L'Arnia, Roma, 1951. In-16 gr., cartonato editoriale, pp. VIII,725. Ex-libris; timbro di appartenenza, sottolineature a matita rossa, peraltro buon esemplare.
1937
" A Mussolini, mainteneur de la Civilisation latine...".
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Paris, L’églantine 1933 In-12 18,5 x 12,5 cm. Broché, couverture beige, auteur et titre en noir sur le dos et le premier plat, 185 pp., notes en bas de page, bibliographie, table des matières. Exemplaire en bon état, enrichi d’un envoi autographe de l’auteur.
Bon état d’occasion
Soc. an. Poligrafica,Roma 1 (sd, circa 1936).
Un volume in 8° broché, couverture souple éditeur (couleur marron clair) , premier plat orné d”un faisceau ) , 190 pages. TRES BON ETAT.
Edizioni Di Novissima Rome 1936 In-8 ( 195 X 140 mm ) de 174 pages, broché. Interventisme et "faisceaux d'action" - Le "mouvement fasciste" - Le mouvement se transforme en parti - Le parti national fasciste - La marche sur Rome - Le fascisme au pouvoir - La réforme de l'état - L'Italie fasciste et l'Europe. Bel exemplaire.
Roma, Novissima 1940 288pp., 23cm., reliure toile, qqs.rousseurs, cachet, sinon en bon état, G69834
's-Gravenhage, Leopold 1930 xiv + 68pp., 25cm., enkele stempeltjes, goede staat, G73542
Roma: Novissima, 1940 in-8, 288 pages. Broché (couv. salie et réparée).
Histoire du mouvement fasciste. Traduit de l'italien par Jean Chuzeville. (Roma: Novissima, 1940). [M.C.: Histoire, Italie, Fascisme]
Remo, Edizioni Sandron - Anno VI 1928, 255x170mm, 50pagine, in brossura. Parte inferiore della copertina superiore macchiata e piccoli strappi sulla parte superiore e inferiore della schiena. Interni puliti e pagine non tagliate.
Rome : Ed. U. S. I. L. A., 1937 (Tip. Castaldi) . plaquette in-8, 32 pp, broché.
Bon état. [MI-9]
's-Hertogenbosch, 1977 2 delen: 522pp. (doorlopende paginering), 29cm., gebroch., in de reeks "Rijksarchief in Noord-Brabant" inventarisreeks nr.18, wat roestplekjes op bladsneden, tekst helder, goede staat, [met tevens een inleiding, annexen, bijlagen en indices], N113972
Laffont, 1963, gr. in-8°, 403 pp, traduit de l'italien, index, broché, couv. illustrée, bon état
Contribution à l'histoire du fascisme italien, vu "de l'intérieur" par un condisciple et ami de Vittorio Mussolini, le fils du Duce. Zangrandi fut fasciste avant de passer à l'opposition et de fonder en 1939 le Parti Socialiste Révolutionnaire ; il fut finalement arrêté et déporté en Allemagne, dont il reviendra en 1946. — "Le témoignage personnel de Zangrandi ... qui se rapproche le plus de l'aventure intellectuelle de milliers de jeunes Italiens anonymes. Ami de Vittorio Mussolini, sans aucune attache avec l'ancien régime, c'est à l'intérieur même du fascisme que ses efforts de clarification l'ont porté vers l'opposition. Un témoignage passionnant." (Revue française de science politique, 1964) — C'est en 1946, à son retour de déportation en Allemagne – voir « Le convoi du Brenner » publié en 1962 – que Ruggero Zangrandi entreprend la composition de cette « contribution à l'histoire du fascisme » qui a suscité en Italie des discussions passionnées et que, dans une édition à laquelle l'auteur a apporté tous ses soins, nous présentons aujourd'hui au public français comme le document le plus révélateur sur le fascisme italien. En effet, le fascisme est vu ici « de l'intérieur », par quelqu'un qui – condisciple et ami de Vittorio Mussolini, le fils du Duce – fut fasciste avant de passer à l'opposition et de fonder en 1939 le Parti Socialiste Révolutionnaire. Voici donc le fascisme réel, celui des espérances vaines et des tromperies, des concessions et des réalisations incomplètes, du chantage à la confiance et au patriotisme ; voici les Faisceaux, les Groupes Universitaires Fascistes, la presse, le monde syndical et celui des élites – et comment, dans tous ces domaines, l'opposition tente de s'exprimer et de s'affirmer. Cette vie interne du monde fasciste, personne ne l'avait jusqu'alors si précisément décrite, et cela suffirait à soi seul à faire de cet ouvrage un document exceptionnel. Mais Ruggero Zangrandi ne s'en tient pas là : il met en lumière les responsabilités des classes dirigeantes préfascistes, de l'Eglise, de la magistrature, de tous ceux – universitaires, écrivains, artistes, journalistes – qui se firent les complices du régime, sans omettre cependant ceux qui surent résister ni ceux qui, après avoir fait un certain chemin avec le Duce, s'en séparèrent pour, à la fin, le combattre les armes à la main. Ce « long voyage », enfin, apparaît comme un témoignage singulièrement émouvant : il est le livre de toute une jeunesse, avec ses rêves, ses enthousiasmes et ses désillusions, le livre d'une « génération perdue ». (4e de couverture)