Write to the booksellersLes feuilles de Zo d'Axa avec les dessins de Steinlen, Willette, Léandre, Couturier, Herman Paul, Anquetin, Luce. Avec un volume de suite des dessins.
Société Libre d'édition des gens de lettres, 1900. Deux volumes. Un volume in-8 demi reliure simili-cuir, pièces de titre et d'auteur, couvertures et dos conservés, 305 pp. avec les illustrations pleine page - et - une chemise format in-4 : Suite réimposée des dessins de Steinlen, Willette, Léandre, Couturier, Herman Paul, Anquetin, Luce, insérés dans les Feuilles de Zo d'Axa, présentée dans une chemise cartonnée. Un des 57 ex. des suites réimposées sur papier de Chine (ex. n° 40) (après 25 Japon).Outre les dessins mentionnés, sont présentes : la vignette de La Feuille, et une double pp. présentant des numéros de la revue.Envoi de l'auteur. Quelques rousseurs éparses dans le premier volume, bon état de l'ensemble.
EO collective des articles parus dans les 25 numéros de la feuille, dont Zo d'Axa est le seul rédacteur. La librairie fermera ses portes en 2025. Des remises de 25 à 50 % peuvent s'appliquer au cas par cas.
La Société des Amis de la Constitution, aux sociétés affiliées, du 29 mai 1792.
Paris, Imprimerie du Patriote français, 1792 in-8, 3 pp., en feuilles.
Ce numéro survient dans un contexte particulièrement dramatique. Le 27 mai la cocarde nationale est foulée aux pieds, une vive agitation s'empare des Tuileries à l'instigation des officiers des troupes de lignes. L'Assemblée déclare la Patrie en danger.Un décret de la législative ordonne la déportation des prêtres réfractaires et le 29 mai une autre disposition supprime la garde constitutionnelle du roi.Vignette révolutionnaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Détail exact du combat sanglant de Nancy. lettre écrite à Monsieur Pache, à Bordeaux, par son frère, Dragon au régiment de Condé, en garnison à Vaucouleur
Paris, in-8, 8 pp., broché, sous couverture d'attente orange. Quelques chiffres d'une écriture ancienne sur la page de titre.
La garnison de Vaucouleur s'est emparée de la caisse de l'Etat-Major et les soldats voulaient pendre le Commandant de Nancy. A la tête d'une armée de près de 5 000 hommes, le maréchal de Bouillé conduisit une terrible répression contre les patriotes dans une ville à feu et à sang. Les combats de rues firent plusieurs centaines de morts. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
