‎Les trésoriers-payeurs généraux de la cinquième République : Les hommes, les missions‎

‎Editions du Trésor. 1996. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 219 pages.. . . . Classification Dewey : 330-Economie‎

‎ Classification Dewey : 330-Economie‎

‎Emprunts russes et investissements français en Russie 1887-1914. Recherches sur l'investissement international ‎

‎Publications de la Sorbonne / Librairie Armand Colin, 1973, in-8 br., 618 p., 1ère édition, 15 cartes et graphiques, bon état. ‎

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‎ " L'histoire des emprunts russes est simple, le mythe est édifiant. À la fin du XIXe siècle les rentiers français ont prêté leur or à l'allié russe ; la révolution bolchevique a brutalement renié les dettes de l'ancien régime, en 1918, sans jamais payer d'indemnités aux anciens créanciers ou investisseurs jusqu'aux récents accords de 1996 qui replacent cette vieille histoire dans l'actualité immédiate. [...] L'ampleur des sommes prêtées, la large diffusion des " papiers russes " dans le public français, le rôle joué par la presse dans la formation d'une conscience collective française vis-à-vis de la Russie tsariste, puis bolchevique, le bouleversement social qui suivit la première guerre mondiale avec la disparition du " rentier ", personnage symbolique de la Belle Époque, avaient abouti à la création d'un mythe fort et d'une réalité navrante : le petit bourgeois français qui avait prêté son or à la Russie, l'entrepreneur français qui avait investi en Russie, autant par intérêt raisonné que par réflexe patriotique, a été grugé, dépossédé, trompé par des dirigeants sans foi ni loi ; toute morale est ainsi bafoué. L'historien doit raisonner sur les faits et se garder de porter des jugements de valeur sur l'attitude des épargnants de la Belle Époque. L'histoire des emprunts russes appartient à l'histoire globale des relations internationales avec tout ce que celle-ci comporte d'implications politiques, économiques et sociales pour les pays concernés. Il convient de répondre aux trois questions classiques : quand, pourquoi, comment emprunts et investissements français en Russie ? Cette étude donne très clairement bien des réponses". Voir le sommaire sur photos jointes. ‎

‎Emprunts russes et investissements français en Russie 1887-1914. Recherches sur l'investissement international.‎

‎ Paris, Armand Colin, 1973. Fort in-8 broché, 618 pp., tableaux, cartes et graphiques in-t., annexes, bibliographie, index. ‎

‎Publications de la Sorbonne, N.S. Recherches - 3. Couv. un peu jaunie. Bon ex. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

‎L'AFRIQUE EN PANNE, VINGT-CINQ ANS DE 'DEVELOPPEMENT'‎

‎Karthala. 1986. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 204 pages. Illustré d'une carte en noir et blanc hors texte. Etiquette de code sur le dos. Tampon et annotations de bibliothèque en page de titre.. . . . Classification Dewey : 330-Economie‎

‎'Les Afriques'. Un continent qui se remplit. Des greniers qui se vident... Classification Dewey : 330-Economie‎

‎Démocratie culturelle et doit à la différence-rapport au miinistre de la culture‎

‎la documentation française. 1982. In-8. Broché. Bon état, Couv. partiel. décollorée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 108 pages. Exemplaire de bibliothèque recouvert d'un film transparent. Etiquette sur le premier plat et au dos. Tampon sur certaines pages. Range fichette sur la dernière page.. . . . Classification Dewey : 330-Economie‎

‎ Classification Dewey : 330-Economie‎

‎LES EFFETS DU REARMEMENT SUR L'EQUILIBRE ECONOMIQUE NATIONAL, L'INFLUENCE DE LA GUERRE DE COREE SUR LES ECONOMIES DES ETATS-UNIS, DU ROYAUME-UNI, DE LA FRANCE ET DE LA SUISSE (THESE)‎

‎Imprimerie St-Paul, Fribourg. 1958. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 151 pages. Etiquette de code sur le dos. Tampons et annotations de bibliothèque sur le 1er plat et en page de titre.. . . . Classification Dewey : 330-Economie‎

‎Thèse prés. à la Faculté des Lettres de l'Univ. de Fribourg. Classification Dewey : 330-Economie‎

‎Traité historique de l'État des trésoriers de France et généraux des finances, avec les preuves de la supériorité de ces offices. Le tout enrichie de notes. Divisé en deux parties. Premiere [-Seconde] Partie.‎

‎A Nancy, Chez la veuve Leclerc, 1776. 2 volumes in 1. (16), 349, (1) pp.; (2), 358, (16) pp. 4to. Modern vellum, red label with gilt lettering. Kress S.4854; Masui, i, p. 404; not in Goldsmiths; not in Einaudi; not in INED; not in Franklin, Les Sources de l'histoire de France; not in Catalogue de l'Histoire de France; Conlon 76:1033. First edition. Henri Antoine Regnard de Gironcourt (1719-1786), became a lawyer at Epinal in 1746 and published several Mémoires dealing with taxes on merchandise to be levied on behalf of religious orders, a practice which existed since the tenth century. He also wrote a number of works and articles on the history of the Lorraine. The present work was his most important and is an esteemed historical treatise on French finances and the responsible officers. - Very good copy and rare. ‎

‎La Liberté de l'homme, but de la révolution sociale espagnole. Conférence faite au Théâtre San Fernando, de Séville, le 3 novembre 1951, organisée par la Chambre syndicale agraire‎

‎Madrid, Clemares, 1951 in-8, 59 pp., [2] ff. n. ch. de table, broché. ‎

‎Unique traduction française de "La Libertad del Hombre : meta de la revolución social española". Figure de proue du phalangisme, José Antonio Giron de Velasco (1911-1995) fut, sur recommandation de Ramón Serrano Súñer, ministre du travail de 1941 à 1957. Il eut pour mission de piloter la politique sociale de la première période du franquisme. Cette politique sociale, inspirée de la Charte du Travail de 1938, ne portait pas tant sur la politique syndicale, que sur la politique sociale au sens propre du terme, à savoir la mise en place d’un système de sécurité sociale de grande envergure, qui visait, comme ailleurs en Europe, à couvrir les risques liés au vieil âge, au veuvage, à la situation d’orphelin et au chômage total ou partiel, à instaurer les congés payés et à créer un réseau d’assistance sanitaire.Palau ne signale ni l'une ni l'autre des deux versions. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎Réflexions sur l'organisation du crédit agricole. Extrait du Bulletin de la Société de statistique de l'Isère, 2e série, tome Ier.‎

‎ Grenoble, Imp. de N. Maisonville, [1850]. In-8 broché, 28 pp. ‎

‎ Ouvrage rare, dans un état de conservation peu fréquent. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

‎Deux siècles d'économie tourangelle vécus par la Chambre de Commerce et d'Industrie‎

‎C.L.D. Cartonné avec jaquette 1981 In-8 (18 x 23,7 cm), cartonné avec jaquette, 217 pages ; petite déchirure (1,5 cm) sans manque au quatrième plat de la jaquette en queue, par ailleurs très bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

‎Capitalisme - idées et images de ce temps sous la direction de Lucien Romier‎

‎ ,Paris, Portiques 1931, 248 pp., 1 vol. in 12 br. ‎

‎FAILLITE DU DIRIGISME - 2e EDITION‎

‎SPID. 1947. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 26 pages.. . . . Classification Dewey : 330-Economie‎

‎PREFACE DE JACQUES LACOUR-GAYET Classification Dewey : 330-Economie‎

‎La maladie du monde. Essai de pathologie monétaire.‎

‎TALLANDIER Jules. 1933. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 192 pages. Coiffe en pied légèrement usée.. . . . Classification Dewey : 330-Economie‎

‎Collection du Temps Présent. Classification Dewey : 330-Economie‎

‎La Maladie du monde. Essai de pathologie monétaire.‎

‎ P., Jules Tallandier, 1933, in-8°, 192 pp, broché, bon état (Collection du Temps présent)‎

‎"Cet ouvrage a pour sous-titre "Essai de pathologie monétaire" et c'est bien mieux qu'un essai : un exposé complet des troubles monétaires d'après-guerre et des systèmes idéologiques qui les facilitent, fort bien charpenté et si clair que l'homme de la rue est admis à comprendre des maux dont il lui est réservé seulement d'être la victime, et non l'observateur. M. d'Estaing appartient à l'école libérale orthodoxe, et il a des traits acérés pour les thèmes et les belles imaginations de l'économie dirigée. Mais ce n'est non plus une adhésion figée au libéralisme qui l'inspire : il a le souci d'en renouveler et d'en mettre au point les méthodes." (Le Figaro, 1934) — "Le titre est justifié. Le monde souffre d'une maladie monétaire. M. E. G. d'E. regarde les systèmes monétaires comme vivants, irréductibles à des formes mathématiques et statistiques. Ce n'est pas qu'il nie l'existence de « normes », mais il nous croit incapables, au moins jusqu'à présent, de les préciser. Nous ne pouvons, prétend-il, que les reconnaître au passage, dans la pénombre. Cette incapacité serait due à ce fait que les phénomènes monétaires sont « extraordinairement récents » ; ils obéissent à des lois, mais l'emploi des monnaies est commandé par notre volonté qui les soumet aux incertitudes de notre connaissance. N'accusons donc pas les instruments de la circulation or, monnaie, crédit ; prenons-nous-en à l'usage qu'en fait « notre intelligence ou notre sottise ». Telle est la base des développements de ce livre clair, exact et actuel. Peut-être les historiens penseront-ils que les phénomènes monétaires ne sont pas aussi récents qu'ils le paraissent, les philosophes prétendront-ils que l'insuffisance de notre entendement se révèle dans tous les domaines, les économistes refuseront-ils de pousser le raisonnement de M. E. G. d'E. au point de nier la possibilité d'établir certaines définitions (par exemple les mots d'inflation et de déflation ne sauraient, d'après l'auteur, prétendre, à aucune rigueur, ils désigneraient des « tendances » et non des « états »). Mais ces réserves sont elles-mêmes fort discutables et le volume se lit avec un intérêt soutenu qui est la meilleure des justifications. M. E. G. d'E. est déjà bien connu du grand public, grâce aux nombreux articles qu'il a publiés dans des revues, et nous retrouvons ici ses remarquables qualités d'exposition. Les principaux facteurs de l'économie moderne sont mis en relief et étudiés sous des titres suggestifs La révolution du chèque, la sarabande monétaire et l'immobilité des véhicules, la révocation du consentement mutuel en matière monétaire. L'auteur insiste avec raison sur le rôle de la confiance qui s'analyse en une série d'exigences nationales et internationales, capables de déterminer un consentement universel, et qui ne consiste nullement dans une foi aveugle que les hommes d'Etat pourraient susciter par des appels grandiloquents au public ou des reproches aux capitalistes effrayés. Il souligne le caractère artificiel du crédit sans oublier les services que celui-ci a rendus. Il stigmatise le cynisme avec lequel les Etats suspendent délibérément le service de leur dette extérieure et montre comment cette attitude « criminelle » détruit l'économie mondiale." (Louis Baudin, Revue d'économie politique, 1934) ‎

‎Le chemin de la pauvreté.‎

‎ P., SPID, 1947, in 12 broché, 293 pages. ‎

‎ ...................... Photos sur demande ..........................‎

‎La décentralisation des pouvoirs dans l'entreprise : conditions du succès.‎

‎Les éditions d'Organisation. 1967. In-8. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 139p.. . . . Classification Dewey : 330-Economie‎

‎ Classification Dewey : 330-Economie‎

‎A QUEL RYTHME L'ECONOMIE FRANCAISE PEUT-ELLE SE DEVELOPPER ?‎

‎Société Française de Géographie Economique. 1960. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Plaquette de 15 pages. Avec une carte de visite annotée (A. Calandreau, Avocat).. . . . Classification Dewey : 330-Economie‎

‎Quelques mots de bienvenue de M. André CALANDREAU. Communication de M. Valéry GISCARD D'ESTAING, Secrétaire d'Etat aux Finances. Classification Dewey : 330-Economie‎

‎Choisir la cause des femmes: le programme commun des femmes.‎

‎ 1978 Grasset, 1978, exemplaire de bibliothèque, 358 pages, in 8 broché, état d'usage, coins légèrement cornés, quelques usures et frottements.‎

‎Saggio Politico sopra le vicissitudini inevitabili delle società civili. - [THE FIRST FORMULATION OF THE MALTHUSIAN THEORY OF POPULATION ]‎

‎Vienna, Ignazio Alberti, 1791. 4to. Magnificent contemporary full mottled calf with richly gilt spine. gilt ornamental borders to boards and large oval centre-pieces, each encircled by a floriated gilt border, inside which a female figures of polished calf, in Roman style - presumably predicting Minerva (the goddess of wisdom and war) on the front and Juventas (the goddess of youth) on the back board. All edges of boards gilt and inner gilt dentelles. All edges gilt. Bound by G.F. Kraus of Vienna, with gold-stamped binder's signature to inside of back board. A bit of wear (mostly coming from the acid used to mottle the calf in the 18th century). A magnificent copy that is also internally in splendid condition. It is printed on thick, heavy paper and with wide margins. There's an elegant stamp to the title-page, a crowned monogram that we have not been able to identify.‎

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‎Exceedingly scarce first edition - in a stunning binding - of the groundbreaking main work by Antonio Giuliani, in which he formulates his political and economic system, presenting his theory of population growth, which antedates Malthus' ""Essay on Population"" by seven years.This influential work actually constitutes the forerunner and the first formulation of The Malthusian theory of population and population growth, which had an immense impact on not only politics, economics and social sciences, but also on natural sciences. For instance both Darwin and Wallace considered the theory of population growth a main source in their development of the theory of natural selection.Malthus does not explicitly reference the work, but it is very likely that he read it. It was published in both Italian, German, and French - and apparently also in English as ""A Political Essay on the Unavoidable Revolution incident to Civil Societies"" (Molini, Paris, London, 1791) (see Watt: Bibliotheca Britannica) seven years before Malthus published his work, and it was reviewed in England the following year, where it was met with great critique - like some years later Mathus' ""Essay on Population"" would be too. ""At a time when the science of politics is undergoing such extensive discussions, and when the improvement of our knowledge in the art of governing is sought practically, as well as in theory, this writer steps forward, and tells us that our reasoning is vain, and that our exertions are fruitless: that human wisdom and political fagacity neither impede nor hasten the fate of societies: that ministers and statesmen, who suppose that they govern the world, are mistaken, for the world governs itself: that there is a propelling force, of which politicians are ignorant, that drives all civil societies to their destruction" and that, from the excess of their strength, arises their decay: - in fact, that all our pretended knowledge is useless, if not hurtful and that the science of legislation is like that of physic its pretensions are quackeries, and its progress is marked with an increase of mischiefs, as a greater number of persons die since the art of healing has been practised. The mystery which our politician has developed amounts to this: that every country arrives in time to such a degree of population, that the produce of the ground is not sufficient to supply the wants of the inhabitants: the consequence necessarily is, that the nation is starved to death. - All the light, says he, that the most profound meditation on the nature of social bodies can furnith, must be reduced to this proposition, that there exists two classes of men, which ought to be exactly balanced: the one is the productive class, which furnishes the food by which life is sustained: the other is the consuming class, which exists only by the favour of the former. It is incontrovertible, then, that an equilibrium should be preserved between these two bodies and that societies can flourish only while it remains unaltered. This fortunate state is of short duration: men multiply, without any law being provided to proportion their increase to their means of subsistence.This is the ground-work of our author's system, of which he afterward unfolds several parts. The inhabitants of cities, the monarch, the noble, the magistrate, the priest, the merchant, the soldier, the courtier, the man of letters, the artist, and all those whose industry and talents are employed in a thousand various manners, form the consuming class, and are, in fact, a heavy load, pressing down the farmers or cultivators of the ground, who are the productive class. ...In order to shew the danger resulting to society from an excess of population, and from the extension of commerce, (for this is also a doctrine held by our author,) he should have proved that there were more persons in existence than could have their wants supplied by the culture of the earth...He sees nothing but the approach of ruin in the increase of mankind and the catastrophe of the tragedy must long since have been finished, had not Providence ordained that man, wanting, as in the case of other animals, a variety of different species to prey on his life, should take into his hands the work of thinning the world and, by fighting, one against another, keep population within bounds" while, by destroying, from time to time, the superfluous number, he should make room for the entrance of fresh generations. - Hence, then, the utility and absolute necessity of wars!...Such is the ground-work and basis of Signor Guiliani's system: the superstructure is as perishable as the foundation is rotten: he has erected his house on the sand.""(Contemporary review of the original and the French translation, in: The Monthly Review, Vol. IX, London, 1792, pp. 559-562). The work outlines a well-rounded system of politics and economics, at the core of which we have the theory of population growth.""An important contribution to the history of political philosophy is made by two small works recently disinterred by Croce and composed 1791 and 1793 by an Italian of Trieste, Antonio de Guiliani, an Austrian subject who studied with an alert and unprejudiced mind the political and economic vicissitudes of Europe in the period between the enlightened despotism of Joseph II and the outbreak of the French Revolution. From his first writing, ""Saggio politico sopra le vicissitudini inevitabili delle societa civili,"" Guiliani, who in his youth had shared in the generous illusions of illuministic rationalism, already appears disillusioned, as if he no longer believed in the power of reason to regulate and guide the course of human events. According to him, man believes that everything is guided by reason because he reasons on everything that happens. On the contrary, the forces that govern the interweaving of events are much more elemental and natural, and politicians are rather passive instruments than active artificers of the course of history. There is an elemental principle of life that regulates the life and death of social groups. This principle is as much hidden from politicians as the principle that animates living species in concealed from physicians. Man falls sick and dies despite the efforts of much vaunted science"" and societies languish and die in spite of the efforts of politics and legislation. This principle consists in the fact that there exist two classes which ought to balance one another - the class that produces economic goods, and the class of consumers that only exists by virtue of the former, and which corresponds to a certain extent with the ""sterile"" class of physiocrats. As long as the two classes balance, society has a prosperous and harmonious life, and these conditions are usually found in the less progressive phases of an historical period when the mass of production sufficiently covers consumption. But in the periods that are generally considered most progressive, when population is rapidly increasing and great urban agglomerations begin to appear, Giuliani is on the contrary inclined to note a beginning of decadence and dissolution. ""The equilibrium of the two classes begins insensibly to alter"" men multiply without any restraining law to regulate the increase of population according to the means of subsistence. Instead the politicians hail with satisfaction the increase of population and do not perceive that in nature the various living species are balanced by mutual destruction, while man, with whom no other animal can enter into competition, is condemned to regulate his species himself, and to be the author of his own destruction."" Hence revolutions, wars, commercial rivalries, and all those vicissitudes of human history that are usually named from their apparent causes, though they have at the same time a hidden reason disguised in the undeviating order of nature. The English reader will easily recognize here the characteristic traits of the doctrine of Malthus, but it is Malthusian doctrine ""avant la lettre"", as it antedates by seven years the famous ""Essay on Population"". There are wanting in Giuliani the mathematical determination of the two series, arithmetical and geometrical (which is anyway the most arbitrary part of the ""Essay"" of Malthus), and the council of moral restraint. Nevertheless, both authors are equally alive to the complex consequences resulting from the disproportion between population and the means of subsistence, and both have, as Croce says, ""the merit of having considered not only the paradisiacal aspect of ""crescite et multiplicamini"", that of placid, increasing, and idyllic prosperity, but the demonic and revolutionary aspect as well."" ... Finally we may note the characteristic that Giuliani, like Mathus, deduces from his economic principle a political attitude that is not only conservative but to some degree reactionary."" (Guido de Ruggiero: Philosophy in Italy. In: Philosophy, Vol. 9, No. 34. (Apr. 1934), pp. 215-17).We have been able to locate only four copies of the true first edition (namely that in Italian, printed in Vienna) on OCLC and no copies at auctions whatsoever.Einaudi: 2603.‎

‎Marchands d'influence - les lobbies en France‎

‎SEUIL. 1991. In-8. Broché. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 260 pages.. . . . Classification Dewey : 330-Economie‎

‎ Classification Dewey : 330-Economie‎

‎Le patron premier de cordée.‎

‎Couverture souple. Broché. 151 pages.‎

‎Livre. Traduit de l'américain par Marcel Poulain. Editions Sociales Françaises, 1952.‎

‎William Booth et le monde ouvrier‎

‎Armée du salut. 1990. In-8. Broché. Bon état, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 379 pages.. . . . Classification Dewey : 330-Economie‎

‎ Classification Dewey : 330-Economie‎

‎La victoire sur la crise.‎

‎Couverture souple. Broché. 238 pages. Couverture et papier brunis.‎

‎Livre. Librairie Félix Alcan, 1935.‎

‎Les Vanderbilt et leur fortune‎

‎Firmin-Didot et Cie. 1889, in-8 cartonnage éditeur, tranches dorées, 192pp avec 20 figures hors texte.‎

‎Bon état pour un livre centenaire. Quelques frottements au dos et aux coins. Intérieur frais. ‎

‎L'Amérique ébranlée. Traduit de l'américain par J. Castier.‎

‎Paris, Éditions du Monde Nouveau, 1949. in-8, 302pp.-1f. Broché.‎

‎Situation géopolitique, économie, société... au lendemain de la guerre. - Non coupé.‎