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‎[MANUEL MILITAIRE] - GUILLAUME (Professeur A.) - ‎

Reference : 201500579

‎S'il y avait la guerre ! protégeons nous contre les attaques aériennes. ‎

‎Paris, Vigot frères éditeurs, 1939; in-8, 221 pp., br. Broché bon état - 2e edition guide pratique a l'usage des sanitairesillustrations in- texte , deuxième édition , préface de M. le Général Niessel , introduction de M. le Professeur Tanon , très bon exemplaire.‎


‎Broché bon état - 2e edition guide pratique a l'usage des sanitairesillustrations in- texte , deuxième édition , préface de M. le Général Niessel , introduction de M. le Professeur Tanon , très bon exemplaire.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR25.00 (€25.00 )

‎[MANUEL MILITAIRE] - HADEN (Dr. L. Guest) - ‎

Reference : 201500585

‎IF AIR WAR COMES. ‎

‎London, Eyre & Spottiswoode, 1937; in-8, 88 pp., br. Broché très bon état - A guide to air raid precautions and anti-gas treatment - With a foreword by Dawson or penn.‎


‎Broché très bon état - A guide to air raid precautions and anti-gas treatment - With a foreword by Dawson or penn.‎

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EUR20.00 (€20.00 )

‎[MANUEL MILITAIRE] - ISARD (L.), CILLEULS (J. Des) - ‎

Reference : 201500567

‎La guerre aéro-chimique et les populations civiles. ‎

‎Paris, Charles Lavauzelle, 1937; in-8, 476 pp., br. Broché bon état - 4e edition revue et augmentée -préface du Général NIessel- étude historique, clinique, thérapeutique et préventive.‎


‎Broché bon état - 4e edition revue et augmentée -préface du Général NIessel- étude historique, clinique, thérapeutique et préventive.‎

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EUR38.00 (€38.00 )

‎[MANUEL MILITAIRE, MEDECINE] - TOUBERT (J.) - ‎

Reference : 201500591

‎PRÉCIS DE CHIRURGIE D'ARMÉE. ‎

‎Paris, Octave Doin, éditeur - collection testut, 1900; in-12, 527 pp., cartonnage de l'éditeur. En bon état - avec 234 graphiques ou figures dans le texte, dont 104 couleurs (ptes usures reliure texte parfait page de garde qlq nons) Collection Testut. J. Toubert, Médecin-major de 2ème classe, Professeur-agrégé au Val de Grâce. Bel exemplaire (.‎


‎En bon état - avec 234 graphiques ou figures dans le texte, dont 104 couleurs (ptes usures reliure texte parfait page de garde qlq nons) Collection Testut. J. Toubert, Médecin-major de 2ème classe, Professeur-agrégé au Val de Grâce. Bel exemplaire (.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR80.00 (€80.00 )

‎[MANUEL MILITAIRE] - MEYER (André) - ‎

Reference : 201500574

‎LES GAZ DE COMBAT. ‎

‎Paris, Charles Lavauzelle editeurs militaires, 1939; in-8, 100 pp., br. Broché bon état - leur fabrication, propriétés physiques, chimiques et toxicologiques, detection et analyse. méthode de désinfection - 3e edition refondue. Préface du Général Duchêne.‎


‎Broché bon état - leur fabrication, propriétés physiques, chimiques et toxicologiques, detection et analyse. méthode de désinfection - 3e edition refondue. Préface du Général Duchêne.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR49.50 (€49.50 )

‎[MANUEL MILITAIRE, NAPOLEON]‎

Reference : 201002697

‎PLANCHES relatives au réglement concernant l'exercice et les manoeuvres DE L'INFANTERIE; du 1er aout 1791. ‎

‎A Paris, Chez Magimel, libraire pour l'art militaire, rue de Thionville n°9, 1810; grand in-12, (88)-XL, broché (un peu écorné ) (papier d'attente). État correct - rare -.‎


‎État correct - rare -.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR300.00 (€300.00 )

‎[MANUEL MILITAIRE] - NIESSEL (Général), CHABORD (Général) - ‎

Reference : 201500586

‎D.A.T. (défense aérienne du territoire). ‎

‎Paris, Editions cosmopolites, 1934; in-8, 250 pp., br. Broché bon état.‎


‎Broché bon état.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR28.00 (€28.00 )

‎[MANUEL MILITAIRE] - RISLER (J.) - ‎

Reference : 201500576

‎Nouvelle technique prophylactique pr CONDITIONNEMENT DE L'AIR ET DES SURFACES. ‎

‎Melun, Impr. Blériot & Devoiselle, 1939; in-8, 78 pp., br. Broché bon état - antiseptique, insecticide, antitoxique, neutralisation des gaz de combat.‎


‎Broché bon état - antiseptique, insecticide, antitoxique, neutralisation des gaz de combat.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR25.00 (€25.00 )

‎[MANUEL MILITAIRE] - VIGNAL (Colonel Léon) - ‎

Reference : 201108258

‎Correspondance Militaire et Correspondance des Militaires. ‎

‎Paris, Charles-Lavauzelle et cie, 1952; in-8, 437 pp., broché. Bon état.‎


‎Bon état.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR12.00 (€12.00 )

‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 207973

‎19e Régiment d'Infanterie. - 12me Compagnie. I. Renforts. - II. Cahier des punis‎

‎S.l., 1916-1918 2 cahiers in-8, brochés sous couvertures factices modestes.. ‎


‎Ensemble très intéressant de deux petits cahiers régimentaires très correctement tenus, et renseignant, pour les années 1917-1918, sur la vie du 19e Régiment d'infanterie, qui servit à Verdun en 1916, fut touché par les mutineries de mai 1917, et posséda la particularité de figurer comme la dernière unité française à avoir eu connaissance de l'armistice (ce qui lui valut l'honneur de raviver la flamme du soldat inconnu à l'Arc de triomphe jusqu'en 1998, date de sa dissolution).I. Renforts : [50] ff. n. ch., du 12 décembre 1916 au 6 mai 1918 ; les listes du 19e sont précédées par leur équivalent pour les 124e et 99e régiments. - II. Punitions : [21] ff. n. ch., du 25 mars 1916 au 22 mai 1918. Ce dernier cahier est particulièrement détaillé : outre le nom du puni et la durée de sa peine, figure le motif, l'autorité prescriptrice, et la manière dont la peine a été accomplie.Ensemble très intéressant de deux petits cahiers régimentaires très correctement tenus, et renseignant, pour les années 1917-1918, sur la vie du 19e Régiment d'infanterie, qui servit à Verdun en 1916, fut touché par les mutineries de mai 1917, et posséda la particularité de figurer comme la dernière unité française à avoir eu connaissance de l'armistice (ce qui lui valut l'honneur de raviver la flamme du soldat inconnu à l'Arc de triomphe jusqu'en 1998, date de sa dissolution).I. Renforts : [50] ff. n. ch., du 12 décembre 1916 au 6 mai 1918 ; les listes du 19e sont précédées par leur équivalent pour les 124e et 99e régiments. - II. Punitions : [21] ff. n. ch., du 25 mars 1916 au 22 mai 1918. Ce dernier cahier est particulièrement détaillé : outre le nom du puni et la durée de sa peine, figure le motif, l'autorité prescriptrice, et la manière dont la peine a été accomplie. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 207987

‎252e. - Contrôle de la CM4‎

‎S.l., s.d. (1918) cahier in-8, [28] ff. n. ch., broché.. ‎


‎Etat nominatif sur quinze colonnes, très complet pour chaque mobilisé : noms & prénoms ; grade ; numéro de matricule ; dépôt de mobilisation ; bureau de recrutement ; dernière date d'arrivée au front ; personne à aviser en cas d'évènement grave ; date de naissance ; lieu de naissance ; profession ; filiation ; mariage ; enfants ; dernier domicile ; lieu de permissions.La liste court ainsi alphabétiquement de André à Vaillard, puis reprend sans ordre précis, pour une date ultérieure, mais non précisée (fin du conflit si 'on en juge par les numéros de classes des mobilisés).Constitué en 1914 à partir du 52e, le 252e Régiment d'infanterie fut dissous en juin 1918.Etat nominatif sur quinze colonnes, très complet pour chaque mobilisé : noms & prénoms ; grade ; numéro de matricule ; dépôt de mobilisation ; bureau de recrutement ; dernière date d'arrivée au front ; personne à aviser en cas d'évènement grave ; date de naissance ; lieu de naissance ; profession ; filiation ; mariage ; enfants ; dernier domicile ; lieu de permissions.La liste court ainsi alphabétiquement de André à Vaillard, puis reprend sans ordre précis, pour une date ultérieure, mais non précisée (fin du conflit si 'on en juge par les numéros de classes des mobilisés).Constitué en 1914 à partir du 52e, le 252e Régiment d'infanterie fut dissous en juin 1918. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[Manuscrit]‎

Reference : 9243

(1722)

‎Brevet de Mestre de Camp d'Infanterie décerné au sieur de Gauville, lieutenant dans le Régiment des gardes françaises, pour commander en chef un régiment, sous l'autorité de Louis d'Orléans, Duc de Chartres, colonel général de l'Infanterie française et étrangère.‎

‎Ensemble de deux documents manuscrits sur parchemin :– La nomination elle-même, sur parchemin (29,5 x 48,5 cm), scellé du grand sceau de cire jaune sur simple-queue, signé "Louis" et "par le Roi le Duc d'Orléans Régent Présent, signé Le Blanc" (Claude, secrétaire d'État du département de la Guerre), en date du 31 mai 1722.– Le brevet de réception du sieur de Gauville, mestre de camp de l'Infanterie française, par Louis d'orléans, Duc de Chartres, Premier Prince de Sang, colonel général de l'infanterie française et étrangère, Gouverneur et Lieutenant Général par le Roy dans la province de Daufiné, Grand Maitre des Ordres Militaires de Notre Dame du Mont Carmel et de St Lazare de Jérusalem, à Versailles, le 17 juin 1722. Signé Louis d'Orléans et plus bas du secrétaire, scellé sur simple queue du sceau de cire jaune aux armes des Orléans.‎


‎Bel ensemble. ‎

Librairie Ancienne Clagahé - Saint Symphorien d’Ozon
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‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 213110

‎Corps de Nassau Siegen Situation nominative de ce corps au 1er May 1791‎

‎S.l., s.d. (1781) placard in-folio (71 x 50 cm), en feuilles encadré sous verre (Encadrement postérieur). ‎


‎Soigneusement réalisé, le document présente, dans un grand encadrement dessiné à l'encre et aquarellé, surmonté des armes de la maison d'Orange, la composition du Corps de Nassau-Siegen : état major (cartouche surplombant) ; compagnie d'artillerie de Landos ; compagnie de fusiliers de Castillon ; compagnie de fusiliers d'O'Meara (listes des officiers).Régiment étranger au service de la France parmi les moins documentés, le corps de Nassau-Siegen avait en effet été organisé le 16 août 1779 à partir des deux compagnies d'infanterie et de la compagnie d'artillerie du Corps de Nassau (lui-même créé le 10 décembre 1778 et réformé le 15 août 1779). Très beau document.Soigneusement réalisé, le document présente, dans un grand encadrement dessiné à l'encre et aquarellé, surmonté des armes de la maison d'Orange, la composition du Corps de Nassau-Siegen : état major (cartouche surplombant) ; compagnie d'artillerie de Landos ; compagnie de fusiliers de Castillon ; compagnie de fusiliers d'O'Meara (listes des officiers).Régiment étranger au service de la France parmi les moins documentés, le corps de Nassau-Siegen avait en effet été organisé le 16 août 1779 à partir des deux compagnies d'infanterie et de la compagnie d'artillerie du Corps de Nassau (lui-même créé le 10 décembre 1778 et réformé le 15 août 1779). Très beau document. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 208370

‎Extrait du journal de marche Colonne du Sud-Oranais, du 7 avril au 31 mai 1908. Occupation de Bou Denib. - Construction et défense du poste du 31 mai au 13 septembre 1908. - Attaque du 1er septembre. - Combat de Djorf (7 septembre)‎

‎S.l., s.d. (1908) in-4, [23] ff. n. ch., couverts d'une écriture fine, soignée et lisible (environ 30 lignes par page), avec 4 cartes et plans manuscrits (certains en couleurs), dont 3 sur calque brun et un sur papier blanc volant, broché sous couverture de papier noir, étiquette de titre contrecollée sur la première couverture.. ‎


‎Important journal des opérations de pacification de la frontière algéro-marocaine entrepris par la compagnie du capitaine Maury. Il court en fait jusqu'au 13 septembre 1908, avec, semble t-il, un manque entre le 14 mai et le début de juin.Les ff. 10 à 13, insérés entre les événements du 14 mai et ceux du 11 juin, contiennent un état des Militaires ayant pris part à la colonne du Sud Oranais du 7 avril au 31 mai 1908.Important journal des opérations de pacification de la frontière algéro-marocaine entrepris par la compagnie du capitaine Maury. Il court en fait jusqu'au 13 septembre 1908, avec, semble t-il, un manque entre le 14 mai et le début de juin.Les ff. 10 à 13, insérés entre les événements du 14 mai et ceux du 11 juin, contiennent un état des Militaires ayant pris part à la colonne du Sud Oranais du 7 avril au 31 mai 1908. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 176624

‎Guerre russo-japonaise‎

‎S.l., s.d. in-4, en feuilles dans chemise demi-toile modeste, traces de rubans, coupures de presse contrecollées sur les plats (reliure de l'époque). ‎


‎L'ensemble présenté forme un dossier assez touffu de notes et de pièces relatives à la Guerre russo-japonaise, vraisemblablement réuni par un journaliste ou un historien contemporain, qui avait besoin du plus grand nombre de matériaux possible (pour une éventuelle rédaction ?). Ce qui frappe le plus au premier abord est l'importance des coupures de presse, qui envahissent tout : non seulement, elles sont nombreuses à être contrecollées sur les feuillets manuscrits composant le texte proprement dit, mais elles sont de plus insérées entre les feuillets. Le problème est qu'elles ne sont généralement pas renseignées : ni le journal d'où elles proviennent, ni leur date ne sont précisées, ce qui diminue considérablement leur pertinence.Les notes et pièces ont été de plus regroupées en trois chemises distinctes :I. [Opérations]. Cette partie, de loin la plus importante, regroupe 79 feuillets chiffrés par le compilateur, mais sans compter les très nombreuses insertions de cartes (manuscrites ou imprimées), de feuillets intercalaires, et de coupures de presse. Les feuillets manuscrits donnent essentiellement, jour par jour, les opérations sur les différents fronts du conflit, à partir du 5 février 1904, et jusqu'au 9 juin 1905. Mais ils ne doivent pas se lire isolément : la plupart des informations importantes sont fournies en fait par les coupures de presse, et c'est l'ensemble qui dresse un tableau pour une période donnée. Le tout est assez confus, et devait correspondre aux habitudes de lecture et/ou de rédaction du compilateur du dossier, mais sa logique se laisse assez malaisément saisir à bien des occasions.II. Artillerie. Se compose de : deux cartes manuscrites, la plaquette imprimée du lieutenant Forner (Notes sur Port-Arthur prises au mois de décembre 1902. Paris, Henri Charles-Lavauzelle, 19 pp.), et de nombreuses coupures de presse.III. Infanterie. Se compose de : 4 feuillets de notes manuscrites, une contribution sur l'Armée japonaise signée M.B. et parue en 1904 dans les Annales des Sciences politiques (paginée 236-252), et encore de très nombreuses coupures de presse.On trouvera encore, en-dehors du classement des trois chemises, "in fine, une grande carte imprimée du théâtre de Port-Arthur et des coupures de presse.Aucune indication sérieuse ne permet d'établir l'identité du compilateur : il y a bien une lettre ou un brouillon de lettre de 4 feuillets, composé sur du papier à condoléances, daté du 9 février [1904 ?] et adressé à un colonel. L'auteur s'excuse pour le retard de son compte-rendu et donne des indications sur les opérations, mais la fin semble manquer et il n'y a aucune signature. Le tout fait très correspondant de guerre ou attaché militaire en observation, mais on ne peut en dire plus.L'ensemble présenté forme un dossier assez touffu de notes et de pièces relatives à la Guerre russo-japonaise, vraisemblablement réuni par un journaliste ou un historien contemporain, qui avait besoin du plus grand nombre de matériaux possible (pour une éventuelle rédaction ?). Ce qui frappe le plus au premier abord est l'importance des coupures de presse, qui envahissent tout : non seulement, elles sont nombreuses à être contrecollées sur les feuillets manuscrits composant le texte proprement dit, mais elles sont de plus insérées entre les feuillets. Le problème est qu'elles ne sont généralement pas renseignées : ni le journal d'où elles proviennent, ni leur date ne sont précisées, ce qui diminue considérablement leur pertinence.Les notes et pièces ont été de plus regroupées en trois chemises distinctes :I. [Opérations]. Cette partie, de loin la plus importante, regroupe 79 feuillets chiffrés par le compilateur, mais sans compter les très nombreuses insertions de cartes (manuscrites ou imprimées), de feuillets intercalaires, et de coupures de presse. Les feuillets manuscrits donnent essentiellement, jour par jour, les opérations sur les différents fronts du conflit, à partir du 5 février 1904, et jusqu'au 9 juin 1905. Mais ils ne doivent pas se lire isolément : la plupart des informations importantes sont fournies en fait par les coupures de presse, et c'est l'ensemble qui dresse un tableau pour une période donnée. Le tout est assez confus, et devait correspondre aux habitudes de lecture et/ou de rédaction du compilateur du dossier, mais sa logique se laisse assez malaisément saisir à bien des occasions.II. Artillerie. Se compose de : deux cartes manuscrites, la plaquette imprimée du lieutenant Forner (Notes sur Port-Arthur prises au mois de décembre 1902. Paris, Henri Charles-Lavauzelle, 19 pp.), et de nombreuses coupures de presse.III. Infanterie. Se compose de : 4 feuillets de notes manuscrites, une contribution sur l'Armée japonaise signée M.B. et parue en 1904 dans les Annales des Sciences politiques (paginée 236-252), et encore de très nombreuses coupures de presse.On trouvera encore, en-dehors du classement des trois chemises, "in fine, une grande carte imprimée du théâtre de Port-Arthur et des coupures de presse.Aucune indication sérieuse ne permet d'établir l'identité du compilateur : il y a bien une lettre ou un brouillon de lettre de 4 feuillets, composé sur du papier à condoléances, daté du 9 février [1904 ?] et adressé à un colonel. L'auteur s'excuse pour le retard de son compte-rendu et donne des indications sur les opérations, mais la fin semble manquer et il n'y a aucune signature. Le tout fait très correspondant de guerre ou attaché militaire en observation, mais on ne peut en dire plus. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 207106

‎[Notes d'un artilleur]. Commandant Martel‎

‎S.l., s.d. (1915-18) in-8, [68] ff. n. ch., réglés (cahier scolaire), écriture large et lisible, et [39] ff. volants, toile Bradel grise modeste, dos muet (reliure de l'époque). ‎


‎La partie contenue dans le cahier couvre les dates du 10 août 1915 au 17 janvier 1916, tandis que les feuillets volants commencent le 6 décembre 1917 et se terminent le 2 novembre 1918, soit dix jours avant l'armistice.L'ensemble forme en fait un recueil de notes quotidiennes concernant les tâches à faire ou les taches accomplies ; le style est concis, le cahier étant à usage personnel, et nullement destiné à la communication, comme le confirme la graphie négligée. L'essentiel concerne l'armement, sa fabrication, des essais (séances de tir), sa livraison, ce qui laisse supposer que son auteur était affecté aux services du matériel pour l'artillerie de campagne.La partie contenue dans le cahier couvre les dates du 10 août 1915 au 17 janvier 1916, tandis que les feuillets volants commencent le 6 décembre 1917 et se terminent le 2 novembre 1918, soit dix jours avant l'armistice.L'ensemble forme en fait un recueil de notes quotidiennes concernant les tâches à faire ou les taches accomplies ; le style est concis, le cahier étant à usage personnel, et nullement destiné à la communication, comme le confirme la graphie négligée. L'essentiel concerne l'armement, sa fabrication, des essais (séances de tir), sa livraison, ce qui laisse supposer que son auteur était affecté aux services du matériel pour l'artillerie de campagne. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 219357

‎Relation de la bataille de Champaubert (10 février 1814)‎

‎S.l., s.d. (1914-1916) grand in-folio (56 x 40 cm), en feuilles.. ‎


‎Cet ensemble d'amateur, mêlant texte manuscrit (écriture fine et lisible), illustrations et coupures de presse, se compose de la façon suivante :I. Six bifeuillets chiffrés [Planche] 7-13, comportant chacun un titre, un exposé et/ou une iconographie :1. Relation de la bataille de Champaubert (planche 7) : [2] ff. de texte, plus un encart volant sur le monument commémoratif érigé dans la localité.2. Charge des cuirassiers du général Bordesoule (planche 8) : une page dde texte, avec une petite carte contrecollée et en plus une gravure de Pourvoyeur d'après Langlois, contrecollée.3. Convois de prisonniers de guerre et de blessés français à Paris, mars 1814 (planche 9) : une page de textes (extraits de Houssaye, des souvenirs du peintre Lamy, et des Mémoires d'un bourgeois de Paris), avec 3 cartes postales contrecollées.4. Bataille de Montmirail. Le champ de bataille (planche 10) : une page de texte sur trois colonnes agrémenté de 6 cartes postales et accompagné d'une grande gravure lithographiée par Motte, d'après Marin Lavigne.5. Les Gardes d'honneur à la Bataille de Montmirail (11 février 1814) (planche 12) : une page de texte, avec 3 cartes contrecollées, dont deux en couleurs, un feuillet volant (Les Marie-Louise de la campagne de 1814) et une grande photogravure à double page.6. Les Cosaques aux armées alliées, Campagne de France (planche 13) : une page de texte sur deux colonnes (extrait d'un texte de Jean Richepin, daté de 1916), et 2 illustrations dont une en couleurs.II. Un feuillet isolé , non chiffré : 7. Regroupant deux extraits de presse (le numéro 284 du Journal politique du département de l'Aube, 19 septembre 1822 ; un extrait du Journal de l'Aube, même date). Sur des cérémonies commémoratives des déprédations de 1814 dans le département.Il semble que l'on ait affaire à un pot-pourri composé à partir de pièces diverses par un amateur de la Campagne de 1814. La numérotation des parties montre qu'il nous manque plusieurs éléments. Faut-il appliquer à l'ensemble ou seulement à la planche 7 ce qui est dit dans le feuillet isolé sur le monument ? En voici le texte : "Ce qui précède a été extrait d'une série d'articles (il y en a 13 ou 14) intitulés ''Il y a cent ans : autour de la bataille de Montmirail" de Edgar Grosjean (...) publiés entre le courant de janvier et la fin de février 1914, à l'occasion de la restauration de la colonne commémorative". En réalité, le texte de Grosjean parut d'abord en 1900 à l'adresse de Châlons-sur-marne, et connut ensuite plusieurs rééditions (1905, 1908). Il est possible que l'ouvrage n'ait fourni que les explications de la planche 7.Cet ensemble d'amateur, mêlant texte manuscrit (écriture fine et lisible), illustrations et coupures de presse, se compose de la façon suivante :I. Six bifeuillets chiffrés [Planche] 7-13, comportant chacun un titre, un exposé et/ou une iconographie :1. Relation de la bataille de Champaubert (planche 7) : [2] ff. de texte, plus un encart volant sur le monument commémoratif érigé dans la localité.2. Charge des cuirassiers du général Bordesoule (planche 8) : une page dde texte, avec une petite carte contrecollée et en plus une gravure de Pourvoyeur d'après Langlois, contrecollée.3. Convois de prisonniers de guerre et de blessés français à Paris, mars 1814 (planche 9) : une page de textes (extraits de Houssaye, des souvenirs du peintre Lamy, et des Mémoires d'un bourgeois de Paris), avec 3 cartes postales contrecollées.4. Bataille de Montmirail. Le champ de bataille (planche 10) : une page de texte sur trois colonnes agrémenté de 6 cartes postales et accompagné d'une grande gravure lithographiée par Motte, d'après Marin Lavigne.5. Les Gardes d'honneur à la Bataille de Montmirail (11 février 1814) (planche 12) : une page de texte, avec 3 cartes contrecollées, dont deux en couleurs, un feuillet volant (Les Marie-Louise de la campagne de 1814) et une grande photogravure à double page.6. Les Cosaques aux armées alliées, Campagne de France (planche 13) : une page de texte sur deux colonnes (extrait d'un texte de Jean Richepin, daté de 1916), et 2 illustrations dont une en couleurs.II. Un feuillet isolé , non chiffré : 7. Regroupant deux extraits de presse (le numéro 284 du Journal politique du département de l'Aube, 19 septembre 1822 ; un extrait du Journal de l'Aube, même date). Sur des cérémonies commémoratives des déprédations de 1814 dans le département.Il semble que l'on ait affaire à un pot-pourri composé à partir de pièces diverses par un amateur de la Campagne de 1814. La numérotation des parties montre qu'il nous manque plusieurs éléments. Faut-il appliquer à l'ensemble ou seulement à la planche 7 ce qui est dit dans le feuillet isolé sur le monument ? En voici le texte : "Ce qui précède a été extrait d'une série d'articles (il y en a 13 ou 14) intitulés ''Il y a cent ans : autour de la bataille de Montmirail" de Edgar Grosjean (...) publiés entre le courant de janvier et la fin de février 1914, à l'occasion de la restauration de la colonne commémorative". En réalité, le texte de Grosjean parut d'abord en 1900 à l'adresse de Châlons-sur-marne, et connut ensuite plusieurs rééditions (1905, 1908). Il est possible que l'ouvrage n'ait fourni que les explications de la planche 7. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT]. ‎

Reference : 233522

‎Signaux des armées navales, ou Recueil des phrases qu'il peut être nécessaire de signaler pour communiquer à une armée navale (escadre ou division) les ordres du général, choisies dans celles qui ont été adoptées par les majors de nos armées dans la guerre présente depuis 1778, principalement par Mr. le chevalier Du Pavillon, de qui est la méthode qui sert de baze à tous les autres avec l'addition des escadres imaginaires de l'invention de Mr. de Mazavédo, major de l'armée espagnole sous les ordres du général dom Luis de Cordua [= Luis de Cordova y Cordova, 1706-1796].‎

‎S.l., s.d. (vers 1780), in-8, titre, 59 pp., [61] ff. n. ch., couverts de deux graphies différentes (cf. infra), vélin vert rigide, dos lisse, tranches rouges (reliure de l'époque). Coiffes rognées, un mors supérieur fendu.‎


‎Ce très intéressant livret a été rédigé à deux époques différentes par deux scripteurs bien distincts :1. La première partie, très lisible et soignée, correspondant aux ff. paginés 1-159, remonte à la Guerre de l'Indépendance américaine, dans laquelle, comme chacun sait, la marine française joua un rôle déterminant. À cette première rédaction correspondent, à la fin du livret, la table des matières (Table des articles contenus dans ce volume) qui occupe le dernier feuillet, ainsi que deux chapitres très courts placés avant ce dernier (Signaux pour une flotte à la suitte d'une escadre ou sous son escorte, un feuillet ; Signaux et ordres tant à la voile qu'à l'ancre pour une flotte escortée par une escadre, deux feuillets).2. La seconde partie occupe des ff. originellement laissés vierges et fut remplie à la Restauration par un scripteur à la graphie cursive et malaisée à déchiffrée ; elle porte la date de 1816 et commence par une introduction sur la différence des usages entre 1787 et 1817. Elle se continue par une explicite "Comparaison des signaux actuels avec les usages de 1780 à 1792", qui atteste du changement d'ère, mais aussi du remploi du livret primitif. Les annexes finales portent des dates encore plus récentes : un extrait des Annales maritimes de 1821 ; une note de janvier 1823 sur la "langue télégraphique universelle".Dans les deux cas, l'essentiel du texte est composé de la correspondance des numéros avec les phrases servant à communiquer.Comme expressément indiqué au titre, le texte s'inspire des principes et du système exposés dans la célèbre Tactique navale (Brest, 1779) du chevalier Jean-François du Cheyron du Pavillon (1730-1782), mort des suites des blessures reçues à la Bataille des Saintes. Considéré comme l'un des principaux inventeurs des communications navales avant l'invention de la radio, il avait élaboré une méthode très simple à base de seulement trois pavillons pour chaque signal, un supérieur pour l'unité, un intermédiaire pour les dizaines, et un inférieur pour les centaines, treize pavillons suffisant pour donner neuf cent quatre-vingt-dix-neuf combinaisons. Quant à l'amiral Luis de Cordova, également cité, il est connu en particulier pour avoir commandé, pendant la guerre d'indépendance des États-Unis, la flotte combinée franco-espagnole lors de la tentative de débarquement en Angleterre (1779). Mais sa carrière maritime au service de Sa Majesté catholique est bien plus riche et s'est déroulée sur près de soixante ans.Ce très intéressant livret a été rédigé à deux époques différentes par deux scripteurs bien distincts :1. La première partie, très lisible et soignée, correspondant aux ff. paginés 1-159, remonte à la Guerre de l'Indépendance américaine, dans laquelle, comme chacun sait, la marine française joua un rôle déterminant. À cette première rédaction correspondent, à la fin du livret, la table des matières (Table des articles contenus dans ce volume) qui occupe le dernier feuillet, ainsi que deux chapitres très courts placés avant ce dernier (Signaux pour une flotte à la suitte d'une escadre ou sous son escorte, un feuillet ; Signaux et ordres tant à la voile qu'à l'ancre pour une flotte escortée par une escadre, deux feuillets).2. La seconde partie occupe des ff. originellement laissés vierges et fut remplie à la Restauration par un scripteur à la graphie cursive et malaisée à déchiffrée ; elle porte la date de 1816 et commence par une introduction sur la différence des usages entre 1787 et 1817. Elle se continue par une explicite "Comparaison des signaux actuels avec les usages de 1780 à 1792", qui atteste du changement d'ère, mais aussi du remploi du livret primitif. Les annexes finales portent des dates encore plus récentes : un extrait des Annales maritimes de 1821 ; une note de janvier 1823 sur la "langue télégraphique universelle".Dans les deux cas, l'essentiel du texte est composé de la correspondance des numéros avec les phrases servant à communiquer.Comme expressément indiqué au titre, le texte s'inspire des principes et du système exposés dans la célèbre Tactique navale (Brest, 1779) du chevalier Jean-François du Cheyron du Pavillon (1730-1782), mort des suites des blessures reçues à la Bataille des Saintes. Considéré comme l'un des principaux inventeurs des communications navales avant l'invention de la radio, il avait élaboré une méthode très simple à base de seulement trois pavillons pour chaque signal, un supérieur pour l'unité, un intermédiaire pour les dizaines, et un inférieur pour les centaines, treize pavillons suffisant pour donner neuf cent quatre-vingt-dix-neuf combinaisons. Quant à l'amiral Luis de Cordova, également cité, il est connu en particulier pour avoir commandé, pendant la guerre d'indépendance des États-Unis, la flotte combinée franco-espagnole lors de la tentative de débarquement en Angleterre (1779). Mais sa carrière maritime au service de Sa Majesté catholique est bien plus riche et s'est déroulée sur près de soixante ans. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT - ARMÉE DE SAMBRE-ET-MEUSE] ‎

Reference : 222998

‎[Journal]‎

‎S.l., s.d. (1796) in-folio, [468] pp. n. ch., couvertes d'une écriture moyenne, régulière, assez lisible (environ 40/45 lignes par page), vélin souple, dos lisse muet, tranches marbrées (reliure moderne). Gardes refaites.‎


‎Passionnantes lettres de campagnes.Il s'agit d'un ensemble incomplet (la numérotation commence à 37), regroupant de nombreuses missives chiffrées 37-1055 et s'étageant seulement du 8 ventôse au 21 germinal an IV [27 février - 10 avril 1796]. De nombreuses lettres sont adressées au général Jean-Auguste Ernouf (1753-1827) comme chef d'état-major ; ce qui correspond à la période où il exerça ces fonctions à la tête de l'Armée de Sambre-et-Meuse, commandée alors par le général Jourdan, soit du 4 juillet 1794 au 20 septembre 1796. Dès lors, en raison du très grand nombre de missives expédiées sur une si courte durée, de leur nature diverse (billets à des particuliers, circulaires générales, consignes détaillées, réponses hiérarchiques, etc.), et avec des destinataires extrêmement variés (commissaires des guerres, expéditeurs et inspecteurs des vivres, représentants en mission, etc.), on a certainement affaire à un registre général concernant toute l'armée : les expéditeurs ne sont pas précisés, mais sont probablement multiples. À partir du 7 germinal seulement [27 mars 1796], figure une localisation qui est successivement : Berghem - Cologne - Düren, et qui correspond au passage des unités de la Hollande conquise en 1795 à la Rhénanie (pour y affronter l'armée autrichienne). Il va de soi que tous les aspects des unités en campagne sont abordés, mais spécialement ceux tenant au ravitaillement, aux fourrages, aux vins, ce qui laisse suggérer une provenance depuis le commissariat des guerres.Cf. Six I, 425.Passionnantes lettres de campagnes.Il s'agit d'un ensemble incomplet (la numérotation commence à 37), regroupant de nombreuses missives chiffrées 37-1055 et s'étageant seulement du 8 ventôse au 21 germinal an IV [27 février - 10 avril 1796]. De nombreuses lettres sont adressées au général Jean-Auguste Ernouf (1753-1827) comme chef d'état-major ; ce qui correspond à la période où il exerça ces fonctions à la tête de l'Armée de Sambre-et-Meuse, commandée alors par le général Jourdan, soit du 4 juillet 1794 au 20 septembre 1796. Dès lors, en raison du très grand nombre de missives expédiées sur une si courte durée, de leur nature diverse (billets à des particuliers, circulaires générales, consignes détaillées, réponses hiérarchiques, etc.), et avec des destinataires extrêmement variés (commissaires des guerres, expéditeurs et inspecteurs des vivres, représentants en mission, etc.), on a certainement affaire à un registre général concernant toute l'armée : les expéditeurs ne sont pas précisés, mais sont probablement multiples. À partir du 7 germinal seulement [27 mars 1796], figure une localisation qui est successivement : Berghem - Cologne - Düren, et qui correspond au passage des unités de la Hollande conquise en 1795 à la Rhénanie (pour y affronter l'armée autrichienne). Il va de soi que tous les aspects des unités en campagne sont abordés, mais spécialement ceux tenant au ravitaillement, aux fourrages, aux vins, ce qui laisse suggérer une provenance depuis le commissariat des guerres.Cf. Six I, 425. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] BIDEAU (Étienne)‎

Reference : 221139

‎Sport. - Cyclisme‎

‎S.l. [Fès], s.d. (1956-58); cahier petit in-8, [86] ff. n. ch., 7 ff. vierges, avec de nombreux dessins au crayon de bois ou à l'encre noire et colorisés, ainsi que quelques petites photographies en couleurs contrecollées, en feuilles spiralées, sous jaquette à rabats.. ‎


‎Sous un titre fantaisiste tracé sur le protège-cahier qui sert de jaquette, sans doute destiné à égarer les investigations des gradés, il s'agit d'un "cahier de bidasse" appartenant à un appelé du 2me escadron du 4e Régiment de Spahis marocains, alors stationné à Fès, avant d'être déplacé à Pforzheim au moment de l'indépendance du Maroc. Aucun élément biographique n'est à repérer tout au long du texte.Ce cahier est très soigneusement rédigé et illustré ; l'absence de mouillures ou de marques diverses doit être notée, car elle est très inhabituelle pour ce genre de texte, généralement trimbalé au hasard des affectations et des déplacements. Il est également agrémenté de nombreux cachets officiels utilisés en douce pour en marquer les pages (c'était une des règles de ces compositions). En revanche, son contenu n'offre vraiment aucune surprise par rapport aux très nombreux spécimens du même "genre littéraire", si l'on ose dire. Pour résumer :1. Une orthographe et une grammaire très défectueuse, plus en tout cas que la moyenne des conscrits de l'époque. - 2. La présence des deux obsessions majeures de tout appelé qui se respecte : les femmes (abondance de pin-ups dévêtues dans l'iconographie, fréquence des chansons et poésies salaces, récurrence de sentences désobligeantes qui feraient actuellement s'évanouir la moins inclusive des féministes) ; la quille (sans cesse désirée, sans cesse mise en scène par des décomptes). - 3. Beaucoup de plaisanteries sur la vie de quartier, les misères endurées de la part de l'encadrement (les sous-officiers surtout, directement au contact des appelés), la mauvaise qualité de la nourriture, etc. Bref, tout ce qui faisait l'ordinaire des jeunes appelés du contingent avant que le président Jacques Chirac ne décide la suppression du service militaire.On se contentera, pour donner une idée, du début d'un morceau typique de ce cahier (l'orthographe a été corrigée) : "Quand il rentre au quartier / Pour accomplir ses 18 mois, / Le bleu regarde d'un oeil terne / Ce que devient son nouveau chez soi. / Très vite, il se mécontente / De la soupe et du logement, / Et, pour tromper sa longue attente, / Il chantonne tout doucement : / Vive la quille".Sous un titre fantaisiste tracé sur le protège-cahier qui sert de jaquette, sans doute destiné à égarer les investigations des gradés, il s'agit d'un "cahier de bidasse" appartenant à un appelé du 2me escadron du 4e Régiment de Spahis marocains, alors stationné à Fès, avant d'être déplacé à Pforzheim au moment de l'indépendance du Maroc. Aucun élément biographique n'est à repérer tout au long du texte.Ce cahier est très soigneusement rédigé et illustré ; l'absence de mouillures ou de marques diverses doit être notée, car elle est très inhabituelle pour ce genre de texte, généralement trimbalé au hasard des affectations et des déplacements. Il est également agrémenté de nombreux cachets officiels utilisés en douce pour en marquer les pages (c'était une des règles de ces compositions). En revanche, son contenu n'offre vraiment aucune surprise par rapport aux très nombreux spécimens du même "genre littéraire", si l'on ose dire. Pour résumer :1. Une orthographe et une grammaire très défectueuse, plus en tout cas que la moyenne des conscrits de l'époque. - 2. La présence des deux obsessions majeures de tout appelé qui se respecte : les femmes (abondance de pin-ups dévêtues dans l'iconographie, fréquence des chansons et poésies salaces, récurrence de sentences désobligeantes qui feraient actuellement s'évanouir la moins inclusive des féministes) ; la quille (sans cesse désirée, sans cesse mise en scène par des décomptes). - 3. Beaucoup de plaisanteries sur la vie de quartier, les misères endurées de la part de l'encadrement (les sous-officiers surtout, directement au contact des appelés), la mauvaise qualité de la nourriture, etc. Bref, tout ce qui faisait l'ordinaire des jeunes appelés du contingent avant que le président Jacques Chirac ne décide la suppression du service militaire.On se contentera, pour donner une idée, du début d'un morceau typique de ce cahier (l'orthographe a été corrigée) : "Quand il rentre au quartier / Pour accomplir ses 18 mois, / Le bleu regarde d'un oeil terne / Ce que devient son nouveau chez soi. / Très vite, il se mécontente / De la soupe et du logement, / Et, pour tromper sa longue attente, / Il chantonne tout doucement : / Vive la quille". - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] CAZALS ‎

Reference : 172777

‎Relation du siège d'El-Arich‎

‎ (1800) , 28 pp. in-4 en cahier. . ‎


‎Extrait d'un rapport justificatif adressé au général en chef Kléber, par Cazals, chef de bataillon du génie qui commandait au fort d'El-Arich : "J'ai l'honneur de vous rendre compte, mon général, que l'armée ottomane commandée par le Grand Vizir Jouseph Pacha, ayant quitté le camp qu'elle occupait à Gaza, est venue faire le siège du fort d'El-Arich (…). Il s'agit de la description spectaculaire du siège d'El Arich, qui débuta le 22 décembre 1799, et se termina par la capitulation du fort après plusieurs mutineries de la garnison, suivie du massacre des prisonniers français par les janissaires ottomans. A travers le récit de cette affaire qui eut un grand retentissement, on pourra percevoir les signes de la démoralisation de l'Armée d'Orient dont Cazals esquissent les causes in fine : l'esprit d'insubordination et de révolte qui s'étaient déjà manifestés à Damiette et Alexandrie, le mauvais état des finances de l'Egypte et les arriérés de soldes, le sentiment d'abandon de la métropole, etc. Cazals commence son rapport sur la situation géographique du fort, l'état de la garnison et de l'artillerie, avant de détailler ses mesures de défenses ; "(…) Dès l'arrivée de l'armée ottomane, j'avais fait combler les citernes environnantes, disposer les batteries, renforcer leurs parapets, blinder les portes des magasins (…) Les parapets étaient garnis de sacs de terre, on levait des échafaudages de charpente pour faire la fusillade (…), pendant que les mineurs et les ouvriers construisaient des galleries et les cadres nécessaires pour les contre-mines indispensables en avant de chaque tour (…). Je prenais en un mot toutes les mesures nécessaires pour concourir à une défense utile (…).Suit le déroulement des événements qui allaient précipiter la chute du fort d'El-Arich : mise en place du blocus par les Ottomans, l'arrivée du grand Vizir, les progrès de l'ennemi qui bombardait le fort, le détails des différents combats et des tentatives de sorties des Français, la pétition en faveur de la reddition, les différentes mutineries d'une partie de la garnison, et l'ouverture des portes aux avant-gardes ennemis, etc. ; "(…) Dans l'enceinte du fort, une pluie de balles nous occasionnait une perte considérable. Le lieutenant du génie Piquet, en faisant réparer une embrasure endommagée par le canon ennemi reçut un coup mortel, près de 60 hommes de toutes armes furent mis hors de combat pendant cette attaque vigoureuse. Cependant le plus grand tumulte régnait dans la lunette où étaient les grenadiers, et dans le fort, les soldats criaient hautement qu'il fallait se rendre, ne voulaient plus se battre, refusait de faire feu, disant qu'ils n'avaient aucun espoir d'être secourus, que l'ennemi minait toutes les tours, qu'on les voulait sacrifier, etc. Je représentais vivement de mon côté tout ce que notre position avait davantageux (…) Je rappellais la révolte du 3 lors de laquelle ils me tenaient les mêmes discours séditieux (…). Soit que la garnison fut travaillé par les ennemis, soit que l'insurection soit venue de son propre mouvement, tout fut inutile (…). Les grenadiers et une partie de la garnison venaient de livrer la lunette, leurs armes et leurs personnes à l'ennemi. Au-dedans, les troupes méconnaissant tout sentiment de devoir et d'honneur, avaient eu la lacheté d'introduire les Osmanlis dans la place qu'elles devaient deffendre ; ils s'y trouvaient déjà en plus grand nombre que les français. Treize de leurs étendards étaient arborés sur le rempart, cependant le drapeau national flottait encore. Alors seulement, je demandai à capituler afin de sauver (…) le peu de braves qui restaient encore (…)."Cazals fait alors état de la signature de la capitulation, les conditions honorables garanties par le colonel anglais Douglas, la description de l'entrée des troupes turques dans le fort qui massacrèrent les prisonniers, le détail des supplices, etc. ; "(…) Le fort d'El-Arich ne tarda pas à présenter malgré la capitulation, le spectacle affreux d'une place prise d'assaut : de toute part on égorgeait, et coupait des têtes, les blessés furent massacrés (…) ; la tour à l'Est de la porte où étaient presque toutes les poudres et munitions de guerre après une explosion terrible, sauta en l'air ; elle engloutit sous ses décombres les Français et les Turcs (…). Le massacre continua, la milice turque se conduisait avec un rafinement de cruauté qu'on aura peine à croire. 22 français qui se trouvèrent sur une tour ayant été placés successivement sur un canon eurent la tête tranchée à coup de pioches (…)."Ces événements auront pour conséquence la discussion de la convention d'El-Arich en janvier 1800 ; Kléber qui n'a plus d'espoir quant à l'envoi de renfort de Bonaparte en France, y accepte le principe d'une évacuation de l'Egypte auprès du Grand Vizir, tandis que Desaix et Poussielgue négocieront avec Sidney Smith les sauf-conduits anglais. Cazals (1774-1813) servira encore à Heliopolis en mars 1800, nommé chef de brigade du génie par Kléber, se distinguera à la reprise du Caire et d'Alexandrie, avant de rentrer en France fin 1801. Extrait d'un rapport justificatif adressé au général en chef Kléber, par Cazals, chef de bataillon du génie qui commandait au fort d'El-Arich : "J'ai l'honneur de vous rendre compte, mon général, que l'armée ottomane commandée par le Grand Vizir Jouseph Pacha, ayant quitté le camp qu'elle occupait à Gaza, est venue faire le siège du fort d'El-Arich (…). Il s'agit de la description spectaculaire du siège d'El Arich, qui débuta le 22 décembre 1799, et se termina par la capitulation du fort après plusieurs mutineries de la garnison, suivie du massacre des prisonniers français par les janissaires ottomans. A travers le récit de cette affaire qui eut un grand retentissement, on pourra percevoir les signes de la démoralisation de l'Armée d'Orient dont Cazals esquissent les causes in fine : l'esprit d'insubordination et de révolte qui s'étaient déjà manifestés à Damiette et Alexandrie, le mauvais état des finances de l'Egypte et les arriérés de soldes, le sentiment d'abandon de la métropole, etc. Cazals commence son rapport sur la situation géographique du fort, l'état de la garnison et de l'artillerie, avant de détailler ses mesures de défenses ; "(…) Dès l'arrivée de l'armée ottomane, j'avais fait combler les citernes environnantes, disposer les batteries, renforcer leurs parapets, blinder les portes des magasins (…) Les parapets étaient garnis de sacs de terre, on levait des échafaudages de charpente pour faire la fusillade (…), pendant que les mineurs et les ouvriers construisaient des galleries et les cadres nécessaires pour les contre-mines indispensables en avant de chaque tour (…). Je prenais en un mot toutes les mesures nécessaires pour concourir à une défense utile (…).Suit le déroulement des événements qui allaient précipiter la chute du fort d'El-Arich : mise en place du blocus par les Ottomans, l'arrivée du grand Vizir, les progrès de l'ennemi qui bombardait le fort, le détails des différents combats et des tentatives de sorties des Français, la pétition en faveur de la reddition, les différentes mutineries d'une partie de la garnison, et l'ouverture des portes aux avant-gardes ennemis, etc. ; "(…) Dans l'enceinte du fort, une pluie de balles nous occasionnait une perte considérable. Le lieutenant du génie Piquet, en faisant réparer une embrasure endommagée par le canon ennemi reçut un coup mortel, près de 60 hommes de toutes armes furent mis hors de combat pendant cette attaque vigoureuse. Cependant le plus grand tumulte régnait dans la lunette où étaient les grenadiers, et dans le fort, les soldats criaient hautement qu'il fallait se rendre, ne voulaient plus se battre, refusait de faire feu, disant qu'ils n'avaient aucun espoir d'être secourus, que l'ennemi minait toutes les tours, qu'on les voulait sacrifier, etc. Je représentais vivement de mon côté tout ce que notre position avait davantageux (…) Je rappellais la révolte du 3 lors de laquelle ils me tenaient les mêmes discours séditieux (…). Soit que la garnison fut travaillé par les ennemis, soit que l'insurection soit venue de son propre mouvement, tout fut inutile (…). Les grenadiers et une partie de la garnison venaient de livrer la lunette, leurs armes et leurs personnes à l'ennemi. Au-dedans, les troupes méconnaissant tout sentiment de devoir et d'honneur, avaient eu la lacheté d'introduire les Osmanlis dans la place qu'elles devaient deffendre ; ils s'y trouvaient déjà en plus grand nombre que les français. Treize de leurs étendards étaient arborés sur le rempart, cependant le drapeau national flottait encore. Alors seulement, je demandai à capituler afin de sauver (…) le peu de braves qui restaient encore (…)."Cazals fait alors état de la signature de la capitulation, les conditions honorables garanties par le colonel anglais Douglas, la description de l'entrée des troupes turques dans le fort qui massacrèrent les prisonniers, le détail des supplices, etc. ; "(…) Le fort d'El-Arich ne tarda pas à présenter malgré la capitulation, le spectacle affreux d'une place prise d'assaut : de toute part on égorgeait, et coupait des têtes, les blessés furent massacrés (…) ; la tour à l'Est de la porte où étaient presque toutes les poudres et munitions de guerre après une explosion terrible, sauta en l'air ; elle engloutit sous ses décombres les Français et les Turcs (…). Le massacre continua, la milice turque se conduisait avec un rafinement de cruauté qu'on aura peine à croire. 22 français qui se trouvèrent sur une tour ayant été placés successivement sur un canon eurent la tête tranchée à coup de pioches (…)."Ces événements auront pour conséquence la discussion de la convention d'El-Arich en janvier 1800 ; Kléber qui n'a plus d'espoir quant à l'envoi de renfort de Bonaparte en France, y accepte le principe d'une évacuation de l'Egypte auprès du Grand Vizir, tandis que Desaix et Poussielgue négocieront avec Sidney Smith les sauf-conduits anglais. Cazals (1774-1813) servira encore à Heliopolis en mars 1800, nommé chef de brigade du génie par Kléber, se distinguera à la reprise du Caire et d'Alexandrie, avant de rentrer en France fin 1801. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] [HEBERT (Pierre-Nicolas)]‎

Reference : 219277

‎Histoire abrégée des Connestables [- des maréchaux] de France‎

‎S.l., s.d. (fin XVIIIe) in-4, 2 ff. vierges, ff. 4-126, couverts d'une écriture très fine, appliquée et lisible (environ 35/40 lignes par page), avec des collettes aux ff. 36 et 50, ff. 127-156 vierges, table chronologique des maréchaux aux ff. 157160, ff. 161-164 vierges, demi-vélin rigide, dos lisse, tête mouchetée (rel. du XIXe s.). Exemplaire parfois rogné court en tête.‎


‎Une des copies manuscrites de l'un des ouvrages de Pierre-Nicolas Hébert (1691-1766), né et mort à Coulommiers. Il dispose ses notices biographiques (connétables jusqu'à la suppression de l'office en 1627, puis maréchaux) par ordre chronologique.Reçu avocat au Parlement de Paris le 19 avril 1712, il obtint une charge d'écuyer valet de garde-robe du roi Louis XV le 21 juillet 1718, charge qu'il occupa jusqu'au 25 juin 1760, année de son admission comme vétéran pensionnaire du roi. Mais en fait, sa passion fut de se consacrer à des travaux historiques, et en particulier sur l'histoire de la ville de Coulommiers, dont il est considéré comme le premier historien. Il réalisa ainsi notamment avec minutie une copie d'une grande quantité d'actes relatifs à sa ville natale et en constitue un recueil. Aucune de ses compositions ne connut d'impression, mais elles circulèrent généralement sous forme manuscrite parmi les connaisseurs.Exemplaire de G. Ogier de Baubry, avec vignette ex-libris héraldique contrecollée sur les premières gardes.Notice manuscrite moderne sur l'auteur, contrecollée en regard de l'ex-libris.Une des copies manuscrites de l'un des ouvrages de Pierre-Nicolas Hébert (1691-1766), né et mort à Coulommiers. Il dispose ses notices biographiques (connétables jusqu'à la suppression de l'office en 1627, puis maréchaux) par ordre chronologique.Reçu avocat au Parlement de Paris le 19 avril 1712, il obtint une charge d'écuyer valet de garde-robe du roi Louis XV le 21 juillet 1718, charge qu'il occupa jusqu'au 25 juin 1760, année de son admission comme vétéran pensionnaire du roi. Mais en fait, sa passion fut de se consacrer à des travaux historiques, et en particulier sur l'histoire de la ville de Coulommiers, dont il est considéré comme le premier historien. Il réalisa ainsi notamment avec minutie une copie d'une grande quantité d'actes relatifs à sa ville natale et en constitue un recueil. Aucune de ses compositions ne connut d'impression, mais elles circulèrent généralement sous forme manuscrite parmi les connaisseurs.Exemplaire de G. Ogier de Baubry, avec vignette ex-libris héraldique contrecollée sur les premières gardes.Notice manuscrite moderne sur l'auteur, contrecollée en regard de l'ex-libris. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] [LA BOËSSIERE DE CHAMBORS (Louis-Joseph-Jean-Baptiste de)]‎

Reference : 222956

‎Mon recueil‎

‎S.l., s.d. (vers 1812) 4 parties en 2 forts vol. in-folio, titre, 623 pp., [2] ff. n. ch. de table ; 147 pp., 345 pp., 405 pp., [5] ff. n. ch. de table, le tout couvert d'une écriture fine, élégante et très lisible (environ 30 lignes par page), avec de nombreuses collettes, quelques illustrations dans le texte, et 12 planches hors texte (dont 5 imprimées, 7 manuscrites), demi-basane fauve granitée à coins, dos lisses ornés de filets et dents-de-rat dorés, pièces de titre cerise, tranches mouchetées de rouge (rel. de l'époque). Charnières en parties fendues, nombreuses épidermures, manques de cuir au vol. II.‎


‎Passionnant recueil constitué par la mise au net d'un grand nombre de mémoires et textes d'occasion composés à mesure de sa carrière par le jeune Louis-Joseph-Jean-Baptiste de La Boëssière de Chambors (1756-1840), fils posthume d'un gentilhomme célèbre pour avoir été accidentellement tué au retour d'une chasse par le Dauphin en 1755. D'après les dates des derniers mémoires, ce travail aurait été entrepris à la fin du service actif de l'auteur, soit entre 1812 et 1815, et il reprend quantité de textes produits depuis la fin de l'Ancien Régime jusqu'à l'Empire.Nous avons là un véritable pot-pourri reflétant bien les centres d'intérêt très variés d'un jeune gentilhomme qui semble avoir reçu une éducation fort soignée (ne serait-ce que par une écriture et une orthographe impeccables, très loin d'être communes dans la noblesse de la fin du XVIIIe siècle). Que l'on en juge par cette simple énumération des sujets traités, parfois fort savamment : grammaire, agronomie, art militaire, art des jardins, jeux, administration et finances, métrologie, etc. Quelques mémoires ne sont pas de l'auteur, mais recopiés de manuscrits d'autres qui circulaient à la fin du siècle (e.g. pièce 12). En raison du service de Chambors auprès de la Maison de Bragance de 1796 à 1807, un grand nombre de ces textes concernent le Portugal et présentent véritablement le plus grand intérêt (pièces 16, 17, 18, 20, 26-29, 33).Il ne semble qu'aucun de ces documents n'ait connu la moindre publication.Les pièces les plus remarquables et intéressantes sont les suivantes :I. Premier volume.1. Traité sur les règles et les lois du jeu de balle, par un ancien écolier de l'Université de Paris (daté de 1776, pp. 1-65, avec 5 figures dans le texte). Dédié au curé d'Arthies (Vexin) qui a servi de mentor au jeune orphelin, ce texte présente le plus grand intérêt pour l'histoire des jeux.2. Idées sur la façon dont on pourrait faire ressortir dans tout leur éclat les beautés naturelles d'Outrelaise (daté d'octobre 1778, pp. 67-73). Le château et le parc d'Outrelaize sont situés dans l'actuel département du Calvados (commune de Gouvix). Le texte est suivi d'un Discours sur quelques parties d'un jardin à l'anglaise (avril 1778).3. Mémoire pour former une légion (août 1778, pp. 78-101). Rédigé avec Alexandre de Langeron (1763-1831), le futur général au service d'Alexandre Ier.4. Description rapide de la ville et du port de Brest, et des ouvrages en partie éxécutés, en partie projettés pour sa défense (octobre 1780, pp. 127-160, avec 3 figures dans le texte).5. Réfleqsions sur l'ortografe fransaize [sic] (juillet 1781, pp. 161-178). Fantaisie personnelle de réforme orthographique, qui montre bien, s'il le fallait encore, que la question a toujours été débattue. 6. Mémoires envoyés au marquis de Ségur, secrétaire d'État à la guerre (juillet 1781, pp. 179-196). Sur les troupes à cheval et sur les officiers "à la suite".7. Réflexions sur les corvées, et sur la manière de faire et d'entretenir les grands chemins en France (juillet 1781, pp. 197-207).8. Mémoire sur les plantations (1785, pp. 208-263).9. Mémoire pour solliciter la rénovation des membres des assemblées provinciales par quart dès la fin de 1788, ou par tiers à la fin de 1789 (1787, pp. 269-281).10. Idées pour économiser sur la recette des impôts, et pour faciliter les mouvemens d'argent et la comptabilité du Trésor royal (sans date, pp. 281-317).11. Mémoire destiné à être lû à l'Assemblée provinciale de Rouen, au mois de décembre 1787, comme étant le rapport du bureau établi pour remédier aux inconvéniens de la mendicité (1787, pp. 318-353).12. Réflexions sur les administrations provinciales, par M. de Reverseau, intendant de Moulins (1787, pp. 354-373). Jean-Jacques-Philippe-Isaac Gueau de Gravelle, marquis de Reverseaux (1739-1794) fut intendant du Bourbonnais de 1777 à 1781, puis intendant de la Rochelle de 1781 à la Révolution. Ce mémoire ne semble pas avoir connu d'impression.13. Mémoire sur les bois de la vicomté de Couserans (janvier 1789, pp. 374-424). Parmi ses titres, La Boëssière était vicomte de Couserans.14. Mémoire sur la manière d'encourager le travail des plantations (1790, pp. 425-493). Il s'agit d'une autre version du mémoire précédent. 15. Mémoire sur l'administration des bois appartenant indivisément à des communuatés (1790, pp. 495-504).16. Coup d'oeil topographique sur le Portugal (1er février 1810, pp. 505-517). Le long intervalle qui sépare les pièces 15 et 16 correspond d'une part à l'émigration de La Boëssière (1792), d'autre part à ses activités en émigration, d'abord au service des Princes (1792-1796), puis du Roi de Portugal (1796-1807). Le présent mémoire reflète directement une des missions militaires qui lui furent confiées par les Bragance ; et cette expérience portugaise se poursuivit après le ralliement de l'auteur à Junot (cf. deux mémoires suivants 17, 18 et 20).17. Réflexions sur l'opération de Portugal (28 mai 1810, pp. 518-528). 18. Considérations sur le Portugal ; essai non rédigé, avec des notes de M. le baron Foy, lieutenant général (1er juin 1811, pp. 529-586).19. Note sur la ville de Talavera de la Reyna, extraite partie de divers renseignemens, et partie de l'Histoire d'Espagne du père Marianna (janvier 1812, pp. 587-613, avec un plan manuscrit de la ville contrecollé page 613).20. Projet d'une excursion en Portugal (25 octobre 1812, pp. 614-623).II. Second volume, première partie (reprenant la chronologie de départ).21. Mémoire sur le tribunal des maréchaux de France (1779, pp. 1-20).22. Remarques sur l'instruction provisoire arrêtée par le Roi concernant l'exercice et les manoeuvres de l'infanterie du 20 may 1788 (août 1788, pp. 21-51, avec une planche hors texte).23. Apperçu sur les charges personnelles et réelles : et sur leur origine, avec un projet de liquidation desdites charges (septembre 1789, pp. 74-83).24. Notes sur les pays et vicomté de Couserans (1790, pp. 98-116).25. Lettres sur les émigrés François (pp. 142-146).III. Second volume, deuxième partie.26. Réflexions sur la situation actuelle du Portugal et de sa maison royale, ainsi que sur la conduite qu'il semble que doit tenir Son Altesse royale Monseigneur le Prince du Brésil (20-24 avril 1798, [5] ff. n. ch., 74 pp.). 27. Recueil de mémoires dont l'armée portugaise est directement l'objet (1801, pp. 80-107, texte bilingue sur deux colonnes, français et portugais, avec un tableau dépliant hors texte).28. Fragmens sur la rédaction d'un code militaire en Portugal (août 1801, pp. 108-135).29. Idées sur la police des grandes villes, et principalement sur celle de Lisbonne (janvier 1802, pp. 144-167).30. mémore sur le nombre d'hommes dont une escouade, de quelque arme que ce soit, doit être composée (25 janvier 1802, pp. 168-209, texte en portugais, observations en français).31. Extrait relatif aux mesures tiré de l'Histoire de l'astronomie moderne, par M. Bailly (1804, pp. 210-345, avec 5 tableaux dépliants hors texte).IV. Second volume, troisième partie.32. Brouillon informe d'essais historiques sur la campagne de 1795 faite le long des bords du Rhin, par les troupes de l'Empereur et de l'Empire sous les ordres des feld-maréchaux impériaux comtes de Clairfayt et de Wurmser, et par les troupes de la République de France, commandées par les généraux Pichegru et Jourdan (Londres, 1796, 287 pp.). L'auteur est bien trop modeste : on a affaire à une histoire très complète de cette campagne, en douze longs chapitres, suivis d'un abondant appareil de notes (complété par des collettes assez nombreuses, des tables et un copieux index alphabétique). 33. Pièces relatives à l'habillement de l'armée portugaise (1807, pp. 289-405). Parmi lesquelles un imprimé, Decreto em que Sua Magestade regula as distinçoes, de que devem usar nos seus uniformes os generaes, e officiaes militares. [Lisbonne], Imprimerie royale, s.d. [1806], [2] ff. n. ch., 36 pp., avec 5 planches dépliantes hors texte, dont une aux contours rehaussés de couleurs.De surcroît, on trouve au début du second volume une pièce imprimée :SCOTT (James) : A sermon preached at Park-Street chapel, on the 19th of April 1793 : being the day appointed for a general fast. Londres, J. Robson, T. Becket, J. Walter, W. Richardson, J. Pridden, 1793, [2] ff. n. ch., 15 pp. [= pp. 117-135, suivies d'une traduction en français]. Il s'agit d'une prédication dont la vente devait aider à soulager les prêtres français émigrés à Londres.Vignette ex-libris du Comte de Chambors contrecollée sur les premières gardes.Passionnant recueil constitué par la mise au net d'un grand nombre de mémoires et textes d'occasion composés à mesure de sa carrière par le jeune Louis-Joseph-Jean-Baptiste de La Boëssière de Chambors (1756-1840), fils posthume d'un gentilhomme célèbre pour avoir été accidentellement tué au retour d'une chasse par le Dauphin en 1755. D'après les dates des derniers mémoires, ce travail aurait été entrepris à la fin du service actif de l'auteur, soit entre 1812 et 1815, et il reprend quantité de textes produits depuis la fin de l'Ancien Régime jusqu'à l'Empire.Nous avons là un véritable pot-pourri reflétant bien les centres d'intérêt très variés d'un jeune gentilhomme qui semble avoir reçu une éducation fort soignée (ne serait-ce que par une écriture et une orthographe impeccables, très loin d'être communes dans la noblesse de la fin du XVIIIe siècle). Que l'on en juge par cette simple énumération des sujets traités, parfois fort savamment : grammaire, agronomie, art militaire, art des jardins, jeux, administration et finances, métrologie, etc. Quelques mémoires ne sont pas de l'auteur, mais recopiés de manuscrits d'autres qui circulaient à la fin du siècle (e.g. pièce 12). En raison du service de Chambors auprès de la Maison de Bragance de 1796 à 1807, un grand nombre de ces textes concernent le Portugal et présentent véritablement le plus grand intérêt (pièces 16, 17, 18, 20, 26-29, 33).Il ne semble qu'aucun de ces documents n'ait connu la moindre publication.Les pièces les plus remarquables et intéressantes sont les suivantes :I. Premier volume.1. Traité sur les règles et les lois du jeu de balle, par un ancien écolier de l'Université de Paris (daté de 1776, pp. 1-65, avec 5 figures dans le texte). Dédié au curé d'Arthies (Vexin) qui a servi de mentor au jeune orphelin, ce texte présente le plus grand intérêt pour l'histoire des jeux.2. Idées sur la façon dont on pourrait faire ressortir dans tout leur éclat les beautés naturelles d'Outrelaise (daté d'octobre 1778, pp. 67-73). Le château et le parc d'Outrelaize sont situés dans l'actuel département du Calvados (commune de Gouvix). Le texte est suivi d'un Discours sur quelques parties d'un jardin à l'anglaise (avril 1778).3. Mémoire pour former une légion (août 1778, pp. 78-101). Rédigé avec Alexandre de Langeron (1763-1831), le futur général au service d'Alexandre Ier.4. Description rapide de la ville et du port de Brest, et des ouvrages en partie éxécutés, en partie projettés pour sa défense (octobre 1780, pp. 127-160, avec 3 figures dans le texte).5. Réfleqsions sur l'ortografe fransaize [sic] (juillet 1781, pp. 161-178). Fantaisie personnelle de réforme orthographique, qui montre bien, s'il le fallait encore, que la question a toujours été débattue. 6. Mémoires envoyés au marquis de Ségur, secrétaire d'État à la guerre (juillet 1781, pp. 179-196). Sur les troupes à cheval et sur les officiers "à la suite".7. Réflexions sur les corvées, et sur la manière de faire et d'entretenir les grands chemins en France (juillet 1781, pp. 197-207).8. Mémoire sur les plantations (1785, pp. 208-263).9. Mémoire pour solliciter la rénovation des membres des assemblées provinciales par quart dès la fin de 1788, ou par tiers à la fin de 1789 (1787, pp. 269-281).10. Idées pour économiser sur la recette des impôts, et pour faciliter les mouvemens d'argent et la comptabilité du Trésor royal (sans date, pp. 281-317).11. Mémoire destiné à être lû à l'Assemblée provinciale de Rouen, au mois de décembre 1787, comme étant le rapport du bureau établi pour remédier aux inconvéniens de la mendicité (1787, pp. 318-353).12. Réflexions sur les administrations provinciales, par M. de Reverseau, intendant de Moulins (1787, pp. 354-373). Jean-Jacques-Philippe-Isaac Gueau de Gravelle, marquis de Reverseaux (1739-1794) fut intendant du Bourbonnais de 1777 à 1781, puis intendant de la Rochelle de 1781 à la Révolution. Ce mémoire ne semble pas avoir connu d'impression.13. Mémoire sur les bois de la vicomté de Couserans (janvier 1789, pp. 374-424). Parmi ses titres, La Boëssière était vicomte de Couserans.14. Mémoire sur la manière d'encourager le travail des plantations (1790, pp. 425-493). Il s'agit d'une autre version du mémoire précédent. 15. Mémoire sur l'administration des bois appartenant indivisément à des communuatés (1790, pp. 495-504).16. Coup d'oeil topographique sur le Portugal (1er février 1810, pp. 505-517). Le long intervalle qui sépare les pièces 15 et 16 correspond d'une part à l'émigration de La Boëssière (1792), d'autre part à ses activités en émigration, d'abord au service des Princes (1792-1796), puis du Roi de Portugal (1796-1807). Le présent mémoire reflète directement une des missions militaires qui lui furent confiées par les Bragance ; et cette expérience portugaise se poursuivit après le ralliement de l'auteur à Junot (cf. deux mémoires suivants 17, 18 et 20).17. Réflexions sur l'opération de Portugal (28 mai 1810, pp. 518-528). 18. Considérations sur le Portugal ; essai non rédigé, avec des notes de M. le baron Foy, lieutenant général (1er juin 1811, pp. 529-586).19. Note sur la ville de Talavera de la Reyna, extraite partie de divers renseignemens, et partie de l'Histoire d'Espagne du père Marianna (janvier 1812, pp. 587-613, avec un plan manuscrit de la ville contrecollé page 613).20. Projet d'une excursion en Portugal (25 octobre 1812, pp. 614-623).II. Second volume, première partie (reprenant la chronologie de départ).21. Mémoire sur le tribunal des maréchaux de France (1779, pp. 1-20).22. Remarques sur l'instruction provisoire arrêtée par le Roi concernant l'exercice et les manoeuvres de l'infanterie du 20 may 1788 (août 1788, pp. 21-51, avec une planche hors texte).23. Apperçu sur les charges personnelles et réelles : et sur leur origine, avec un projet de liquidation desdites charges (septembre 1789, pp. 74-83).24. Notes sur les pays et vicomté de Couserans (1790, pp. 98-116).25. Lettres sur les émigrés François (pp. 142-146).III. Second volume, deuxième partie.26. Réflexions sur la situation actuelle du Portugal et de sa maison royale, ainsi que sur la conduite qu'il semble que doit tenir Son Altesse royale Monseigneur le Prince du Brésil (20-24 avril 1798, [5] ff. n. ch., 74 pp.). 27. Recueil de mémoires dont l'armée portugaise est directement l'objet (1801, pp. 80-107, texte bilingue sur deux colonnes, français et portugais, avec un tableau dépliant hors texte).28. Fragmens sur la rédaction d'un code militaire en Portugal (août 1801, pp. 108-135).29. Idées sur la police des grandes villes, et principalement sur celle de Lisbonne (janvier 1802, pp. 144-167).30. mémore sur le nombre d'hommes dont une escouade, de quelque arme que ce soit, doit être composée (25 janvier 1802, pp. 168-209, texte en portugais, observations en français).31. Extrait relatif aux mesures tiré de l'Histoire de l'astronomie moderne, par M. Bailly (1804, pp. 210-345, avec 5 tableaux dépliants hors texte).IV. Second volume, troisième partie.32. Brouillon informe d'essais historiques sur la campagne de 1795 faite le long des bords du Rhin, par les troupes de l'Empereur et de l'Empire sous les ordres des feld-maréchaux impériaux comtes de Clairfayt et de Wurmser, et par les troupes de la République de France, commandées par les généraux Pichegru et Jourdan (Londres, 1796, 287 pp.). L'auteur est bien trop modeste : on a affaire à une histoire très complète de cette campagne, en douze longs chapitres, suivis d'un abondant appareil de notes (complété par des collettes assez nombreuses, des tables et un copieux index alphabétique). 33. Pièces relatives à l'habillement de l'armée portugaise (1807, pp. 289-405). Parmi lesquelles un imprimé, Decreto em que Sua Magestade regula as distinçoes, de que devem usar nos seus uniformes os generaes, e officiaes militares. [Lisbonne], Imprimerie royale, s.d. [1806], [2] ff. n. ch., 36 pp., avec 5 planches dépliantes hors texte, dont une aux contours rehaussés de couleurs.De surcroît, on trouve au début du second volume une pièce imprimée :SCOTT (James) : A sermon preached at Park-Street chapel, on the 19th of April 1793 : being the day appointed for a general fast. Londres, J. Robson, T. Becket, J. Walter, W. Richardson, J. Pridden, 1793, [2] ff. n. ch., 15 pp. [= pp. 117-135, suivies d'une traduction en français]. Il s'agit d'une prédication dont la vente devait aider à soulager les prêtres français émigrés à Londres.Vignette ex-libris du Comte de Chambors contrecollée sur les premières gardes. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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‎[MANUSCRIT] LAS CASES (Louis de)‎

Reference : 221827

‎Campagne de Crimée 1853, 1854, 1855 [Sur le plat supérieur :] Lettres de Crimée de Mr. le Vte de Las Cases, lieutenant de vaisseau‎

‎S.l., s.d. (vers 1860) in-4, titre (détaché), 202 pp., couvertes d'une écriture fine, régulière, extrêmement soignée (environ 25 lignes par page), présentant aussi des notes infra-paginales de la même main, des biffures et ajouts au crayon de bois semblent postérieurs à la rédaction, de même que quelques ajouts marginaux à l'encre d'une autre main, demi-chagrin Bradel bouteille, dos muet orné de filets à froid, encadrements de filets à froid sur les plats de toile chagrinée, titre poussé en lettres dorées au centre du plat supérieur, tranches jaunes (reliure de l'époque). Plat supérieur un peu taché.‎


‎Manuscrit inédit, à la fois passionnant sur la participation de la marine aux opérations de la Guerre d'Orient en Crimée, et émouvant par sa composition : tout en effet laisse à penser qu'il forme la mise au propre en continu, par la mère de l'auteur, des lettres envoyées par son fils à sa famille pendant sa campagne. Comme elle survivra encore longtemps à la mort de ce dernier, ainsi que d'ailleurs à celle d'autres de ses enfants, cette mise par écrit revêt un caractère particulier ; et le don fait du livre à un petit-fils (cf. infra) en accentue encore le caractère.I. L'auteur, Louis de Las Cases (20 juillet 1821 - 28 avril 1861), fils d'Adolphe de Las Cases (1782-1880) appartient à une branche de la famille du célèbre mémorialiste, sans que la parenté exacte puisse être déterminée facilement. En tout cas, la longue lettre adressée le 2 janvier 1855 atteste des liens qui existaient entre ces cousins éloignés : destinée au "comte de Las Cases, fils de celui qui fut à Sainte-Hélène, et frère du comte de Las Cases, sénateur, mort en 1854, après huit jours de mariage", elle présente des condoléances à Barthélémy de Las Cases (1811-1877), second fils du mémorialiste, pour le deuil imprévu de son frère aîné Emmanuel-Pons-Dieudonné de Las Cases (1800-1854, il avait accompagné son père à Sainte-Hélène). Les deux cousins se tutoient, ce qui signifie plus qu'une relation lointaine, surtout dans ce milieu. Il est fait également fait allusion dans cette lettre au décès, la même année 1854, d'un autre cousin, Auguste de Las Cases, fils d'Alexandre-François de Las Cases (1769-1836), frère cadet d'Emmanuel (1766-1842).Entré à l'École navale en 1837, Louis de Las Cases fut nommé lieutenant de vaisseau en 1848. C'est avec ce grade qu'il participa à la Guerre d'Orient sur le Iéna, vaisseau de 90 canons, sur lequel il avait déjà navigué en 1840. Le bâtiment était commandé par le capitaine de vaisseau Louis-Marie Rapatel (1808-1859).II. L'ensemble de ces lettres fut à destination de ses proches, ses parents (mais surtout sa mère), et ses frères et soeurs, Gaston (1820-1908), Gabriel (1823-1916), Clotilde (1827-1892), Sidonie (1829-1859), mais surtout son cadet Henri, 1833-1855, qui se destinait également à une carrière militaire. Elles s'étagent du 10 juin 1853 (Toulon, avant le départ) au 21 juillet 1855 (Hôpital des soeurs de la Charité, à Péra, avant le rapatriement sanitaire en métropole). 1. Leur objet est très varié : la navigation et les opérations militaires ne les remplissent pas uniquement, mais elles sont parsemées de nombre de détails familiaux ou intimes, qui offrent un réel intérêt pour la vie de la famille Las Cases au XIXe siècle : fragmentée en plusieurs branches, et ce, depuis le XVIe siècle, il semble qu'elle ait maintenu une liaison entre ses membres. La plupart de ses membres masculins sont engagés dans une carrière militaire, et la préparation à Saint-Cyr occupe beaucoup Louis à propos de ses frères. De même, notons que la piété et les sentiments religieux occupent une grande place dans cette correspondance ; apparemment, tous les membres de la famille partageaient une foi sincère et orientée vers les oeuvres, mais également portée à l'acceptation des épreuves et de la mort prématurée, thème certes très présent dans la piété de l'époque, mais particulièrement soulignée dans les lettres du jeune marin.2. La navigation de Toulon aux Dardanelles, puis au Bosphore occupe les 35 premières pages, ainsi que des attestations de l'amitié avec le jeune officier avec Abel Bergasse (le futur amiral Du Petit-Thouars, 1832-1890), nommé lieutenant de vaisseau au choix en janvier 1854, au début de la campagne. Le récit des opérations ne commence, lui, qu'à partir de la lettre du 14 décembre 1853, alors que la guerre n'est pas encore déclarée (elle ne le sera du côté anglo-français que le 27 mars 1854), mais que les navires des deux puissances occidentales ont déjà pris de solides mouillages préventifs en Mer Noire. Las Cases donne ainsi une relation de la défaite ottomane de Sinope (30 novembre 1853), où l'escadre ottomane fut pulvérisée par les obus explosifs de l'amiral Pavel Nakhimov qui pilonna également le port. Suit une période d'incertitudes et de nouvelles contradictoires qui correspond exactement aux atermoiments diplomatiques des Occidentaux qui vont de la bataille de Sinope à la rupture des relations diplomatiques par Nicolas Ier le 16 février 1854. À partir de la lettre du 24 avril 1854, rédigée devant Odessa, les récits d'opérations s'enchaînent dans des missives souvent longues et très détaillées. L'Iéna stationne devant Sébastopol ou Eupatoria et le récit du débarquement des 15-17 septembre 1854 occupe toute la lettre des pp. 69-76. En novembre 1854, Louis passa de l'Iéna au Henri-IV, il servit ensuite un moment à terre et ses lettres relatent la défense obstinée de la place de Sébastopol par les Russes. En décembre 1854, il fut proposé par le chef d'escadrons Osmond pour une promotion au grade de capitaine de frégate (mais il ne devait jamais l'obtenir, pour des raisons qui demeurent obscures, et qui sont déplorées dans une note de la p. 124). La lettre à son père du 9 février 1855 détaille avec précision et ses fonctions sur le Henri-IV et le nombre d'hommes sous ses ordres. Enfin, le 20 février 1855, Las Cases fut bléssé par un éclat d'obus lors d'un engagement à terre pour défendre une batterie. Les dernières lettres (20 février - 21 juillet 1855) reflètent une convalescence d'abord rapide, puis une brève reprise du service, et enfin une hospitalisation chez les soeurs de la Charité de Péra : atteint le 6 juillet 1855 d'une dysenterie violente, qui frappait la plupart des soldats, il fut rapatrié à Constantinople, puis en France, ce qui mit un terme à cette correspondance (la dernière lettre est du 21 juillet). III. Est joint, sous le titre d'Appendice, un bifeuillet volant in-4, couvert d'une encre en partie décolorée et narrant les événements survenus après le retour de Louis de Las Cases malade à Toulon : accompagné de son ami Bergasse, il arriva en août 1855 dans le port, où il fut transféré à l'Hôpital militaire. Au bout de trois semaines, il fut ramené par son frère aîné Gaston de Las Cases (1820-1908) à Paris, et il fut conduit dans la propriété familiale du Bordelais avec son frère Henri, jeune Saint-Cyrien agonisant. Ce dernier mourut le 18 octobre 1855.Louis épousa ensuite en janvier 1856 Amélie de Monbadon. Il perdit la même année 1859 sa soeur Sidonie (la mère du possesseur de ce manuscrit, cf. infra ) et son épouse (le 10 octobre), puis en 1860 son beau-père le comte Julien-Casimir-Amédée de Monbadon. Enfin, appelé à faire partie de l'expédition du Mexique, sur le vaisseau La Foudre, il succomba à une attaque de choléra le 28 avril 1861 à Toulon.IV. Enfin, on trouve également une attestation de Congé de réforme pour Ernest de Camiran (le possesseur de notre exemplaire) en date du 24 avril 1882. Engagé volontaire en juin 1872 et incorporé dans le 17me régiment de Dragons, ce dernier, versé en 1881 dans l'armée territoriale, ne pouvait plus servir en raison de "varices volumineuses" [sic]. Exemplaire offert à Ernest de Majance de Camiran, fils de Michel-Léon de Majance de Camiran et de Sidonie de Las Cases (1829-1859), donc neveu de l'auteur, par son grand-père ou sa grand-mère, comme l'indique le long ex-dono manuscrit sur les premières gardes : "Pour mon cher petit-fils Ernest de Camiran, j'espère qu'en lisant les lettres de son vertueux oncle, il s'inspirera des sentiments d'affection pour sa famille, de dévotion et de fidélité envers son Dieu, et du courage militaire pour défendre son pays et son souverain". Ce texte, non signé, ne permet pas de dire s'il émane d'Adolphe de Las Cases ou de son épouse Esclarmonde de Raigecourt (1797-1872). Comme la plupart des lettres du recueil ont été adressées à cette dernière, il semble probable que l'ex-dono provienne d'elle, comme de même la rédaction du texte elle-même.Manuscrit inédit, à la fois passionnant sur la participation de la marine aux opérations de la Guerre d'Orient en Crimée, et émouvant par sa composition : tout en effet laisse à penser qu'il forme la mise au propre en continu, par la mère de l'auteur, des lettres envoyées par son fils à sa famille pendant sa campagne. Comme elle survivra encore longtemps à la mort de ce dernier, ainsi que d'ailleurs à celle d'autres de ses enfants, cette mise par écrit revêt un caractère particulier ; et le don fait du livre à un petit-fils (cf. infra) en accentue encore le caractère.I. L'auteur, Louis de Las Cases (20 juillet 1821 - 28 avril 1861), fils d'Adolphe de Las Cases (1782-1880) appartient à une branche de la famille du célèbre mémorialiste, sans que la parenté exacte puisse être déterminée facilement. En tout cas, la longue lettre adressée le 2 janvier 1855 atteste des liens qui existaient entre ces cousins éloignés : destinée au "comte de Las Cases, fils de celui qui fut à Sainte-Hélène, et frère du comte de Las Cases, sénateur, mort en 1854, après huit jours de mariage", elle présente des condoléances à Barthélémy de Las Cases (1811-1877), second fils du mémorialiste, pour le deuil imprévu de son frère aîné Emmanuel-Pons-Dieudonné de Las Cases (1800-1854, il avait accompagné son père à Sainte-Hélène). Les deux cousins se tutoient, ce qui signifie plus qu'une relation lointaine, surtout dans ce milieu. Il est fait également fait allusion dans cette lettre au décès, la même année 1854, d'un autre cousin, Auguste de Las Cases, fils d'Alexandre-François de Las Cases (1769-1836), frère cadet d'Emmanuel (1766-1842).Entré à l'École navale en 1837, Louis de Las Cases fut nommé lieutenant de vaisseau en 1848. C'est avec ce grade qu'il participa à la Guerre d'Orient sur le Iéna, vaisseau de 90 canons, sur lequel il avait déjà navigué en 1840. Le bâtiment était commandé par le capitaine de vaisseau Louis-Marie Rapatel (1808-1859).II. L'ensemble de ces lettres fut à destination de ses proches, ses parents (mais surtout sa mère), et ses frères et soeurs, Gaston (1820-1908), Gabriel (1823-1916), Clotilde (1827-1892), Sidonie (1829-1859), mais surtout son cadet Henri, 1833-1855, qui se destinait également à une carrière militaire. Elles s'étagent du 10 juin 1853 (Toulon, avant le départ) au 21 juillet 1855 (Hôpital des soeurs de la Charité, à Péra, avant le rapatriement sanitaire en métropole). 1. Leur objet est très varié : la navigation et les opérations militaires ne les remplissent pas uniquement, mais elles sont parsemées de nombre de détails familiaux ou intimes, qui offrent un réel intérêt pour la vie de la famille Las Cases au XIXe siècle : fragmentée en plusieurs branches, et ce, depuis le XVIe siècle, il semble qu'elle ait maintenu une liaison entre ses membres. La plupart de ses membres masculins sont engagés dans une carrière militaire, et la préparation à Saint-Cyr occupe beaucoup Louis à propos de ses frères. De même, notons que la piété et les sentiments religieux occupent une grande place dans cette correspondance ; apparemment, tous les membres de la famille partageaient une foi sincère et orientée vers les oeuvres, mais également portée à l'acceptation des épreuves et de la mort prématurée, thème certes très présent dans la piété de l'époque, mais particulièrement soulignée dans les lettres du jeune marin.2. La navigation de Toulon aux Dardanelles, puis au Bosphore occupe les 35 premières pages, ainsi que des attestations de l'amitié avec le jeune officier avec Abel Bergasse (le futur amiral Du Petit-Thouars, 1832-1890), nommé lieutenant de vaisseau au choix en janvier 1854, au début de la campagne. Le récit des opérations ne commence, lui, qu'à partir de la lettre du 14 décembre 1853, alors que la guerre n'est pas encore déclarée (elle ne le sera du côté anglo-français que le 27 mars 1854), mais que les navires des deux puissances occidentales ont déjà pris de solides mouillages préventifs en Mer Noire. Las Cases donne ainsi une relation de la défaite ottomane de Sinope (30 novembre 1853), où l'escadre ottomane fut pulvérisée par les obus explosifs de l'amiral Pavel Nakhimov qui pilonna également le port. Suit une période d'incertitudes et de nouvelles contradictoires qui correspond exactement aux atermoiments diplomatiques des Occidentaux qui vont de la bataille de Sinope à la rupture des relations diplomatiques par Nicolas Ier le 16 février 1854. À partir de la lettre du 24 avril 1854, rédigée devant Odessa, les récits d'opérations s'enchaînent dans des missives souvent longues et très détaillées. L'Iéna stationne devant Sébastopol ou Eupatoria et le récit du débarquement des 15-17 septembre 1854 occupe toute la lettre des pp. 69-76. En novembre 1854, Louis passa de l'Iéna au Henri-IV, il servit ensuite un moment à terre et ses lettres relatent la défense obstinée de la place de Sébastopol par les Russes. En décembre 1854, il fut proposé par le chef d'escadrons Osmond pour une promotion au grade de capitaine de frégate (mais il ne devait jamais l'obtenir, pour des raisons qui demeurent obscures, et qui sont déplorées dans une note de la p. 124). La lettre à son père du 9 février 1855 détaille avec précision et ses fonctions sur le Henri-IV et le nombre d'hommes sous ses ordres. Enfin, le 20 février 1855, Las Cases fut bléssé par un éclat d'obus lors d'un engagement à terre pour défendre une batterie. Les dernières lettres (20 février - 21 juillet 1855) reflètent une convalescence d'abord rapide, puis une brève reprise du service, et enfin une hospitalisation chez les soeurs de la Charité de Péra : atteint le 6 juillet 1855 d'une dysenterie violente, qui frappait la plupart des soldats, il fut rapatrié à Constantinople, puis en France, ce qui mit un terme à cette correspondance (la dernière lettre est du 21 juillet). III. Est joint, sous le titre d'Appendice, un bifeuillet volant in-4, couvert d'une encre en partie décolorée et narrant les événements survenus après le retour de Louis de Las Cases malade à Toulon : accompagné de son ami Bergasse, il arriva en août 1855 dans le port, où il fut transféré à l'Hôpital militaire. Au bout de trois semaines, il fut ramené par son frère aîné Gaston de Las Cases (1820-1908) à Paris, et il fut conduit dans la propriété familiale du Bordelais avec son frère Henri, jeune Saint-Cyrien agonisant. Ce dernier mourut le 18 octobre 1855.Louis épousa ensuite en janvier 1856 Amélie de Monbadon. Il perdit la même année 1859 sa soeur Sidonie (la mère du possesseur de ce manuscrit, cf. infra ) et son épouse (le 10 octobre), puis en 1860 son beau-père le comte Julien-Casimir-Amédée de Monbadon. Enfin, appelé à faire partie de l'expédition du Mexique, sur le vaisseau La Foudre, il succomba à une attaque de choléra le 28 avril 1861 à Toulon.IV. Enfin, on trouve également une attestation de Congé de réforme pour Ernest de Camiran (le possesseur de notre exemplaire) en date du 24 avril 1882. Engagé volontaire en juin 1872 et incorporé dans le 17me régiment de Dragons, ce dernier, versé en 1881 dans l'armée territoriale, ne pouvait plus servir en raison de "varices volumineuses" [sic]. Exemplaire offert à Ernest de Majance de Camiran, fils de Michel-Léon de Majance de Camiran et de Sidonie de Las Cases (1829-1859), donc neveu de l'auteur, par son grand-père ou sa grand-mère, comme l'indique le long ex-dono manuscrit sur les premières gardes : "Pour mon cher petit-fils Ernest de Camiran, j'espère qu'en lisant les lettres de son vertueux oncle, il s'inspirera des sentiments d'affection pour sa famille, de dévotion et de fidélité envers son Dieu, et du courage militaire pour défendre son pays et son souverain". Ce texte, non signé, ne permet pas de dire s'il émane d'Adolphe de Las Cases ou de son épouse Esclarmonde de Raigecourt (1797-1872). 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‎[MANUSCRIT] MARTINIEN (Aristide)‎

Reference : 224163

‎Tableaux par corps et par batailles des officiers tués ou blessés pendant les guerres de l'Empire (1805-1815)‎

‎S.l., s.d. (vers 1895) fort vol. in-4, [2] ff. n. ch., puis ensemble chiffré de façon anarchique (alternativement folioté et paginé sans ordre repérable) 1-1274, [5] ff. n. ch. de table, demi-chagrin noir, dos lisse orné de filets et pointillés dorés (reliure de l'époque). Mors abîmés.‎


‎Il s'agit de l'exemplaire de Martinien lui-même, mis au propre, et apparemment disposé pour l'impression des épreuves. Rappelons que l'ouvrage parut pour la première fois chez Henri Charles-Lavauzelle en 1899, formant un fort volume in-8 de 824 pages.C'est là le principal ouvrage de l'historien militaire Aristide Martinien (1843-1912), bibliothécaire des Archives historiques de la Guerre. Ce travail monumental, toujours utilisé, avait été rédigé dans la suite de la Liste des officiers généraux tués ou blessés sous l'Empire, parue dès 1896, mais formant une plaquette de 36 pages seulement.Davois II, 214 (pour l'imprimé).Il s'agit de l'exemplaire de Martinien lui-même, mis au propre, et apparemment disposé pour l'impression des épreuves. Rappelons que l'ouvrage parut pour la première fois chez Henri Charles-Lavauzelle en 1899, formant un fort volume in-8 de 824 pages.C'est là le principal ouvrage de l'historien militaire Aristide Martinien (1843-1912), bibliothécaire des Archives historiques de la Guerre. Ce travail monumental, toujours utilisé, avait été rédigé dans la suite de la Liste des officiers généraux tués ou blessés sous l'Empire, parue dès 1896, mais formant une plaquette de 36 pages seulement.Davois II, 214 (pour l'imprimé). - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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