, bon état intérieur.
Edition originale en papier d' édition, il n'a été tiré que 15 exemplaires en grands papiers.Avec les noms grattés aux pages 45 à 45, 142 à 151 et à la table. (GrF)
Stock Reliure d'éditeur 1902 In-8, (18x11.5 cm), relié demi basane, dos titré, 334 pages, portrait de l'auteur par Félix Valloton en frontispice ; intérieur légèrement piqué, petits chocs sur les coins et les coiffes, bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
L'IDEE LIBRE. 1928. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 30 pages.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Classification Dewey : 320-Science politique
Librairie de la raison Rationaliste Broché 1904 In-8, (18.5x12 cm), broché, couverture illustrée, 212 pages, recueil de lettres politiques ; plats légèrement salis, pliures sur le dos, coiffes usées, bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Ollendorff Paul Broché In-8, (19x12 cm), broché, 194 pages, sans date, recueil de lettres politiques ; plats jaunis, pliures sur le dos, coiffes usées, bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Édtions sociales 1973 poche. 1973. Broché. 278 pages. Bon Etat
Hachette et Cie. 1872. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos plié, Quelques rousseurs. 62 pages. Dos cassé, mors fendus. 1er plat légèrement déchiré.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Classification Dewey : 320-Science politique
HACHETTE. 1885. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos fané, Quelques rousseurs. 553 pages. 13e édition. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Classification Dewey : 320-Science politique
Taine Jean Tamain Bernard Iacona Estelle
Reference : 100046980
(2009)
ISBN : 2100521896
Dunod 2009 240 pages 14x22x1cm. 2009. Broché. 240 pages.
Comme neuf
LAFFONT. 1963. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 21pp. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Discours d'une conférence sur la situation de la France dans le Monde, au moment , où nous entrons dans l'ère atomique Classification Dewey : 320-Science politique
ALBATROS.. 1981.. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 172 pages. 1ère de couverture illustrée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Classification Dewey : 320-Science politique
ALBATROS. 1981. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 172 pages. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Classification Dewey : 320-Science politique
Couverture souple. Broché. 92 pages. Couverture jaunie.
Livre. Editions Pierre Fanlac, 1974.
Le Cerf. 1985. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 216 pages. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons et annotations de bibliothèque. Range-fichette au dos du 2e plat.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
'Dossiers libres'. Classification Dewey : 320-Science politique
De burin martinsart 1967 350 pages in4. 1967. Reliure editeur. 350 pages. illustrations en couleurs
Bon Etat rousseurs sur le dessus de la tranche intérieur impeccable
1967 / 491 pages. Relié. Editions Jean de Bonnot.
Très bon état.
Talleyrand - attribué à Eugène Poitevin sous le pseudonyme W. B. (William Blake)
Reference : 25140
Caricature de Eugène Poitevin sous le pseudonyme W. B. (William Blake) parue dans le journal la Caricature N° 107 du 22 novembre 1832. Talleyrand est sous les traits de Méphistophélès et tend les Évangiles à Satan Louis Philippe. A gauche, la haute société se réjouit ; à droite le peuple apprécie beaucoup moins la représentation.
Titre en bas au centre : « Scène diabolique. » ; légende plus bas au centre : « Les diables nous parodient : ils font une chambre des députés et une chambre des pairs, ils jurent comme nous, ils // tiennent leurs sermens [serments] comme nous, Satan fait le monarque ; Mephistophélès fait l’évêque, l’ambassadeur, l’apostat, // et le protocoliseur. La foule siffle ou applaudit………….. c’est comme chez nous ! » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°107) », en ht à dte : « Pl. 220. »Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « .W. B. » [attribution : Eugène-Modeste-Edmond Le Poittevin, lithographe ?] - Sur le haut de la page de dte de l’ouvrage présenté par Talleyrand : « EVAN […] [EVANGILE] »Sur une estrade recouverte d’un tapis, à gche, un évêque (Talleyrand, « le prince des protocoles, l’évêque ambassadeur » in explication) est assis, tenant l’Evangile ouvert. Des cornes sortent de sa mitre. Il s’agit de Méphistophélès. Vers la dte, le roi Louis-Philippe, sous l’apparence d’un diable, les bras tendus, lance des incantations vers le livre. Il a le nez crochu, le ventre bedonnant, un manteau d’hermine, et des cornes sortent de sa couronne. Deux types de réaction sont visibles parmi les hommes représentés à l’arrière-plan observant la scène du premier plan : ceux de gche, représentant l’aristocratie, se réjouissent et rient, tandis que les gens du peuple à dte ont l’air inquiet.Personnage représenté:Cruciani, François; Louis-Philippe Ier, roi des Français
Talleyrand - Grandville , dessinateur-lithographe - Desperet ou Desperret, Auguste , dessinateur-lithographe
Reference : 25143
(1834)
1834 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 27 mars 1834 (Planche n°372-373) -Hauteur: 35.5cm Largeur: 52.5cm - Dimensions - Image Hauteur: 22cm - Largeur: 40.5cm
Titre en bas au centre : « LE TEMPS L’AMÈNE, PATIENCE, PATIENCE ! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°177. », en ht à dte : « Pl. 372. 373. » - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur], « L. de Benard. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « JJ. Grand.. A. Desp… » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Auguste Desperet, lithographe]Inscription - Sur le sac d’écus : « 10000 ». Sur la colonne, on repère le motif de la poire à visage humain et le motif du parapluie du roi-citoyen.Description iconographique:La composition se compose de deux parties. A gauche, le Temps, sous la figure d’un vieillard à barbe et longs cheveux blancs, muni d’une grande paire d’ailes, portant une faux et une hotte contenant des couronnes et un sceptre à fleur de lys (reliques des monarchies déchues). Dans sa main dte, son attribut principal, c’est-à-dire un sablier. Il marche aux côtés de la figure de la liberté, représentée sous la forme d’une femme robuste vêtue d’une robe et portant un bonnet phrygien décoré de la cocarde tricolore. Elle est désignée dans l’explication par l’expression « la sainte immortelle ». Elle porte un grand étendard sur lequel se lisent les mots « LIBERTÉ ! » deux fois. Sous son bras droit, elle porte la table des « DROITS // DU PEUPLE ». Au devant de ces deux personnages vient une femme, qui s’adresse à eux. Il s’agit de l’incarnation de la « PRESSE », femme brune amaigrie, portant une robe noire. Son bras droit est en écharpe et son bras gche garde trace d’un emprisonnement (chaîne). Elle a disposé devant elle les raisons des maux qu’elle subit de la part du gouvernement : une paire de ciseaux symbolisant la censure, un dossier portant l’inscription « CENSURE // DE LA // POLICE », une plume d’écrivain à laquelle est accroché un cadenas au bout d’une chaîne, un « RAPPORT // CONTRE LES // ASSOCIATI […] [ASSOCIATIONS] », des « JUGEMENS [JUGEMENTS] // SANS JURY // CONDAMNAT […] [CONDAMNATIONS] ». Cette figure de la presse désigne au Temps et à la Liberté la scène qui se déroule dans son dos, à gche de la composition, au second plan. Sur une plaine, entre deux colonnes (l’une portant la sculpture d’un gros sac d’écus, l’autre la statue d’un homme représentant peut-être Lobau, étant donné que la forme du fût de la colonne s’apparente à une seringue à clystère), un dais, surmonté d’une énorme couronne (dont la forme s’apparente à une poire) à fleurs de lys abrite un roi à tête de perroquet. Il s’agit de Louis-Philippe (fréquemment représenté sous forme de perroquet à en raison de sa propension à parler sempiternellement de ses exploits militaires lors des combats révolutionnaires de Jemmapes et Valmy en 1792) entouré de ses trois fils. Il porte un sceptre à fleur de lys. Une ronde d’hommes évolue autour de la statue portant le sac d’écus (« cette farandole d’improstitués, dansant autour du veau d’or » in explication). Des courtisans sont agenouillés devant le roi sur son trône. Devant, des gardes procèdent à des arrestations. Un assommeur poursuit un homme de sa batte. Enfin, la figure du journal Le Constitutionnel (à ses pieds se trouve une feuille sur laquelle on peut lire « CONSTITUTI »), coiffé de son bonnet de coton blanc, regarde le ciel à travers une longue-vue. L’explication précise qu’il s’écrie « de sa voix éraillée : « L’horizon se rembrunit. » ». C’est l’arrivée imminente de la liberté qui entraîne un changement de climat météorologique et, par conséquent, provoque l’inquiétude du Constitutionnel qui alerte aussitôt les membres du gouvernement. Au loin, à l’arrière-plan, deux forteresses, sans doute les prisons dans lesquelles le gouvernement enferme les opposants au régime, ce que dénonce vivement la pl. Par cette composition, la pl. dénonce la censure que le gouvernement fait subir à la presse par le biais d’amendes et d’arrestations. Elle dénonce également le régime de répression qui soupçonne et a trop facilement recours à la violence et à l’emprisonnement. Elle annonce la venue prochaine de la liberté qui libérera la presse, et plus largement les Français, du joug de la censure et de la répression.
TALLEYRAND Philipon, Charles , auteur du modèle - Grandville , dessinateur - Desperet ou Desperret, Auguste (en 1865), dessinateur-lithographe
Reference : 25150
(1834)
1834 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 24 juillet 1834 -Planche double n°406-407 ,taches dans la planche - Titre en bas au centre : « A ceux qui ces présentes verront, Salut ! » ; légende plus bas au centre : « En commémoration des journées révolutionnaires de 1830, les révolutionnaires de 1834 figureront sur des échafauds dressés par notre noble Cour des Pairs // et toutes nos cours Royales du Royaume. // (Octroyé en notre Château de la Caricature, ce 24 Juillet 1834.) »- Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, rue du Bouloy, 19 » [imprimeur], « Signé : Charles. Philip… » [Charles Philipon, auteur du modèle] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « G. D » [Jean-Jacques Grandville, dessinateur, et Auguste Desperet, lithographe]
I - A l’arrière-plan à gauche, une représentation de la prison du « MONT // St // MICHEL ». Derrière le groupe de visiteurs à dte, un poteau auquel est accroché un fer. Une pancarte indique qu’il s’agit du « CARCAN // POUR // LES HEROS // DES 3 JOURS » : il s’agit donc du sort réservé aux combattants révolutionnaires de Juillet 1830. Par terre, devant l’établi, un copeau de bois portant l’inscription « accusa […] [accusation] »Le titre de la pl. est une citation de la phrase par laquelle une autorité (roi ou administration) apostrophe le lecteur et l’engage à lire la suite (on la trouve par exemple dans les ordonnances royales annonçant des décisions politiques ou des nouvelles destinées à être rendues publiques). C’est donc à la parodie d’une ordonnance royale que se livre le titre de la pl. La légende annonce les dispositions prises par le gouvernement à l’occasion de la commémoration du 4e anniversaire des journées révolutionnaires des 27, 28 et 29 juillet 1830. Figurant dans ce numéro du 31 juillet 1834, la pl. dénonce le manque de moyens mis en œuvre par le gouvernement pour fêter cet anniversaire, et montre que pour toute commémoration, il ne propose qu’une multiplication croissante des mesures de répression dirigées contre les républicains. C’est une mise en image de cette répression que la pl. propose, sous forme de saynètes dans une même image. Au premier plan en bas à gche, se trouve un vieil homme assis. Il s’appuie sur un tonneau et à terre, à côté de lui, se trouvent des plats et des seringues à clystère ( ?). Devant lui passe un vieil homme s’appuyant sur une béquille pour marcher. Il porte sur l’épaule un tronçon de bois à l’extrêmité duquel pend une menotte de prison. Il porte un chapeau haut de forme orné d’un médaillon décoré d’une fleur de lys. Son chien, incarnant Dupin, marchant à ses côtés, porte dans sa gueule un panier contenant des armes. Il semble donc s’agir du baron Pasquier qui, bien que vieillissant et mal portant, participe à l’effort engagé par le gouvernement pour réprimer les opposants au régime. Derrière eux au second plan discutent deux gardes nationaux. Au premier plan à dte : d’Argout actionne un vilebrequin. Un homme dort à côté de lui. Autour d’un établi s’affairent deux hommes. Ils fabriquent des pièces à conviction, puisque contre le plan de travail reposent des planches de bois assemblées portant la mention « JONCTION DES // PIECES DU // GRRRAN […] [GRAND] COMPLOT ». Les deux hommes sont alors peut-être Martin du Nord et Pasquier ?). D’autres planches assemblées reposent par terre et portent la mention « PIECES // JOINTES // AU // PROCES ». Derrière eux, à l’arrière-plan, un groupe d’hommes composé de Persil faisant la visite du chantier à Louis-Philippe vu de dos (mais reconnaissable à sa stature, son chapeau haut de forme et ses favoris), accompagné de deux gendarmes. Le chantier dont il est question est celui de la construction d’une guillotine sur une estrade. Trois personnages sont occupés à construire la guillotine, tandis qu’un quatrième consolide l’estrade, et qu’un cinquième monte sur une échelle (qui sont ces personnages ?). La pl. dénonce les arrestations et condamnations, par les pairs, des révolutionnaires d’avril 1834, condamnations jugées très sévères. La pl. établit alors un parallèle ironique entre juillet 1830, moment de toutes les espérances, et juillet 1834, moment des procès des insurgés d’avril.Personnage représenté:Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Persil, Jean-Charles