Complet en 5 tomes. Format carré 21,5 x 20 cm pour les 5 volumes édités par les auteurs, illustrations (choix des documents et photographies) de Philippe Noirot, neveu de l’auteur. Les livres sont en bon état, complets, solides, propres malgré quelques frottements dus à leur utilisation. Tome 1, « Un feu pour illuminer la nuit, 1790-1843 », XVI+ 423 pages, édité en 1979. Préface Mgr Eugène Ernoult. Sommaire.1_ Le diocèse né du département de l’Yonne (1790-1802). 2_ « in mémoriam » pour un diocèse défunt (1802-1814). 3_ Trois phares pour illuminer la nuit, le département de l’Yonne recouvre son diocèse (1815-1829). 4_ Le droit à l’existence et les moyens de l’espérance (1830-1843). 5_ D’autres ouvriers par centaines. Tables. Tome 2, « Quand refleurissent les déserts, 1844-1875), XII+ 482 pages, édité en 1979. 1_ Pouvoirs en transit : le Chapitre. 2_ Prémices d’un grand épiscopat (1844-1847). 3_ Les années de grâces (1848-1852). 4_ Et ruissellent les pacages du désert (1852-1865). 5_ « Aegrotants » et ergoteurs (1865-1875). 6_ Fondations et instituts religieux. 7_ Le clergé séculier dans l’Yonne. Tables. Tome 3, « La belle époque, (1876-1911), XII+ 455 pages, édité en 1980. Sommaire. 1_ Préludes (1876-1880). 2_ Vêtement de pourpre et couronne d’épines (1880-1891). 3_ Dix ans de complots, ragots et magots (1891-1901). 4_ Feux, ombres et masques. La belle époque (1902-1911). 5_ Le jeune clergé de l’Yonne. 6_ Note conjointe de M. l’ambassadeur Léon Noël « Le statut, de l’Eglise de France après la séparation, le régime concordataire en Alsace ». Tables. Tome 4, « Ils danseront les os broyés (1911-1914-1918-1931), XII+442 pages, édité en 1981, couverture couleur de Robert Falcucci. 1_ Susciter un peuple (1912-1914). L’Yonne dans la grande guerre (1914-1918). 3_ La victoire en chantant (1919-1924). 4_ L’aurore d’un monde nouveau (1924-1931). 5_ Sables mouvants, panorama de l’Yonne religieuse (1912-1932). Tables. Tome 5, « Partage du temps :la guerre et la paix 1932-1962 », XXIV + 439 pages, édité en 1982. 1_ Une église qui se veut lucide et active. 2_ Le temps des épreuves. 3_ Ferments et levain (1945-1962). 4_ Le clergé séculier de l’Yonne et ses coopérateurs. 5_ Retouches, révisions, compléments et corrections. 6_ Index général des cinq volumes. Tables. MC : Yonne, Bourgogne, religion, catholicisme, chrétienté, église, régionalisme.
Peu courant, comme ici complet des 5 volumes.
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Format 18,5 x 25,5 cm, 128 pages, édition l’Armançon et Société des Sciences historiques et naturelles de l’Yonne, 1998. Couverture toile sous jaquette illustrée. Etat neuf. Sommaire : La musique du tour et le souffle du feu par Jean-Pierre Soisson. Avant-propos par Jean-Pierre Rocher. Les étapes d’une recherche. Primauté au bois et au vin. La faïencerie d’Egriselles, une expérience sans lendemain. La faïencerie des Capucins, un quart de siècle d’aventure industrielle (l(histoire d’une entreprise, du couvent à l’usine, pièces de commande et produits ordinaires). La faïencerie de Chevannes, un déclin annoncé (faux départ et vraies difficultés, entre la ferme et l’atelier, la « vaisselle des petits ménages »). La faïencerie de Saint-Amatre, la fin de l’aventure. En guise de conclusion. Annexes.
« Dans ce deuxième ouvrage consacré à l'étude des anciennes faïenceries, Camille PELLET nous fait découvrir les fabriques d'Auxerre et de sa périphérie. L'artisanat céramique auxerrois est abordé dans une approche globale associant les recherches archivistiques, l'étude de la documentation archéologique, les analyses de laboratoire et l'inventaire de collections publiques et privées. L'ouvrage de Camille Pellet constitue une synthèse originale sur l'industrie faïencière auxerroise, synthèse dans laquelle chacun, qu'il soit chercheur, amateur éclairé ou simplement amoureux d'un patrimoine menacé, pourra trouver profit. » (Présentation 4ème de couverture.)
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Format 19 x 25,5 cm, 387 pages édité par le Centre de Castellologie de Bourgogne 2013. Nombreuses illustrations (photos, plans, croquis, schémas,…) Sommaire. Préface de Jean Mesqui. Introduction de Fabrice Cayot. I_ Approche historique du château de Noyers par F. Cayot (historiographie du site, le berceau des sires de Noyers (1075-1419), une porte du duché de Bourgogne (1419-1508), l’ancienne forteresse féodale au16ème siècle (1508-1599), la démolition et l’abandon du château (1599-XXème siècle). II_ L’environnement du château par F. Cayot (la châtellenie, le cadre physique, les voies de communication, les fortifications du bourg). III_ Le contexte archéologique des fouilles du château ; les éléments architecturaux conservés en élévation (F. Cayot) ; les opérations (F. Cayot) ; l’occupation protohistorique du site (P. Nouvel). ; Le comblement des tours et la stratigraphie du fossé de l’enceinte extérieure (F. Cayot) ; une sépulture isolée dans les fossés (F. Cayot –F. Henrion) . IV_ Une enceinte avant-gardiste ; étude des vestiges (F. Cayot) ; caractérisation des mortiers et des pierres du vieux château (T. Lorain, P. Rat, F. Cayot, S. Büttner, D. Robert) ; la description du château de Noyers dans les Gestes des évêques d’Auxerre (H. Mouillebouche) ; Hugues de Noyers, les audaces d’un prélat dominateur (V. Tabbagh) ; l’architecture novatrice d’un prélat bâtisseur (F.Cayot, C. Rémy). V_ Le mobilier archéologique ; le matériel métallique, l’armement (F. Cayot) ; les carreaux de pavement (M. Orgeur) ; les tuiles ((F. Cayot, S. Aumard, J. Marquis) ; les vestiges osseux d’animaux (TH. Poulain). Catalogue du mobilier médiéval (F. Cayot, D. Maheu, R. Biton, F. Ravoire). VI_ Documents ; charte d’affranchissement du bourg de noyers, 1232 (F. Cayot, L. Skorka) ; Reconnaissance et estimation faites des bijoux… appartenant à Mile de Noyers dans la tour dudit Noyers, 1348 (F. Cayot) ; inventaire du château de Noyers, 1419 (F. Cayot). Equipe de Recherche. Bibliographie. Sources.MC: Histoire, Yonne, Bourgogne, régionalisme, Moyen-Âge. Envoi par Mondial Relay.
« De commune renommée, il a été le plus bel chastel du Royaume ». C’est ainsi qu’on décrit Noyers en 1419 quand la duchesse de Bourgogne Marguerite de Bavière l’achète. Dès sa construction vers 1200, ce château est un bâtiment hors norme. Les chroniqueurs de l’époque s’extasient devant la hardiesse de son constructeur, l’évêque d’Auxerre Hugues de Noyers qui, avec l’argent de son évêché, construit « le plus beau château du royaume ». Mais les guerres et le temps eurent raison du géant, qui fût presque totalement détruit. A partir de 1998, une association de bénévoles s’est formée pour restaurer, étudier et mettre en valeur ces ruines. Pendant près de 10 ans, une quinzaine de chercheurs ont conjugué les compétences les plus diverses (archéologie, céramologie, géologie, archéozoologie, architecture, ecclésiologie, castellologie, …) pour rendre ce château à l’histoire. L’étude attentive des vestiges du château, des tours de l’enceinte et des textes médiévaux montre notamment que l’évêque Hugues fut un précurseur pour mettre en place les principes de la fortification « gothique » initiée sous le règne de Philippe Auguste. Le présent ouvrage met le résultats des recherches à la portée d’un très large public et révèlera à chacun les multiples facettes cachée de la vie d’un grand château disparu.» (d’après le texte de 4ème de couverture). Il est vrai que ça donne envie d’aller y faire une visite !
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Thèse de doctorat de l’Université de Paris I sous la direction de Léon Pressouyre. Format 21 x 27 cm, 667 pages, édité par le Comité des travaux historiques et scientifiques 1999, avec le concours de la société archéologique de Sens et de l’université de Paris I. Sommaire. Préface de Léon Pressouyre. Introduction. I_ Le Monument, les textes, le chantier. (Description de la croisée de la cathédrale de Sens ; les comptes de la fabrique et les sources de l’histoire du chantier de la croisée ; le programme des travaux et le déroulement du chantier.) II_ La commande et la gestion. (Le maître d’ouvrage : le chapitre cathédral ; Tristan de Salazar, archevêque et mécène ; la fabrique ; les subventions royales ; le maître de l’œuvre- Martin Chambiges, Hugues Cuvelier.) III_ L’équipement du chantier, les matériaux (l’équipement du chantier ; les modes d’acquisition des matériaux et leur transport, les pierres, les matériaux de maçonnerie, le bois d’œuvre, les métaux.) IV_ Les bâtisseurs (la condition ouvrière et la structure des entreprises, l’emploi et les différents modes de rémunération). Conclusion : le bilan du chantier et le coût des travaux. Les comptes. Index. Sources. Bibliographie
« L’auteur analysant les comptes de la fabrique, retrace l’histoire de la construction de ce monument majeur de l’architecture flamboyante, conçu par Martin Chambiges, l’un des plus grands maîtres d’œuvre de la fin du 15ème siècle. Il nous invite à découvrir la vie d’une cathédrale en chantier, faite du labeur des ouvriers de la loge comme des préoccupations des gestionnaires chargés de trouver l’argent nécessaire au paiement des ouvriers et des fournisseurs. Ce livre issu d’une thèse d’université, donnera satisfaction à ceux qui, admirant la virtuosité des bâtisseurs du Moyen Age, s’interrogent sur les hommes qui furent les acteurs, à tous les niveaux, de l’une des plus formidables aventures de la civilisation occidentale. » (Extrait 4ème de couverture).Poids de l’ouvrage :2,3 kg, envoi par Mondial Relay. 110€, 8€, MR
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Format 15,5 x 23 cm, 100 pages, édité par l’Association d’études et de recherches du Vieux Toucy 1968. L’ocre dans la Préhistoire. La géologie, la chimie, l’extraction de l’ocre. Manufacture et commerce de l’ocre. Bibliographie. Notes et documents. Tous les aspects sont abordés. Une bonne synthèse. Yonne. Nièvre. Bourgogne.
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