Hélian Jacques,Chevalier Maurice - Bourtayre Henri - Vandair Maurice
Reference : 3143
(1944)
Partitions sur Paris Paname,Partitions sur la Seconde guerre mondiale Beuscher Paul 1944
Etat moyen Petit format
[Würth ] - Hélian Jacques,Goya Mona - Lafarge Guy,Mareuil Jacques - Mareuil Jacques
Reference : 16368
(1945)
Partitions sur la Seconde guerre mondiale Royalty 1945
Etat moyen Petit format
Hélian Jacques,Varney Roger - Breux Jacques,Varney Roger - Varney Roger
Reference : 16437
(1945)
Partitions sur la Seconde guerre mondiale Dartonne Jean 1945
Etat moyen Petit format
Broché, 23X14 cm, 2002, 299 pages, photos en noir, éditions des arènes. Très bon état.
Librairie académique Perrin et Cie Broché 1918 In-12 (12 x 18,7 cm), broché, 300 pages ; pliures au dos, rousseurs au premier plat, traces au quatrième plat, assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
E-dite 2002 In-12 broché, 221 pp.
L’auteur réécrit la guerre civile espagnole. Il se l’approprie, et nous balance son romancero nero, entre deux verres de manzanilla, d’une écriture rageuse et paroxysmique qui n’a pas fini de retenir à nos oreilles. Très bon état d’occasion
E-dite 2000 In-8 broché, 159 pp.
Hommage aux héros obscurs de la guerre civile contre le régime de Franco. Bon état d’occasion
L'édition française illustrée Broché 1919 In-8 (19 x 23,5 cm), broché, non paginé, dessins en noir et en couleurs ; manques au dos réparé à la colle, rousseurs et quelques pliures aux plats, intérieur bien conservé, en l'état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Edition françaises illustrée 1919 In-8 broché, 60 pp. Dessins dans le texte en noir, hors-texte en couleurs. Bon exemplaire.
Bon état d’occasion
Du cosmos 1966 petit in4. 1966. Broché. 117 pages. Bon Etat
Ed du cosmos 1989 in8. 1989. broché. 130 pages. Bon état couverture légèrement usagée
Cosmos 1967 petit in4. 1967. Broché. 278 pages. Bon Etat
L'art et les Artistes, numéro spécial, Paris, 1916. In-4, broché sous couverture illustrée en couleurs, 48 pp. Lille, par R. Hénard - Le musée de Lille : histoire. - le monument. - catalogues. - la sculpture. - la peinture. - dessins - Les crimes des barbares. - Notes du gouvernement de la République française sur la conduite ...
Avec 48 illustrations en noir in texte. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Phone number : 01 42 73 13 41
H. Siraudeau Broché 1951 In-8 (14,5 x 21,2 cm), broché, 193 pages, lettre d'Albert Camus en préface, probable envoi de l'auteur (la signature ne permettant pas d'identifier formellement l'auteur de l'envoi), ouvrage épuisé ; mors un peu fendus aux coiffes, quelques pliures sur les bords des plats, papier bruni, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Apostolat des éditions. 1970. In-12. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos à nerfs, Intérieur frais. 185 pages - plats et contre plats jaspés - dos à 4 nerfs - auteur, titre et filtes dorés sur le dos.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Préface d'Edmond Michelet. Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
P., Ollendorff, 1885, in-12, v-384 pp, 9e édition, reliure demi-basane verte, dos lisse à doubles filets pointillés (rel. de l'époque), rousseurs, bon état
Le capitaine Maurice d'Hérisson, après avoir participé à la conquête de Pékin avec le général Cousin de Montauban, a appartenu à l'état-major du général Trochu et a assisté Jules Favre lors des négociations avec Bismarck. Il raconte ici sa guerre de 1870 contre les Prussiens. Excellent journal, rempli d'intéressants détails et anecdotes sur Paris pendant le Siège. — "Un volume au titre modeste, consacré en grande partie au siège de Paris par les Allemands. L'auteur, simple capitaine de mobiles, devenu officier d'ordonnance du général Trochu, parlant facilement plusieurs langues étrangères, et en particulier l'allemand, a été souvent chargé de missions importantes ; s'est trouvé en contact, à plusieurs reprises, avec des hommes considérables français, allemands et même américains ; il a pris part à de grands événements et les raconte dans son livre avec un charme inexprimable. Son ouvrage est amusant, saisissant, intéressant au dernier point. Nous allons l'analyser rapidement. Le comte d'Hérisson, capitaine de mobiles, ayant fait l'expédition de Chine auprès du général de Montauban, se trouvait à New-York au moment de la guerre avec la Prusse. II s'embarque aussitôt, vient à Paris trouver le ministre de la guerre, son ancien général, qui le dirige sur le camp de Châlons. Connu du général Schmitz, chef d'état-major de Trochu, il est attaché comme officier d'ordonnance à ce dernier général avec lequel il revient à Paris. II prend au siège la part la plus active, est journellement envoyé en mission, et, au moment des négociations, il est cédé à M. Jules Favre, qu'il accompagne, lorsqu'il s'agit de conclure l'armistice. Bien accueilli par les officiers allemands et par M. de Bismarck lui-même, il voit à plusieurs reprises ce dernier et M. de Moltke dans les conférences. II peint avec un grand brio ces différentes circonstances ; enfin, il est le héros de deux aventures curieuses : l'une relative à M. de Moltke, l'autre relative à M. de Bismarck, auquel il arrache in extremis une concession heureuse pour l'armée de Paris, et cela par sa seule initiative. Ce livre contient des appréciations très vraies et très justes sur les troupes, leur mise en route et le désordre qu'elles montrèrent dans les premiers moments de la guerre et au camp de Châlons. Un long épisode relatif au départ de l'impératrice de Paris, quelques mots élogieux sur la façon noble et digne avec laquelle la princesse Marie-Clotilde s'est retirée, enfin différents épisodes racontés de la façon la plus amusante nous ont paru de nature à intéresser les lecteurs, quels qu'ils soient. Une fois le volume commencé, on a de la peine à l'abandonner. Terminons en disant que le capitaine d'Hérisson, malgré les obligations qu'il a eues au loquace général Trochu, et tout en cherchant à l'exonérer des fautes qu'on lui a reprochées, tout en cherchant à expliquer sa conduite au 4 septembre et ses opérations pendant le siège, ne peut s'empêcher de laisser percer ce qu'il pense sur cet officier général, plus éloquent discoureur que grand chef militaire. L'auteur a imité en cela le général Lebrun qui, lui aussi, n'a pas craint de laisser entrevoir dans son livre la vérité sur le duc de Magenta." (Baron A. Du Casse, Revue Historique, 1885)
P., Ollendorff, 1885, in-12, 384 pp, reliure demi-percaline carmin, dos lisse avec fleuron et double filet dorés, pièce de titre chagrin noir (rel. de l'époque), 2e plat de la reliure défraîchi, qqs rares rousseurs, bon état
Le capitaine Maurice d'Hérisson, après avoir participé à la conquête de Pékin avec le général Cousin de Montauban, a appartenu à l'état-major du général Trochu et a assisté Jules Favre lors des négociations avec Bismarck. Il raconte ici sa guerre de 1870 contre les Prussiens. Excellent journal, rempli d'intéressants détails et anecdotes sur Paris pendant le Siège. — "Un volume au titre modeste, consacré en grande partie au siège de Paris par les Allemands. L'auteur, simple capitaine de mobiles, devenu officier d'ordonnance du général Trochu, parlant facilement plusieurs langues étrangères, et en particulier l'allemand, a été souvent chargé de missions importantes ; s'est trouvé en contact, à plusieurs reprises, avec des hommes considérables français, allemands et même américains ; il a pris part à de grands événements et les raconte dans son livre avec un charme inexprimable. Son ouvrage est amusant, saisissant, intéressant au dernier point. Nous allons l'analyser rapidement. Le comte d'Hérisson, capitaine de mobiles, ayant fait l'expédition de Chine auprès du général de Montauban, se trouvait à New-York au moment de la guerre avec la Prusse. II s'embarque aussitôt, vient à Paris trouver le ministre de la guerre, son ancien général, qui le dirige sur le camp de Châlons. Connu du général Schmitz, chef d'état-major de Trochu, il est attaché comme officier d'ordonnance à ce dernier général avec lequel il revient à Paris. II prend au siège la part la plus active, est journellement envoyé en mission, et, au moment des négociations, il est cédé à M. Jules Favre, qu'il accompagne, lorsqu'il s'agit de conclure l'armistice. Bien accueilli par les officiers allemands et par M. de Bismarck lui-même, il voit à plusieurs reprises ce dernier et M. de Moltke dans les conférences. II peint avec un grand brio ces différentes circonstances ; enfin, il est le héros de deux aventures curieuses : l'une relative à M. de Moltke, l'autre relative à M. de Bismarck, auquel il arrache in extremis une concession heureuse pour l'armée de Paris, et cela par sa seule initiative. Ce livre contient des appréciations très vraies et très justes sur les troupes, leur mise en route et le désordre qu'elles montrèrent dans les premiers moments de la guerre et au camp de Châlons. Un long épisode relatif au départ de l'impératrice de Paris, quelques mots élogieux sur la façon noble et digne avec laquelle la princesse Marie-Clotilde s'est retirée, enfin différents épisodes racontés de la façon la plus amusante nous ont paru de nature à intéresser les lecteurs, quels qu'ils soient. Une fois le volume commencé, on a de la peine à l'abandonner. Terminons en disant que le capitaine d'Hérisson, malgré les obligations qu'il a eues au loquace général Trochu, et tout en cherchant à l'exonérer des fautes qu'on lui a reprochées, tout en cherchant à expliquer sa conduite au 4 septembre et ses opérations pendant le siège, ne peut s'empêcher de laisser percer ce qu'il pense sur cet officier général, plus éloquent discoureur que grand chef militaire. L'auteur a imité en cela le général Lebrun qui, lui aussi, n'a pas craint de laisser entrevoir dans son livre la vérité sur le duc de Magenta." (Baron A. Du Casse, Revue Historique, 1885)
P., Ollendorff, 1885, in-12, 384 pp, broché, couv. factice, état correct
Le capitaine Maurice d'Hérisson, après avoir participé à la conquête de Pékin avec le général Cousin de Montauban, a appartenu à l'état-major du général Trochu et a assisté Jules Favre lors des négociations avec Bismarck. Il raconte ici sa guerre de 1870 contre les Prussiens. Excellent journal, rempli d'intéressants détails et anecdotes sur Paris pendant le Siège. — "Un volume au titre modeste, consacré en grande partie au siège de Paris par les Allemands. L'auteur, simple capitaine de mobiles, devenu officier d'ordonnance du général Trochu, parlant facilement plusieurs langues étrangères, et en particulier l'allemand, a été souvent chargé de missions importantes ; s'est trouvé en contact, à plusieurs reprises, avec des hommes considérables français, allemands et même américains ; il a pris part à de grands événements et les raconte dans son livre avec un charme inexprimable. Son ouvrage est amusant, saisissant, intéressant au dernier point. Nous allons l'analyser rapidement. Le comte d'Hérisson, capitaine de mobiles, ayant fait l'expédition de Chine auprès du général de Montauban, se trouvait à New-York au moment de la guerre avec la Prusse. II s'embarque aussitôt, vient à Paris trouver le ministre de la guerre, son ancien général, qui le dirige sur le camp de Châlons. Connu du général Schmitz, chef d'état-major de Trochu, il est attaché comme officier d'ordonnance à ce dernier général avec lequel il revient à Paris. II prend au siège la part la plus active, est journellement envoyé en mission, et, au moment des négociations, il est cédé à M. Jules Favre, qu'il accompagne, lorsqu'il s'agit de conclure l'armistice. Bien accueilli par les officiers allemands et par M. de Bismarck lui-même, il voit à plusieurs reprises ce dernier et M. de Moltke dans les conférences. II peint avec un grand brio ces différentes circonstances ; enfin, il est le héros de deux aventures curieuses : l'une relative à M. de Moltke, l'autre relative à M. de Bismarck, auquel il arrache in extremis une concession heureuse pour l'armée de Paris, et cela par sa seule initiative. Ce livre contient des appréciations très vraies et très justes sur les troupes, leur mise en route et le désordre qu'elles montrèrent dans les premiers moments de la guerre et au camp de Châlons. Un long épisode relatif au départ de l'impératrice de Paris, quelques mots élogieux sur la façon noble et digne avec laquelle la princesse Marie-Clotilde s'est retirée, enfin différents épisodes racontés de la façon la plus amusante nous ont paru de nature à intéresser les lecteurs, quels qu'ils soient. Une fois le volume commencé, on a de la peine à l'abandonner. Terminons en disant que le capitaine d'Hérisson, malgré les obligations qu'il a eues au loquace général Trochu, et tout en cherchant à l'exonérer des fautes qu'on lui a reprochées, tout en cherchant à expliquer sa conduite au 4 septembre et ses opérations pendant le siège, ne peut s'empêcher de laisser percer ce qu'il pense sur cet officier général, plus éloquent discoureur que grand chef militaire. L'auteur a imité en cela le général Lebrun qui, lui aussi, n'a pas craint de laisser entrevoir dans son livre la vérité sur le duc de Magenta." (Baron A. Du Casse, Revue Historique, 1885)
P., Ollendorff, 1891, in-12, xii-384 pp, reliure demi-basane verte, dos lisse avec titres, filets pointillés et doubles filets dorés, bon état
"Ancien officier d'ordonnance du général Cousin de Montauban pendant la guerre de Chine, le comte d'Hérisson se trouvait en Amérique au début de la campagne de 1870. Rentré en France, il fut attaché à l'Etat-major du 12e Corps, ensuite officier d'ordonnance du général Trochu. Sa parfaite connaissance de l'allemand lui valut maintes fois d'être employé comme parlementaire ; Jules Favre l'emmena à Ferrières, puis à Versailles ; il fut ainsi au courant de bien des petits faits des négociations et plus tard put grossir ses livres d'anecdotes curieuses. Son “Journal” fut un gros succès, presque un scandale. Déjà il avait écrit sur “L'Expédition de Chine, d'après la correspondance confidentielle du comte de Palikao” un ouvrage qui fut mis sous séquestre pour raison d'Etat, puis acquis par le Ministre de la Guerre. Le “Journal d'un interprète en Chine” remplaça en partie le livre supprimé. Le comte d'Hérisson, depuis, a publié un “Nouveau Journal”, “Les Responsabilités de l'Année terrible”, ”La Légende de Metz”, où il tenta de disculper Bazaine, puis des souvenirs personnels sur le 4 Septembre : “Autour d'une Révolution”, “Le Cabinet noir”, ”Le Prince Impérial”, etc. Ses livres sont généralement d'un intérêt véritable et sérieusement documentés." (Tableaux de l'année tragique. Anthologie de la guerre de 1870 d'après le récit des littérateurs, poètes, historiens, hommes de guerre, orateurs politiques et de la chaire, les correspondances et les mémoires, 1901)
P., Ollendorff, 1889, in-12, vii-388 pp, index des noms cités, reliure demi-percaline vermillon, dos lisse avec titres, fleuron et double filet dorés (rel. de l'époque), bon état
Ouvrage d'un officier de carrière montrant une certaine compréhension du mouvement insurrectionnel, « sentiment patriotique dévoyé », et une hostilité totale à Thiers, auteur direct de la Commune et du massacre des otages... « Il aurait fallu Henri IV et il y eut Thiers ». Sa sympathie va à Varlin « homme de cœur et d'intelligence », et à Louise Michel (cf. sa lettre en Épilogue). (Le Quillec, 2261) — "D'Hérisson ne défend pas la Commune mais reconnaît une certaine équité dans le principe qui a présidé à sa conduite. Il produit un document d'où il ressort que les fédérés voulaient faire de Paris une ville libre, ayant un gouvernement autonome et participant dans une certaine mesure au gouvernement, à l'administration, à la défense de la France et aux charges qui lui sont inhérentes. Ils étaient donc animés d'une idée politique ; ils respectaient les biens, les fonds publics déposés dans les Banques ; ils demandaient de l'argent à la Banque de France, mais sous forme de prêt ; et s'ils ont eu recours à des actes de vandalisme dans les derniers jours, c'était en défense et en représailles. La responsabilité des atrocités commises incombe à Thiers, qui n'a pas voulu reconnaître dans les Communards un parti belligérant, comme les Américains dans la guerre de sécession ; il les a donc poussés à des représailles, toujours moins féroces que les exécutions massives qu'il a ordonnées. Et non seulement Thiers est responsable des crimes de la Commune, mais il en est l'instigateur, le fomenteur, ne l'écrasant pas comme il aurait pu le faire après le massacre des généraux Lecomte et Thomas, et tout cela pour se rendre nécessaire, pour s'imposer à la France. D'Hérisson veut même prouver que Thiers a excité la Commune, mais il recourt ici à des indices et à des indications trop vagues... L'auteur trouve la répression d'autant plus féroce et cruelle que le gouvernement de Versailles n'était pas plus légal que celui de la Commune ; l'un et l'autre provenaient d'un coup d'État de quelques-uns, la différence étant que le premier avait renversé un gouvernement qui s'appuyait sur le vote populaire, tandis que le second s'opposait à un gouvernement déjà illégal par lui-même..." (La Cultura, rivista di scienze, lettere ed arti, 1889)
Paris, Ollendorff, 1889 in-12, VII-388 pp., index, broché.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Librairie Académie Perrin 1985 In-8 reliure rouge éditeur 20,8 cm sur 13,6. 601 pages. Bon état d’occasion.
Préface d’Alain Decaux Bon état d’occasion
Lyon, Antoine de Harsy, 1611. In-8 (172x103mm), reliure d’époque, plein velin, titre manuscrit au dos, texte en latin et Grec sur 2 colonnes, 7ff.n.c.-470pp.-36ff. index. Bon état.
L'ouvrage historique qui nous est parvenu est connu sous le nom d'Histoire des empereurs romains de Marc Aurèle à Gordien III quelquefois défectueux, pour des erreurs, fautes et oublis, y compris sur la géographie. Il s'inspire beaucoup de Dion Cassius et éventuellement de Marius Maximus. Mais son histoire inclut des témoignages et peut remplir la version de Dion Cassius (révolte de Maternus en 187, Sévère en 193 à Rome). L'histoire d'Hérodien contient un espace de soixante années , dix-sept empereurs, à savoir : Commode, Pertinax, Didius Julianus, Pescennius Niger, Albinus, Septime Sévère, Geta, Caracalla, Macrin, Héliogabale, Sévère Alexandre, Maximin le Thrace, Gordien Ier, Gordien II, Pupien, Balbin, Gordien III. M1-Et3
1915 PARIS, Ernest Leroux éditeur - 1915 -Tiré à part de la revue archéologique - In-8 - Broché - 4 planches et un dessin hors-texte - 64 pages - Envoi manuscrit de l'auteur devenu général - 1 er plat froissé, sinon bon exemplaire - Réf. 47932
- Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Balland. 1981. in-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paris, Balland, 1981, in 8, broché, 594 pp.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
OC-024 - Lieu d'édition : Paris Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945