‎Mémoires sur la Convention et le Directoire‎

‎Paris, chez Ponthieu, 1824 2 vol. in-8, 400 pp. et 420 pp., demi-basane verte, dos à nerfs orné Manque de cuir en tête du tome 1, et coiffe inférieure du même volume arrasée. Dos passé. (reliure de l'époque).‎

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‎Mémoires sur la Convention et le Directoire‎

‎Paris, chez Ponthieu, 1824 2 vol. in-8, 400 pp. et 420 pp., broché. ‎

‎ LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Mémoires sur la Convention et le Directoire‎

‎Paris, Baudouin frères, 1824 2 vol. in-8, 400 pp. et 420 pp., demi-veau bleu nuit, dos lisse orné (reliure de l'époque).‎

‎Mémoires sur la Convention et le Directoire‎

‎Paris, Baudouin frères, 1824 2 vol. in-8, 400 pp. et 420 pp., cartonnage demi-papier gris à la Bradel, filets dorés Bon exemplaire. (reliure de l'époque).‎

‎HISTOIRE DE LA REVOLUTION FRANCAISE. 8e édition.‎

‎Paris Au Bureau des Publications Illustrées 1839. 4 volumes in-8 XVI 608pp, 623pp, 585pp, 571pp 1 feuillet non chiffré avis au relieur. Demi maroquin acajou, dos à 4 nerfs guillochés, filets, frises et pastilles dorés dans les entrenerfs, fine résille dorée en queue, reliure de l'époque. Orné de 50 gravures hors texte (26 portraits et 24 scènes) et d'une grande carte dépliante. Rousseurs. Bel exemplaire malgré ce défaut, bien complet de ses volumes, de leur texte, des 50 gravures et de la carte. Reliure typique de l'époque, en bon état et décorative.‎

5 Images

‎Un classique bien illustré et dans une reliure d'époque élégante et décorative.‎

‎Bonaparte en Egypte. Souvenirs Préface et appendices par le comte Fleury‎

‎Paris, Emile Paul, 1902 in-12, VIII-302 pp., ill. in-t., 7 planches dont 1 en frontispice, broché. Rousseurs, parfois fortes. ‎

‎Tulard, 1419 : "Les dernières pages ont trait au rapatriement des Français d'Egypte après la signature de la convention avec l'Angleterre."De Meulenaere, 191 : "Thurman partit de Toulon en tant que lieutenant du génie. Les lettres qu'il envoya à son père forment ses souvenirs. Il participa à la prise de Malte et fut un des premiers à y entrer. Faisant partie de la colonne de Menou il participa aussi à la prise d'Alexandrie, où il travailla à la fortification de la ville. Il assista à la bataille d'Aboukir. Il se rendit à Rosette et fit un bref voyage au Caire. Il passa capitaine. Il se trouvait avec le général Belliard au Caire, au moment de la capitulation (27 juin 1801)." LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Lettre du ministre de la police générale de la république, qui fait défence aux Théophilantropes de s'assembler d'avantage dans les endroits ci-dessus indiqués par ordre du gouvernement‎

‎Paris, De chez la Veuve Leroux, s.d. in-8, 4 pp. ‎

‎Lettre du ministre Fauché au préfet de Maine et Loire.Créé et soutenu par le Directoire, le culte des théophilantropes est un essai de religion laïque et républicaine qui ne doit sa survie qu'à ses protagonistes en les personnes de La Revellière-Lépeaux, directeur, et Sotin de La Coindière alors ministre de l'intérieur. En 1799, la secte dispose de 18 églises. Bonaparte l'interdira le 4 octobre 1801.Lettre suivi des "actes du Gouvernement" signé de bonaparte, du 9 vendémiaire, concernant les pensions des familles de militaires. ‎

‎L' École Centrale du Doubs à Besançon (an IV-an XI)‎

‎Paris, Alcan, 1926 gr. in-8, XXI-225 pp., index, broché. ‎

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‎L.S. au citoyen Petiet ministre de la Guerre‎

‎Paris, 30 vendémiaire an 5, 21 octobre 1796 , 1 pp. in-folio, en-tête du Ministre de la Marine et des Colonies, "Bureau des Colonies" avec vignette, apostille, adresse au verso avec cachet du ministère. ‎

‎Relative aux fonctions de Gobert, général du Génie, à Port-Louis ; Truguet, alors ministre de la Marine informe son collègue Petiet, qu'il a reçu le certificat adressé pour le Cn Gobert sous-directeur du Génie au Port de la Liberté [Port-Louis dans le Morbihan] ; Je l'ai porté sur la liste des Citoyens restés fidèles à la Patrie (…).Originaire de la Guadeloupe, issue de l'école de Mézières, Jacques-Nicolas Gobert (1760-1808) avait participé aux travaux de défense de Calais puis chargé des fortifications sur la ligne frontière du Nord entre Lille et Maubeuge ; après les sièges de Namur et Maestricht en mars 1793, il participa à la bataille de Neewinden et fut nommé général de brigade par Dampierre. Suspecté par le Comité de Salut public et enfermé à la prison de l'Abbaye, il ne réintégra l'armée qu'en 1795 comme chef de batailllon de l'arme du Génie, sous-directeur des fortification à Port-Louis ; Hoche qui l'avait pris comme chef d'état-major au moment de l'affaire de Quiberon, aura à s'en plaindre en le faisant suspendre deux fois en septembre 1795 et en octobre 1797 ; Gobert ne retrouvera son grade de général qu'en 1799. ‎

‎Adresse du Directoire exécutif au peuple français Mise en vaudeville, sur le rapport du ministre de l'intérieur, chargé de ranimer l'esprit public qui semble être un peu refroidi, et sur la proposition du général Moulins, ex-laquais, et présentement, l'un des membres distingués du Directoire de France‎

‎Paris, Imprimerie directoriale, an 4e du Roi Barras (1799) in-16, 19 pp., en feuilles, cousu. ‎

‎Très rare. Féroce pamphlet anti-directorial, contemporain des événements qui allaient mener au 18 brumaire si l'on en croit le reste du colophon, Barras étant inamovible depuis la première élection : "L'an Ier de celui des rois Gohier, Roger, Sieyès et Moulins [en poste depuis le 18 juin 1799 seulement], et l'an dernier de la république, nulle, divisible et périssable". Pour le reste, la débâcle de nos armes en Italie forme le principal objet de la satire.Aucun exemplaire au CCF. ‎

‎Jugement rendu par le 1er Conseil de Guerre de la 2e Division des troupes françaises dans la République Batave‎

‎A La Haye, 18 ventôse an 7 (8 mars 1799) in-folio, 3 pp. 1/2. ‎

‎Très belle et grande vignette gravée montrant un appolon justicier République française Conseil de Guerre, surmontant la devise Liberté, Humanité, Justice.Charles Lamonjois, grenadier au 2e bataillon de la 60e demi-brigade, est condamné pour désertion à cinq années de fers. ‎

‎P.S.‎

‎Milan, 4 (prairial) an 6, 26 mai 1798 in-folio, 1 pp. en-tête d'"il ministerio della Guerra" de la République Cisalpine, grande vignette gravée avec devise ; en italien. Mouillure en haut et pied de page.p ‎

‎Ordre signé par le général Vignolle en qualité de ministre de la Guerre de la République Cisalpine, demandant au citoyen Lancetti, chef de subdivision, de transmettre sans retard une lettre de l'administration central de Crémone concernant la nomination du citoyen Muccio.Très belle pièce avec grande vignette gravée représentant la Liberté tronant avec un faisceau de licteurs et une lance surmontée d'un bonnet phrygien.A l'Armée d'Italie depuis 1794, sous-chef d'état-major de Bonaparte en 1795, Martin Vignolle (1763-1824) se distingua à Lodi, au fort d'Urbino, à Arcole où il fut blessé et Castiglione ; il avait été nommé général par Bonaparte en août 1796, commandant le Milanais en août 1797, chef d'état-major sous Berthier (octobre) ; il occupera les fonctions de ministre de la guerre de la jeune république Cisalpine de novembre 1797 à février 1799. Rappelé un temps auprès du Ministère de la Guerre, le général Vignolle servira à nouveau en Italie au moment de la seconde campagne d'Italie jusqu'en 1803, chargé d'organiser l'armée Cisalpine. Il aura principalement sous l'Empire les fonctions de chef d'état-major du Prince Eugène. ‎

‎P.S. comme général commandant la division française en Lombardie‎

‎Q. G. de Milan, 6 vendémiaire an 6; in-folio, 1 demie page, en tête. Vignette. ‎

‎"Il est ordonné au citoyen Ciavaldini capitaine d'infanterie de se rendre à Crema pour y prendre le commandement des trouppes françaises. Il se fera remettre par l'adjudant de place qui commande provisoirement les instructions qui ont été envoyées à tous les commandants des places de la Division de Lombardie (...). La Police intérieure de ces places appartient aux commandants cisalpins".A l'Armée d'Italie depuis 1794, sous-chef d'état-major de Bonaparte en 1795, Martin Vignolle (1763-1824) se distingua à Lodi, au fort d'Urbino, à Arcole où il fut blessé et Castiglione ; il avait été nommé général par Bonaparte en août 1796, commandant le Milanais en août 1797, chef d'état-major sous Berthier (octobre) ; il occupera les fonctions de ministre de la guerre de la jeune république Cisalpine de novembre 1797 à février 1799. Rappelé un temps auprès du Ministère de la Guerre, le général Vignolle servira à nouveau en Italie au moment de la seconde campagne d'Italie jusqu'en 1803, chargé d'organiser l'armée Cisalpine. Il aura principalement sous l'Empire les fonctions de chef d'état-major du Prince Eugène. ‎

‎L.A.S. au citoyen Combes‎

‎Sarrelibre, 21 fructidor an 7, 1799 in-8 carré, 1 pp., déchirure dûe à l'ouverture restaurée. ‎

‎Rappel d'une recommandation auprès du ministre de la guerre Bernadotte ; lettre datée du 21 fructidor (7 septembre 1799) :"Je vous recommande d'une manière toute particulière le commissaire des guerres Chapotot, citoyen Combes, le ministre de la Guerre a beaucoup de bontés pour lui (…) il ne s'agit que de le rapeller à sa bienveillance et de présenter promptement un rapport qui soit décisif en sa faveur (…)."À l'Armée du Rhin depuis 1792, Eugène-Casimir Villatte (1770-1834) avait été dès 1795 l'aide de camp de Bernadotte qu'il suit à la campagne d'Italie. Adjudant général en février 1799, il est versé dans la division Soult et participe à la campagne d'Helvétie. Nommé général en 1803, il servira les grandes campagnes de 1805 et 1806 et se distinguera particulièrement en Espagne de 1808 à 1814. Il est fait comte d'Oultremont en 1808. ‎

‎Barras, le roi de la République (1755-1829).‎

‎Paris, Hachette, 1946. 13 x 20, 251 pp., reliure dos rexine, couverture conservée, très bon état.‎

‎Madame Récamier, 1777-1849.‎

‎ JC Lattès, 1986, gr. in-8°, 545 pp, 23 gravures sur 8 pl. hors texte, chronologie, biblio, index, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état‎

‎Née avant la Révolution et morte sous la présidence du futur Napoléon III, Juliette Récamier, la Belle des Belles, est la pure incarnation de l'intelligence et du charme féminins. Par sa beauté, son raffinement, son sens de l'amitié, elle sut, tout au long de sa vie, rassembler ce que l'Europe comptait de mérites politiques, artistiques, littéraires et faire de son salon un lieu d'échange d'une qualité inégalée. Riche, avenante, d'une élégance discrète, vouée au blanc, Juliette connaît très tôt la renommée. Mariée à 15 ans, sa relation purement affectueuse avec le banquier Récamier, dont elle apprendra qu'il est son père, fait d'elle une femme célébrée sinon heureuse. Elle règne sur le Paris consulaire mais, sous l'Empire, elle lutte inlassablement en faveur de ses amis opposants au régime, notamment Mme de Staël et Benjamin Constant. Elle ne faiblit jamais et sa fidélité aux proscrits lui vaudra les rigueurs de l'exil. Sous la Restauration et la monarchie de Juillet, son rayonnement s'étend sur la brillante société qui se retrouve chez elle, à l'Abbaye-aux-Bois. Elle encourage la création et favorise l'éclosion de la pépinière Romantique, sous l'égide de Chateaubriand, qu'elle a su s'attacher et avec lequel elle forme, pendant trente ans, un couple éblouissant, légendaire : il la fera entrer dans l'immortalité en lui consacrant des pages inoubliables des Mémoires d'outre-tombe. — "Celle qui fut la star de son temps méritait ce livre passionnant et peut-être définitif qui fait revivre toute une époque." (Jean d'Ormesson) ‎

‎Liste alphabétique des électeurs du département de la Gironde (du 21 germinal, an V)‎

‎Bordeaux, Impr. de la Ve Lacourt et Faye aîné, (An V); in-8, 15 pp., broché sous couverture d'attente orange. ‎