Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 14 mai 1931.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Gallimard, 21 mai 1931.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages. Dernière page réparée.
Périodique. Editions Zed, 21 mai 1931.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 28 mai 1931.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 11 juin 1931.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 18 juin 1931.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 25 juin 1931.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 2 juillet 1931.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 9 juillet 1931.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Gallimard, 29 septembre 1932.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages. Légèrement défraîchi.
Périodique. Editions Zed, 11 avril 1929.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages. Légèrement défraîchi. Manque en coin aux deux dernières pages.
Périodique. Editions Zed, 6 juin 1929.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Gallimard, 25 avril 1935.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 18 juillet 1929.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 25 juillet 1929.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 12 juin 1930.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 26 juin 1930.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 7 août 1930.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 14 août 1930.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 21 août 1930.
Couverture souple. Revue. 30 x 44 cm. 16 pages.
Périodique. Editions Zed, 11 septembre 1930.
P., J. Peyronnet et Cie, 1946, gr. in-8°, 144 pp, broché, couv. illustrée, papier jauni, état correct, bel envoi a.s. à l'avocat Jacques Isorni
"L'auteur nous fait profiter de sa longue expérience de médecin légiste. A la lumière d'un grand nombre de cas succinctement exposés, il exprime ses idées, précise ses vœux. Il souhaite que le nombre des experts reconnus par le juge d'instruction ne dépende pas de l'importance du tribunal mais de la complexité du cas envisagé. On parviendra ainsi dans les cas difficiles à nommer trois experts : l'expert visiteur, l'expert rédacteur, l'expert conseil. L'auteur souhaite également que les témoins soient soumis à une analyse mentale, il voudrait qu'une loi donne à la stérilisation le caractère d'une opération de chirurgie ordinaire, c'est-à-dire que le chirurgien puisse la tenter sous sa responsabilité et avec l'accord du malade quand l'exige la santé du patient. Il voudrait encore que soient créées des colonies de sevrage et de régénérescence pour les alcooliques et leur famille et que le législateur examine à nouveau le problème du certificat prénuptial et du divorce des aliénés. Il pense que les candidats chauffeurs devraient subir un examen mental..." (C. C., L'année psychologique, 1946)
Couverture souple. Broché. 190 pages.
Livre. Editions La Renaissance - Troyes, 1987.
P., La Boutique de l'Histoire, 2003, gr. in-8°, 550 pp, 15 pl. d'illustrations en couleurs hors texte, 52 gravures et photos dans le texte, une carte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
"Une large recherche dans les archives publiques et privées a fourni à l'auteur une base solide qui lui a permis d'étudier les bagnes de la Guyane. L'ouvrage est divisé en deux volets d'inégale longueur. Après le rappel de la déportation des prisonniers politiques depuis la Révolution française jusqu'à la Troisième République, l'étude de l'envoi en Guyane des condamnés de droit commun s'étend des pages 85 à 422. (...) La loi du 30 mai 1854 a officialisé la création du bagne en Guyane et la transportation. Cette législation établissait un régime sévère, contraignant, aggravé par une suspicion généralisée et une surveillance tatillonne. Certaines mesures montrent l'horreur de la situation des forçats enchaînés, accouplés deux à deux, traînant un lourd boulet, occupés à des travaux exténuants, recevant une nourriture insuffisante et de mauvaise qualité. Les infractions au règlement étaient sanctionnées par des punitions : le fouet, la bastonnade, la mise en cellule, le cachot et parfois la mort imposée par un tribunal militaire spécial créé sur place ; le doublage à l'expiration de la peine imposait de demeurer dans la colonie pendant un nombre d'années égal à celui de la condamnation. Et toujours le mépris et les humiliations, sans compter le favoritisme et la corruption de certains surveillants. (...) « Revenir au bagne », deuxième volet de cet ouvrage (pages 423 à 500), a été tiré des dossiers d'Albert Ubaud, (1888-1964), fonctionnaire civil de l'administration pénitenciaire, dossiers conservés par sa famille et remis à Danielle Donet-Vincent. Elle a su extraire de ces documents un témoignage sensible, humain, montrant la face cachée du bagne, fort éloignée des rapports officiels. Sans tomber dans le misérabilisme, l'auteur a su montrer toute l'horreur d'une institution concentrationnaire. Sa connaissance profonde du sujet lui a permis de composer un ouvrage exhaustif dans lequel tous les aspects du bagne guyanais ont été envisagés, y compris le point de vue moral et philosophique." (J. Van Duc, Outre-Mers. Revue d'histoire, 2004)
Rennes, Ouest-France, 1992, in-8°, 191 pp, 16 pl. de photos hors texte, notes, lexique, une carte, annexes, broché, couv. illustrée, bon état
"En 1930, le salutiste Charles Péan publiait son premier ouvrage “Terre de bagne”. Le livre de Danielle Donet-Vincent bénéficie du témoignage oral et des archives (notes et photographies) de cet acteur important des dernières années du bagne de Guyane qui fut nommé, en 1935, membre du Comité consultatif pour la réforme du bagne au ministère des Colonies et, en 1936, membre de la Commission interministérielle pour la suppression du bagne. Le livre décrit les trente dernières années de cet établissement : de 1923, date du premier article accusateur d'Albert Londres, à 1953, année du retour des derniers condamnés en cours de peine et des membres de l'administration pénitentiaire. L'auteur distingue le temps de la dénonciation, puis celui de la suppression et enfin celui de la disparition. Une rigoureuse étude des articles de presse et des ouvrages publiés sur le bagne de 1923 à 1938 permet de mieux comprendre l'engouement de l'opinion pour le bagne. D. Donet-Vincent distingue heureusement au sein de cette profusion éditoriale les écrits privilégiant le sensationnel de ceux dénonçant les conditions de vie lamentables dans les camps. Le ministère des Colonies et le ministère de la Justice créèrent des commissions pour envisager une réforme de la transportation. Les campagnes de presse d'Albert Londres sont mieux connues que l'action de l'Armée du Salut, en France et en Guyane. Là réside, à nos yeux, l'intérêt essentiel du livre. Les missions de Charles Péan, ses ouvrages et ses conférences, les actions concrètes de la congrégation salutiste pour venir en aide aux bagnards, le foyer et le restaurant de Cayenne ou encore le centre d'assistance par le travail pour les libérés sont minutieusement décrits. Les derniers temps du bagne pendant la guerre sont mieux connus. L'auteur revient sur les causes de l'importante mortalité parmi les transportés et souligne la responsabilité de l'administration pénitentiaire. Enfin D. Donet-Vincent évoque la liquidation du bagne et le rôle de l'Armée du Salut dans le rapatriement des condamnés et libérés. Grâce à cet ouvrage, on perçoit mieux les raisons de la lente extinction d'une forme de pénalité qui élimina pendant près d'un siècle du territoire métropolitain ceux que l'on avait renoncé à amender au sein de l'univers carcéral." (Jean-Claude Vimont, Annales, 1996)