GALLIMARD 1998 208 pages 14x1 8x19 8cm. 1998. Broché. 208 pages.
Bon état
Editions Emile-Paul Frères Le crime dans l'histoire et la vie Broché 1934 In-12 (14,7 x 19,8 cm), broché, 127 pages ; dos et quatrième plat inégalement brunis, intérieur bruni, mors inférieur fendu en queue, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
1880 Librairie Générale Henri Georg, Lyon - 1880 - Deuxième volume - 1 vol in-8 - broché - 230 pages
Etat Moyen - Couverture un peu passée - Brochage fragile sur les bords avec des traces d'usure et petits manques de papier aux niveaux des tranches - Intérieur très frais
Gallmeister 2014 232 pages 14 1x20 3x2 9cm. 2014. Broché. 232 pages.
proche du neuf cependant dos choqué intérieur frais bonne tenue
FLEUVE EDITIONS 2010 312 pages 10 6x2x17 6cm. 2010. pocket_book. 312 pages.
Très bon état - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état- expédié soigneusement depuis la France
Fleuve Noir 2011 10 6x1 8x17 6cm. 2011. Broché.
Très bon état - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état- expédié soigneusement depuis la France
Fleuve Noir 247 pages 10 6x1 8x17 6cm. Sans date. pocket_book. 247 pages.
Bon état
Fleuve Noir 2010 10 8x2 2x17 2cm. 2010. Broché.
Très bon état - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état- expédié soigneusement depuis la France
FLEUVE EDITIONS 2011 223 pages 10 8x1 4x17 6cm. 2011. pocket_book. 223 pages.
Bon état
1954 Editions Armand Colin, Collection "Armand Colin" - 1954 - In-12, broché, couverture illustrée - 218 + 12 p.
Bon état malgré couverture défraîchie (menus plis et petites déchirures) - Quelques pages cornées
Sans lieu (Paris), sans nom (chez l’auteur), sans date (circa 1936), in-12, broché, 64 pp. et couv. imprimée en rouge.Bon état.
Homme de lettres, Joseph Santo (1869-1944), ancien conseiller municipal de Nancy, militant catholique et monarchiste, collaborateur de nombreux journaux, publia 115 brochures d’inégale valeur, mais toujours bien documentées sur la Démocratie Chrétienne, le Judaïsme et la Franc-Maçonnerie.
Phone number : 06 60 22 21 35
Jean-Claude Gawsewitch Paris 2010 In-12 ( 200 X 125 mm ) de 370 pages, broché sous couverture illustrée rempliée. Bel exemplaire.
Laffont, 1979, gr. in-8°, 426 pp, broché, bon état
Pendant près de dix ans, jusqu'en 1973, le trafic de l'héroïne a occupé la « une » des journaux. Fabriquées surtout dans le sud-est de la France, des tonnes de poudre blanche ont atteint les États-Unis, rapportant aux trafiquants – indifférents aux deuils et aux misères qu'ils provoquaient – des centaines de millions de dollars. Cet extraordinaire phénomène de civilisation, qui a failli ébranler les bases de notre société, a été baptisé « the French Connection ». La France, à l'origine de ce raz de marée, en a été également la victime. Il a fallu la collaboration étroite des polices de plusieurs pays, des moyens financiers et techniques considérables pour démanteler le réseau des filières constituées par les bandes de malfaiteurs des pays qui bordent l'Atlantique, soutenues par les Mafias sicilienne et américaine. D'autres modes d'acheminement ont, par la suite, été créés. Et aujourd'hui, toutes les informations semblent annoncer une « renaissance » des filières de la « French Connection », une reconstitution de ses laboratoires. Pour mieux faire connaître les mécanismes, les méthodes et l'organigramme des aventuriers qui se lancent de nouveau dans cette effroyable entreprise, deux journalistes, Louis Sapin et Pierre Galante, se sont lancés dans la plus vaste enquête conduite sur le monde secret des trafiquants de drogue, qui avait réussi à résister, de 1965 à 1973, à l'action conjuguée de plusieurs gouvernements. Pendant quatre années, de la Turquie aux États-Unis, en passant par le Liban, la Suisse, Marseille, l'Amérique latine, l'Espagne, le Canada, les Caraïbes, Louis Sapin et Pierre Galante ont suivi, jour après jour, la piste des trafiquants. Grâce à la collaboration de différentes polices, ils ont pu consulter des milliers de dossiers. Ils ont également réuni des centaines de témoignages, reconstitué les causes du trafic, analysé les méthodes et identifié les « gros bonnets ». Dans « La grande filière », ils révèlent les secrets des alliances conclues entre les plus célèbres truands de l'Occident qui se sont partagé des sommes incalculables. Ils racontent les huit années de luttes menées par toutes les polices pour démanteler les réseaux et détruire les laboratoires, ainsi que la vie quotidienne et itinérante des passeurs, parfois comique, souvent dramatique. Louis Sapin et Pierre Galante éclairent ainsi les racines secrètes d'un mal qui ronge notre civilisation.
1977 Editions Alain Moreau - 1977 - In-8, broché - 473 pages
Bon état - Légers plis de lecture au dos - Menus frottements sur la couverture
JC Lattès, 1995, in-8°, 271 pp, broché, bon état
"Gabriel Thiennot n’est plus. Son nom est un symbole de l’erreur judiciaire. Sa mort nous frappe comme une double peine. La tristesse de perdre un ami se mêle au sentiment qu’une ultime injustice se rajoute à celle qui a débuté le 29 décembre 1946, à Saint-Michel-en-Brenne, dans l’Indre. Le garde-chasse du hobereau local, Lebaudy, magnat du sucre, est retrouvé assassiné. L’enquête diligentée par le commissaire Daraud, connu pour sa collaboration avec les nazis, cible très vite un groupe de huit jeunes chasseurs. Il désigne parmi eux, les " tueurs " : Gabriel Thiennot et Raymond Mis. Un "rouge" fils de résistants et un enfant de "Polaks". Pour les faire avouer, Daraud va les torturer nuit et jour. "Il nous faisait faire la prière des Juifs." Quarante ans plus tard, Gabriel Thiennot a éclaté en sanglots en m’expliquant ce qu’on leur avait fait subir : "Il nous mettait des morceaux de bois entre les doigts, et puis il écrasait." Quarante ans après, des témoins avaient encore la tête pleine des cris des jeunes "interrogés" par la police. Premier procès en 1947. L’accusation repose sur les dires d’un des chasseurs que Lebaudy prendra en charge financièrement. Le commissaire reconnaîtra avoir reçu des cadeaux du marchand de sucre. Mis et Thiennot sauvent leur tête mais écopent de lourdes peines de travaux forcés. Condamnation cassée et confirmée deux fois. En 1953, le seul témoin à charge est déclaré débile mental, après avoir incendié une ferme. Gabriel et Raymond sont graciés et libérés. Depuis, ils réclament leur réhabilitation, soutenus par un comité de soutien dont l’action inlassable a bousculé l’institution judiciaire. Avec l’affaire Seznec, celle de Mis et Thiennot a facilité la révision des procès. Est-ce pour les punir de ce combat que la justice leur a refusé le droit d’être rejugés ? Le témoignage d’un gendarme, recueilli par Claude Kroës pour l’Humanité, a démontré l’invraisemblance de l’accusation. Tout y est faux. Même le nom de l’assassin, aujourd’hui décédé, nous est connu. Nous l’avons publié, sans être démenti par ses proches. Finalement, l’affaire Mis et Thiennot n’est pas une "erreur judiciaire", car la justice n’est s’est pas trompée. Elle couvre l’un des pires scandales judiciaires du siècle passé. Gabriel et Raymond sont réhabilités depuis longtemps dans l’opinion publique. On ne peut pas en dire autant de ceux qui maintiennent la fiction de leur culpabilité. Le combat de Gabriel continue." (Serge Garde, juin 2003)