Grasset, 1933, in-8°, 333 pp, reliure demi-chagrin fauve, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres dorés, couv. illustrée conservée (rel. de l'époque), bon état
Correspondance de 1770 à 1780. — "On sait que le seul texte authentique de la correspondance de Marie-Antoinette avec sa mère figure dans le recueil publié d'abord à Vienne en 1864 par le chevalier d'Arneth, et ensuite dans le recueil plus vaste publié en 1874 par MM. d'Arneth et Geffroy (Correspondance secrète entre Marie-Thérèse et le comte de Mercy-Argenteau avec les lettres de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette). M. Georges Girard a cru bon de rééditer la correspondance entre la mère et la fille parce que les publications précédentes sont aujourd'hui difficiles à se procurer, et surtout parce qu'elles ne sont pas absolument complètes. Outre les lacunes dues à la perte de certaines lettres, les éditeurs avaient omis deux lettres, l'une de Marie-Thérèse du 30 juillet 1775, l'autre de Marie-Antoinette du 30 août 1777, et qu'ils avaient en outre supprimé dans les autres certains passages. Le fait est dû à des soucis de convenance : la lettre de Marie-Thérèse est en effet un réquisitoire très vif contre la légèreté de sa fille et les Archives de Vienne n'en avaient pas permis la publication ; celle de Marie-Antoinette annonce à sa mère la consommation de son mariage. Les passages supprimés ailleurs sont la conséquence de l'omission de ces deux lettres. Or ces lacunes ne sont pas indifférentes. La préoccupation d'assurer la succession pour consolider l'alliance hante Marie-Thérèse, et, pour l'explication psychologique du caractère de Marie-Antoinette, la question de ses rapports conjugaux avec le roi est capitale. La publication de M. Georges Girard apporte donc une contribution très intéressante à l'histoire de Marie-Antoinette. Elle rendra service aux historiens et permettra au grand public de pénétrer dans l'intimité d'une des reines de France qui ont le plus suscité la curiosité." (Albert Girard, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1934) — "Ce livre doit être considéré comme le complément naturel de la magistrale biographie de Marie-Antoinette par Stefan Zweig. Quelque chose comme ce que les érudits appellent un recueil de pièces justificatives. La correspondance de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette, sa fille, que l'on va trouver pour la première fois intégralement publiée ici, est en effet le texte essentiel sur lequel l'éminent écrivain autrichien s'est fondé pour bâtir sa psychologie de la reine de France" (G. Girard)
Grasset, 1933, in-8°, 333 pp, imprimé sur alfax Navarre, reliure demi-chagrin fauve, dos à 4 nerfs soulignés à froid, pièces d'auteur et de titre chagrin vert et vermillon, fleurons dorés, couv. illustrée conservée (rel. de l'époque), bon état
Correspondance de 1770 à 1780. — "On sait que le seul texte authentique de la correspondance de Marie-Antoinette avec sa mère figure dans le recueil publié d'abord à Vienne en 1864 par le chevalier d'Arneth, et ensuite dans le recueil plus vaste publié en 1874 par MM. d'Arneth et Geffroy (Correspondance secrète entre Marie-Thérèse et le comte de Mercy-Argenteau avec les lettres de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette). M. Georges Girard a cru bon de rééditer la correspondance entre la mère et la fille parce que les publications précédentes sont aujourd'hui difficiles à se procurer, et surtout parce qu'elles ne sont pas absolument complètes. Outre les lacunes dues à la perte de certaines lettres, les éditeurs avaient omis deux lettres, l'une de Marie-Thérèse du 30 juillet 1775, l'autre de Marie-Antoinette du 30 août 1777, et qu'ils avaient en outre supprimé dans les autres certains passages. Le fait est dû à des soucis de convenance : la lettre de Marie-Thérèse est en effet un réquisitoire très vif contre la légèreté de sa fille et les Archives de Vienne n'en avaient pas permis la publication ; celle de Marie-Antoinette annonce à sa mère la consommation de son mariage. Les passages supprimés ailleurs sont la conséquence de l'omission de ces deux lettres. Or ces lacunes ne sont pas indifférentes. La préoccupation d'assurer la succession pour consolider l'alliance hante Marie-Thérèse, et, pour l'explication psychologique du caractère de Marie-Antoinette, la question de ses rapports conjugaux avec le roi est capitale. La publication de M. Georges Girard apporte donc une contribution très intéressante à l'histoire de Marie-Antoinette. Elle rendra service aux historiens et permettra au grand public de pénétrer dans l'intimité d'une des reines de France qui ont le plus suscité la curiosité." (Albert Girard, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1934) — "Ce livre doit être considéré comme le complément naturel de la magistrale biographie de Marie-Antoinette par Stefan Zweig. Quelque chose comme ce que les érudits appellent un recueil de pièces justificatives. La correspondance de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette, sa fille, que l'on va trouver pour la première fois intégralement publiée ici, est en effet le texte essentiel sur lequel l'éminent écrivain autrichien s'est fondé pour bâtir sa psychologie de la reine de France" (G. Girard)
Walter Beckers éditeur/Société nouvelles des éditions Gonthier. 1972. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 195 pages. Tâches en plats. Quelques rousseurs.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Collection du XXe siècle. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Gonthier. 15 août 1964. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 152 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Collection Femme N°6. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
La Manufacture de livres (11/2022)
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782358879231
sans mention d’éd. (« À mes dépens ») s.d. paru en 2 livraisons dans Les Temps modernes (fin 47 et début 48) mais dans une version expurgée… entre l’autobiographie et le document ce texte affiche une insolite singularité loin de ce que l’on dit d’habitude sur « le plus vieux métier du monde », version intégrale avec un avertissement de l’éditeur, en frontispice fac-similé du manuscrit, édition originale, ex. numéroté sur bouffant
La Marge Edition 1999 1200 pages in8. 1999. Broché. 1200 pages. Dédicacé par l'auteur
Très bon état
L'amitié par le livre, Besançon 1991 (2ème édition). Bel exemplaire broché, couverture ornée d'éd., gd in-8, 334 pages avec dessins, index et table.
2004 Editions Face à Face - 2004 - 1 vol in-4 - broché - 111 pages - Illustrations en couleurs en et hors texte -
Bon état -
"1948. Paris A Mes Dépens s.d. (1948) e.o. ex. non justifié sur bouffant - Broché 12 cm x 16 cm 101 pages fac-similé du manuscrit - Texte de Marie-Thérèse (Cointre) - Léger accroc sur la couv. sinon bon état - Ce texte autobiographique sur la vie d'une prostituée pendant la Seconde Guerre mondiale parut dans la revue Temps modernes (numéro de décembre 1947) dans une version incomplète et expurgée de ses obscénités langagières. Le texte complet parut en volume quelques mois plus tard à l'initiative de René Bertele. Il fut imprimé clandestinement à Saint-Germain-des-Prés probablement chez Murater & Decker. La critique l'attribua aussitôt à Simone de Beauvoir qui s'en défendit elle y consacre quelques pages dans ""Le deuxième sexe""(Dutel)"
1986 Edition N° 1, 1986, 1 volume in-8 de 356 pages, broché.
Bon état. Couverture légèrement défraichie
Mercure de France. 1996. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 123 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Marie-Thérèse Davoux dite Mademoiselle Maillard (1766-1818), cantatrice célèbre de la fin du XVIIIe.
Reference : 012563
Marie-Thérèse Davoux dite Mademoiselle Maillard (1766-1818), cantatrice célèbre de la fin du XVIIIe. L.A.S., 25 octobre 1788, 3p in-4. « Mon Prince, Monsieur [Jean-Amable Foucauld dit] Saint-Prix m'a fait part de l'intérêt que vous avez bien voulu prendre à moi, et combien vous avez été indigné de l'atrocité du procédé de Monsieur [Antoine] Dauvergne. Pour ne pas vous ennuyer de la bassesse des détails de cette affaire, je crois suffisant que vous sachiez que l'académie remettre l'opéra de La Toison d'or à l'époque où je fus obligée de déclarer les motifs qui m'empêchaient de continuer mon service. L'opéra ne pouvant me faire doubler dans ce rôle, je me rendis à ses justes remontrances et ne consultant que mon zèle, je jouai le terrible rôle de Médée, je compromis ma santé, enfin je jouai trois fois ce rôle fatiguant. L'administration satisfaite de ces efforts me fait fit écrire par monsieur [Simon] de La Suze, son commettant, que je pouvais être tranquille, que le prisse le temps nécessaire au rétablissement de ma santé, que mes appointements me seraient payés, et que mes services passés et à venir me mettaient dans le cas de faire trêve à la loi, comptant sur cette promesse n'ayant pas besoin, je négligeai d'envoyer toucher chez le caissier le montant de mes appointements pendant trois mois et c'est alors que je vais reprendre mon service qu'il m'est annoncé par monsieur [Denis Papillon] de La Ferté que deux mois de mes appointements me sont retenus. Je vous avoie, mon Prince, que l'argent m'est absolument indifférent, mais qu'il est dur à un premier sujet d'être traité comme un simple figurant ; notez que mes appointements sont de cinq cent quatre-vingt-trois livres par mois et que quoi qu'on vous dise, la plus forte amende en ma position n'a jamais excédé dix louis. J'ignore le motif de cette singulière vexation mais ce que je me plais à savoir, c'est l'intérêt que vous prenez à moi et dont je suis et serai à jamais reconnaissante. J'ai l'honneur d'être avec respect, Mon Prince, votre très humble servante Maillard ». Nous apprenons beaucoup de détails par la correspondance d'Antoine Dauvergne à Denis Paillon de La Ferté conservée aux Archives Nationales et publiée par Benoît Dratwicki. Saint-Prix, comédien, fut le compagnon de Maillard (lettre du 1er août 1787). Il fut aussi militaire jusqu'en 1792. Toutefois, Dauvergne rapport que Saint-Prix aurait dit à La Suze, devant Maillard : « Ne l'écoutez pas, elle est folle » (23 février 1788) mais dit aussi « qu'il ne sera jamais à même de repousser » Maillard (13 décembre 1788). Ils étaient tous deux royalistes et cela valut notamment à Saint-Prix d'être arrêté avec douze autres acteurs (dont Maillard ?) le 2 septembre 1793. Concernant Maillard, on se rend compte que si Dauvergne est assez bienveillant vis-à-vis d'elle en 1785, parlant déjà de sa maladie qui l'empêchera probablement de chanter Iphigénie tout en doutant du certificat du médecin et en allant la visiter (11 juin 1785). Mais ensuite, le ton commence à changer quand Maillard refuse de reprendre un rôle et prétend avoir mal à la gorge (18 mai 1786), quand elle prétend que la demoiselle Gavaudan est jalouse d'elle (20 août 1786) et qu'elle impose le dessin de son habit de Médée (24 août 1786). Il met encore en doute la maladie de Maillard en novembre 1786 mais aussi à de nombreuses reprises dans les années suivantes. On voit donc déjà tout le contexte assez mauvais. Le 14 octobre 1788, Dauvergne parle de Maillard et de l'acteur Lainez qui réclament des appointements malgré leurs absences et fait part de son opposition car cela créerait un précédent avec les autres acteurs. Si les choses semblent s'apaiser ensuite, il réclame néanmoins une amende pour Maillard le 22 septembre 1789. Quel est ce prince auprès de qui elle demande un appui ? La Revue d'Art dramatique (Volume 15, 1889, p.268) mentionne des « attaches princières » sans précision mais mentionnant le duc de Soubise sans que cela ne corresponde puisqu
"" "GF1604 EDITION DE 1963. RELIE. ATTENTION COUVERTURE TACHEE. IMPORTANTE ROUSSEUR."
P., Nyon l'aîné et La Porte, 1781, in-8, cart. jaspé muet, tr. jaspées, 332 pp., 6 gravures hors-texte. (SS67)
"Un des ouvrages les plus réussis de Moreau le Jeune" (Cohen, 412) qui signale que cet ouvrage doit avoir "un portrait de Marie-Thérèse gravé par Cathelin, d'après Ducreux, deux portraits en médaillons gravés d'après Moreau par Gaucher en tête de la dédicace, et quatre figures par Moreau, gravées par Duclos, de Launay, Prévost et Simonet". Exemplaire modeste d'aspect, mais complet.
Paris, Les Presses Françaises, 1936, in-8, broché, 188 pages. Envoi de l'auteur à Gabriel Perreux. Légères rousseurs marginales. Bon état. Ex. non coupé.
Paris, Ed. Stock, 1936, in-12, Broché, 232 pages. Figures dans le texte.
Ed De La Seine Sans date.
Livre relié couverture cartonnée sous jaquette. En stock. Vendeur PRO Français. N'hésitez pas me contacter pour toutes questions ou photos supplémentaires. Expédition rapide et soignée sous enveloppe cartonnée ou à bulles
Le grand livre du mois 1993 241 pages in8. 1993. Broché. 241 pages.
french édition - quelques marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en bon état. Expédition soignée sous blister dans une enveloppe à bulles depuis la France