1801 Paris, chez Deterville, an IX-1801.
1 volume in-8 (19,5 x 12 cm), veau moucheté et glacé (reliure de l’époque), dos lisse orné, pièce de titre en maroquin noir, double filet doré encadrant les plats, filet doré sur les coupes, tranches mouchetées, annotation manuscrite sur une garde supérieure (concernant l’auteur de cet ouvrage), xxxix-[1]-284 pages (complet). Un coin frotté, rousseurs éparses. État très correct tout de même. ÉDITION ORIGINALE. Pierre-Édouard Lémontey (1762-1826), avocat de métier, est un homme politique, homme de lettres et historien français. Il est notamment à l’origine de la célèbre expression apocryphe “L’État, c’est moi”, attribuée à Louis XIV. Publié de façon anonyme, ce curieux ouvrage pamphlétaire, critiquant les revirements politiques de la Révolution, et portant également sur la charge des avocats au sein de la société. Agréable exemplaire.
Léo de Laborde (1805-1874), homme politique, légitimiste. L.A.S., Paris, 22 décembre 1841, 1p 1/2 in-8. Au directeur du journal L'Orléanais, a priori le marquis de Saint-Maurice, (après Joseph Hue mort en 1835). Intéressante lettre demandant s'il souhaite participé à l'Union provinciale, un projet de réunion des gazettes royalistes de province. Il mentionne que certaines villes ont déjà accepté l'idée (Besançon, Grenoble, Alençon, Nantes et Avignon). Ce projet ne semble pas avoir abouti. Il est possible que ce marquis de Saint-Maurice soit Charles de Barbeyrac (1811-1849) [368]
"1947. Paris J. Lefeuvre supplément à Masses mars 1947 n° 8 - Agrafé 9 cm x 13 cm 18 pages - Texte de Léon Blum - Edition originale parue dans 'Les Egaux'. Léon Blum répond à John Burnham qui dans ""L'ère des directeurs"" annonçait la fin du capitalisme et le règne d'une élite de techniciens. Il montre que l'analyse de Burnham porte sur une période de transition qui doit aboutir au socialisme intégral - Bon état"
1 page in8 - En tête Chambre des députés - bordure de deuil - Très bon état -
Il n'a trouvé sa dépêche qu'à son retour à Paris, après quelques jours de repos complet - "Je suis absolument désolé" -
Léon Bérard (1876-1960), avocat, homme politique, ministre. L.A.S., 17 août 1921, 2p in-8. A Maurice Reclus. Il lui annonce qu'il va proposer Elie Faure, son cousin, pour la Légion d'Honneur. [314]
Léon Bérard (1876-1960), homme politique, ministre. L.A.S., 30 décembre 1922, 3p in-8. A une personne qui n'est pas d'accord avec sa répartition des douzièmes. Il lui explique sa position et la difficulté de trancher. Il mentionne les services rendus par le destinataire à l'art dramatique et à la Comédie-Française. [159b]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005447
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. C.A. signée L, sd, 5 lignes. Il invite Scholl à une soirée chez lui le samedi 8 février. « Nous ferons, je l'espère, un peu de bonne musique ». [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005448
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. C.A. signée L, sd [1890 ?], 9 lignes. Il recommande Berthe Bernay à Scholl. C'est sa meilleure amie et il serait consolé qu'on s'intéresse à son ouvre. [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005449
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. C.A. signée L, sd [1884], 5 lignes. Il félicite Scholl pour sa promotion d'officier de la Légion d'Honneur. [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005450
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. C.A. signée L, sd, 4 lignes. Il a demandé le service de Scholl qui a été fait devant lui. Il l'aura le lendemain. [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005451
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. C.A. signée L, sd [1890], 10 lignes. Il ira conter ses excursions à Scholl et lui demande d'être agréable à son ami Berthe Bernay qui lui a envoyé La Danse au Théâtre. [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005439
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. L.A.S., Paris, 1er septembre 1871, 3p in-8 (58 lignes). En-tête de La Liberté. Il répond à Scholl qui avait dû solliciter une place à La Liberté sachant Paul de Saint-Victor était parti mais Détroyat ne souhaite pas le remplacer. Il développe longuement mais ne peut donc pas prendre Scholl pour le moment mais espère travailler à l'avenir avec lui. [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005440
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. L.A.S., Paris, 9 juin 1872, 1p in-8 (10 lignes). En-tête de La Liberté. Amusant courrier : « Je n'ai rien reçu de m. Osmond qui je le sais m'apprécie médiocrement. comme chanteur sans m'avoir jamais entendu ». Il est malade. [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005441
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. L.A.S., lundi 27 septembre 1880, 1p in-8 (11 lignes). Il rentre d'Espagne, Jules Turgan (1824-1887) lui a raconté « l'affreuse histoire du café Mignon ». Il est heureux que Scholl soit guéri. Cette histoire est une dispute entre le jeune comte de Dion et Scholl. Dion se rendit le 16 septembre 1880 au café Mignon, frappa violemment Scholl de plusieurs coups dans les yeux et lui lança une bouteille de champagne sur la poitrine quand Scholl l'insultait. Dion nia la préméditation alors que Arthur Meyer évita un duel entre Scholl et Dion en août 1880 et que Dion était venu la veille de l'agression au café pour savoir les habitudes de Scholl. Scholl avait publié un article évoquant vaguement Dion sans le nommer dans Le Gaulois, en février. Un procès eut lieu en décembre 1880 mais semble n'avoir satisfait personne. Le 7 mars 1881, Dion et Scholl se préparent à un duel mais Scholl refuse une condition, la rencontre est alors interrompue. Dion n'aura sa revanche que le 9 janvier 1884 lors d'un duel où il blessa Scholl à l'épée, épée qui se brisa. Le duel interrompu est probablement un des premiers duel (le premier ?) de Dion qui devint un habitué des duels, autant comme acteur que comme témoin. Beau document. [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005442
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. L.A.S., mardi 17 mars 1885, 1pŒ in-8 (21 lignes). Il souhaite un bon anniversaire aux « deux tuteurs assermentés » de L'Echo de Paris qui a un an. Il écrit donc à Scholl et demande d'être son interprète auprès de Valentin Simond. Il se réjouit de leur succès. [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005443
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. L.A.S., sd [jeudi - 1880-1881], 1p in-8 (25 lignes). Il a vu Constans qui lui a donné rendez-vous le lendemain. « Il me promettra ! Et puis ce sera tout ». Il s'agit vraisemblablement d'Ernest Constans (1833-1913), député de Toulouse, puisque Détroyat mentionne « le toulousain ». Il est question d'une affaire concernant un ami proche de Constans (Jerercki ?). [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005444
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. L.A.S.+enveloppe, sd [1880-1881], 1p in-8 (16 lignes). Il a eu son rendez-vous avec Constans, (certainement Ernest Constans (1833-1913), député de Toulouse), et en sort content et confiant, qualifiant la rencontre d'affectueuse. Constans lui a assuré que l'affaire en question sera réglée dans 2 ou 3 jours. [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005445
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. L.A.S., sd [1885], 1p in-8 (17 lignes). Il souhaite apporter une rectification à un article publié la veille dans La France. Le rédacteur n'a pas compris que si Jean-Baptiste Plantié se présente pour être sénateur, ce n'est pas que le public le préfère à Détroyat mais parce qu'il quitterait alors son poste de député et que Détroyat se présenterait à sa succession. Plantié devint bien sénateur en avril 1885 mais Détroyat en fut pas élu député pour autant. Plantié vota systématiquement contre les princes et, comble de l'histoire, sa petite-fille épousa le prince Murat. [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste.
Reference : 005446
Léonce Détroyat (1829-1898), officier de marine, homme politique, journaliste. L.A.S., sd [lundi - 1880-1881], 1pœ in-8 (28 lignes). Constans est décidé formellement à le « faire entrer en fonction le 1er mars ». Il s'agit vraisemblablement du député Ernest Constans (1833-1913). Il est mention à deux reprises du ministre, poste qu'occupa Constant en 1880 et 1881 (ministère de l'intérieur). Alfred Edwards, Eugène Mayer et Laffitte ont vu Constans et l'ont recommandé. Charles Laurent lui a écrit. [122]
Léonce Détroyat (1829-1898), publiciste, homme politique. L.A.S., sd [jeudi, ap. 1875], 1p in-8. A l'écrivain Paul de Saint-Victor (1827-1881). Il lui recommande Hélène Bertaux (1825-1909), sculpteur, et Carolus Duran (1837-1917) « qui a fait un bien beau portrait de Girardin » [en 1875]. Il demande aussi « bienveillance en faveur de Sarah Bernard », i.e. la comédienne Sarah Bernhard (1844-1923). [365]
Léonce Fabre des Essarts (1848-1917), écrivain, occultiste, homme politique, gnostique.
Reference : 012824
Léonce Fabre des Essarts (1848-1917), écrivain, occultiste, homme politique, gnostique. L.A.S., Paris, 5 février 1889, 3p et demi in-8. Très intéressante lettre écrite au surlendemain de l'inauguration de la statue de Jean-Jacques Rousseau au Panthéon, le dimanche 3 février 1889. Il précise que le discours imprimé a été écrit « l'après-midi de samedi [et] imprimé la nuit suivante » et que contrairement à ce que certains ont dit, il n'a nullement été lu lors de la cérémonie, « l'idée de prendre la parole [lui] est venue beaucoup trop tard pour [qu'il ait] pu songer à participer à la manifestation officielle ». Il lui envoie deux exemplaires. Toutefois, cela eu des répercussions puisque cette publication fut probablement une des raisons de sa révocation de la fonction publique. Il fut soupçonnées de sympathies boulangistes. [169b]
1983 / 85 pages. Broché. Illustré de quelques fac-similés hors texte.
Très bon état.
1915 / 312 pages. Broché. Editions Nouvelle Librairie Nationale.
Couverture et dos piqués, intérieur frais. Bon état.
1938 / 315 pages. Relié. Editions Albin Michel.
Bel état malgré d'infimes frottements et de trés rares points de rousseurs.
1992, Robert Laffont. In-8, broché, 1398 pages. Texte seulement. Exemplaire en bon état malgré de légères marques d’usages ainsi qu la couverture qui a jaunis un peu.