In-8, broché (sans couverture), 6 p. Paris, P. Didot l'ainé, 1814.
Membre de l'Assemblée constituante, émigré pendant la Révolution Gaston de Lévis (1764-1830) fut appelé à la chambre des pairs le 4 juin 1814 et élu membre de l'Académie française en 1816.Bon exemplaire.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Paris, Le Clère, 1815; in-4, 3 pp., dérelié. Petit manque dans la marge sans atteinte au texte. Deux feuilles détachés.
Daté du 14 août 1815. Vignette de l'Archevêché. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1 vol. in-12 br., sous couv. d'attente, De l'Imprimerie de Lédan, Morlaix, s.d. (1814), 8 pp.
Rare exemplaire d'une édition bretonne de la Charte de 1814. Etat satisfaisant (marges trop courtes affectant le texte sur les 2 derniers feuillets).
1 brochure in-4, De l'Imprimerie de P. Coudert, Bordeaux, s.d. [ 1814 ], 4 pp.
Etat très satisfaisant (pliures verticale et horizontales, brochure lég. froissée en tête) pour cette édition bordelaise du texte de la Charte de 1814. Le document expose auparavant le cérémonial présidant à la lecture, et propose une transcription du discours de Louis XVIII. Suit le texte de la Charte lu par le ministre Ferrand, puis quelques détails relatifs à la liste des membres de la chambre des Pairs, ou à la première séance publique de la chambre des députés, réunit à l'issue de la séance royale : une adresse de remerciement à Sa Majesté , à rédiger par Lainé, Raynouard, Maine-Biran Flaugergues et Gallois, est votée unanimement.
Ouvrage imprimé à Paris à 10 000 exemplaires et supprimé par ordre du Ministre Peyronnet, 1 vol. in-8 reliure bradel demi-percaline à coins verte, couvertures et dos conservés, reliure signée de Stroobants, Publié par H. Tarlier, Bruxelles, 1830, 133 pp.
Curieux ouvrage, contenant d'assez longues notes imprimées, mais ne précisant pas le destinataire ni l'occasion de cette correspondance, censurée par le dernier ministre de l'Intérieur de Charles X. Bon exemplaire relié par Stroobants, provenant de la bibliothèque du château des Guerrots (Seine-Maritime). Bon exemplaire (dos et plats lég. passés, mention du librairie Lucien Gougy en garde, parfait fraîcheur intérieure).
Bruxelles, Coster et compagnie, 1830 in-8, 133 pp., broché. Rousseurs et mouillures marginales aux premiers ff. Légt défraîchi.
Deuxième édition, la première portant l'adresse d'Amiens, et l'année de la mort du Roi (1824), mais n'ayant pas été diffusée à l'époque. Regroupe un ensemble de lettres datées de 1810 et 1811, pendant l'exil du prince à Hartwell. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Marseille, Imprimerie de Dubié, s.d. (1823) in-12, 4 pp., en feuille.
Extrait du discours du trône pour l'ouverture de la session parlementaire 1823, par lequel Louis XVIII annonçait la mise sur pied d'une expédition militaire destinée à rétablir Ferdinand VII dans la plénitude de ses droits : "Cent mille Français, commandés par un prince de ma famille, par celui que mon coeur se plaît à nommer mon fils, sont prêts à marcher, en invoquant le Dieu de Saint Louis, pour conserver le trône d'Espagne à un petit-fils d'Henri IV, préserver ce beau pays de sa ruine, et le réconcilier avec l'Europe." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie de Laurens, (1817) in-4, 2 pp.
Un discours de politique générale. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Le Normant, s.d. (1816); in-4, 4 pp., dérelié. Petit manque dans la marge sans atteinte au texte.
Vignette aux Armes de France sur la première page. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Le Normant, s.d. (1815); in-4, 4 pp. Petit trou traversant les pages avec perte de texte n'altérant pas la lecture.
Vignette aux Armes de France sur la première page. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Par M. J.-J. Broché Très bon Grenoble Baratier 1816 1 plaquette in-8°
édition originale
Marseille, Antoine Ricard, s.d. (1815); in-12, 8 pp., en feuilles.
Discours d'ouverture des Chambres pour la session de 1816, avec, pour la chambre basse, la fameuse "Chambre introuvable" peuplée essentiellement de royalistes exaltés."Lorsque l'année dernière, j'assemblai pour la première fois les deux chambres, je me félicita d'avoir par un trait honorable, rendu la paix à la France : elle commençait à en goûter les fruits ; toutes les ressources de la prospérité se rouvraient. Une entreprise criminelle, secondée par la plus inconcevable défection, est venue en arrêter le cours. Les maux que cette usurpation éphémère a causés à notre patrie m'affligent profondément. Je dois cependant déclarer ici que, s'il eût été possible qu'ils n'atteignissent que moi, j'en bénirais la Providence." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Discours de Louis XVIII aux chambres appelant à la défense de la Charte, alors que Napoléon arrivera aux Tuileries le 20 mars ! en feuille Très bon Aix Mouret 1815 1 plaquette in-8°
Marseille, Rouchon, s.d. (1824); in-8, 12 pp., en feuilles.
Reproduction de l'article du Moniteur annonçant la mort de Louis XVIII, survenue le 16 septembre 1824."Un double principe politique est renfermé dans cette acclamation de la douleur et de la joie : l'hérédité de la famille souveraine, l'immortalité de l'Etat". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Adressé à Dubard major attaché à l'État major de s. e. Mr le Mal Duc de Valmy En feuille Très bon 13 avril 1814
In-8, broché, couverture bleue d'attente, 80 p. Paris, L'Huillier, 1821.
Edition originale. "Cet ouvrage est divisé en trois chapitres; le premier renferme le discours prononcé par le roi dans la séance du 16 mars 1815; le deuxième comprend la Charte , et sous chacun de ses articles l'indication des actes, lois et ordonnances qui l'ont suspendue, ou qui, selon l'auteur, l'ont violée. Enfin, dans le troisième chapitre, on trouve l'ordonnance du 9 mars 1815 et la loi du 15 mars 1815, dans laquelle le roi proclame la Charte le point de ralliement de tous les Français (). On attribue cette brochure à un jeune écrivain de l'opposition, qui a déjà soutenu avec quelqu'éclat une lutte judiciaire pour le parti politique qu'il a embrassé" ("Revue Encyclopédique", T. X, avril 1821, n°279, p. 606).Bon exemplaire, bien conservé.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
S. l. n. d., vers 1776 ; manuscrit in-12 de 39 pp., veau fauve de l'époque, trois filets dorés en encadrement sur les plats, fleurons en écoinçons, dos lisse orné, pièce rouge, roulette intérieure, tranches rouges.
Célèbre « satire persane » à clef attribuée au comte de Provence, futur Louis XVIII, dirigée contre Turgot, contrôleur général des Finances de Louis XVI, contre ses amis économistes et contre l'administration centralisée des « mannequins », aujourd'hui apellés « les petits hommes gris ».Les copies manuscrites de ce pamphlet sont très rares. Celle-ci renferme, sur le dernier feuillet, une clef à vingt-cinq entrées, plus complète que celle reproduite par Drujon. D'après une note manuscrite ancienne collée sur la garde, « l'exemplaire vient du cabinet de M. Hyvert de Beauvoir [Hébert de Beauvoir] ». Il porte aussi les signatures « François Moussoir » et « Mis Turgot » (marquis Turgot ou manuscrit Turgot ?). Coiffes habilement restaurées. Drujon, Les Livres à clef, I, p. 571. Quérard, France littéraire, V, p. 368
Paris, chez Montaudon, 1814 ;in-12°,broché, couverture de papier rose de l'époque , étiquette imprimée au dos; 106pp. et frontispice ( de 5 portraits en médaillons).
Petit manque de papier au dos.(S1)
1814 Paris, chez Montaudon, 1814 ;in-12°,broché, couverture de papier ;106pp.
Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Paris, Amyot, 1845 in-8, CCXXXIII-230 pp., broché.
Édition originale.Précédé d'une introduction biographique par Barante, cette très importante correspondance pour l'histoire de la contre-révolution, concerne les années 1796 à 1808.Après avoir été ministre de Louis XVI en 1789, Saint-Priest est appelé par Louis XVIII en son conseil à la fin de 1795. Il va s'efforcer d'améliorer les relations entre l'Autriche et les émigrés. Il ne rejoint Louis XVIII à Blankenbourg qu'en mai 1797. Il réorganise l'agence royaliste de Paris, s'occupe des relations avec la Russie qui accueille Louis XVIII et subventionne l'armée de Condé. Plutôt modéré, il quitte le Conseil en 1800, et gagne la Suède où il restera jusqu'en 1809. Les documents publiés reprennent la correspondance de Louis XVIII mais également certaines réponses de Saint-Priest. Ils sont capitaux pour la période 1797-1800 où Saint-Priest faisait office de Premier Ministre. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
P., Amyot, 1845. In-8 demi-percaline vert bronze post., dos lisse, auteur et titre doré[2] ff., CCXXXIII-230 pp.
Usure ordinaire des coupes, très pâle auréole en marge des derniers ff., bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
D'AMYOT. 1845. In-12. Broché. Etat passable, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 230 pages. Quelques manques sur le dos et en charnières.. . . . Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire
Classification Dewey : 846-Lettres, correspondance littéraire
Paris, Librairie d'Amyot, 1845. In-8 de CCXXXIII-(3)-230 pp., veau glacé, dos orné à nerfs, triple filet doré d'encadrement sur les plats, tranches jaspées (Tripier-Bradel).
Édition originale. Correspondance de Louis XVIII et du comte de Saint-Priest du 31 Août 1795 au 29 Février 1808.Provenance : bibliothèque du vicomte de Bourbon-Busset. Dos passé mais très bon exemplaire.
… Les travaux ordinaires seront interrompus les Dimanches et jours de Fêtes … Broché Très bon Paris Lottin 1814 1 plaquette in-4°
édition originale
Dijon, Frantin, 1815 in-8, 15 pp., en feuilles.
Daté du 19 mai 1815, ce manifeste, dont la diffusion en France dut alors rester exceptionnelle, forme la première "communication" officielle générale de Louis XVIII depuis son exil de Gand."Le Roi étoit impatient de parler à ses peuples ; il lui tardoit de leur témoigner tout ce qu'avoient fait éprouver à son coeur, ces marques de fidélité, ces consolations inexprimables qui lui ont été prodiguées dans toutes les villes, dans tous les villages, sur toutes les routes qu'il a traversées, lorsqu'il cherchout un point de réunion pour les fidèles défenseurs de sa personne et de l'Etat ; lorsqu'il demandoit, sans pouvoir le trouver, un rempart derrière lequel ils eussent le temps de s'armer avec lui contre une trahison trop noire, trop basse, pour n'avoir pas été imprévue." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT