‎GABRIELLE D'ESTREES et LES BOURBON-VENDOME.‎

‎1936 / 219 pages. Broché. Editions Calmann-Lévy.‎

‎Couverture d'usage, intérieur frais, pages non coupées. bon état.‎

‎Lettres et pensées publiées par Mme la baronne de Staël Holstein. Quatrième édition, revue et augmentée‎

‎Paris et Genève, Paschoud, 1809 in-8, 13-336 pp., demi-basane brune, dos lisse orné de filets dorés Epidermures, mors très frottés. Ex-libris manuscrit Philippe Derode (?). (reliure de l'époque).‎

‎Quatrième édition publiée la même année que l'originale, à la même enseigne.En 1809, Madame de Staël rencontra le prince de Ligne (1735-1814) à Vienne et le découvrit comme écrivain. Pour lui marquer son admiration, elle publia des extraits de sa correspondance. Dans sa préface, elle en fait le portrait et loue "ce mélange du sérieux et de la gaîté, de la plaisanterie et de la raison, de la légèreté et de la profondeur" qui font de lui "un véritable phénomène". Ce diplomate et grand voyageur résuma à lui seul le XVIIIe siècle aristocratique.Lonchamp, 82. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Mémoires et lettres. Nouvelle édition illustrée et augmentée de nombreux documents inédits‎

‎Paris, Éditions Crès & Cie, 1923 in-8, 366 pp., portr.-front. en couleurs, 40 pl. dont 5 en couleurs, broché. ‎

‎Exemplaire numéroté. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Recit veritable de ce qui s'est passé au Parlement sur la declaration du mois de septembre 1615.-‎

‎S.l.n.d. Petit in-8 sans couverture, tiré d'un recueil, 7pp.‎

‎Le Roy ayant envoyé à la Cour une Declaration contre M.le Prince de Condé, & ceux qui l'ont suivi en ces derniers mouvements, conçeuë en termes si extraordinaires,....il a esté particulièrement representé, comme telle Declaration contre les Princes du sang estoit sans exemple, & contre les loix & formes du Royaume,..|En bref ce texte dément un arrêt attribué au Parlement et qui, lui, approuve la décision du roi qui, on le sait, avait, le 10 sept.1615, déclaré criminels de lèse-majesté Condé et ses partisans. De l'intox au 17°.‎

‎Resolution à la Paix et au Service du Roy.-‎

‎Paris. Joseph Bouïllerot. 1614. Petit in-8 sans couverture, dérelié d'un recueil, 14pp. Petit travail de vers, sans perte de texte.‎

‎S'il y a subject duquel il soit également malaise & dangereux d'escrire, c'est des affaires des Princes et des Grands.. Ceci dit, l'auteur dont je n'ai pu trouver le nom, s'adressant à un correspondant non moins anonyme, s'emploie à expliquer que les intentions du Prince de Condé sont sans doute pacifiques mais que, si par malheur elle (la guerre) éclatait, le devoir serait d'être du côté du roi. En dernière page: Comme j'achevais cecy, on m'a apporté la nouvelle de la Paix que je predisois: Dieu veuille qu'elle soit aussi sincere & durable que l'esperent ceux qui la desirent.|En 1615, Condé se révoltait à nouveau! Toujours la révolte de Condé!‎

‎faicte entre le Roy et Nosseigneurs les Princes.-‎

‎Paris. Abraham Saugrain. 1616. Avec Permission. Petit in-8 sans couverture, tiré d'un recueil, exemplaire un peu poussiéreux, qq. rousseurs.‎

‎Texte anonyme mais important au sujet de la paix entre le roi et le Prince de Condé. On sait que lorsque Condé revint à Paris, le 20 juillet 1616 il y fit une entrée triomphale et y mena ensuite plus grand train que le roi. Sa popularité et les ambitions grandissantes qu'on lui prêtaient alarmèrent la reine et Louis XIII qui finirent par le faire arrêter le 1°septembre de la même année. Enfin la Paix!‎

‎Les notaires au Châtelet de Paris, sous le règne de Louis XIV (étude institutionelle et sociale). Préface de Bernard Barbiche.‎

‎ Toulouse, Presses Univ. du Mirail, 1992. In-8 br., 463 pp, 9 tableaux et 3 graphiques; annexes, sources et biblio., tables. ‎

‎Être notaire à Paris, sous le règne du Grand Roi, c'est faire partie de la compagnie du Châtelet, une communauté qui jouit, par rapport aux institutions analogues de province, d'une incontestable prééminence. Être notaire à Paris, au cours du Grand Siècle, c'est aussi appartenir à la bourgeoisie parisienne moyenne, avec un rapprochement de plus en plus marqué entre études prospères et grands noms de la finance. Être notaire à Paris, enfin, entre 1650 et 1715, c'est, souvent, appartenir à des dynasties notariales, dont l'histoire nous est donnée à travers plus d'une centaine de notices biographiques détaillées, qui serviront aussi bien aux historiens du notariat qu'aux généalogistes ou aux curieux des événements et personnages du passé de la capitale. La vie d'une compagnie, son organisation financière, les fortunes et les stratégies familiales, la pratique du métier, les familles et la hiérarchie notariale, l'habitat et les curiosités intellectuelles. Suivi de plus d'une centaine de notices biographiques concernant les notaires et accompagné d'arbres généalogiques sur les familles Capet, Lambon, Lequin, Le Semelier, Le Vasseur, Moufle, Ogier, Parque et Touvenot. Mouillure en bas du dos visible mais à l'intérieur mais restant marginale, bonne condition par ailleurs. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

‎Messieurs de Monneron mousquetaires du Roi et l’Abbaye de Grandmont. Contribution à l’Histoire de la société de la Marche et du Limousin, aux XVIIe et XVIIIe siècles‎

‎Paul Bertrand de La Grassière 1974 In-8 15,5 x 24 cm. Broché sous couverture imprimée, 209 pp., 3 planches hors texte. Exemplaire en bon état. - Préface de Jean DAUJAT‎

‎ Bon état d’occasion ‎

‎La France plus qu’angloise, ou comparaison entre la Procédure entamée à Paris le 25 sept. 1788, contre les Ministres du Roi de France et le Procès intenté à Londres en 1640 au Comte de Strafford principal Ministre de Charles premier, Roi d’Angleterre : Avec des Réflexions sur le danger imminent dont les entreprises de la Robe menacent la Nation et les Particuliers. Seconde édition.‎

‎A Bruxelles, , A Bruxelles, 1788 ; in-8, broché, couv. bleue muette, entièrement non rogné. 2 ff., 175 pp.Linguet se présente comme un défenseur de l’autorité légitime du Roi, face aux abus du Parlement de Paris qui vient, une nouvelle fois, de condamner ses Annales à être lacérées et brûlées (27 sept. 1788). Linguet avait également été exclu de l’ordre des avocats. Cioranescu 40562.‎

‎Mémoires sur la Bastille.-‎

‎Publiés avec préface, notes et tables par H. MONIN. Paris. Librairie des Bibliophiles. 1889. In-12 (114 x 177mm) dos lisse et coins basane racinée, pièce de titre maroquin rouge, filets or, plats et gardes marbrés, 2ff.n.ch., LI, (1), 297 pages. Petit accident à la coiffe supérieure, sinon bon exemplaire. ‎

‎La France plus qu'angloise ou comparaison entre la procédure entamée à Paris le 25 septembre 1788 contre les Ministres du Roi de France, et le Procès intenté à Londres en 1640, au Comte de Strafford, principal ministre de Charles premier, Roi d'Angleterre. Avec des Réflexions sur le danger imminent dont les entreprises de la robe menacent la Nation, et les Particuliers. Seconde édition‎

‎À Bruxelles, 1789 in-8, 149-[3] pp., dérelié. ‎

‎Seconde édition après celle de 1788 de l'un des textes les plus célèbres de Linguet. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Observations sur l’Imprimé intitulé, Réponse des états de Bretagne au Mémoire du Duc d’Aiguillon.. Par Simon-Nicolas-Henri Linguet‎

‎Chez Le Jay, Libraire 1771 In-16, reliure de l’époque, demi basane marbrée, dos lisse orné de fleurons et de filets dorés, pièce de titre maroquin beige, XXIV + 534 pp. Plats légèrement épidermés, une quarantaine de pages piquées mais ne gênant pas la lecture. En l’état.‎

‎Emmanuel Armand de Vignerot du Plessis-Richelieu, duc d'Aiguillon (1720-1788), fut Gouverneur de Bretagne (1753-1768). Il s'y rend impopulaire par sa lutte contre La Chalotais et le Parlement de Bretagne. Il est rappelé à la cour. Au service des Grands sous l’Ancien régime, Simon-Nicolas-Henri Linguet (1736-1794) fut un avocat, publiciste, homme de lettres et propriétaire terrien, à la fois opposé aux philosophes, aux jansénistes, et surtout au libéralisme économique mis en place par la Révolution dont il dénonça avec virulence les conséquences pour les classes laborieuses. Sa pensée politique complexe et souvent d'aspect contradictoire le mena à l’échafaud. Il fut guillotiné le 27 juin 1794. Bon état d’occasion ‎

‎Beaumarchais et ses œuvres. Précis de sa vie et histoire de son esprit. D'après des documents inédits‎

‎Paris, Hachette et Cie, 1887 in-8, V-447 pp., portr.-front., fac-similé dépl., demi-basane brune, dos lisse orné de filets dorés Dos passé, certains cahiers déboîtés, rousseurs. Cachet. (reliure de l'époque).‎

‎ LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Un magistrat homme de lettres au dix-huitième siècle. Le Président Hénault (1685-1770). Sa vie, ses œuvres d'après des documents inédits‎

‎Paris, Plon, 1903 in-8, IV-446 pp., portrait en frontispice, demi-chagrin bleu, dos à nerfs orné Petits frottements au dos. (reliure de l'époque).‎

‎ LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Un magistrat homme de lettres au dix-huitième siècle. Le Président Hénault (1685-1770). Sa vie, ses œuvres d'après des documents inédits‎

‎Paris, Plon, 1903 in-8, IV-446 pp., portrait en frontispice, demi-maroquin vert, dos à nerfs, couv. cons. (reliure moderne).‎

‎Bouclier d'Estat et de Justice contre de dessein manifestement découvert de la Monarchie Universelle, sous le vain prétexte des prétentions de la Reyne de France.‎

‎sl, sn, 1667, 1 volume, in-12, relié, 251 p., les 18 premières non chiffrées. Nouvelle édition, mais certainement la première. Reliure d'époque, vélin blanc à recouvrement, dos muet, manque de vélin en haut du dos, défauts divers sur le second plat, signature ancienne sur la première garde, note manuscrite ancienne sous la date de la page de titre.‎

‎Lisola était un traitre français à la solde des Habsbourg, il n'a cessé de comploter contre Louis XIV au profit du Saint empire romain germanique et de l'Angleterre. Très bon état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).‎

‎L' Intendance d'Alsace sous Louis XIV 1648-1715‎

‎Paris, Les Belles Lettres, 1956 fort gr. in-8, 1084 pp., index et biblio, 27 cartes, croquis, diagrammes, fac-similés, broché. ‎

‎ LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Arrest de la Cour des Aydes, donnez au profit des officiers domestiques et commençaux de la maison du roy et des roynes pour le traficq de marchandise.‎

‎ P., Mettayer, 1627. Brochure in-12, 8 pp. sans couv. ‎

‎Concerne des habitants de Fère-en-Tardenois. Bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

‎Le régime rural de l'ancienne France‎

‎Paris, P. U. F., 1942 in-8, VII-190 pp., ill. in et h. t., biblio., br. ‎

‎ LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Centenaire de l'édit du 17 novembre 1787. Les Partisans et les adversaires de l'Édit de Tolérance. Étude bibliographique et juridique, 1750-1789‎

‎Paris, Fischbacher, s.d. (1887) in-4, 16 pp., broché. ‎

‎ LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎L'Ancienne Monarchie française et son destin européen.‎

‎ Vichy, Imp. Wallon, 1972, in-8°, 183 pp, broché, bon état‎

‎La Saint-Barthélemy. L'affaire des poisons et Madame de Montespan. Le Masque de fer devant la critique moderne.‎

‎ Paris, E. Plon et Cie, 1882. In-8, rel. de l'ép. pleine-toile enduite beige, dos lisse orné d'un fleuron doré, pièce de titre brune, titre et date dorés, couv. cons., XIII-322 pp. ‎

‎Trois énigmes historiques, Perc. un peu salie, rousseurs éparses, bon ex. par ailleurs. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

‎Beaumarchais et son temps. Etudes sur la société en France au XVIIIe siècle d'après des documents inédits‎

‎ Michel Lévy Paris Michel Lévy 1858, 2 volumes In-8 brochés de 520 + 595 pages. Non coupés .Excellente biographie de BEAUMARCHAIS et étude sociale sur le XVIII° siécle. Bon état. ‎

‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

‎Les Mirabeau. Nouvelles études sur la société française au XVIIIe siècle‎

‎Paris, Dentu, 1879-1891 5 vol. in-8, Certains dos un peu fendillés. broché. ‎

‎Rare complet.Envoi à Allbert Sorel.Saffroy, III, 48688. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Les Mirabeau. Nouvelles études sur la société française au XVIIIe siècle.‎

‎ P., E. Dentu, 1889-1892, 5 forts vol. in-8°, viii-488,660,x-734,513 et 506 pp, pièces justificatives, reliures demi-chagrin lie-de-vin, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et tomaisons dorés, couv. conservées (rel. de l'époque), dos uniformément passés, pas de rousseurs, bon état (Grand Prix Gobert de l'Académie française 1892), ex-libris de Jocas‎

‎Complet. — L'ouvrage de référence sur Mirabeau et sa famille. Bien complet de la rare deuxième partie (tomes III, IV et V) qui manque souvent. — "On sait que les dernières années de M. de Loménie ont été consacrées presque exclusivement au grand travail qu'il avait entrepris sur la famille de Mirabeau Un ami lui avait confié la totalité des manuscrits si riches et si intéressants, recueillis sur cette famille par M. Lucas de Montigny. Il avait complété et contrôlé des documents par des recherches patientes, et c'est seulement après de longues années d'élaboration qu'ils était déterminé à faire connaître au public le fruit de ses études. Les volumes I et II ne constituent que la première partie du livre de M. de Loménie ; la seconde partie, celle qui concerne particulièrement le grand orateur, a été interrompue par la mort du regretté académicien, mais elle est dans un état d'achèvement suffisant pour permettre à sa famille de la publier. – Les deux premiers volumes sont donc destinés à avoir une suite. Aucun sujet ne pouvait d'ailleurs mieux servir son auteur. Tous les membres de cette famille de Mirabeau ont été des personnages d'une rare originalité, très propres à faire ressortir les contrastes du siècle qui a précédé la Révolution. M. de Loménie les fait revivre tous d'abord, l'aïeul de Mirabeau, le marquis Jean-Antoine, vieux guerrier mutilé à la bataille de Cassano, la terreur, mais en même temps la vénération de ses enfants et de ses vassaux ; son fils, “l'Ami des hommes”, qui représente, comme l'a dit M. de Tocqueville, l'invasion de la démocratie dans une tête féodale, à la fois imbu des préjugés d'un grand seigneur d'autrefois et des préoccupations philanthropiques d'un utopiste du dix-huitième siècle ; ses nombreux ouvrages sont oubliés, mais ses lettres offrent un caractère d'énergie primesautier sous des formes archaïques, qui rappelle la manière de Saint-Simon ; son frère le bailli, une des figures les plus nobles et les plus attrayantes qu'on puisse imaginer... M. de Loménie fait également apparaître la mère du grand orateur, triste personne assurément, mais qu'il importe de connaître pour expliquer son fils et excuser son mari ; il raconte cette lutte implacable entre les deux époux, qui a défrayé la malignité des contemporains, les scandales et les pamphlets injurieux contre lesquels le marquis de Mirabeau a eu le tort de se défendre à coups de lettres de cachet ; le rôle singulier de son fils, le futur orateur, sans cesse occupé à exciter ses parents l'un contre l'autre, pour tirer profit de leur division. Le grand charme du livre de M. de Loménie, c'est sa variété. A côté d'études approfondies sur l'état social au dix-huitième siècle, il renferme des chapitres tout à fait piquants. On peut citer comme tels les récits de la jeunesse du marquis, de ses débuts à l'armée et au parterre tumultueux de la Comédie-Française, de son mariage, de ses démêlés avec sa femme, et des descentes de la marquise dans l'hôtel de son mari, alors que les deux époux étaient séparés de fait et non encore de droit. On connaît maintenant la femme qui donna le jour à Mirabeau ; on sait à quelle guerre domestique le tribun fut mêlé, on pourrait dire dès son enfance (...) l'homme qui a eu pour père ce gentillâtre parleur et cette mère affolée, âpre à l'argent, devait forcément devenir l'avocat corruptible d'une cause embrouillée ; ce fut la Révolution qu'il défendit. Mirabeau fut le plus grand orateur de son temps..." (Philippe Gille, La Bataille littéraire, 2e série, 1890) ‎